Le scandale Lactalis continue de faire la Une ce vendredi 12 janvier. Les politiques pointent du doigt la responsabilité de l’entreprise dans la commercialisation du lait contaminé. Invitée sur Europe 1, Agnès Buzyn estime qu’il y aura « des suites » et note « les peines graves » encourues par certains acteurs. « Je crains que l’on trouve des choses étonnantes chez Lactalis », indique ainsi la ministre des Solidarités et de la Santé. « Je crois qu’il y aura des suites, une enquête est ouverte et nous verrons les responsabilités de chacun », ajoute-t-elle. Sur RTL, Stéphane Travers, le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation juge qu’il y « a une faute de l’entreprise ». « Lactalis doit assumer sa responsabilité », poursuit-il .
Pour Geoffroy Didier, les torts sont partagés. «Il y sans doute une chaîne de responsabilité. J’aimerais qu’il y ait une prise de responsabilité collective », indique le secrétaire général délégué des Républicains sur LCP. « Il y a eu un retard [des retraits] que je n’arrive pas à comprendre », estime de son côté Stéphane Le Foll et ancien ministre de l’Agriculture pour qui l’entreprise agroalimentaire « a une responsabilité ».
À gauche, les élus demandent un contrôle plus fort de l’État. « Il faut mettre des règles claires et c’est le rôle de l’État d’être intrusif, dirigiste sur les grandes boîtes et sur les distributeurs », indique Luc Carvounas sur France info. « Agnès Buzyn ne peut pas se contenter de faire une réunion dans les ministères. Il faut des sanctions et des règles supplémentaires pour empêcher ce type de situation », juge de son côté Stéphane Troussel sur Public Sénat.
Pour Geoffroy Didier, les torts sont partagés. «Il y sans doute une chaîne de responsabilité. J’aimerais qu’il y ait une prise de responsabilité collective », indique le secrétaire général délégué des Républicains sur LCP. « Il y a eu un retard [des retraits] que je n’arrive pas à comprendre », estime de son côté Stéphane Le Foll et ancien ministre de l’Agriculture pour qui l’entreprise agroalimentaire « a une responsabilité ».
À gauche, les élus demandent un contrôle plus fort de l’État. « Il faut mettre des règles claires et c’est le rôle de l’État d’être intrusif, dirigiste sur les grandes boîtes et sur les distributeurs », indique Luc Carvounas sur France info. « Agnès Buzyn ne peut pas se contenter de faire une réunion dans les ministères. Il faut des sanctions et des règles supplémentaires pour empêcher ce type de situation », juge de son côté Stéphane Troussel sur Public Sénat.
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