AGDE - HERAULT - Régis PASSERIEUX, invité du 12-13 Languedoc-Roussillon
Régis PASSERIEUX, Enarque, élu à 29 ans maire d’Agde de 1989 à 2001, il fut ancien conseiller général du canton d’Agde et vient d’annoncer sa candidature à la primaire de la gauche.
Il fut dans le même temps secrétaire national du PS avant d’être battu en 2001 par l’UMP Gilles d’ETTORE.
Régis PASSERIEUX, membre du courant des "POISSONS ROSES ", a annoncé, ce dimanche, sa candidature au quotidien Ouest France, ( voir l'article ) à la primaire de la gauche.
Le courant des " POISSONS ROSES " présenterait un ticket composé de Régis PASSERIEUX et de Virginie DUPRAT, 39 ans, membre des MJS puis du Parti Socialiste , responsable d’un service social dans la région Bordelaise, catholique pratiquante et mère d'une fille de 15 ans. Une co-candidature qui ne peut que satisfaire cette adepte du des réalisations collectives et collaboratives : co-construction, collocation, codéveloppement, covoiturage, coexistence…
Agé aujourd’hui de 57 ans, l’ancien maire d’Agde veut incarner une gauche qui renoue avec la défense du bien commun et le respect de la personne.
Régis PASSERIEUX déclare espérer un retour aux fondamentaux de la gauche « Un chemin de paix, fondé sur la justice sociale ». Il assure s'être "retrouvé en rupture avec un parti qui était vivant et qui était devenu progressivement un appareil technocratique, mécanique »
Aujourd’hui , avocat d’affaires reconnu dans le monde diplomatique et particulièrement à l’international au travers de ses sociétés de consulting entre la France et la Chine, c’est pour Régis PASSERIEUX un retour à la vie politique.
Dès 2002, régis PASSERIEUX souhaitait le renouveau de la gauche . Il commettait même un livre aux éditions du Rocher : Bouge ta gauche qui proposait déjà de bouger les lignes .
L'enjeu de cette candidature, "c’est de montrer que le Parti socialiste, au travers de cette primaire, est capable de proposer tout à fait autre chose, de se renouveler", détaille Régis Passerieux.
Le candidat se dit contre la GPA, contre les injections létales dans le cadre de la fin de vie, et dénonce l'absence de "vrai débat" autour du mariage pour tous de la part du gouvernement.
Pour parvenir a ses fins, régis PASSERIEUX devra rassembler le parrainage de 19 parlementaires. L’ancien cadre du PS est un homme de réseau, ouvert sur la société civile et dont l’influence dépasse les partis. Régis PASSERIEUX a été fait Chevalier de la Légion d’honneur sur proposition du Ministre de l’écologie, Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, dont il est proche et dont il avait assuré la défense en qualité d’avocat lors du recours en annulation de l'élection municipale de LONGJUMEAU
Régis PASSERIEUX, est né le 16 mai 1959 à Béziers, d'une famille issue du monde viticole : son père était l'un des principaux négociants en vins du midi, dirigeant la compagnie des vins du midi et d'Algérie; Sa mère est pied-noir, née en Algérie, à Saint-Leu (Oranie), et fille de viticulteur. Ses grands parents se sont installés en 1962 à Béziers où ils ont rejoint, au moment des événements, leur fille.
Originellement, c'était de l'Aude, et plus précisément de Narbonne, qu'était originaire la famille PASSERIEUX : son grand-père, ancien officier de la guerre 14/18 y a été président du mouvement ancien combattant, et son grand-oncle, le docteur LACROIX, maire SFIO de Narbonne, est mort en déportation après l'entrée des nazis en zone libre. Sa famille a pris sa retraite de Béziers vers Agde en 1987, où sa sœur vivait déjà depuis longtemps.
Régis PASSERIEUX a grandi à Béziers : primaire à l'école de la Trinité, puis au collège Paul Riquet et au lycée Jean Moulin où il a passé le bac. Il a porté jusqu'en minimes le maillot de l'ASB rugby. Après le bac, il a passé un an à l'Université de droit de Montpellier où il a reçu la distinction de lauréat, puis est « monté » à Paris après avoir réussi le concours d'entrée à « Sciences-Po ».
Après Sciences-Po, qu'il a fait parallèlement avec ses études de droit, puis son service militaire comme officier de défense aérienne, il a réussi le concours d'entrée à l'ENA.
Après sa sortie de l'ENA en 1988, nommé au ministère de l'intérieur, il est élu, l'année suivante, maire d'Agde à l'âge de 29 ans, puis conseiller général en 1994.
Depuis 2002, il est avocat, d'abord associé dans un prestigieux cabinet parisien puis, en 2005, constitue son propre cabinet, spécialisé en droit de la régulation économique. Il enseigne le droit des marchés publics à la prestigieuse Université de la Sorbonne et à Sciences-Po Paris.
En 2008, il échoue dans sa tentative de come-back à Agde à l'occasion des élections municipales et cantonales.
Régis PASSERIEUX, Enarque, élu à 29 ans maire d’Agde de 1989 à 2001, il fut ancien conseiller général du canton d’Agde et vient d’annoncer sa candidature à la primaire de la gauche.
Il fut dans le même temps secrétaire national du PS avant d’être battu en 2001 par l’UMP Gilles d’ETTORE.
Régis PASSERIEUX, membre du courant des "POISSONS ROSES ", a annoncé, ce dimanche, sa candidature au quotidien Ouest France, ( voir l'article ) à la primaire de la gauche.
Le courant des " POISSONS ROSES " présenterait un ticket composé de Régis PASSERIEUX et de Virginie DUPRAT, 39 ans, membre des MJS puis du Parti Socialiste , responsable d’un service social dans la région Bordelaise, catholique pratiquante et mère d'une fille de 15 ans. Une co-candidature qui ne peut que satisfaire cette adepte du des réalisations collectives et collaboratives : co-construction, collocation, codéveloppement, covoiturage, coexistence…
Agé aujourd’hui de 57 ans, l’ancien maire d’Agde veut incarner une gauche qui renoue avec la défense du bien commun et le respect de la personne.
Régis PASSERIEUX déclare espérer un retour aux fondamentaux de la gauche « Un chemin de paix, fondé sur la justice sociale ». Il assure s'être "retrouvé en rupture avec un parti qui était vivant et qui était devenu progressivement un appareil technocratique, mécanique »
Aujourd’hui , avocat d’affaires reconnu dans le monde diplomatique et particulièrement à l’international au travers de ses sociétés de consulting entre la France et la Chine, c’est pour Régis PASSERIEUX un retour à la vie politique.
Dès 2002, régis PASSERIEUX souhaitait le renouveau de la gauche . Il commettait même un livre aux éditions du Rocher : Bouge ta gauche qui proposait déjà de bouger les lignes .
L'enjeu de cette candidature, "c’est de montrer que le Parti socialiste, au travers de cette primaire, est capable de proposer tout à fait autre chose, de se renouveler", détaille Régis Passerieux.
Le candidat se dit contre la GPA, contre les injections létales dans le cadre de la fin de vie, et dénonce l'absence de "vrai débat" autour du mariage pour tous de la part du gouvernement.
Pour parvenir a ses fins, régis PASSERIEUX devra rassembler le parrainage de 19 parlementaires. L’ancien cadre du PS est un homme de réseau, ouvert sur la société civile et dont l’influence dépasse les partis. Régis PASSERIEUX a été fait Chevalier de la Légion d’honneur sur proposition du Ministre de l’écologie, Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, dont il est proche et dont il avait assuré la défense en qualité d’avocat lors du recours en annulation de l'élection municipale de LONGJUMEAU
Régis PASSERIEUX, est né le 16 mai 1959 à Béziers, d'une famille issue du monde viticole : son père était l'un des principaux négociants en vins du midi, dirigeant la compagnie des vins du midi et d'Algérie; Sa mère est pied-noir, née en Algérie, à Saint-Leu (Oranie), et fille de viticulteur. Ses grands parents se sont installés en 1962 à Béziers où ils ont rejoint, au moment des événements, leur fille.
Originellement, c'était de l'Aude, et plus précisément de Narbonne, qu'était originaire la famille PASSERIEUX : son grand-père, ancien officier de la guerre 14/18 y a été président du mouvement ancien combattant, et son grand-oncle, le docteur LACROIX, maire SFIO de Narbonne, est mort en déportation après l'entrée des nazis en zone libre. Sa famille a pris sa retraite de Béziers vers Agde en 1987, où sa sœur vivait déjà depuis longtemps.
Régis PASSERIEUX a grandi à Béziers : primaire à l'école de la Trinité, puis au collège Paul Riquet et au lycée Jean Moulin où il a passé le bac. Il a porté jusqu'en minimes le maillot de l'ASB rugby. Après le bac, il a passé un an à l'Université de droit de Montpellier où il a reçu la distinction de lauréat, puis est « monté » à Paris après avoir réussi le concours d'entrée à « Sciences-Po ».
Après Sciences-Po, qu'il a fait parallèlement avec ses études de droit, puis son service militaire comme officier de défense aérienne, il a réussi le concours d'entrée à l'ENA.
Après sa sortie de l'ENA en 1988, nommé au ministère de l'intérieur, il est élu, l'année suivante, maire d'Agde à l'âge de 29 ans, puis conseiller général en 1994.
Depuis 2002, il est avocat, d'abord associé dans un prestigieux cabinet parisien puis, en 2005, constitue son propre cabinet, spécialisé en droit de la régulation économique. Il enseigne le droit des marchés publics à la prestigieuse Université de la Sorbonne et à Sciences-Po Paris.
En 2008, il échoue dans sa tentative de come-back à Agde à l'occasion des élections municipales et cantonales.
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