Lundi 5 décembre 2011, le Président de la République a organisé, ce jour, une « grand-messe » au CNIT à Paris La Défense sur le thème de « la modernisation des transports urbains » et à l’occasion de la mise en service des nouvelles rames du RER A.
A cette occasion, la CGT/RATP a tenté d’interpeller, tant le Président et son Cabinet que l’ensemble des participants sur le décalage qui existe entre les postures présidentielles, comme gouvernementales et les réalités de ce qui est mis en œuvre.
En effet, Sous le « règne » de Sarkozy, ce sont plus de 3.000 postes qui ont été supprimés à la RATP !
La CGT/RATP dénonce la casse de l’entreprise publique et revendique d’autres choix : relance de l’économie par la relance de la croissance au travers notamment de l’augmentation des salaires.
Toutes les vérités ne sont sans doute pas bonnes à dire, c’est sans doute pour cela que plusieurs centaines de manifestants CGT se sont vus fermement évacuer par les compagnies de CRS alors qu’une distribution de tract était en cours dans l’espace public, les forces de l’ordre ont véritablement « parqué » les manifestants à plusieurs centaines de mètres, et ce, pendant plus de 2 heures... Par cette attitude autoritaire et brutale, le Président démontre, s’il en était besoin, que l’image médiatique prédomine sur la rencontre des agents du service public et, plus largement, des salariés qui subissent de plein fouet sa politique.
A cette occasion, la CGT/RATP a tenté d’interpeller, tant le Président et son Cabinet que l’ensemble des participants sur le décalage qui existe entre les postures présidentielles, comme gouvernementales et les réalités de ce qui est mis en œuvre.
En effet, Sous le « règne » de Sarkozy, ce sont plus de 3.000 postes qui ont été supprimés à la RATP !
La CGT/RATP dénonce la casse de l’entreprise publique et revendique d’autres choix : relance de l’économie par la relance de la croissance au travers notamment de l’augmentation des salaires.
Toutes les vérités ne sont sans doute pas bonnes à dire, c’est sans doute pour cela que plusieurs centaines de manifestants CGT se sont vus fermement évacuer par les compagnies de CRS alors qu’une distribution de tract était en cours dans l’espace public, les forces de l’ordre ont véritablement « parqué » les manifestants à plusieurs centaines de mètres, et ce, pendant plus de 2 heures... Par cette attitude autoritaire et brutale, le Président démontre, s’il en était besoin, que l’image médiatique prédomine sur la rencontre des agents du service public et, plus largement, des salariés qui subissent de plein fouet sa politique.
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