Retrouvez le replay de la 2e étape du Tour des Alpes du 18/04/2023.
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00:00 A l'équipe pour aller chercher le londonien Théo Gaganart aujourd'hui sur cette deuxième
00:13 étape du Tour des Alpes.
00:14 Il y a eu un récital de l'équipe Ineos hier.
00:17 Aujourd'hui on attend des équipes qui vont tenter de les déjouer.
00:20 On en a jusqu'à vendredi pour le Tour des Alpes.
00:22 Et regardez la carte filfoile pour que Patrick vous la présente cette deuxième étape.
00:27 Merci beaucoup Claire.
00:28 Alors effectivement cette deuxième étape va offrir un dénivelé de 2860 mètres.
00:35 C'est plus qu'hier et pourtant Cédric Pinault m'a dit tout à l'heure c'est plus mais c'est
00:40 plus facile.
00:41 C'est plus de dénivelé qu'hier mais c'est pourtant plus facile.
00:43 Alors ça paraît pas évident comme ça mais quand vous aurez ces explications ça vous
00:46 paraîtra beaucoup plus simple.
00:47 Avant de lui passer la parole, regardez quand même le final.
00:50 Le final, l'enchaînement de ces troisième et deuxième catégories qu'on va vous proposer
00:53 de vivre en direction de Ritten.
00:56 Donc à l'arrivée de cette étape on est dans le nord de l'Italie.
01:00 On parle allemand là-bas.
01:01 Ritten ou Rennon si l'on parle en italien.
01:04 Voilà donc en ce qui concerne cette étape.
01:07 Les deux côtes, juste pour vous donner les indications, 4,5 km à 8% de pente moyenne
01:14 et la deuxième 3,9 km donc près de 4 km à 8,5%.
01:18 C'est vous dire si c'est court mais c'est quand même intense.
01:21 Et au sommet de la deuxième ça redescend et on va chercher la ligne d'arrivée un tout
01:25 petit peu plus loin.
01:26 Pourquoi finalement tant de dénivelé, enfin tant de dénivelé, faut pas exagérer, c'est
01:30 pas non plus des dénivelé d'aimant de 1.860 m aujourd'hui.
01:34 Pourquoi ça serait plus facile qu'hier où il y en avait 2.470 ?
01:38 Bonne chance.
01:39 L'étape est plus longue.
01:40 Voilà.
01:41 Et ben voilà, en une phrase, l'étape est plus longue finalement.
01:44 Et surtout hier on se souvient qu'elles étaient toutes réparties sur la fin de l'étape.
01:48 L'étape est plus longue, on a pratiquement 40 km de plus qu'hier.
01:53 Et on a pratiquement le même dénivelé.
01:56 C'est pour ça que je dis dans mes propos que l'étape est peut-être plus facile dans
02:03 sa globalité même si le final est très condensé avec ses difficultés dans le dernier tiers
02:11 où ça va être vraiment difficile avec le pourcentage que vous avez évoqué Patrick.
02:14 Voilà, là la course est au pied.
02:21 Alors là on est en train de voir effectivement la situation de la course et vous voyez effectivement
02:26 on a monté le point culminant mais qui n'était pas répertorié, le Brenner Pass.
02:31 Pourquoi ? Parce que la pente n'est pas difficile.
02:32 Alors on monte en altitude, on est monté jusqu'à 1388 m d'altitude mais en réalité
02:40 les difficultés elles sont là encore aujourd'hui, surtout sur la fin de course, non pas en
02:46 termes de dénivelé là non plus mais parce que les pentes seront plus difficiles sur
02:49 les côtes de cette fin de parcours.
02:51 A noter qu'on va bientôt arriver au pied d'une nouvelle difficulté qui n'est pas répertoriée
02:57 avec le tournoi mais qui va se présenter dans quelques instants.
03:02 Je pense qu'ils y sont Patrick.
03:03 Où des coureurs ?
03:04 Ils y sont, les coureurs que vous avez ici à l'image Simon Kerr et Samy Thier qui étaient
03:09 échappés hier.
03:10 Deux hommes qui étaient dans une échappée initiale de cinq coureurs.
03:15 On avait en leur compagnie également Thiomin Roaristi de l'équipe Euskaltel, Sébastien
03:22 Schönberger de la sélection autrichienne et son coéquipier Moran Vermeulen.
03:29 Et finalement, tous ceux-là n'ont pas pu suivre le rythme imposé par Sergio Samy Thier
03:35 et Simon Kerr.
03:36 On a trois minutes d'avance pour ces deux coureurs à un peu plus de 30 km de l'arrivée.
03:41 On a roulé vite aujourd'hui.
03:42 On est plutôt sur des horaires assez rapides.
03:45 Vous avez vu, il reste moins d'une heure de course.
03:47 Donc ça a roulé vite depuis le début.
03:50 Et là, on a les deux plus forts sincèrement de l'échappée.
03:53 Ceux qui font partie des équipes pour le Tour en plus tout simplement.
03:57 Simon Kerr, le britannique qui parle aussi français je crois.
04:02 Oui, parce qu'il a couru en France.
04:05 Il a été formé en France.
04:06 Et puis Samy Thier qui était déjà échappé hier, qui a remis le couvert aujourd'hui.
04:10 Et on l'a vu hier déjà, il était bien enjambé.
04:13 Samy Thier hier, c'était lui la locomotive de l'échappée.
04:18 Après, ces deux coureurs ne sont pas forcément dangereux au classement général pour la
04:23 formation INEOS.
04:24 Simon Kerr, le mieux placé de ces deux coureurs, est à 2 minutes 27 au classement général.
04:28 Donc il n'y a pas de danger pour perdre le maillot pour la formation INEOS.
04:34 Il n'y a pas de risque de perdre ce maillot aujourd'hui avec l'écart qui est de 3 minutes
04:41 pour l'instant.
04:42 On gère bien pour la formation INEOS.
04:44 Alors les maillots distinctifs, vous les voyez ici.
04:47 Le maillot vert, c'est le maillot de leader de la course.
04:51 Il est porté par Tao Gaggenhart.
04:53 Tao Gaggenhart, serein dans la roue de ses équipiers.
04:58 Enfin, je dis serein, en voyant son visage, il n'a pas l'air si serein.
05:01 Mais bon, c'est plus une attitude naturelle.
05:04 Il ne faut pas forcément s'en émouvoir.
05:09 Ou alors il est timide, il n'aime pas quand la caméra vient comme ça le saisir en gros
05:15 plan, comme c'est le cas actuellement.
05:17 Il va rester donc avec ses équipiers qui règlent le tempo à la poursuite des échappés.
05:24 Est-ce qu'on a une petite chance devant avec 3 minutes d'avance à 33 km de l'arrivée?
05:29 La chance qu'ont ces coureurs, c'est qu'ils ne sont pas dangereux, comme je le disais
05:33 au général.
05:34 Donc 2 minutes 24 de retard pour Simon Kerr, 14 minutes de retard pour Samitier.
05:39 C'est la seule chance.
05:40 On sait qu'il y a des bonifications à l'arrivée.
05:43 Donc pour éviter peut-être de prendre des bonifications pour les adversaires d'Ineos,
05:47 on pourrait se dire qu'on pourrait laisser la victoire à l'un de ces deux coureurs.
05:52 Mais il y a certainement d'autres formations qui n'ont pas envie de laisser la victoire
05:56 leur échapper.
05:57 Donc peut-être qu'il y a d'autres formations qui vont aller travailler dans le final.
06:00 Mais là, c'est encore peut-être un peu tôt pour savoir réellement si ces deux coureurs
06:06 ont la possibilité de se jouer la victoire.
06:10 Oui, c'est encore peut-être un petit peu tôt.
06:12 Mais en tout cas, franchement, ils ont quand même une chance.
06:15 En tout cas, ce sont des bons grimpeurs.
06:17 Ce sont des coureurs qui savent rouler en échappé, qui savent gérer leur effort.
06:21 Effectivement, comme tu l'as dit, je pense que l'équipe Ineos n'a aucun intérêt
06:26 à aller les chercher, à se mettre en difficulté, à offrir l'opportunité à un de leurs adversaires
06:31 d'aller chercher des modifications à l'arrivée.
06:33 Donc je ne pense pas que c'est eux qui vont faire en sorte de rentrer sur l'échappé.
06:38 Par contre, il y a d'autres équipes qui vont tenter quelque chose.
06:40 On n'est que sur la deuxième étape.
06:42 Je pense qu'on est loin d'avoir abdiqué pour les adversaires Ineos.
06:45 Oui, d'autant qu'on a déjà, après l'étape d'hier, constaté en regardant le classement
06:49 général qu'on va peut-être pouvoir retrouver à l'image dans quelques instants.
06:54 On a pu se rendre compte que finalement, il y avait très peu d'équipes après la première
07:00 étape qui restaient concernées par la victoire ou même les places sur le podium.
07:05 Déjà des écarts hier.
07:07 Alors très peu d'équipes, il ne faut pas exagérer, mais on a 19 équipes qui sont engagées
07:11 dans la compétition.
07:12 On va se dire, regardez les maillots, c'est simple.
07:15 Vous avez fait l'X-Gal pour l'équipe AG2R Citroën.
07:18 On rappelle que c'est cette équipe française que l'on suit cette semaine sur le Tour des
07:23 Alpes.
07:24 L'équipe Ineos Grenadiers possède deux hommes avec Tao Gegenhardt et avec Pavel Sivakov
07:30 dans les six premiers.
07:31 L'équipe Bahreïn possède deux hommes également avec Santiago Buitrago et Jack Haig, respectivement
07:36 en 9ème et 10ème.
07:37 L'équipe Bora possède deux hommes enfin avec Alexander Vlasov et Léonard Kemna, qui
07:43 se tiennent à 16 et 20 secondes du leader de la course.
07:47 Qu'est-ce qui reste ? L'individualité de Félix Gall et puis également Yvann Sosa
07:51 pour l'équipe Movistar.
07:52 Mais une fois que l'on a dit ça...
07:55 Même l'équipe IF, ce que j'allais préciser, Yvann Yucs-Carty qui est 3ème au général
08:00 mais il y a aussi Sépeda qui est 11ème, qui ne s'affichait pas sur le tableau là, qui
08:03 est 11ème à 28 secondes.
08:04 Et on a quand même eu six équipes qui sont concernées par le classement général.
08:10 Donc 6 sur 19, c'est vous dire, c'était surtout pour répondre à la remarque de Cédric
08:16 Pinault, c'est vous dire si effectivement il reste quand même d'autres choses à faire
08:21 sur cette course pour ces équipes qui ne jouent pas le classement général et notamment
08:24 les victoires d'étape.
08:25 - Exactement, les victoires d'étape.
08:26 Donc on va commencer par aujourd'hui.
08:28 Mais ces deux formations qu'on a d'échapper à l'avance, ce sont deux formations qui sont
08:32 quand même concernées par le classement général aussi.
08:33 Alors que là on a le coureur...
08:35 - Borat Vermeulen.
08:36 - Vermeulen, qui a peut-être un maillot distinctif sur les épaules.
08:40 - Oui, il a le maillot du classement par points.
08:42 Alors le classement par points ne prend pas les...
08:43 C'est vraiment un maillot des sprints.
08:45 - D'accord.
08:46 - C'est pas un maillot réellement du classement par points au sens où on l'entend avec les
08:50 arrivées qui rapportent des points.
08:52 Là, il me semble, je n'ai pas vérifié mais je crois, d'ailleurs ce ne serait pas le
08:56 cas si...
08:57 Dans ce cas, ce ne serait pas Moran qui porterait ce maillot.
08:59 - Normalement non, ça doit être le deuxième de l'étape d'hier.
09:01 - Le deuxième de l'étape d'hier.
09:02 - Petr Hizgal.
09:03 - Donc Moran a fait les sprints intermédiaires en cours d'étape.
09:07 C'est la raison pour laquelle il porte ce maillot sur les épaules.
09:11 C'est un coureur autrichien, Moran Vermeulen.
09:13 Même s'il a un nom plutôt à consonance flamande.
09:17 Il appartient à cette sélection de l'équipe d'Autriche au sein de laquelle on avait également
09:23 Sébastien Schönberger qui lui était échappé à l'origine en compagnie de...
09:29 Ah non ? Oui, c'est bien lui qu'on voit ici.
09:34 Il avait été distancé, il est revenu.
09:35 - Il est revenu ?
09:36 - Ils sont donc à nouveau trois.
09:38 - Je n'ai pas compris là.
09:39 - Oui, c'est compliqué.
09:40 Sébastien Schönberger ici donc en compagnie de Sergio Samitier pour l'équipe Movistar.
09:45 Il porte ce maillot bleu alors qu'en tête c'est...
09:47 Je vais le dire à la française, c'est plus simple.
09:49 Simon Carr.
09:50 Je suis pas sûr qu'en anglais on dit "scare", on dit "car" également.
09:54 Donc Simon Carr ou Simon Carr comme vous voulez qui roule actuellement en tête de cet échappé.
10:01 Allez, pour l'instant donc on va laisser ces trois hommes.
10:10 On a vu l'écart, 2 minutes 40 à peu près d'avance sur le peloton.
10:14 Mais attention, on va arriver bientôt dans un secteur difficile.
10:18 Je vous propose de tourner une page de publicité afin de ne rien rater.
10:20 De retour sur le Tour des Alpes pour cette deuxième étape qui est également de retour
10:30 en Italie, enfin qui entre en Italie parce qu'elle n'en est pas sortie.
10:34 Le départ a été donné hier du Tirol autrichien.
10:37 Et on le sait maintenant, ce Tour des Alpes depuis 2016 qui a changé de dénomination.
10:44 Avant on appelait cette épreuve le Tour du Trentin.
10:47 Du nom de la région du Trentin-Haute-Adige, il est devenu le Tour des Alpes et a pris
10:52 l'habitude de passer de part et d'autre de la frontière italo-autrichienne.
10:58 Donc là on est repassé, on repasse en Italie et on y restera d'ailleurs jusqu'à la fin
11:06 de cette étape.
11:08 A noter quand même que c'est depuis 2017 et pas 2016 d'ailleurs que la dénomination
11:14 a changé et que l'on fait effectivement ce passage systématique.
11:18 On a trois coureurs qui sont dans cet échappé, qui essayent de creuser l'écart parce qu'ils
11:23 ont perdu un petit peu de terrain dans l'ascension précédente et donc ils essaient de récupérer.
11:31 C'est pas dans l'ascension qu'ils ont perdu du temps d'ailleurs, c'était sur une portion
11:34 déjà descendante mais qui était plus roulante où il fallait emmener du braquet alors que
11:38 là on est vraiment dans le bas de cette très longue descente du Passo del Brennero si vous
11:47 préférez et on va aller chercher la difficulté qui n'est pas répertoriée au classement.
11:54 Ils l'ont déjà montée Patrick.
11:55 Elle était franchie celle-là ?
11:56 Oui c'est celle-là qui a été franchie.
11:58 On le voit sur le graphique, on a monté cette bosse qui n'était pas répertoriée sur
12:06 la belle route là où on a perdu des hommes dans l'échappé, où on a vu le retour de
12:10 Schoenberger notamment.
12:11 Donc là on est en bas de la descente, on va avoir vraiment quelques kilomètres de
12:15 vallée mais ça va aller très vite pour aller se rendre au pied de la difficulté.
12:20 Entre le bas de cette descente et le pied de la difficulté on a seulement moins de
12:26 10 kilomètres, donc ça va aller très vite.
12:32 Après l'enchaînement des deux montées là ça fait à peu près 8,5 km avec des
12:35 gros pourcentages, on est autour de 8, 8,5 km.
12:39 Même s'il y a un petit replat au milieu, le cumul des deux ascensions fait quand même
12:45 presque un petit col.
12:46 Il faut en profiter de ces kilomètres de descente parce que ça veut dire qu'on va
12:49 avoir plus de kilomètres d'ascension sur ces 25 derniers kilomètres que de kilomètres
12:54 de descente ou de plat.
12:55 Il n'y en aura pas de toute façon, on enlève le plat sauf à l'arrivée peut-être.
12:59 Mais sur le circuit final dont nous a parlé Charles-Antoine Nora tout à l'heure, sur
13:04 cette piste qui servira de théâtre pour l'arrivée de cette deuxième étape.
13:08 Mais hormis cette piste, soit ça monte, soit ça descend et le plus souvent ça montera.
13:15 En tout cas il faut y croire pour ces trois coureurs de 40-25 km.
13:22 On sent que de toute façon, c'est là où ils vont perdre presque le moins de temps
13:27 sur cette portion-là avant d'aborder l'ascension.
13:29 Parce que dans la montée, ils vont perdre quand même pas mal de temps.
13:32 Donc là il faut limiter la perte de temps sur cette portion.
13:36 On sait que ça va être difficile après.
13:39 On va vite voir surtout si d'autres formations veulent revenir sur ces trois hommes de tête.
13:50 Parce que comme on l'a dit tout à l'heure, Ineos n'a pas forcément envie de revenir
13:59 sur ces trois hommes pour jouer la victoire, pour donner des chances aux adversaires de
14:04 prendre des bonifications.
14:05 On aperçut Sergio Samitier qui allait se remettre à l'arrière de ce groupe.
14:14 Mais on ne voit pas qu'il roule.
14:16 Si c'est toujours la seule équipe Ineos, là je vous avouerais quand même que c'est
14:19 filmé.
14:20 Alors c'est sympa.
14:21 Effectivement, on filme cette vallée très viticole dans le 31 à Autadige.
14:27 Mais on n'a pas en tout cas pour l'instant une vision claire de ce peloton, en tout cas
14:34 de la tête de ce peloton pour savoir qui fait l'effort pour éventuellement réduire
14:38 l'écart.
14:39 Tout à l'heure, c'était la seule équipe Ineos qui roulait.
14:41 Mais là apparemment, la réalisation italienne n'a pas de caméra à l'arrière, à la
14:48 hauteur du peloton pour nous montrer ça plus en détail.
14:51 Simon Carr qui roule actuellement en tête un coureur âgé de 24 ans.
14:59 Vous disiez qu'il avait été formé en France.
15:01 Effectivement, il était formé à l'AVC Aix en Provence.
15:05 Il est né en Angleterre en réalité, mais il a été élevé en Occitanie.
15:10 Aix en Provence n'est pas en Occitanie, je tiens à vous le dire quand même au passage.
15:15 Quand je parlais de formation, il serait plus correct de dire chez Occitanie Cyclisme Formation
15:21 puisqu'il y était en 2017-2018.
15:25 Il a passé là-bas d'ailleurs son bac dans l'académie de Montpellier.
15:30 Ensuite, c'est en accompagnant son père sur les routes de l'autre qu'il a finalement
15:35 fini par aimer le vélo et en faire son sport de prédilection.
15:40 Il a débuté à l'âge de 15 ans.
15:43 Pour vous donner une petite idée de la vitesse à laquelle les coureurs sont depuis ce matin,
15:53 on est pratiquement 25 voire 30 minutes d'avance sur le meilleur horaire.
15:56 Ça ne lui donne pas une idée de la vitesse, mais vous allez pouvoir nous en dire un peu
15:59 plus.
16:00 Le meilleur horaire est calculé à 40 km/h.
16:01 On est à plus de 45.
16:02 On a eu des nivellés qui n'étaient pas très difficiles sur la première partie.
16:08 Il devait y avoir un vent favorable.
16:09 On va en direction du sud.
16:11 On a certainement un bon vent du nord qui a poussé bien les coureurs dans le dos des
16:16 coureurs.
16:17 C'est pour ça qu'on a une belle moyenne aujourd'hui.
16:18 On finira en avance.
16:22 On aura le temps de débriefer avec Fabricogne dans les grandes largeurs de cette étape.
16:26 Après, les difficultés étant concentrées sur le final, c'est vrai qu'on ne peut pas
16:30 dire.
16:31 On aurait eu les images plus tôt, vous les aurez montrées, c'est évident.
16:35 Mais vous le savez bien, en tout cas les téléspectateurs qui suivent le vélo, il y a un horaire où
16:41 on prend ces courses-là.
16:42 On ne les prend jamais dès le départ.
16:43 Il y a un horaire fixe qui est donné pour suivre une retransmission.
16:47 Et quelle que soit la vitesse des coureurs, finalement, cet horaire n'est pas modifié
16:51 le plus souvent.
16:52 En tout cas, ce n'est pas le cas aujourd'hui.
16:54 - Voilà une image de la tête de peloton Patrick.
16:56 - Oui, avec toujours l'équipe Ideos.
16:58 Alors est-ce que d'autres formations viennent les aider ? Et Olokométa, qui est aux côtés
17:04 de l'équipe Ideos, va peut-être mettre un homme pour rouler ?
17:07 - J'ai l'impression, oui.
17:08 - Oui, j'ai l'impression.
17:09 Je pensais que c'était à la base juste pour être bien placé devant, mais oui, j'ai l'impression.
17:14 - Ils se relèvent, non ? Qu'est-ce qu'ils font ? Ils ne savent pas ce qu'ils doivent
17:17 faire, là, j'ai l'impression.
17:18 - Les deux hommes, non ? On va se placer parce que dans moins de 3 km pour les hommes de
17:22 tête, on arrive au pied de la prochaine difficulté.
17:24 On sera au pied de cette difficulté à 18 km de l'arrivée.
17:27 - Allez, on va faire tout de suite cette page de publicité qui nous encombre un petit peu.
17:37 3 minutes de pub seulement et ce sera la dernière page de publicité sur cette retransmission.
17:43 A tout de suite.
17:44 Trois hommes en tête dans cette deuxième étape du Tour des Alpes avec une arrivée
17:54 prévue à Rennon, en Italie, puisque nous sommes partis d'Autriche, de Reit im Alpe
18:01 Bartal.
18:02 C'était en fin de matinée.
18:04 Les trois coureurs qui sont actuellement à l'image sont échappés depuis pratiquement
18:09 le départ.
18:10 Et vous voyez, nous sommes dans l'ascension de Barbiano alors que l'un d'entre eux se
18:14 fait à nouveau lâcher.
18:15 - Schönberger, oui.
18:16 - Schönberger avait déjà été distancé auparavant.
18:18 C'est la deuxième fois, il fait un peu l'élastique.
18:21 - C'est normal, c'est le moins fort de ces trois coureurs.
18:23 Il se fait distancer, on est au pied de l'avant-dernière difficulté.
18:25 8% pendant 4,5 km, donc difficile.
18:29 On a vu tout de suite Simon Carr mettre un gros tempo.
18:32 On a vu Samitier qui faisait la grimace dans la roue.
18:35 Je pense qu'il ne va pas tarder à lâcher l'Espagnol.
18:38 Parce que 2 minutes, 17 km de l'arrivée, alors qu'en tête de peloton, ça frotte.
18:43 Il y a d'autres formations qui viennent.
18:44 On veut se placer.
18:45 On a vu, on passe, vous allez voir, ils vont tourner sur la droite.
18:48 On prend un petit tunnel pour aller chercher le pied de la difficulté.
18:51 C'est étroit, mais sans l'être.
18:52 Alors là, il m'a fait mentir Simon Carr.
18:55 C'est lui qui est en train de se faire distancer par Samitier.
18:57 - Oui, c'est Sertchur Samitier qui est déchaîné.
18:59 Mais on rappelle, si vous n'étiez pas en notre compagnie,
19:02 hier, Sertchur Samitier était déjà dans l'échappée.
19:04 Échappée qui avait été finalement reprise.
19:06 Allez, on va tourner à droite en ce qui concerne le peloton
19:08 pour aller chercher cette ascension de 3ème catégorie.
19:12 Cette ascension de Barbiano.
19:14 4,5 km à 8%.
19:17 Ce n'est pas simple quand même.
19:18 Enfin, ce n'est pas simple.
19:19 C'est un beau pétard.
19:21 Et ça se voit tout de suite dès le pied de cette montée.
19:25 Alors, en tête, on a vu les coureurs de l'équipe Ineos.
19:27 C'est agaçant quand même.
19:28 À chaque fois qu'on veut voir qui roule vraiment en tête,
19:31 on repasse sur une vue aérienne.
19:32 Alors, on est content de découvrir le lac d'Ilm.
19:35 C'est un lac, ça ?
19:36 Ben écoutez, oui, c'est une retenue d'eau avec un barrage hydroélectrique.
19:39 Mais on aimerait bien surtout retrouver les coureurs
19:43 puisqu'on ne nous les montre pas.
19:44 J'en profite pour vous dire qu'on aura l'occasion de débriefer
19:47 en compagnie de Claire Bréconne juste après,
19:48 avec à distance un invité exceptionnel.
19:51 C'est Guillaume Martin que l'on appellera après le week-end
19:55 qu'il a vécu dans l'Est de la France.
19:58 Et nos téléspectateurs en ont été témoins,
20:00 s'ils étaient devant leur poste de télévision
20:03 au cours des épreuves de vendredi et samedi,
20:07 la classique Grand Besançon et le Tour du Jura.
20:09 On débriefera avec Guillaume Martin en fonction aussi de ses prochains objectifs.
20:13 Ce sera juste après l'arrivée de cette deuxième étape du Tour des Alpes.
20:19 On perd du temps.
20:20 Là, dans l'échappée, on a perdu pratiquement 20 voire 30 secondes d'un coup.
20:24 Dès qu'on est arrivé au pied de la difficulté,
20:28 on garde un même tempo pour la formation une hausse,
20:31 alors que j'ai l'impression qu'on s'attaque plus à l'avant.
20:33 On joue un petit peu au chat et à la souris entre les deux coureurs.
20:36 Ici, en tête, j'ai l'impression qu'on accélère, on ralentit.
20:39 On a l'impression qu'il veut se...
20:40 On n'a pas envie de rouler ensemble.
20:41 Ouais, ils ne s'entendent pas.
20:42 C'est étonnant parce qu'ils ont quand même une belle carte à jouer.
20:46 Même si on l'a dit, ça va pratiquement monter pendant 16 kilomètres
20:49 parce qu'il n'y a plus de plat,
20:51 il y a une petite descente au sommet de ça, mais qui va vraiment...
20:55 Il n'y a plus de vraie descente non plus.
20:56 Ouais, c'est très court.
20:57 On va moins de 3 kilomètres de descente avant d'aller chercher la dernière difficulté.
21:01 Donc, ça va vite s'enchaîner.
21:03 Et l'écart descend aussi rapidement, malheureusement.
21:20 C'est toujours l'équipe Ineos qui roule.
21:23 Personne n'a pris le relais pour l'instant.
21:25 Mais ça n'empêche pas l'écart de diminuer, finalement.
21:28 Tout à l'heure, on se posait la question,
21:30 est-ce qu'on va chercher à revenir sur les échappés ou pas ?
21:36 Les deux coureurs devant n'étant pas dangereux au classement général,
21:39 on peut se permettre de lever un peu le pied.
21:42 Maintenant, attention, les écarts aussi en faveur.
21:45 Ah, alors, devant...
21:47 Ca a rattaqué.
21:48 Ca a rattaqué.
21:49 Il a capitulé, je pense, Samitier, ce coup-ci.
21:52 Simon Carr...
21:54 Moi, ce qu'on peut dire, c'est qu'on ne s'entend pas vraiment.
21:55 Devant, un coup l'un, un coup l'autre.
21:57 On est quand même encore à 16 kilomètres de l'arrivée.
22:00 On va revoir l'accélération, je pense.
22:02 Voilà, on va revoir effectivement le démarrage de Simon Carr.
22:06 C'est une vraie attaque.
22:08 Ce n'est pas un relais appuyé, c'est vraiment une bonne sacoche.
22:10 Et Samitier qui paye un petit peu.
22:15 Ca débauche d'efforts.
22:16 Rappelons qu'après deux échappées hier et aujourd'hui, il est forcément quand même entamé.
22:22 Et bien voilà, Simon Carr, c'est parti pour l'équipe IF qui possède un homme placé au classement général
22:33 et un homme aujourd'hui dans l'échappée à l'avant de la course.
22:38 Il est sous le grand plateau, Simon Carr.
22:41 Il a de la force.
22:46 Et en tête de peloton, c'est Timen Aretzman qui est en train de rouler.
22:51 Le jeune coureur néerlandais.
22:56 Il est néerlandais, oui, néerlandais de cette formation.
22:59 Hier, il n'avait pas pu travailler pour l'équipe INEOS.
23:02 Hier, il n'avait pas pu travailler.
23:09 Il était clairement...
23:11 Hier, il était en deux seins de ce qu'on attendait au sein du collectif INEOS.
23:15 Il n'avait pas pu prendre le relais.
23:17 Il s'est écarté bien avant.
23:19 Est-ce que vous pensez qu'on a demandé à Simon Carr de partir dans l'échappée aujourd'hui
23:24 pour uniquement le gain de l'étape ou est-ce qu'il a un rôle à jouer aux côtés de Yuc
23:28 Carty, troisième du classement général au départ de cette deuxième étape, son leader
23:33 sur cette épreuve ?
23:34 Alors, au vu de ce qu'on voit là, non, il est parti pour lui.
23:37 Clairement, il est parti pour lui jouer sa carte parce que là, s'il avait vraiment voulu
23:43 servir de point d'appui à un moment donné, je pense qu'il serait resté peut-être à
23:49 la hauteur de sa mitié.
23:50 Il n'y a aucune raison de s'isoler à l'avant.
23:52 Il n'y a aucune raison de se fâcher avec sa mitié comme il l'a fait.
23:55 Non, là, il est clairement en train de jouer sa carte personnelle.
23:57 Et puis, l'écart est grand.
24:00 Il y a encore une minute trente.
24:01 Donc, si derrière, Yuc Carty veut sortir, boucher une minute trente, il faut quand même
24:06 le faire.
24:07 Non, clairement, voilà, il va peut-être s'amener de point d'appui à un moment donné
24:11 si on le rattrape et si on revient sur lui.
24:13 Mais ce n'est pas pour ça qu'on l'a envoyé à l'avant.
24:16 Il était virtual leader tout à l'heure.
24:18 Maintenant, il ne l'est plus.
24:19 On vous l'a dit, il y a deux vingt-sept de retard au classement général.
24:23 Donc, ce n'est pas non plus le classement général qu'il visait pour sa part.
24:29 Et il y a de toute façon dans son équipe un coureur déjà fort bien placé dans les
24:34 premières positions après l'étape d'hier.
24:36 Et on voit des coureurs en difficulté à l'arrière de ce peloton sous la pulsion des
24:42 hommes de la formation INEOS.
24:44 Au plan sur l'homme de tête, Simon Carr.
24:50 Vous le saviez, Simon Carr, qu'il avait fait du karting dans sa jeunesse ?
24:55 Son nom ne vient pas de là, évidemment.
24:59 Mais Simon Carr, champion de France de karting, Subaru Kid 2009 et 2010.
25:06 Champion de France.
25:07 Il n'est pas français.
25:08 Il peut être champion de France de karting.
25:09 Il a peut-être la double stationnalité.
25:11 Il a peut-être la double stationnalité.
25:12 Je crois qu'il a la double stationnalité.
25:14 J'en aurais appris entre Gégé Lard qui a traversé la manche à la nage à 15 ans
25:18 ou 13 ans.
25:19 Et Simon Carr qui est champion de France de karting.
25:22 Il est également recordman KD de l'ascension du Pic de Nord.
25:26 Mais là, ce n'est pas en karting, c'est bien en vélo.
25:28 Le Pic de Nord, une montée qui fait 17,5 km.
25:36 Il l'avait montée en 47 minutes 55.
25:40 Sur 17,5 km.
25:41 Il faudra voir évidemment la pente.
25:43 Le Pic de Nord, on le connaissait.
25:44 C'est une montée qu'on a faite sur le Tour de France récemment.
25:46 Et on la faisait aussi lors du Criterium international de la route, il y a quelques années.
25:55 On n'a pas connu ça, Christophe.
25:57 Non, le Critérium international, c'était soit dans les Ardennes, soit en Corse pour
26:02 les dernières années.
26:03 Avant les Ardennes, c'était aux abords du Pic de Nord.
26:09 Je crois que c'est dans le Languedoc.
26:12 Mais alors le département, l'Aude ?
26:15 Oui, c'est possible ça.
26:18 C'est en région Occitanie, on va dire Patrick.
26:21 Ce n'est pas très loin de Mazamé, la patrie de Laurent Jalapère.
26:24 Et on voit l'équipe Agitdéder Citroën, avec notamment Aurélien Paré-Pinte.
26:30 C'est lui qui est juste au milieu de la roue de Gégénard.
26:33 Il y a Félix Gall qui est en deuxième position dans ce collectif Agitdéder Citroën.
26:38 On a perdu beaucoup de temps dans un premier temps pour Simon Kerr.
26:42 Il résiste bien.
26:43 Il perd un peu de temps, mais dans des proportions beaucoup moins importantes que tout à l'heure.
26:46 Il résiste bien, il fait un bel effort parce que dans le peloton, on a vu qu'il y avait
26:50 quand même un écrémage, même s'il reste encore du monde.
26:53 Et puis pour l'instant, l'équipe Ineos fait rouler à Rensman, mais on le voit pas non
26:58 plus à haute intensité.
27:00 Je pense que l'objectif pour Ineos, c'est une équipe qui sait très bien gérer les
27:04 échappées, qui sait très bien filtrer aussi les coureurs qui peuvent aller dans l'échappée.
27:09 Je pense clairement qu'on n'est pas du tout dans la perspective d'aller chercher Simon Kerr.
27:14 On veut juste le maintenir à une distance raisonnable pour tout simplement qu'il ne
27:21 puisse pas prendre le classement général.
27:22 Ce sera à mon avis d'autres équipements qui vont devoir faire la jonction si on veut
27:26 aller chercher Simon Kerr.
27:27 Ce n'est pas l'équipe Ineos qui va le faire.
27:30 Concentré sur son effort, Simon Kerr.
27:34 Moins d'un kilomètre du sommet.
27:36 Oui, mais comme vous, il sait que ce n'est qu'un sommet relatif.
27:41 Avec une courte descente avant d'attaquer ensuite une montée encore plus difficile
27:46 que celle que les coureurs sont en train d'escalader.
27:49 Le Monte di Mezzo.
27:55 Après, la question qu'on peut se poser en regardant l'effort collectif de la formation
28:04 Ineos, est-ce qu'il y a, enfin c'est surtout Arendtman qui fait le boulot, mais non, c'est
28:08 plus lui maintenant.
28:09 C'est toujours Arendtman.
28:10 Est-ce que d'autres équipes pourraient se hisser à ce niveau et aider actuellement
28:17 l'équipe Ineos, tant la supériorité de cette formation semble évidente sur les
28:23 pentes en tout cas ? Déjà, collectivement, c'est l'équipe la
28:25 mieux représentée dans ce qui reste du peloton.
28:27 On a encore cinq coureurs pour la formation Ineos.
28:29 Je ne pense pas qu'il y ait encore beaucoup de formations qui soient aussi nombreuses.
28:32 Déjà, ça va être compliqué.
28:34 Je fais juste une parenthèse, c'est pas bon.
28:36 Il fait croiser la chaîne.
28:37 Vous avez vu le derrière, comment il est tendu ? Les mécaniciens, ils n'aiment pas
28:40 trop.
28:41 Même le vélo, ce n'est pas tout.
28:42 Croiser la chaîne, c'est-à-dire qu'il est resté grand plateau.
28:46 Et il a mis toute à gauche sur les pignons.
28:49 L'alignement de chaîne n'est pas bon du tout.
28:51 À part T-Faith, on a la formation Bahrein qui a quatre coureurs pour la Bahrein Victorious.
28:58 Peut-être d'autres formations vont venir travailler parce que là, l'écart, on voit
29:03 qu'il se stabilise bien.
29:04 Attention, il peut aller chercher la victoire, même s'il reste cette dernière difficulté
29:09 qui est difficile.
29:10 Ça va être dur.
29:11 Ça ne va se jouer à pas grand-chose, je pense sincèrement.
29:14 Je reviens à ce que vous disiez, ne croise pas la chaîne.
29:17 Pourquoi il fait ça ? Pourquoi il pourrait descendre le plateau et mettre un pignon plus
29:21 petit ? Pourquoi il choisit finalement de rester sur le grand plateau ? Quelle raison
29:24 on peut donner à ça ?
29:25 J'adore vos questions.
29:26 Non, mais en fait, c'est logique.
29:27 Je pense que certains des spectateurs se la posent.
29:28 C'est même une question de sensation.
29:29 Honnêtement, on préfère garder le grand plateau.
29:30 Honnêtement, je n'ai pas la réponse physiologique ou mécanique.
29:31 Je ne sais pas exactement pourquoi.
29:32 Mais en tout cas, je sais que je préférais garder le grand plateau et croiser la chaîne
29:49 plutôt que de descendre sur le petit plateau et à l'arrière devoir descendre 3, 4 ou
29:53 5 dents.
29:54 Alors que oui, mécaniquement, l'alignement de chaîne fait qu'on a un meilleur rendement.
29:58 Malgré tout, c'est vrai que je comprends tout à fait ce qu'il est en train de faire
30:02 actuellement parce qu'on le voit de plus en plus souvent.
30:05 Moi aussi, je le vivais comme ça.
30:09 C'est-à-dire que tant que le grand plateau passait, j'avais le sentiment que j'étais
30:13 plus efficace.
30:14 Le dérailleur est plus tendu, donc ça tire plus sur la chaîne.
30:16 Le rendement est moins.
30:17 Exactement.
30:18 La chaîne est complètement croisée.
30:19 Si on se met derrière le coureur, c'est difficile de voir.
30:23 En plus, là, il arrive sur des petits pavés qui vont bien secouer un peu le dérailleur.
30:28 On peut casser le matériel en faisant ça.
30:30 On a plus de chances de casser du matériel.
30:33 Il arrive au sommet de cette première difficulté dans l'enchaînement des deux parce que la
30:39 transition va être très brève.
30:40 On aperçoit la banderole.
30:41 Il a déjà passé, je crois.
30:43 Il a passé.
30:44 C'est peut-être une banderole publicitaire là-bas.
30:46 Il relance bien.
30:47 Il a encore de l'énergie.
30:48 C'est pas une banderole du Grand Pékin à Montaigne.
30:49 C'est la fête du village.
30:50 C'est ça.
30:51 Attendez, on était loin quand même.
30:52 On a des coureurs de la France.
30:53 On a des coureurs de la France.
30:54 On a des coureurs de la France.
30:55 On a des coureurs de la France.
30:56 On a des coureurs de la France.
30:57 On a des coureurs de la France.
30:58 On a des coureurs de la France.
30:59 On a des coureurs de la France.
31:00 On a des coureurs de la France.
31:01 On a des coureurs de la France.
31:02 On a des coureurs de la France.
31:03 On a des coureurs de la France.
31:04 On a des coureurs de la France.
31:05 On a des coureurs de la France.
31:06 On a des coureurs de la France.
31:07 On a des coureurs de la France.
31:08 On a des coureurs de la France.
31:09 On a des coureurs de la France.
31:10 On a des coureurs de la France.
31:11 On a des coureurs de la France.
31:12 On a des coureurs de la France.
31:13 On a des coureurs de la France.
31:14 On a des coureurs de la France.
31:15 On a des coureurs de la France.
31:39 Passage du meilleur grimpeur pour le peloton.
31:46 Une minute et douze ou treize secondes donc au sommet de cette difficulté.
31:54 On a continué à perdre du temps.
31:56 On a perdu une trentaine de secondes il me semble dans cette ascension.
32:01 Sous la pulsion donc des hommes de la formation INEOS qui ont réduit cet écart.
32:08 Alors que là c'est Schönberger qui se fait reprendre à son tour par le peloton.
32:12 On a toujours intercalé, il ne faut pas oublier, c'est amitié.
32:15 On n'a pas vu être repris.
32:16 Alors là il se relève.
32:18 Bizarre là, malhabitude.
32:24 Ouais, je n'ai pas l'impression qu'il fait la descente à fois.
32:26 Ça c'est sûr que non.
32:27 On a peut-être la réponse à ce que l'on disait tout à l'heure.
32:29 Est-ce qu'il va servir de soutien pour son coéquipier Cepeda ou pas ?
32:34 Qui est placé au classement.
32:36 Yuck Cartier aussi.
32:38 Yuck Cartier bien sûr.
32:40 On va voir mais c'est clair qu'il a une attitude de coureur qui est plutôt dans une période de temporisation.
32:48 Plutôt que vraiment d'aller chercher la victoire ou d'essayer d'optimiser au maximum son échappé.
32:53 Le mieux placé c'est effectivement Yuck Cartier à 10 secondes.
32:56 Cepeda, l'équatorien de la même équipe IF Education Easy Post est à 28 secondes.
33:04 Et le troisième homme, c'est celui qui est actuellement échappé en tête avec une bonne minute d'avance sur ses poursuivants.
33:13 Alors on a vu l'équipe Bahrein venir se placer aux avant-postes.
33:17 Charles-Antoine Norat et Charlie Fort ont rencontré ce matin Santiago Buitrago de cette formation Bahrein Victorius.
33:28 Neuvième de l'étape hier.
33:31 On va écouter ce que disait Buitrago sur l'état d'esprit de la formation Bahrein avant d'aborder cette deuxième étape.
33:38 Hier on a vu qu'Ineos contrôlait très bien la course.
33:43 Aujourd'hui le final peut être un petit peu compliqué.
33:48 En tout cas il y a plusieurs possibilités pour tenter de les mettre en difficulté.
33:52 Le général reste ouvert.
33:54 Il faut juste essayer.
33:57 Il y avait peut-être plusieurs possibilités au départ.
34:01 Il n'y en a plus beaucoup maintenant.
34:03 Finalement des possibilités de mettre en difficulté l'équipe Ineos.
34:07 Je ne veux pas le contredire.
34:09 Ni même les intentions de tous les autres coureurs qui sont dans ce peloton.
34:12 Mais finalement, hormis l'équipe IF qui a choisi d'envoyer un homme à l'avant,
34:16 la formation Movistar également.
34:18 N'oublions pas que chez Movistar on a Ivan Sosa qui est placé.
34:21 Mais Sergio Samitier a été distancé.
34:24 Il va peut-être retrouver Ivan Sosa, un équipier, au sein du groupe des favoris derrière.
34:28 Si Samitier n'est pas trop entamé.
34:31 Mais sinon on n'a pas réellement assisté à une course de mouvement.
34:35 Et là on arrive un petit peu sur le terrain où hier l'équipe Ineos a montré sa supériorité.
34:39 Un terrain avec une arrivée en côte ou pratiquement.
34:43 Puisqu'une fois l'ascension franchie, il reste très peu de kilomètres,
34:47 4 kilomètres pour rejoindre la ligne d'arrivée.
34:50 Ce ne sont pas 4 kilomètres de frange descente.
34:52 Là ça va remonter 4 kilomètres à plus de 8% de moyenne.
34:56 Donc quand même des gros pourcentages.
34:58 Mais effectivement, vous faites bien de le signaler,
35:00 on va se retrouver un peu dans la même configuration qu'hier.
35:03 C'est-à-dire avec l'équipe Ineos qui risque d'imprimer un train.
35:06 Alors est-ce que ça va être un gros train ?
35:08 Est-ce qu'ils vont laisser Simon Kerr devant ?
35:10 A voir. Mais à voir les autres équipes, leur comportement.
35:13 Mais en tout cas pour l'instant on se dirige clairement vers ce scénario
35:16 où c'est l'équipe Ineos qui va dominer ce groupe des favoris.
35:19 Vous avez vu la largeur de la route, c'est très étroit ici.
35:21 Oui, route assez étroite.
35:24 Et déjà les pentes qui se présentent pour l'homme de tête.
35:33 Mais j'ai du mal à comprendre son attitude à Simon Kerr.
35:37 On a vu, on a l'impression qu'il attendait, on a l'impression qu'il insiste de nouveau.
35:41 Les cars laissent penser qu'il a attendu.
35:45 Ou alors il avait un souci qui nous a échappés.
35:47 Mais ce n'était pas du tout évident ou visible sur les images que l'on a pu voir.
35:52 On fait passer bien sûr tous les véhicules qui étaient intercalés.
35:55 Ça va revenir vite, oui.
35:56 Parce que l'écart est inférieur à la minute maintenant.
35:59 Et que le regroupement est tout à fait possible.
36:02 En plus la distance est moindre, on est dans la pente.
36:05 Simon Kerr se retourne mais il ne voit pas grand chose, certainement.
36:09 Les voitures.
36:12 Après s'il est dans un rôle de serveur de point d'appui, c'est pas mal ce qu'il est en train de faire.
36:18 Parce que là il est en train d'insister.
36:20 Justement le but ce serait que derrière, Yuck Carty ou Cepeda sortent.
36:24 Mais surtout qu'ils reviennent sur lui au sommet.
36:26 Il restera 4 km au sommet, sur du plat, même limite en faux plat descendant.
36:32 Ce serait intéressant d'avoir un équipier pour vraiment essayer d'augmenter au maximum son avantage.
36:37 Leur avance pour les deux leaders de l'équipe IF.
36:41 Et là on a même fait passer la voiture en neutrin.
36:46 On arrive à moins de 30 secondes d'avance.
36:48 On ne doit pas être très loin derrière.
36:50 190 mètres, on a un petit écart.
36:52 Station en haut de l'image.
36:53 200 mètres de retard pour le peloton apparemment.
36:56 Donc là.
36:59 Alors, toujours la formation INEOS.
37:02 J'ai l'impression.
37:04 Hier, on le rappelle, c'est Barain Victorius.
37:14 Il a fait la première course en fin de course.
37:16 Il a fait la première course en fin de course.
37:18 Il a fait la première course en fin de course.
37:20 Il a fait la première course en fin de course.
37:22 Il a fait la première course en fin de course.
37:24 Il a fait la première course en fin de course.
37:26 On le rappelle hier, c'est Barain Victorius.
37:28 Avec Jack Egg, qui a mis la première banderie dans la dernière montée.
37:32 Donc là, on va voir si cette formation a encore les intentions d'attaquer.
37:38 De donner un peu de mouvement dans cette fin de course.
37:42 Parce qu'on a vu hier sur une arrivée difficile que Thaugagenart était quand même redoutable.
37:47 Même si aujourd'hui l'arrivée est différente.
37:49 Pour l'instant, on est très timide.
37:54 On est très timide.
37:56 Est-ce que le rythme est trop soutenu pour attaquer ?
37:58 Il reste du monde.
38:00 Il reste du monde.
38:02 Si le rythme était vraiment très soutenu, il n'y aurait plus que 15 ou 20 coureurs.
38:06 Là, il y a encore au moins 30 dans ce premier groupe.
38:10 Et là, c'est Lorenz de Plus qui a pris le relais.
38:13 Il a pris N'y a pour qui, mais Narretzman tout à l'heure.
38:15 Il s'est écarté.
38:17 Hier, Lorenz de Plus avait été très efficace dans son long relais.
38:21 On va voir s'il agit de la même façon aujourd'hui à l'occasion de sa deuxième étape.
38:34 Déjà, là, ça s'est mis en file d'un coup.
38:36 J'ai l'impression que ça roule plus vite là.
38:38 Il y a moins de pente aussi.
38:40 De Plus a fait un gros travail hier.
38:50 Il y a les 4 coureurs de la formation Barraing Victoria dans la roue des coureurs de la formation Ineos.
38:54 Très bien placé.
38:56 Pas d'offensive. On attend. On patiente.
39:17 Non.
39:18 Il reste moins de 4 km d'ascension.
39:23 Parce qu'on a dit qu'à le sommet, après, il nous restera 4 km pour aller à l'arrivée.
39:28 Voilà. J'allais dire qu'il y a une petite descente dans cette montée.
39:43 Un petit replat.
39:45 Et là, on va retrouver des pourcentages difficiles.
39:47 Les pourcentages les plus durs vont se présenter devant les coureurs maintenant.
39:51 On va être autour de 12 % entre 7 et 12 %.
39:55 Ça va piquer.
39:57 En fait, c'est la traversée de Longo Stagno, je pense.
40:03 Ce petit village. On est sur des routes où, vous le voyez, avec tous ces virages, on est souvent à l'abri.
40:13 Même si là, il n'a plus que 16 secondes.
40:15 À l'abri, il ne va pas l'être.
40:17 Petit replat. Accélération.
40:19 Ça roule vite.
40:20 Ça roule très vite. C'est un peu le toboggan.
40:22 Finalement, du côté de l'équipe INEOS, on va chercher un homme de tête.
40:26 En tout cas, c'est ce qu'on est en train de faire sous l'impulsion de...
40:34 Qui est-ce qui est en train de rouler là ?
40:35 De Plus.
40:36 Le reste de Plus, exact.
40:38 On est juste derrière.
40:39 Mon mec, c'est le pied de la montée. 3,9 km.
40:41 Movistar, non ? Ils ont remonté, j'ai l'impression.
40:45 Ou ils se replacent, en tout cas, avec leur leader.
40:49 Ivan Sosa, leur leader, qui a fait une belle étape hier.
40:52 Il nous a surpris.
40:54 Il a fait pour la première fois de la saison un top 5.
40:58 Ivan Sosa.
41:00 On va voir si le Colombien de poche est capable de revenir à un excellent niveau.
41:09 Lui qui avait pu remporter dans le passé des courses par étapes d'une semaine.
41:13 C'est fait. C'est distancé, rattrapé. Point d'appui, pas vraiment.
41:19 Échappé, terminé, effectivement.
41:22 Ce n'est pas lui qui est derrière, plutôt un autre coureur de la formation IF.
41:26 Il est là, à droite.
41:28 Il est traversé.
41:30 Ça va vite quand même.
41:32 Il a traversé le bloc.
41:34 C'était Georg Steinhauser qui était à ses côtés.
41:38 Et ici, Jukkarti, sur la droite, en bas de l'écran, qui est en train de remonter.
41:43 Vous apercevez Geraint Thomas dans la roue de son équipier,
41:55 l'ancien vainqueur du Tour de France, encore sur le podium l'année dernière de la Grande Boucle.
42:01 Et qui est tout simplement en train de préparer son objectif, le Tour d'Italie,
42:07 qu'il ne lui a jamais réussi dans le passé.
42:09 Geraint Thomas qui ne renonce pas à l'ambition de remporter un Giro au cours de sa carrière.
42:15 Tao Gaganart, lui, il a remporté le Tour d'Italie, bénéficiant finalement de l'abandon de Geraint Thomas en 2020.
42:23 Il avait réussi à sauver de la plus belle façon le bilan de l'équipe INEOS.
42:31 C'est un tac ou quoi là ? Sur la droite, non ?
42:35 C'est un muscatel, ou il remonte ?
42:37 Ça roule trop vite !
42:41 On n'a pas le sentiment quand même que ça roule très très vite.
42:44 Mais du pourcentage.
42:45 On est timide quand même dans le peloton.
42:47 Pour l'instant, il n'y a personne qui tente quelque chose.
42:52 On voit du coup un AG2R Citroën bien placé.
42:54 C'était Louis-Sélan Sanchez qui était en dernière position ?
43:03 Non.
43:04 Ah, c'était Dombrovski.
43:08 Voilà, on ne va pas les retrouver.
43:17 Dombrovski et... Ah non, c'est Eolo Cometa qui est devant.
43:22 Ça se ressemble.
43:23 Même Cussard noir aussi.
43:26 Bon, ça se passe bien pour l'instant, évidemment, pour INEOS.
43:36 Mais nous, on est un petit peu frustrés parce qu'on n'a pas vu une seule attaque.
43:40 Ça serait quand même visiblement difficile.
43:46 On est encore à 6 km de l'arrivée, mais il n'y a plus que 2,5 km d'ascension dans cette dernière difficulté.
43:54 Je pense que si on arrive avec ce peloton, on va dire aussi fourni,
43:58 je ne dis ça pas beaucoup, mais c'est pour l'arrivée, il va y avoir du sport.
44:02 Parce qu'on a vu un peu comment était faite l'arrivée.
44:04 L'arrivée sur une piste d'athlétisme.
44:08 Elle n'est pas cendrée. J'ai dit que ça allait descendre la piste d'athlétisme.
44:11 Je pense que franchement, si on arrive à une trentaine au sprint, on va sortir les coudes.
44:19 Oui, on a plus de 30 coureurs dans ce peloton encore.
44:37 Tous les leaders sont encore présents. Je n'ai pas relevé de coureurs du classement général qui seraient fait distancer.
44:43 Pour l'instant, on n'a pas vu de coureurs du top 10 distancés.
44:47 Je ne pense pas. On l'aurait vu, je pense, à l'image.
44:51 On a un peu plus de 20 coureurs dans ce peloton.
44:59 Je ne pense pas. On l'aurait vu, je pense, à l'image.
45:04 C'est un peu plus difficile ici pour le corps de la Bahrein Zambanini.
45:20 Zambanini, italien, cette formation.
45:25 C'est un peu plus difficile ici pour le corps de la Bahrein Zambanini.
45:29 C'est un peu plus difficile ici pour le corps de la Bahrein Zambanini.
45:33 C'est un peu plus difficile ici pour le corps de la Bahrein Zambanini.
45:37 C'est un peu plus difficile ici pour le corps de la Bahrein Zambanini.
45:41 C'est un peu plus difficile ici pour le corps de la Bahrein Zambanini.
45:45 C'est un peu plus difficile ici pour le corps de la Bahrein Zambanini.
45:49 C'est un peu plus difficile ici pour le corps de la Bahrein Zambanini.
45:53 C'est un peu plus difficile ici pour le corps de la Bahrein Zambanini.
45:57 C'est un peu plus difficile ici pour le corps de la Bahrein Zambanini.
46:01 Geraint Thomas qui avait prévenu qu'il ne voulait pas jouer le rôle de leader sur ce Tour des Alpes.
46:07 Geraint Thomas qui avait prévenu qu'il ne voulait pas jouer le rôle de leader sur ce Tour des Alpes.
46:13 pour être leader de cette formation Ineos Grenadiers sur ce Tour des Alpes.
46:17 C'était Tao Gegenhardt qui porte le maillot de leader donc tout va bien pour lui.
46:21 C'était Tao Gegenhardt qui porte le maillot de leader donc tout va bien pour lui.
46:25 On s'est rendu compte hier que Timmen Arendtsman n'était pas au mieux.
46:29 On s'est rendu compte hier que Timmen Arendtsman n'était pas au mieux.
46:33 On s'est rendu compte hier que Timmen Arendtsman n'était pas au mieux.
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51:53 On s'est rendu compte hier que Timmen Arendtsman n'était pas au mieux.
51:57 On s'est rendu compte hier que Timmen Arendtsman n'était pas au mieux.
52:01 On s'est rendu compte hier que Timmen Arendtsman n'était pas au mieux.
52:05 Ça veut dire que Vlasov, cinquième du classement général,
52:10 et Kamna aussi qui était huitième,
52:13 ne sont pas présents aux avant-postes et sont pour l'instant les deux grands perdants de cette journée.
52:21 On ne connaît pas le vainqueur, mais on voit déjà poindre la contre-performance de deux coureurs du top 10.
52:28 Ivan Sosa, il est bien présent ?
52:32 Oui, il est présent, Ivan Sosa.
52:35 Il est présent juste devant Cepeda.
52:37 Regardez, le maillot bleu, c'est le maillot de meilleur grimpeur pour Cepeda.
52:40 Devant lui, on a Sosa.
52:41 Voilà, effectivement, le maillot de l'équipe Povistar.
52:44 Donc finalement, dans le top 10, ne manquent que les deux coureurs de la formation Bora-Hansgrohe.
52:50 On a neuf coureurs présents ici.
52:52 Avec Sivakov, on a Tauga Gennart, on a Jack Egg, on a Buitrago, Hugues Carty, Félix Gall, Sosa, Cepeda, Fortunato.
53:05 Et Fortunato, exactement.
53:07 Et le seul qui n'est pas dans le top 10, c'est le meilleur grimpeur,
53:11 enfin celui qui porte le maillot bleu de meilleur grimpeur, Alexander Jefferson Cepeda,
53:16 qui était onzième ce matin et qui va peut-être rentrer dans le top 10.
53:23 Puisque derrière, on perd du terrain en ce qui concerne les deux coureurs de la formation Bora.
53:29 On vous rappelle les classements au sommet de cette ultime montée, avec Buitrago qui est passé en tête.
53:38 Moins de 2 km de l'arrivée, on va vite arriver sur le site.
53:45 C'est spécial pour l'arrivée, il faut être très vigilant pour les coureurs.
53:49 Ils ont certainement vu des images, on a fait des reconnaissances avec des assistants,
53:55 souvent les chauffeurs, les bus vont voir l'arrivée pour donner des indications
54:00 au directeur sportif qui relait après aux coureurs.
54:06 Ça va attaquer ou pas ? On a l'impression que Sivakov s'écarte.
54:10 Ah non, il ne s'écarte pas.
54:13 Ça va frotter, ça va jouer des coups de coude.
54:16 Ça monte, ça descend, ce n'est pas tout plat, on s'en est rendu compte après cette ultime ascension.
54:21 C'est plutôt une succession de montées, de courtes descentes.
54:25 Et évidemment, on fait tout pour Tao Gegenhardt.
54:34 Parmi ces coureurs au sprint, lequel voyez-vous parmi les coureurs les plus rapides ?
54:37 C'est Peda, il a des bonnes qualités de puncher, ça va être un sprint particulier.
54:45 Il attaque, il anticipe.
54:49 C'est Peda et Yugkarti qui sont en train de discuter à l'arrière.
54:52 Je pense que Yuggarti lui a laissé carte blanche.
54:55 C'est Peda qui est assez loin, il est à quasiment 30 secondes.
54:58 Et on a Minbella avec un gros développement.
55:01 C'est Peda, à l'image de ce qu'il a fait hier, il est offensif sur ce final.
55:08 Buitrago, il retourne.
55:13 Il va falloir bouger là pour se garder à pied.
55:16 Et cette fois, Tao Gegenhardt l'a compris, il ne laisse pas partir.
55:18 Buitrago, effectivement, le leader de la course en personne, suit l'attaque du Colombien.
55:25 Alors que c'est Peda, l'équatorien, va être repris.
55:28 Alors qu'est-ce qu'il fait Buitrago ? Il n'insiste pas, il reste dans la roue.
55:32 Tao Gegenhardt se retourne, il ne veut pas être surpris.
55:35 Il sent cette tenaille de l'équipe Bahrein.
55:38 Il y a également Jack Haig qui est là, présent.
55:41 Allez, Félix Galle, c'est facile à dire, mais ça aurait été idéal de pouvoir contrer ici.
55:46 Celui qui pouvait le faire là, c'était le moment idéal.
55:49 On annonce 500 mètres.
55:51 Un virage très serré, on nous annonce aussi.
55:54 Charles-Antoine nous a donné cette indication que c'était vraiment très serré, je pense pour rentrer.
55:58 C'est très serré à droite. Ah non, j'ai cru qu'il allait y aller.
56:01 Ça va être tendu ce final. Il faut arriver en tête, ils le savent les coureurs, de toute façon, pour s'imposer.
56:08 400 mètres.
56:12 Félix Galle qui est en train de faire l'effort pour venir se replacer.
56:15 Le voilà, le virage très serré sur ce rond-point.
56:18 Chute !
56:19 Félix Galle qui est tombé.
56:22 Et la piste que vous la voyez sur la droite, ici, cette piste où va être jugée l'arrivée.
56:26 C'est un peu le rallye quand même pour rentrer ici.
56:28 Et c'est Tao Gegenhardt qui rentre en tête.
56:30 Jack Haig en deuxième position.
56:31 Jack Haig et Pavel Simakov en troisième position.
56:34 Vous allez les voir dans quelques instants.
56:36 Voilà, il y a une petite cassure.
56:38 Et Tao Gegenhardt avec Jack Haig dans sa route.
56:40 Tao Gegenhardt qui est devant et qui s'impose effectivement sur cette ligne d'arrivée.
56:45 Quelle arrivée un peu scabreuse à laquelle nous avons assisté ici.
56:48 Tao Gegenhardt qui a donc réussi le doublé après sa victoire hier en altitude.
56:55 Et bien il a réussi à aller s'imposer dans ce final difficile à négocier.
57:00 Après un énorme travail de ses coéquipiers.
57:03 Tao Gegenhardt qui au passage empoche 10 secondes supplémentaires de bonification.
57:08 Et qui va donc conforter son maillot de leader.
57:10 Le maillot vert qu'il porte sur les épaules.
57:13 Alors que l'on discute là entre coureurs.
57:16 Il y a une explication quand même.
57:18 On va revoir tout ça au ralenti.
57:20 Je vous rappelle qu'on va avoir l'occasion de débriefer en compagnie de Claire Bricogne.
57:23 Au coeur de l'émission "Ça va frotter" où nous aurons un invité exceptionnel.
57:27 Guillaume Martin sera en ligne avec nous à distance.
57:32 Et nous pourrons avoir son témoignage.
57:34 Mais on revient sur cette arrivée.
57:36 Les coureurs sont en train de s'interroger.
57:38 Tao Gegenhardt apparemment ici répond à des invectives.
57:42 Quoi qu'il en soit en tout cas.
57:44 Il s'est imposé sur la ligne d'arrivée.
57:47 Et ne manque pas de féliciter les coureurs qui lui ont favorisé cette arrivée.
57:52 Puisqu'on a vu une équipe INEOS encore épatante.
57:55 Avec Pavel Sivakov, avec Timane Arendtsman.
57:59 Avec Lorenz de plus qui aura fait toute la dernière ascension en tête.
58:04 Pour permettre justement à un petit groupe de se disputer la victoire.
58:08 Et oui on va regarder ça.
58:09 On reverra aussi la chute de Félix Galles.
58:11 Qu'on est en train de voir Patrick en même temps.
58:14 On va revoir ça, on va prendre le temps dans le débrief de Savaffrotter.
58:17 De revoir tout ça, de revoir aussi Tao Gegenhardt.
58:20 Qui n'a même pas eu à lever les bras pour célébrer cette victoire sur cette deuxième étape.
58:24 Et puis on rendra évidemment un hommage à Pierre Carré.
58:27 Vous allez comprendre pourquoi.
58:28 C'est le débrief de Savaffrotter.
58:30 Bonne chance !