Parmi les nombreux effets dramatiques du réchauffement climatique, il y a aussi l’altération de notre qualité du sommeil.
Or il a été montré par de multiples études qu’une mauvaise qualité du sommeil pouvait avoir de graves conséquences sur notre santé.
D’après des données récoltées entre 2015 et 2017 par des chercheurs danois et allemands, au-delà de 30°C, on perdrait en moyenne 14 minutes de sommeil par nuit, soit environ 44 heures de sommeil par an.
Plus les températures sont élevées, plus la probabilité de faire des nuits de 7 heures de sommeil est faible.
Et d’ici 2100, on pourrait perdre entre 50 et 58 heures de sommeil par an.
Cela s’explique par les difficultés à s’endormir et le réveil qui se fait plus tôt dans ces conditions.
Les personnes âgées de plus de 65 ans sont les premières victimes des nuits chaudes puisque leur organisme régule moins bien la chaleur (elles ont 2 fois plus de chance d’y voir un impact sur leur sommeil).
Les femmes sont ensuite les plus frappées par ce phénomène car leur température corporelle diminue plus tôt dans la soirée comparativement aux hommes.
Elles souffrent donc des températures environnementales trop élevées au moment de dormir.
Enfin, il existe des disparités selon les zones géographiques.
Les pays à faibles revenus sont 3,5 fois plus impactés par l’augmentation des températures puisqu’ils sont moins équipés en terme de système de ventilation ou de climatisation.
Pour rappel, la température idéale pour s’endormir est de 19°C.
Or il a été montré par de multiples études qu’une mauvaise qualité du sommeil pouvait avoir de graves conséquences sur notre santé.
D’après des données récoltées entre 2015 et 2017 par des chercheurs danois et allemands, au-delà de 30°C, on perdrait en moyenne 14 minutes de sommeil par nuit, soit environ 44 heures de sommeil par an.
Plus les températures sont élevées, plus la probabilité de faire des nuits de 7 heures de sommeil est faible.
Et d’ici 2100, on pourrait perdre entre 50 et 58 heures de sommeil par an.
Cela s’explique par les difficultés à s’endormir et le réveil qui se fait plus tôt dans ces conditions.
Les personnes âgées de plus de 65 ans sont les premières victimes des nuits chaudes puisque leur organisme régule moins bien la chaleur (elles ont 2 fois plus de chance d’y voir un impact sur leur sommeil).
Les femmes sont ensuite les plus frappées par ce phénomène car leur température corporelle diminue plus tôt dans la soirée comparativement aux hommes.
Elles souffrent donc des températures environnementales trop élevées au moment de dormir.
Enfin, il existe des disparités selon les zones géographiques.
Les pays à faibles revenus sont 3,5 fois plus impactés par l’augmentation des températures puisqu’ils sont moins équipés en terme de système de ventilation ou de climatisation.
Pour rappel, la température idéale pour s’endormir est de 19°C.
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