Un jeune Belfortain de confession musulmane et fils de policiers a déposé une plainte après avoir été agressé parce qu'il avait publié sur les réseaux sociaux des photos le montrant en train de fêter Noël. La victime, âgée de 20 ans, a débord reçu un message menaçant d'une de ses connaissances, après la publication des photos de son repas de Noël: "Sale fils de blanc, fils de serpent, fils de policiers... Je vais te montrer ce qu'est un vrai rebeu" .
Et l'auteur, qu'il connaissait de l'école et de son club de football, de le menacer lui et ses parents parce qu'il est choqué de le voir fêter Noël alors qu'il est de confession musulmane. Interloqué, le jeune homme a voulu avoir une explication avec l'auteur du message, qui l'a convié à un rendez-vous. Mais il était attendu là par cinq personnes qui s'en sont prises à lui et l'ont violemment frappé et menacé pour qu'il ne dépose pas de plainte, a-t-on indiqué de même source.
"Il est tombé dans un guet-apens", a affirmé la mère de la victime, officier de police judiciaire, pour laquelle "cette affaire ne doit pas rester sans suite. Ce sont des comportements sectaires et racistes. C'est inacceptable au XXIe siècle. Chacun est libre de fêter ce qu'il veut et comme il l'entend."
Joint par téléphone, le commissariat de Belfort se refuse à tout commentaire pour le moment.
Et l'auteur, qu'il connaissait de l'école et de son club de football, de le menacer lui et ses parents parce qu'il est choqué de le voir fêter Noël alors qu'il est de confession musulmane. Interloqué, le jeune homme a voulu avoir une explication avec l'auteur du message, qui l'a convié à un rendez-vous. Mais il était attendu là par cinq personnes qui s'en sont prises à lui et l'ont violemment frappé et menacé pour qu'il ne dépose pas de plainte, a-t-on indiqué de même source.
"Il est tombé dans un guet-apens", a affirmé la mère de la victime, officier de police judiciaire, pour laquelle "cette affaire ne doit pas rester sans suite. Ce sont des comportements sectaires et racistes. C'est inacceptable au XXIe siècle. Chacun est libre de fêter ce qu'il veut et comme il l'entend."
Joint par téléphone, le commissariat de Belfort se refuse à tout commentaire pour le moment.
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