Les années passent et la question est toujours la même : quand trouvera-t-on le " remède " qui soignera le lupus ? Les années passent et la réponse reste la même : bientôt.
Ce refrain, les quelque 40 000 personnes atteintes en France le connaissent que trop. Il y a deux ans, le "lupuzor" était présenté comme le traitement révolutionnaire. La suite a été moins belle avec des objectifs loin d'être atteints. Plus récemment, on évoquait le vaccin thérapeutique. Là encore, l'espoir a pris un mauvais coup avec l'annonce du " succès partiel " de l'essai clinique réalisé par la biotech française Neovacs, visant à traiter des patients atteints d'un lupus modéré à sévère. "Ce n'est pas un échec, mais nous ne disons pas non plus que c'est un succès complet", déclarait son responsable qui annonçait poursuivre " des évaluations plus poussées."
Ce refrain, les quelque 40 000 personnes atteintes en France le connaissent que trop. Il y a deux ans, le "lupuzor" était présenté comme le traitement révolutionnaire. La suite a été moins belle avec des objectifs loin d'être atteints. Plus récemment, on évoquait le vaccin thérapeutique. Là encore, l'espoir a pris un mauvais coup avec l'annonce du " succès partiel " de l'essai clinique réalisé par la biotech française Neovacs, visant à traiter des patients atteints d'un lupus modéré à sévère. "Ce n'est pas un échec, mais nous ne disons pas non plus que c'est un succès complet", déclarait son responsable qui annonçait poursuivre " des évaluations plus poussées."
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