De nos jours, la traite d’êtres humains pour alimenter l’industrie du sexe est un marché mondial soutenu par des outils électroniques et la technologie de pointe.
Les prédateurs s’y retrouvent à tous les niveaux, depuis les acheteurs/clients jusqu’aux proxénètes locaux et aux trafiquants internationaux qui utilisent les mêmes méthodes que les maris violents pour asservir leurs victimes : insultes, menaces, coups, isolement social, contrôle économique, viol et autres genres de torture.
Il en résulte une profonde détresse émotionnelle dont les symptômes sont extrêmes : dépression, anxiété, syndrome de stress post-traumatique (SSPT), toxicomanie et même lésions cérébrales traumatiques.
Selon une étude, 71% des prostituées auraient subi des agressions physiques, 68% répondraient aux critères diagnostiques du SSPT (taux comparables aux anciens combattants, les femmes battues ou violées et les victimes de torture pratiquée par des agents de l’État) et 89% d’entre elles voudraient s’enfuir.
On ne trouve dans aucun autre « emploi » des taux semblables de violence physique, de viol et d’homicide.
Les symptômes du SSPT sont encore plus intenses lorsque les femmes prostituées sont aussi filmées à des fins de pornographie.
En fait, l’industrie du sexe est alimentée par la pornographie qui non seulement montre aux hommes comment « utiliser » les femmes, mais est également une voie d’approvisionnement privilégiée pour amener les femmes vers la prostitution.
Des hommes peuvent désormais repérer des femmes à acheter partout sur la planète en consultant les sites de pornographie et de prostitution, lesquels sont pratiquement identiques : tous ces sites se servent de photos pour proposer leurs « produits », suggèrent des mauvais traitements à infliger aux femmes et minimisent ou occultent les souffrances qui en résultent.
Les femmes prostituées offertes aux acheteurs sur ces sites sont en très grande majorité jeunes, pauvres et « exotiques », c’est-à-dire non blanches.
Les prédateurs s’y retrouvent à tous les niveaux, depuis les acheteurs/clients jusqu’aux proxénètes locaux et aux trafiquants internationaux qui utilisent les mêmes méthodes que les maris violents pour asservir leurs victimes : insultes, menaces, coups, isolement social, contrôle économique, viol et autres genres de torture.
Il en résulte une profonde détresse émotionnelle dont les symptômes sont extrêmes : dépression, anxiété, syndrome de stress post-traumatique (SSPT), toxicomanie et même lésions cérébrales traumatiques.
Selon une étude, 71% des prostituées auraient subi des agressions physiques, 68% répondraient aux critères diagnostiques du SSPT (taux comparables aux anciens combattants, les femmes battues ou violées et les victimes de torture pratiquée par des agents de l’État) et 89% d’entre elles voudraient s’enfuir.
On ne trouve dans aucun autre « emploi » des taux semblables de violence physique, de viol et d’homicide.
Les symptômes du SSPT sont encore plus intenses lorsque les femmes prostituées sont aussi filmées à des fins de pornographie.
En fait, l’industrie du sexe est alimentée par la pornographie qui non seulement montre aux hommes comment « utiliser » les femmes, mais est également une voie d’approvisionnement privilégiée pour amener les femmes vers la prostitution.
Des hommes peuvent désormais repérer des femmes à acheter partout sur la planète en consultant les sites de pornographie et de prostitution, lesquels sont pratiquement identiques : tous ces sites se servent de photos pour proposer leurs « produits », suggèrent des mauvais traitements à infliger aux femmes et minimisent ou occultent les souffrances qui en résultent.
Les femmes prostituées offertes aux acheteurs sur ces sites sont en très grande majorité jeunes, pauvres et « exotiques », c’est-à-dire non blanches.
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