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00:00 [Musique]
00:15 Soyez les bienvenus dans l'actualité de ce lendemain de fête de Ramadan.
00:20 D'abord en Côte d'Ivoire, l'escale 225 nous conduira à Bende-Kwasikro, dans le centre-ouest de notre pays,
00:27 une localité devenue célèbre grâce au Goli, une danse traditionnelle découverte dans quelques instants.
00:33 De l'autre côté de la frontière nord de la Côte d'Ivoire, un hélicoptère de forces armées du Mali s'est écrasé ce samedi.
00:41 Bonsoir à tous, place à la rubrique "Escale 225".
00:53 Bende-Kwasikro est un village walebo, chef-lieu du canton d'Ouan, un village dont la rénommée est en train de franchir les frontières ivoiriennes grâce au Goli,
01:02 une danse traditionnelle d'origine Ouan, peuple du centre-ouest de notre pays.
01:07 Les hommes du village y ont apporté une touche artistique qui séduit tout spectateur et touriste.
01:13 Un atout qui non seulement revalorise, mais apporte également des ressources financières au village.
01:18 Nos reporters Théodore Zouzou, Gilles Thonien, d'ailleurs fils de Bende-Kwasikro, et Maïssa Koguei nous font découvrir cette merveille du patrimoine culturel ivoirien.
01:29 Ce masque, c'est le Goli. Il est associé à une danse du même nom dont la rythmique est donnée par le battement de cales basses garnies de filets.
01:39 Sur ces filets, des coques, des grains de ginseng communément appelés adkwi sous forme de grelots.
01:45 A Bende-Kwasikro, au centre du pays, la renommée de cette danse traditionnelle va au-delà des frontières ivoiriennes.
01:52 Aou et Akissi sont arrivées de France. Elles sont dans ce village du canton d'Ouan, du royaume Oualébo pour découvrir le Goli.
02:00 Je viens de Toulouse en France pour Pakinou pour découvrir le Goli, donc le masque de réjouissance.
02:06 Je ne connais pas particulièrement le Goli, mais on est venu avec des amis justement pour le découvrir ici dans ce village.
02:14 Nous avons hâte de le voir.
02:16 Il est 17h30. Les cales basses et le sifflement du corps donnent le top départ de cette danse sous le regard d'Akissi et d'Aou.
02:24 Un chant en langue locale mêlé à la cadence des cales basses et aux envolées du corps.
02:29 C'est pour appeler le masque Goli. Voilà pourquoi on commence à entamer.
02:38 Ce sont les sons pour que le masque arrive.
02:43 Ce ballet bien lancé fait entrer le premier masque plein.
02:47 Puis un second. Ils vont s'abaisser devant le chef du village.
02:54 Le Goli vient s'abaisser parce que je suis le chef du village. C'est ainsi le respect qu'il m'accorde avant qu'il commence à danser.
03:12 Après cette allégeance à l'autorité coutumière, l'un des leads vocaux entendant une chanson sort des rangs.
03:18 Il va vers le chef du village et rejoint le groupe de batteurs de cales basses.
03:23 C'est un défi qu'on a lancé au 2 mars. Mais la chanson a été chantée en mois.
03:35 C'est une manière pour nous de les inspirer en leur lançant ce défi.
03:41 La chanson monte d'un cran et le sifflement du corps devient de plus en plus mélodieux et envoûtant.
03:47 Le rythme plus endiabli. C'est un duel qui oppose les deux masques rivaux pour la circonstance.
03:53 C'est une danse traditionnelle. C'est en dansant qu'on arrive à avoir des idées et puis former les enfants.
04:15 Ce que nos parents ont fait avant, on ne peut pas laisser totalement. Mais il faut qu'on ait des idées plus pour envoyer pour que l'on s'avance.
04:22 Les masques clins essaient chacun de relever le défi lancé par le guide vocal.
04:27 Puis les femmes entrent en scène.
04:30 Séduits par les chants et pas, les visiteurs ne peuvent plus se retenir. Ils se lancent dans la danse.
04:42 Je voudrais raconter aux gens qui sont venus à Paki Lou de revenir dans leur village pour venir vivre la fête en direct.
04:52 Je trouve que c'est une super danse bien conviviale qui fait plaisir à regarder. C'est très animé.
04:58 Et surtout, c'est impressionnant de voir la précision des pas du Gouli.
05:03 Je n'ai pas du tout eu tort de venir. Au contraire, la Côte d'Ivoire réserve de belles surprises.
05:08 Un plaisir.
05:10 Les pas ne sont pas fortuits. Ils s'exécutent en fonction des chants et du sifflement du corps.
05:16 Quand on dit le Gouli, c'est la cong. Les pas que le Gouli fait sortir, c'est la cong qui fait sortir les pas.
05:20 C'est un don des ancêtres. Donc là, il n'y a pas de secret dedans. Il va te faire sortir des sons de suite.
05:37 Je ne suis pas allée à l'école pour apprendre à danser. Mais seulement je l'ai appris par rapport à mes ancêtres.
05:43 La façon dont les gens chantent, c'est par rapport à ça qu'on trouve les pas. Chaque pas a sa chanson.
05:49 Le Gouli de Bende Kwasi Kro a lui tradition et créativité.
05:53 Les danseurs en uniforme battent les calabasses, bougent les pieds et chantent dans un mouvement agréable au regard.
06:00 Il suffit de regarder comment ça se fait et puis vous suivez. Donc, ce n'est pas trop compliqué.
06:06 Si vous savez déjà danser, ce n'est pas trop compliqué. Il suffit de suivre les pas et puis ça y est.
06:12 Je suis chrétienne, mais souvent je regarde le Gouli parce que c'est la partie réjouissante qui m'intéresse.
06:18 La partie sacrée, je n'en fais pas partie.
06:20 À la nuit tombée, les masques clins laissent la scène au Gouli Tama. L'ambiance est plus chaude.
06:30 Un véritable spectacle livré par les batteurs, le détenteur du corps et les masques Tama.
06:36 Le Gouli Tama, il n'y a pas de différence, c'est la même danse. Mais chacun a sa manière de danser.
06:43 Ces masques ne font pas qu'offrir un spectacle. Ils tissent également des alliances.
06:50 Comme symbole de ces alliances, un rameau est noué au poignet de l'allié.
06:54 Désormais, il y a une alliance qui est scellée entre le Gouli et moi.
07:00 C'est-à-dire qu'à chaque cérémonie du Gouli, si je ne peux être présent, je peux apporter une contribution par l'intermédiaire de Pierre-Paul.
07:10 Dans le Tama, c'est un spectacle à couper le souffle, à la satisfaction des spectateurs en extase.
07:16 (Musique)
07:44 Une atmosphère qui envoûte aussi les touristes.
07:47 (Musique)
07:58 Je la trouve superbe, magnifique. Il y a un talent fou pour danser avec les pieds. C'est impressionnant.
08:04 Franchement, une des plus belles choses que j'ai vu en Côte d'Ivoire. Il faut surtout conserver ce patrimoine.
08:09 (Musique)
08:11 Le Gouli de Bende Kwasiko est aujourd'hui un label du village.
08:15 Il rapporte des ressources aux jeunes qui le dansent en dehors des travaux.
08:19 Emballant et plaisant, ce groupe de jeunes est aujourd'hui très sollicité sur toute l'étendue du territoire, mais également à l'extérieur du pays.
08:28 Une véritable fierté pour le canton d'Ouang.
08:31 Le Gouli est une danse traditionnelle des peuples Ouang et Kodé.
08:35 (Musique)
08:44 Internationalement à présent, à la galère des consommateurs et autres usagers de Mans, dans l'ouest de notre pays, au lendemain de la célébration de l'Aïd El Fitr,
08:53 il est difficile de faire des emplettes et même circuler à bord d'un taxi communal dans la ville.
08:58 Les commerçants et conducteurs sont toujours à la fête.
09:01 Un constat de Gervais Kwasi du bureau régional RTI Mans.
09:05 S'approvisionner en denrées de consommation et se déplacer en cette période post-Ramadan n'est pas du tout chose aisée pour les populations du Mans.
09:14 Le grand marché est vide au trois quarts, plusieurs commerces ont baissé pavillon.
09:18 Ce grand marché, il n'y a rien au marché, tout le monde s'en fait.
09:22 Ce que vous achetez, je n'ai pas eu.
09:24 Comme c'est la fête, 80% des commerçants ne sont pas venus.
09:29 Comme moi, il y a plusieurs commandes pour respecter les rendez-vous.
09:34 Donc, c'est le gouvernement qui est là.
09:37 Dans le secteur du transport, le trafic est au ralenti, mettant en mal les usagers des taxis communaux.
09:44 Le matin, pour avoir un taxi, il faut venir au travail, c'est très difficile.
09:47 Il y a même marché pour venir au travail.
09:49 La fête de l'Aïe Delphître continue de battre son plein avec le traditionnel sambé-sambé des enfants en plus de la visite des sites attractifs.
09:58 Le dernier cas n'est pas fait pour déplaire aux opérateurs économiques dont plusieurs d'entre eux se frottent les mains.
10:05 D'habitude, nous recevons 15 enfants par jour, mais le jour du Ramadan, nous avons reçu 50.
10:11 Cela veut dire que le jour du Ramadan, le feu de mars est vide.
10:15 Au regard des années précédentes sur ralentissement, des activités dans presque tous les domaines dues à la fête du Ramadan pourraient durer une semaine ici au pied du mont Tompi.
10:25 Et puis lors de la célébration de la fête du Ramadan, dans les familles musulmanes, l'ambiance était festive.
10:31 Hier, dans les familles démunies, par contre, elle était plutôt calme.
10:35 Leur situation précaire ne leur a pas permis d'avoir le minimum en ce jour de fête.
10:40 Notre équipe de reportage est conduite par Bintou Pekélé à visiter une famille précaire dans la commune d'Abobo.
10:46 Ambiance plutôt calme dans cette cour commune située au carrefour Diallo dans la commune d'Abobo.
10:54 Massendjié a trouvé refuge dans cette maison inachevée depuis le décès de son mari il y a près de 10 ans.
11:00 Elle n'a pas cuisiné ce jour qui marque la fête de la fête du jeûne du Ramadan.
11:05 Ses mamies de vide et ses assiettes en vrague en disent long sur la précarité de cette famille.
11:32 Aujourd'hui, les cas de maladie s'ajoutent à la précarité.
11:35 Yeo souffre de troubles mentaux depuis plus de 10 ans.
11:38 Il n'a donc pas pu se rendre à la mosquée.
11:58 L'Aïd El Fitr est un jour de réjouissance pour les musulmans.
12:02 Mais les conditions sociales de ces familles dans cette cour commune, dans la commune d'Abobo,
12:07 ne leur permettent pas de se réjouir ce jour.
12:10 Dans l'attente des lendemains meilleurs, ces familles en difficulté sont livrées à elles-mêmes.
12:17 Restons à Abobo pour parler cohésion sociale et vivre ensemble entre les communautés
12:22 vivant dans la commune la plus peuplée de Côte d'Ivoire.
12:25 Consolider ses valeurs, c'est l'objectif visé par Cheikh Mourad Lagogwali,
12:30 collaborateur de la ministre Kandia Kamara,
12:32 à l'occasion des retrouvailles entre collaborateurs de la formation politique dans la commune d'Abobo.
12:38 C'était donc le mercredi 19 avril dernier.
12:40 Une rencontre suivie par Amiko Libali pour RTI2.
12:44 La cohésion sociale et le vivre ensemble a des valeurs sur lesquelles les habitants de la commune d'Abobo
12:50 ont été instruits lors d'une rencontre initiée par Cheikh Mourad Lagogwali,
12:55 collaborateur du maire de la commune d'Abobo.
12:58 Le chef des ressortissants BT du district autonome d'Abidjan et la mairie de la commune de Guyberrois
13:04 étaient les invités d'honneur de cet événement.
13:07 L'idée, resserrer les liens entre les différentes communautés d'Abobo.
13:12 Le vivre ensemble est une réalité.
13:14 On vient encore une fois de plus le constater, Abobo ici, où tout le monde est là.
13:21 Nos parents BT d'Abobo et tous nos amis, surtout la jeunesse à qui on a dédié,
13:27 le président a dédié cette année 2023, qui est encore présente, qui est forte.
13:32 Nous sommes très heureux en tout cas de cette cohésion sociale.
13:35 Je voudrais donc dire merci à la patronne de la cérémonie, son excellence Kandia Kamara.
13:42 Merci également à l'honorable Lago qui nous invite, qui nous associe à cet événement.
13:47 Merci aux parents.
13:49 Avant on disait Abobo, Abobo la guerre.
13:51 Abobo ce n'est plus que la guerre, c'est la joie avec Kandia Kamara.
13:54 Et ce que mon jeune frère Lago vient de faire, il réunit toute la population d'Abobo,
13:59 celui qu'on peut partager, c'est de jamais vu.
14:01 Occasion pour le représentant de Kandia Kamara, premier magistrat de la commune, de lancer un appel.
14:07 Vivre ensemble est une réalité dans les quartiers partout et aujourd'hui ça se renforce.
14:12 Les jeunes doivent s'approprier tous ces dispositifs.
14:15 Il faut qu'ils fréquentent l'agence emploi jeune et qu'ils puissent participer à tout ce qui est proposé pour la jeunesse.
14:21 Cheikh Mourad Lago et son organisation comptent faire de cette lucarne une institution
14:26 afin de promouvoir la cohabitation pacifique gage d'une paix durable.
14:31 Revenons à la célébration de la fête de l'Eid El Fitr.
14:35 Les membres de la mission islamique Ahmadiyya l'ont célébré dans le recueillement.
14:40 Ils se sont retrouvés à la mosquée principale d'Ajami, 220 logements, pour sacrifier à la prière de 2 rakats.
14:46 Se prononçant sur la dimension spirituelle du jeune musulman,
14:49 le guide de cette communauté islamique de Côte d'Ivoire a invité les fidèles à préserver les acquis du mois du ramadan.
14:56 Reportage Nusangare Clément Boko.
14:59 La mission islamique Ahmadiyya n'est pas restée en marge de la célébration de l'Eid El Fitr.
15:06 Les fidèles de cette organisation ont effectué nombreux le déplacement à la mosquée principale d'Ajami, 220 logements.
15:14 L'amir Abdul Kayoum Pachi, missionnaire en chef d'Ahmadiyya en Côte d'Ivoire,
15:20 a axé son serment sur la dimension spirituelle du mois du ramadan.
15:25 Un musulman est celui qui sommee entièrement tous ses désirs à Dieu
15:29 et ne trouve son plaisir que dans l'amour et la volonté de Dieu seul.
15:33 Le mot Eid signifie un jour où les gens se ressemblent
15:36 et c'est ce qui donne la célébration musulmane de l'Eid une signification beaucoup plus profonde.
15:41 Aussi a-t-il prié pour les autorités ivoiriennes pour une Côte d'Ivoire plus prospère dans l'Union.
15:48 Cette célébration marque la fin du jeûne musulman.
15:52 À l'International, un hélicoptère de forces armées maliennes qui revenait d'une mission antijihadiste s'est égrasé ce samedi dans un quartier résidentiel de la capitale Bamako.
16:01 On a annoncé l'état-major général des armées et une source militaire.
16:05 Le crash s'est produit après une embuscade qui a visé une mission de ravitaillement de l'armée malienne dans le nord du pays.
16:12 Et puis le Rwanda a célébré le 13e jour de la commémoration du 29e anniversaire du génocide.
16:19 Pendant 100 jours, les populations du pays des 1000 collines se sont rémémorées les affres de cette tragédie avec un lourd bilan de plus d'un million de victimes.
16:28 Pour meubler cette période de recueillement, la sensibilisation des jeunes était au cœur des actions publiques
16:34 et la pièce de théâtre "Hit Radio" ou "Radio de la haine" en est une parfaite illustration.
16:40 Voici donc le compte-rendu de nos envoys spéciaux, aficiatas Karamoko Doso et Kader Bachil.
16:46 Un décor, un studio, celui de Radio 1000 Collines au Rwanda.
16:51 Nous ne sommes pas en 1994, mais bien en 2023.
16:56 Ce studio est reproduit aujourd'hui pour une pièce de théâtre "Hit Radio", "Radio de la haine".
17:03 Cette pièce met à nul le rôle des médias, principalement de la RTLM,
17:07 Radio-Télévision libre des 1000 collines dans le génocide perpétré contre les Tutsis au Rwanda en 1994.
17:15 Une représentation interprétée 300 fois dans 30 pays du monde.
17:26 Nous avons fait des recherches ici au Rwanda, nous avons parlé avec beaucoup d'institutions,
17:31 avec des historiens, avec des thémoins.
17:35 Nous avons lu beaucoup de documents et nous avons fait un spectacle
17:40 qui a un assemblage l'après-midi dans le studio de RTLM.
17:45 Cette expression artistique est sous les projecteurs dans cette université publique.
17:49 Une occasion pour les autorités d'éduquer la jeunesse sur un pan de son histoire
17:54 et la sensibiliser au maniement de la communication.
17:57 D'abord, ils doivent savoir le danger du discours de haine.
18:01 Ils peuvent comprendre, s'ils entendent ça, ils ne peuvent pas suivre.
18:06 Et aussi dénoncer ce qui s'est passé.
18:09 Et aussi ne pas, s'ils savent la vérité, ne peuvent pas être trompés, être manipulés.
18:16 Un message perçu avec le plus grand intérêt par les étudiants en journalisme.
18:21 Je viens de voir cette pièce et j'avoue que je suis totalement ému.
18:25 Je prends conscience de mon futur rôle de journaliste et je compte être un professionnel.
18:30 Entendre ses propos et ses informations donne froid dans le dos.
18:34 Je m'engage à oeuvrer dans la vérité quand je serai au sein d'un organe de presse.
18:39 Le corps enseignant de ce campus est engagé dans l'éducation des étudiants
18:43 qui constitue l'avenir du pays.
18:46 C'est une génèse qui est attirée par les médias, les social media et les autres.
18:53 Donc on doit aussi voir quelles sont les stratégies pour que ces facteurs qu'on utilise maintenant
18:59 pour se communiquer, ça puisse aussi contribuer pour le développement.
19:03 En tant que staff de l'université, quand on travaille avec les étudiants,
19:07 on leur dit que même s'ils étudient le journalisme,
19:11 ils doivent utiliser dans de bonnes voies ce qu'ils ont étudié à l'école
19:15 et ne pas être comme les journalistes qui ont sémé le divisionnisme
19:20 et ils ont fini dans la prison.
19:23 À la fin de la pièce, les acteurs ont répondu aux différentes questions des étudiants
19:27 qui voulaient en savoir davantage.
19:29 Moment de partage d'expérience avec le public.
19:33 Je me sens utile et je me sens, je me suis rarement senti aussi utile
19:42 que quand je porte cette pièce et ce genre de moment sur une scène
19:47 pour témoigner et en aspirant que ce témoignage aura servi à ce que ça puisse être évité ailleurs.
19:54 Le rôle propagandiste joué par la radio-télévision libre d'Emile Colline dans le génocide au Rwanda
20:00 interpelle la conscience collective.
20:02 Les communautés éducatives et médiatiques se donnent la main pour dire "plus jamais ça".
20:08 En direction à présent le Burundi, pays voisin au Rwanda,
20:12 où un ancien premier ministre recherché depuis plusieurs jours par la justice
20:16 sans que les autorités ne communiquent les raisons a été arrêté.
20:19 Alen Ghioum Bounioni était premier ministre depuis juin 2020.
20:24 Fin de cette édition, merci de l'avoir suivie.
20:26 Excellent week-end à SURTI2.
20:28 de l'année 2022.