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Transcription
00:00 [Musique]
00:15 Bonsoir à tous et bienvenue dans le journal. Voici les titres.
00:19 Très gros plan ce soir sur la Sina Diakité.
00:22 Un chauffeur de mini-car de "guaca" comme on le dit dans le jargon.
00:25 Il a toujours en costume au volant de son véhicule de transport en commun.
00:29 Les passagers apprécient énormément son style vestimentaire.
00:33 Reportage en début de journal.
00:35 Et puis dans la bande de Gaza, l'aide humanitaire est attendue ce vendredi.
00:39 Les premiers camions d'aide promis hier par l'Egypte
00:42 pourraient être autorisés à passer le poste frontière de Rafat demain.
00:46 L'annonce a été faite aujourd'hui par un média proche du renseignement égyptien.
00:51 Voilà pour le sommaire. Vous suivez le 19h30 et vous faites toujours bien.
00:57 On ouvre cette édition par notre rubrique du jour.
01:01 [Musique]
01:07 Dans le transport en commun, la tenue vestimentaire du chauffeur
01:10 semble compter pour beaucoup aux yeux des passagers.
01:13 C'est sans doute ce qu'a compris la Sina Diakité.
01:16 Le chauffeur de "guaca", ce mini-car, très utilisé dans le nord d'Abydjan,
01:20 s'habille toujours en costume.
01:22 Tout le week-end, il apprête déjà tous les costumes qu'il mettra durant la semaine.
01:26 Et sur les différentes lignes que parcourt son véhicule,
01:29 les passagers sont admiratifs, vous le verrez, de son style vestimentaire.
01:33 Ça le signe, selon eux, du sérieux qu'il apporte à son travail
01:36 et du respect de sa clientèle.
01:38 Son portrait avec Asit Andiara est y étranger.
01:41 Dans la commune d'Aboubou réside un chauffeur de mini-car,
01:45 communément appelé "guaca".
01:47 Un conducteur pas comme les autres.
01:49 La Sina Diakité, c'est des lieux qu'il s'agit.
01:52 Comme à son habitude, il nettoie ses chaussures,
01:55 met son noeud et sa veste avant de se rendre au boulot.
01:59 La Sina, vêtue d'une manière impeccable,
02:09 pourrait facilement être confondue à un fonctionnaire d'État.
02:13 Mais que non, il est bel et bien chauffeur de mini-car.
02:16 Et pour éviter d'être en retard,
02:18 la Sina apprête tous les vêtements qu'il mettra au cours de la semaine,
02:22 dès le dimanche soir.
02:24 - Je beaucoup aime le costume,
02:26 parce que le costume me prend trop, plus que les autres habits.
02:29 Tout le monde l'apprécie, donc ça m'encourage aussi.
02:32 C'est même ça, là, j'ai pris ça pour...
02:35 Le costume que j'ai pris c'est même ça, c'est pour la semaine, là.
02:39 Voilà, c'est ça, vous avez trouvé ça sur le fauteuil, là.
02:42 Après, il y a les fois, tu es fatigué, tu dis que tu as dérivé tout.
02:46 Donc, ça fait que, ouais, que tu peux pas dériver tout
02:49 si tu as déposé dans le placard
02:51 avant que tu ailles chercher ce qu'il doit te porter.
02:53 Donc, ça me met du temps un peu.
02:55 Une fois qu'il m'a retiré à la poisson, je viens et il me pose là.
02:58 Là, c'est un retard. Il sait où il est dans, il est dirigé.
03:01 - C'est à l'âge de 10 ans que la Sina dévoile à son père
03:04 sa passion pour ce métier.
03:06 - Il m'a demandé quel métier que je veux.
03:09 Et j'ai demandé qu'il vienne chauffer.
03:11 Donc, il m'a dit, OK, il n'y a pas de problème.
03:13 Donc, il faut rester à côté de moi.
03:15 Je suis resté avec lui un peu, un peu, un peu.
03:17 Jusqu'à arriver à cet moment.
03:19 Donc, le V. a décidé de me faire venir habiter ici.
03:24 - Pour éviter les ennuis et les désagréments avec les passagers,
03:28 la Sina prépare toujours la monnaie avant de quitter son domicile.
03:32 - Souvent, je peux avoir une monnaie de 5 000 sous-monnaie,
03:35 souvent une monnaie de 2 000, une monnaie de 3 000.
03:37 Ça dépend de la journée, la monnaie que je gagne.
03:39 Si je gagne la monnaie, maintenant, je garde pour le lendemain,
03:42 pour mes passagers.
03:44 Si la monnaie finit maintenant, je l'informe.
03:46 - Après avoir tout apprêté,
03:48 il s'entretient avec son ami intime, Karim,
03:51 venu lui rendre une visite de courtoisie.
03:54 - Avant que moi, je le connaisse, moi, je me disais
03:56 que peut-être qu'il travaillait dans la fonction publique.
03:58 Etant chauffeur de barra, même,
04:00 et que tu t'habilles comme ça, par le travail, même,
04:02 ça fait un moment que je me suis approché de lui-même.
04:05 - Après les échanges, la Sina s'engage pour une nouvelle journée.
04:09 Une fois auprès de son municar, il s'assure de son état.
04:13 Une inspection minutieuse s'impose alors.
04:16 (musique)
04:19 Rassuré, la Sina part à la recherche de sa clientèle
04:35 sur l'axe Abobo PK18, commune d'Ajamé.
04:39 Le plus impressionnant chez la Sina,
04:41 c'est qu'il est à la fois chauffeur et apprenti.
04:44 - Les apprentis, ils aiment pas respecter mes passagers.
04:47 Donc, par rapport à ça, tout d'un coup,
04:49 ils disent non, après l'apprenti, j'ai arrêté.
04:51 Sous la vente, j'ai roulé avec l'apprenti.
04:53 C'est pas facile, mais en fait, on fait avec.
04:55 Nous-mêmes, les chauffeurs, il nous manque du respect.
04:57 Il commence avec les passagers, pas fini, il met sous nous.
05:01 Et souvent, aussi, les gars filent.
05:03 Donc, par rapport à ça, moi-même, j'ai décidé de rouler seul.
05:06 - Grâce à son apparence soignée
05:08 et tout le respect qu'il voue à sa clientèle,
05:10 il réussit à charmer de nombreux usagers
05:13 qui ne manquent pas de le complimenter.
05:15 - C'est ça, pour... En tout cas, il est bien.
05:17 Il roule pas fort, il se rend doucement.
05:19 Lui, en tout cas, il n'insulte pas les gens.
05:21 Il n'est pas comme les autres.
05:23 - Son style vestimentaire, sa propreté, son élégance
05:26 et son amour pour son métier, des véritables atouts pour lui.
05:30 Son baccalauréat est toujours plein.
05:32 Tous veulent être transportés
05:34 par les charmants et dynamiques chauffeurs.
05:37 - Je voulais monter dans un premier voie.
05:40 Ce chauffeur est venu me contacter.
05:43 Il est tellement bien habillé qu'il a inscrit confiance.
05:46 Je suis parti monter dans sa voiture.
05:49 Les autres ont commencé à se plaindre.
05:51 Je leur ai dit de dégager devant moi,
05:53 car celui-ci, là, il est bien habillé.
05:56 Quand tu montes dans sa voiture, tu te sens plus en sécurité.
06:00 Quand tu respectes ton métier, tu vas réussir dedans.
06:03 Mais ceux qui prennent leur métier comme...
06:06 avec la main gauche, là,
06:08 le métier aussi va les prendre avec la main gauche.
06:11 (brouhaha)
06:14 - À la gare d'Abobo, l'accoutrement de Lassine a séduit
06:17 et impressionne plus d'eux.
06:19 - Sa manière d'habiller, même, là,
06:21 ça a dit les clients de monter dans son camion.
06:23 Quand c'est un coin, un client peut pas faire foutre sur toi.
06:25 Même si un chauffeur, t'es sale, quand c'est un coin,
06:27 le client va toujours faire foutre sur toi.
06:29 - Pour éviter tout désaccord avec ses passagers,
06:32 Lassine les conduit toujours à destination,
06:35 contrairement à d'autres chauffeurs
06:38 qui, eux, profitent des embouteillages
06:40 pour laisser leurs passagers en coup de route.
06:42 - Parce qu'avec eux, on les prend,
06:44 et puis on les met dans les difficultés.
06:46 Les gars paient les transports,
06:48 et puis on les met encore, les gars, en marche, là.
06:50 Moi, dans mon coeur, je peux pas faire ça,
06:52 parce que c'est pas normal.
06:54 Parce que quelqu'un qui est avec nous,
06:56 il sent, il dit non, il va laver, non.
06:58 Et puis vous êtes tombés d'accord.
07:00 Et puis après, maintenant, arriver en coup de route,
07:02 c'est embouteillage, vous tournez à la personne.
07:04 Vraiment, c'est du péché. Moi, je peux pas faire ça.
07:06 Un peu que moi, je gagne, ça me suffit.
07:08 Parce que, un, je prends pas le péché de quelqu'un.
07:10 Les paroles maudites, ce n'est pas des vrais mots.
07:13 - L'amour de Lassina pour sa profession
07:16 le pousse à déployer tous les moyens
07:18 et surtout à prendre toutes les dispositions
07:21 pour ne pas rencontrer des difficultés.
07:24 - Il soit avec, pas la plus.
07:26 S'il pleut, je sais, moi, qu'il est en bas de ça.
07:28 - Lassina est aujourd'hui un modèle
07:30 pour les commerçants des friperies
07:32 dans la commune d'Adjami.
07:34 Ces derniers luttent en courage.
07:36 - Parfois, moi, je m'habille comme ça.
07:38 Tu vois, un chauffeur de bagarre, déjà, qui s'habille.
07:40 Donc, moi, pourquoi on n'est pas venu à Guinea-Piss
07:41 s'habiller comme ça aussi?
07:42 C'est parce qu'il a plu aujourd'hui,
07:43 c'est pour cela que je suis comme ça.
07:44 Sinon, chaque jour, ma vie en reste comme ça,
07:46 comme le vieux père.
07:47 C'est un vieux père, en tout cas.
07:48 Il m'inspire beaucoup.
07:49 - Ce jour, Lassina sensibilise les autres chauffeurs
07:52 à être des modèles
07:53 en adoptant un comportement exemplaire.
07:56 - Toi, tu es en train de prendre 20 personnes
07:58 dans ton véhicule.
07:59 Normalement, les doses, les boissons, les comprimés,
08:04 on peut arrêter ça.
08:05 Et de deux encore, il est temps de respecter les passagers.
08:08 - Lassina a un seul objectif, avoir son propre véhicule.
08:12 - Je mets à ma prière pour ça, avoir ma propre voiture.
08:15 - Lassina, l'élégant chauffeur, reste un modèle
08:18 pour les jeunes Ivoiriens et Africains.
08:21 Pour lui, il n'y a pas de saut métier.
08:24 Il faut juste s'armer de courage
08:26 et savoir saisir les opportunités
08:29 pour atteindre ses objectifs.
08:32 - Ça peut être aussi le symbole de ce que dans le transport,
08:35 l'habit est bien phallemoine.
08:37 Lassina Diakité, un chauffeur de transport très stylé
08:40 en sujet d'assistance d'Ira.
08:42 Rendons-nous à présent au quartier Kennedy d'Abobo
08:45 où un trou béant en pleine chaussée
08:47 est ouvert depuis quelques semaines.
08:49 Les automobilistes n'en peuvent plus.
08:51 Le trou devient de plus en plus immense
08:53 et constitue une sérieuse menace
08:55 à la bonne fluidité de la circulation.
08:57 Les Ivoiriens et les commerçants installés autour de cette voie
09:00 craignent aussi pour la sécurité de leurs enfants.
09:03 De tout petits, vous allez le voir,
09:05 qui ont transformé le trou en un espace de loisir.
09:08 Yakouba Koulibaly en dit en dira.
09:10 - Ce trou béant au coeur de la chaussée
09:13 d'une des voies qui traverse les quartiers Kennedy
09:16 dans la commune d'Abobo
09:18 constitue une sérieuse menace
09:20 à la bonne fluidité de la circulation.
09:22 Pour s'assurer la puissance quotidienne,
09:24 Souleymane est obligé de braver la pénible traversée de la voie.
09:28 - J'ai l'habitude de passer ici tout le jour,
09:30 mais à chaque fois que j'arrive au niveau du trou,
09:33 je sens un peu la peur à cause de l'état du trou.
09:36 Parce que c'est très, très dangereux.
09:38 À tout moment, la voiture peut descendre.
09:40 - Cette restauratrice subit au quotidien des désagréments.
09:43 - Quand il pleut, on peut pas s'asseoir ici.
09:45 On peut même pas vendre.
09:46 Ça gêne mon commerce.
09:47 Parce que souvent, quand les clients, ils arrivent comme ça,
09:50 si je sais, à cause de l'odeur qu'ils dégagent même,
09:54 souvent, les gars, ils refusent de manger.
09:56 Ils disent non, c'est bon, ça va.
09:58 - On déploie que ces odeurs nous empêchent vraiment de manger.
10:03 Le tout, le fait que ça grandit, les enfants ne peuvent pas jouer.
10:07 Parce qu'il y a eu un enfant même qui est décédé dans ce trou.
10:10 On ne veut pas que vraiment ce genre de situation se répète encore.
10:13 - Il y a des clients qui ont été blessés depuis des années,
10:15 à cause des moustiques, les femmes, les dames,
10:17 elles veulent des ordures des dents, les os sales.
10:20 - Ce sentiment d'effrayeur est partagé par cette rivéraine.
10:24 Elle craint pour la sécurité des plus petits,
10:27 qui n'hésitent pas à s'amuser à côté du trou, sans la moindre prudence.
10:32 - On souffre, on n'arrive pas à dormir.
10:34 Nos enfants, ils peuvent tomber malade.
10:36 On n'a pas l'argent pour aller à l'hôpital.
10:38 - En attendant un éventuel reprofilage de cette route,
10:41 les usagers et rivérains ont les regards tournés
10:45 vers les autorités compétentes.
10:47 - Vous avez certainement remarqué ces jardiniers installés
10:50 aux abords de nos routes et qui les embellissent.
10:52 La commune de Cocody particulièrement bénéficie du génie
10:55 de ces travailleurs d'art.
10:57 Aux deux plateaux, au carrefour Ena ou encore au carrefour Lavi,
11:00 leurs fleurs, leurs arbustes et leurs plantes grimpantes
11:03 ravissent la vue des usagers de ces routes.
11:05 Mais cela n'est pas sans conséquences,
11:07 puisque les clients, vous allez le voir,
11:09 les passants repartent toujours avec des fleurs.
11:12 Un sujet de Farida Sissé, Esiétra Auré.
11:15 - Le métier des jardiniers, Yacoub a l'air zeste
11:18 depuis 26 ans maintenant.
11:20 Il était rayoniste et n'a aucun regret d'avoir cet emploi.
11:23 Son amour pour les plantes fait de lui un homme heureux
11:27 et il gagne bien son pain.
11:29 À ses côtés, ce stagiaire à qui il transmet
11:32 les secrets du jardinage.
11:34 - Je dirais des dents. Je ne dirais pas qu'il n'y a pas mieux
11:37 que des dents, seulement tu fais ça, tu peux nourrir ta famille,
11:40 tu peux t'en sortir en fait.
11:42 Nous, on a toutes les variétés ici.
11:44 La variété qu'il faut comme maison, dehors, jardin, autour,
11:47 on a tout.
11:49 - Yacoub Zeba a trouvé sa voie après avoir abandonné l'école.
11:52 Le jardinage lui réussit plutôt bien.
11:55 - Quand j'ai quitté l'école, j'ai décidé d'être jardinier
11:58 parce que j'aime tellement les plantes.
12:00 Je suis venu apprendre pour devenir jardinier
12:02 parce que j'aime le travail.
12:04 - Cet ancien ouvrier des BTP, réconverti en jardinier
12:07 paysagiste, adore les plantes et en connaît les secrets.
12:10 Son quotidien s'articule autour des arrosages,
12:13 des compositions de commandes et d'entretiens.
12:16 Il aide ses clients dans le choix de leurs plantes
12:19 en harmonie avec leurs attentes.
12:21 - Le matin, quand je viens au travail, je vérifie les plantes,
12:24 si vraiment les plantes vont bien, s'il faut les arroser,
12:27 s'ils ont besoin de l'engrais, s'il faut les traiter.
12:30 Voilà, tout à l'instant, je suis en train de faire
12:33 des compositions de plantes.
12:35 C'est une commande.
12:37 Il y a une dame qui vient de la cité et elle est en train
12:40 de composer pour qu'elle puisse nous cesser.
12:43 On a différentes plantes ici, il y a l'aloe vera,
12:46 il y a le passyra, on a les cannes de Moïse,
12:49 on a les palmiers rouges, en tout cas, on a pas mal
12:52 de plantes ici.
12:54 On a des sandrianas, on a des antibiostiques,
12:57 antisorciers, en tout cas, l'isop, c'est une plante
13:00 qui sasse les mauvais esprits.
13:02 Les palmiers sica, c'est une plante de paix,
13:05 une plante qui attire aussi la richesse.
13:08 - Un échange entre une habitude et des lieux,
13:11 comme elle l'appelle.
13:13 Elle croit à l'énergie positive des plantes.
13:16 - Quand je suis venue acheter les plantes, je ne connaissais
13:19 pas vraiment et je lui ai demandé de conseils,
13:22 il m'a conseillé d'autres plantes. Et aujourd'hui,
13:25 grâce à lui, j'ai l'amour des plantes. À chaque fois,
13:28 quand je passe pour un pot, je viens lui demander
13:31 qu'est-ce que ça apporte, qu'est-ce que ça fait
13:34 dans la maison, où on doit mettre ceci, où on doit mettre cela.
13:37 Grâce à lui, je connais un peu dans les plantes.
13:40 - C'est plein de bonheur, ça apporte plein de choses
13:43 positives.
13:46 - Tout le monde ne peut pas s'offrir des fleurs.
13:49 C'est le cas du bamougo François. Bien qu'il aime les plantes,
13:52 il ne peut en acheter.
13:55 - J'aime des plantes, mais ma maison est très petite,
13:58 donc je n'ai pas de plantes chez moi. Quand j'aurai une grande
14:01 maison, j'aurai beaucoup de plantes chez moi.
14:04 - Didiane Pizongo est également jardinier dans la commune
14:07 de Villeneuve. Il a une vie symbolique au-delà du simple
14:10 embellissement du cadre de vie.
14:13 - L'ice de paix, c'est une plante qui est bonne à l'intérieur
14:16 et qui s'observe de l'humidité aussi. Il y a des hommes
14:19 qui appellent ça la langue de Vellemey. Quand c'est dans la
14:22 citoye ou dans la maison, la Vellemey, elle n'arrive pas
14:25 à te parler mal aussi.
14:28 - Les fleuristes et jardiniers ont les mains vertes.
14:31 Ils donnent une autre coloration à l'environnement
14:34 et à leurs clients. Bien plus, ils participent à la réduction
14:37 de l'impact carbone. Ces plantes et ces fleurs contribuent
14:40 à l'équilibre de la nature.
14:43 - La Côte d'Ivoire a sollicité un atelier de formation
14:46 auprès de l'ONUDI, l'Organisation des Nations Unies
14:49 pour l'Industrie. Objectif, diagnostiquer et définir
14:52 des indicateurs pour booster l'écosystème de l'innovation
14:55 industrielle dans le pays. Cet atelier s'est tenu
14:58 au Centre de démonstration et de promotion technologique.
15:01 Bintou Bekele.
15:04 - Ils sont à l'école de l'ONUDI pour l'innovation industrielle.
15:07 Ce sont 30 chercheurs d'université, du laboratoire,
15:10 des ministères de l'industrie, de l'agriculture,
15:13 de l'économie numérique, de la santé et des acteurs
15:16 du secteur privé. Ces 30 auditeurs participent
15:19 à l'atelier de formation du dernier cycle
15:22 de l'écosystème de l'innovation pour le développement
15:25 industriel en Côte d'Ivoire. Et leurs attentes sont détaillées.
15:28 - Un de nos objectifs au sein de notre institution,
15:31 c'est de pouvoir développer des start-up au niveau
15:34 des différentes innovations qui sont mises en oeuvre
15:37 dans les différentes unités de formation et de recherche
15:40 de l'Université Félix-Frederic Boyne.
15:43 - Nous sommes dans une dynamique de transformation locale.
15:46 Tous ces différents profils, ces différents acteurs-là
15:49 pourront nous aider justement à pouvoir accompagner
15:52 ces entrepreneurs-là dans la mécanisation de leur process.
15:55 - Pour répondre à toutes ces attentes, un expert
15:58 de l'ONUDI et des acteurs de l'Institut coréen
16:01 de l'innovation technologique ont envoyé à la demande
16:04 de l'État de Côte d'Ivoire.
16:07 - L'objectif, c'est de renforcer tous les acteurs
16:10 pour pouvoir renforcer nos capacités en termes
16:13 de diagnostic. Et à la suite de ce diagnostic-là,
16:16 on va définir des indicateurs très clairs sur lesquels
16:19 il faut travailler pour que nos entreprises soient innovantes,
16:22 pour que nos inventions et nos résultats de recherche
16:25 soient valorisés pour contribuer au développement industriel.
16:28 - On a développé des outils pour utiliser des bases
16:31 de données internationales pour faire un comparatif,
16:34 un exercice de comparaison de la Côte d'Ivoire
16:37 par rapport aux autres pays, identifier des opportunités,
16:40 des faiblesses, des points forts.
16:43 - Le CDT, Centre de démonstration et de promotion
16:46 de technologie, est choisi pour offrir
16:49 ces deux jours de travaux.
16:52 - La Côte d'Ivoire fait partie des pays africains
16:55 qui ont osé en matière d'innovation.
16:58 Elle a créé un institut de recherche, qui est IDT,
17:01 et en plus, elle a créé le CDT.
17:04 Et c'est à juste raison que les Nations unies
17:07 ont fait de la Côte d'Ivoire le pays pilote
17:10 pour implémenter un peu cette stratégie d'accompagnement
17:13 des pays en voie de développement
17:16 à l'effet d'accroître leur capacité dans l'innovation.
17:19 - L'atelier de formation pour le diagnostic
17:22 de l'écosystème de l'innovation industrielle
17:25 organisé par l'ONUDI permettra aux structures existantes
17:28 de l'innovation industrielle en Côte d'Ivoire
17:31 de fédérer leurs forces pour la valorisation
17:34 de leurs résultats de recherche.
17:37 Et l'ONUDI s'engage pour un accompagnement continu
17:40 en vue de faire de la Côte d'Ivoire
17:43 la plus grande innovation industrielle en Afrique.
17:46 - Dans le chapitre santé, parlons maintenant
17:49 et en image de la ménopause, la baisse naturelle
17:52 des hormones sexuelles chez les femmes
17:55 à l'âge de 40 à 50 ans.
17:58 C'est une période que les femmes vivent parfois difficilement.
18:01 Certaines se retrouvent surprises par la ménopause,
18:04 pourtant elles désirent toujours enfanter.
18:07 D'autres subissent au quotidien les symptômes de cette période.
18:10 Nous allons maintenant parler de la ménopause
18:13 et de l'élimination de la ménopause.
18:16 Nous allons parler de la ménopause
18:19 et de l'élimination de la ménopause.
18:22 Nous allons parler de la ménopause
18:25 et de l'élimination de la ménopause.
18:28 Nous allons parler de la ménopause
18:31 et de l'élimination de la ménopause.
18:34 Nous allons parler de la ménopause
18:37 et de l'élimination de la ménopause.
18:40 Nous allons parler de la ménopause
18:43 et de l'élimination de la ménopause.
18:46 Nous allons parler de la ménopause
18:49 et de l'élimination de la ménopause.
18:52 Nous allons parler de la ménopause
18:55 et de l'élimination de la ménopause.
18:58 Nous allons parler de la ménopause
19:01 et de l'élimination de la ménopause.
19:04 Nous allons parler de la ménopause
19:07 et de l'élimination de la ménopause.
19:10 Nous allons parler de la ménopause
19:13 et de l'élimination de la ménopause.
19:16 Nous allons parler de la ménopause
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