Entouré d’élus locaux, Didier Guillaume échange, ce mercredi 27 mars, à Cagny (Calvados), avec les salariés et les betteraviers de l’usine Saint-Louis Sucre. La maison-mère, Südzucker, envisage d’arrêter la production de sucre à Cagny et Eppeville (Somme). Le plan passe par la suppression de 130 postes de travail.
Les gilets orange des betteraviers de la CGB se mêlent aux casquettes rouges du syndicat FO et des chasubles blancs de la CFE-CGC. Accompagnées par les élus locaux, maires, députés, conseillers régionaux et départementaux, plus de 200 personnes manifestent ce mercredi 27 mars devant l’usine Saint-Louis Sucre. C’est l’union sacrée contre le géant sucrier allemand, Südzucker. La maison-mère de Saint-Louis Sucre a annoncé l’arrêt de deux des quatre usines françaises, à Cagny et Eppeville (Somme), soit la disparition de 130 emplois.
« Une décision inadmissible, intolérable, le gouvernement ne l’acceptera pas » a redit le ministre de l’Agriculture, venu faire « un aller-retour » pour échanger avec les manifestants sur le parvis de l’usine. « Nous irons jusqu’au bout pour que ça coûte le plus cher possible à cette entreprise », a déclaré Didier Guillaume, sous les applaudissements des manifestants. « Cette filière a un avenir. Le gouvernement est prêt à aider à une reprise d’activité. »
Les gilets orange des betteraviers de la CGB se mêlent aux casquettes rouges du syndicat FO et des chasubles blancs de la CFE-CGC. Accompagnées par les élus locaux, maires, députés, conseillers régionaux et départementaux, plus de 200 personnes manifestent ce mercredi 27 mars devant l’usine Saint-Louis Sucre. C’est l’union sacrée contre le géant sucrier allemand, Südzucker. La maison-mère de Saint-Louis Sucre a annoncé l’arrêt de deux des quatre usines françaises, à Cagny et Eppeville (Somme), soit la disparition de 130 emplois.
« Une décision inadmissible, intolérable, le gouvernement ne l’acceptera pas » a redit le ministre de l’Agriculture, venu faire « un aller-retour » pour échanger avec les manifestants sur le parvis de l’usine. « Nous irons jusqu’au bout pour que ça coûte le plus cher possible à cette entreprise », a déclaré Didier Guillaume, sous les applaudissements des manifestants. « Cette filière a un avenir. Le gouvernement est prêt à aider à une reprise d’activité. »
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