Avec l’arrivée des fortes chaleurs, il semble parfois difficile de travailler dans de telles conditions.
Mais que dit la loi à propos du travail en période de canicule ?
Le Code du travail n’a prévu aucune règle spécifique pour ces situations mais l’employeur reste soumis à son obligation de protéger la santé physique et mentale de ses travailleurs en prenant toutes les mesures nécessaires.
Ainsi, le Ministère du Travail recommande :
- D’aménager les horaires de travail (arriver plus tôt et repartir plus tôt)
- De favoriser le télétravail si l’activité le permet
- D’augmenter le nombre de pauses et de limiter la cadence de travail
- D’arrêter les appareils électriques non-indispensables, qui sont sources de chaleur
L’employeur doit garantir des mesures suffisantes d’aération du lieu du travail.
L’accès à l’eau doit également être facilité.
Lorsqu’un salarié considère que l’employeur manque à ses obligations et que la situation constitue un danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé, il pourra exercer son droit de retrait après avoir informé son supérieur.
La loi ne précise toutefois pas à partir de quel moment ce danger est effectif.
L’INRS considère que des températures dépassant 30 degrés pour les activités de bureau et 28 degrés pour un travail physique constituent un risque mais cela reste à titre indicatif.
Mais que dit la loi à propos du travail en période de canicule ?
Le Code du travail n’a prévu aucune règle spécifique pour ces situations mais l’employeur reste soumis à son obligation de protéger la santé physique et mentale de ses travailleurs en prenant toutes les mesures nécessaires.
Ainsi, le Ministère du Travail recommande :
- D’aménager les horaires de travail (arriver plus tôt et repartir plus tôt)
- De favoriser le télétravail si l’activité le permet
- D’augmenter le nombre de pauses et de limiter la cadence de travail
- D’arrêter les appareils électriques non-indispensables, qui sont sources de chaleur
L’employeur doit garantir des mesures suffisantes d’aération du lieu du travail.
L’accès à l’eau doit également être facilité.
Lorsqu’un salarié considère que l’employeur manque à ses obligations et que la situation constitue un danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé, il pourra exercer son droit de retrait après avoir informé son supérieur.
La loi ne précise toutefois pas à partir de quel moment ce danger est effectif.
L’INRS considère que des températures dépassant 30 degrés pour les activités de bureau et 28 degrés pour un travail physique constituent un risque mais cela reste à titre indicatif.
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