L’entreprise familiale d’Aubagne qui produit yaourts et desserts exclusivement au lait des Alpes qu’elle collecte à Gap, entame une nouvelle phase de croissance.
Dans son bureau de Napollon au cœur du pays d’Aubagne, Jean-Jacques Tarpinian, à la tête de La Fermière, veille avec ses deux filles Laura (son bras droit) et Tina, sur la qualité et le goût des 70 préparations de la laiterie qu’il teste autant que possible "personnellement". Un rite dont il ne s’est jamais départi depuis la reprise de l’entreprise en 2002, laquelle était marseillaise depuis 1952. À alors débuté une phase de croissance, forte du succès de desserts et de yaourts obtenus à partir de ferments sélectionnés, souvent enrichis de préparations aux fruits et infusés aux arômes naturels.
Signe externe de cette quête de qualité : les gammes sont principalement proposées au public en pots de verre ou de grès. Ces derniers, un temps délaissés, revenant en cette fin d’année. Après son installation à Napollon, La Fermière a poussé les feux pour, en 2014, sécuriser qualitativement et quantitativement ses approvisionnements en lait des Alpes.
D’où l’acquisition d’un site de transformation Sodiaal-Candia installé à Gap. Une opération qui sept ans plus tard porte ses fruits. "Chaque année 21 millions de litres nous sont nécessaires et il était utile de nous attacher des producteurs locaux que nous rémunérons bien mieux pour leur travail que les géants de la filière", commente Jean-Jacques Tarpinian. Qui l’an passé, a choisi de franchir une nouvelle étape en programmant un investissement de 6 millions d’euros (M€), lui aussi à Gap. Objectif : "Désengorger la laiterie d’Aubagne ou nous investissons par ailleurs 4 M€". Une nécessité pour l’entreprise qui l’an passé a vu son chiffre d’affaires bondir de 10 % pour totaliser 45 M€ (il était de 30 M€ en 2016). Mais Jean-Jacques Tarpinian qui emploie 160 salariés dans la région, ne se contente pas de cela. Car le voici qui se partage entre France et Etat de New York où il entend reproduire le modèle de La Fermière. "Le marché des produits frais s’y développe et nous y réalisons déjà un chiffre d’affaires de 4 M€". Puis d’ajouter : "Ce challenge me revigore".
Dans son bureau de Napollon au cœur du pays d’Aubagne, Jean-Jacques Tarpinian, à la tête de La Fermière, veille avec ses deux filles Laura (son bras droit) et Tina, sur la qualité et le goût des 70 préparations de la laiterie qu’il teste autant que possible "personnellement". Un rite dont il ne s’est jamais départi depuis la reprise de l’entreprise en 2002, laquelle était marseillaise depuis 1952. À alors débuté une phase de croissance, forte du succès de desserts et de yaourts obtenus à partir de ferments sélectionnés, souvent enrichis de préparations aux fruits et infusés aux arômes naturels.
Signe externe de cette quête de qualité : les gammes sont principalement proposées au public en pots de verre ou de grès. Ces derniers, un temps délaissés, revenant en cette fin d’année. Après son installation à Napollon, La Fermière a poussé les feux pour, en 2014, sécuriser qualitativement et quantitativement ses approvisionnements en lait des Alpes.
D’où l’acquisition d’un site de transformation Sodiaal-Candia installé à Gap. Une opération qui sept ans plus tard porte ses fruits. "Chaque année 21 millions de litres nous sont nécessaires et il était utile de nous attacher des producteurs locaux que nous rémunérons bien mieux pour leur travail que les géants de la filière", commente Jean-Jacques Tarpinian. Qui l’an passé, a choisi de franchir une nouvelle étape en programmant un investissement de 6 millions d’euros (M€), lui aussi à Gap. Objectif : "Désengorger la laiterie d’Aubagne ou nous investissons par ailleurs 4 M€". Une nécessité pour l’entreprise qui l’an passé a vu son chiffre d’affaires bondir de 10 % pour totaliser 45 M€ (il était de 30 M€ en 2016). Mais Jean-Jacques Tarpinian qui emploie 160 salariés dans la région, ne se contente pas de cela. Car le voici qui se partage entre France et Etat de New York où il entend reproduire le modèle de La Fermière. "Le marché des produits frais s’y développe et nous y réalisons déjà un chiffre d’affaires de 4 M€". Puis d’ajouter : "Ce challenge me revigore".
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