Judoka à ses débuts, Typhaine Soldé s’est lancée dans la pratique de l’athlétisme après une amputation tibiale subie huit ans auparavant. Mais c’est surtout une rencontre avec Marie-Amélie Le Fur qui lui a permis de franchir le pas et de poursuivre dans cette voie, avec réussite.
Typhaine Soldé n’aimait pas courir et ne voulait même pas en entendre parler. Mais après une amputation tibiale subie à 11 ans, à cause d’un cancer du pied, la native du Maine-et-Loire a décidé d’aller de l’avant. Pas le genre de la jeune femme que de se laisser aller. Gardienne de handball après sa rééducation, Typhaine Soldé fait un jour, la rencontre de Marie-Amélie Le Fur, l’athlète paralympique. L’entrevue résonne comme un déclic. Le 100m, 200m et le saut en longueur sont ses spécialités. Ses performances lui permettent de goûter aux compétitions internationales dont les championnats d’Europe en Pologne en juin 2021. Pour la sauteuse, nul doute que l’avenir s’annonce radieux.
Typhaine Soldé n’aimait pas courir et ne voulait même pas en entendre parler. Mais après une amputation tibiale subie à 11 ans, à cause d’un cancer du pied, la native du Maine-et-Loire a décidé d’aller de l’avant. Pas le genre de la jeune femme que de se laisser aller. Gardienne de handball après sa rééducation, Typhaine Soldé fait un jour, la rencontre de Marie-Amélie Le Fur, l’athlète paralympique. L’entrevue résonne comme un déclic. Le 100m, 200m et le saut en longueur sont ses spécialités. Ses performances lui permettent de goûter aux compétitions internationales dont les championnats d’Europe en Pologne en juin 2021. Pour la sauteuse, nul doute que l’avenir s’annonce radieux.
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