Covid-19 - "Les politiques n'ont pas écouté la détresse de nos enfants !" - Emmanuelle Darles

  • l’année dernière
Avec Emmanuelle Darles, auteur de « Ne touchez pas à nos enfants. Masque, mesures sanitaires, vaccin Anti Covid 19 : l’impact chez les enfants » aux éditions books on demand

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Transcript
00:00 Sud Radio Bercov dans tous ses états,
00:02 le face à face.
00:05 Le face à face d'André Bercov avec Emmanuelle Darle pour son livre "Ne touchez pas à nos enfants, masques, mesures sanitaires,
00:12 vaccins anti-covid-19, l'impact chez les enfants" aux éditions Bookson de mode. Bonjour Emmanuelle Darle.
00:17 Bonjour. Alors Emmanuelle Darle, vous êtes universitaire, vous êtes enseignante cherchée au CNRS, membre du conseil scientifique
00:23 indépendant et le dit conseil scientifique indépendant, vous allez nous expliquer ce que c'est
00:28 parce que les autres ne sont pas indépendants, mais enfin vous allez nous expliquer, vous étiez hier au parlement européen
00:34 avec toute une délégation, pourquoi et qu'est ce qui s'est passé ?
00:38 Alors tout à fait, on était hier avec notamment Louis Fouché et Vincent Pavant qui font partie également du conseil scientifique indépendant
00:46 dans le cadre de l'international Covid Summit, en fait, qui est un
00:50 qui est un congrès dans lequel en fait on évalue des données statistiques
00:55 mais également des protocoles de traitement pour en discuter justement. Vous êtes nombreux, c'est international ? Oui tout à fait, il y avait notamment Robert Malone,
01:04 Ryan Cole,
01:07 plusieurs personnes qui ont pris position
01:09 de par leur expertise et donc nous nous sommes adressés à plusieurs parlementaires européens
01:18 pour
01:20 pour montrer différents travaux, différentes analyses, une autre lecture de la lecture on va dire officielle. Et vous avez été reçus comment ?
01:27 Alors nous avons été
01:30 on a été très bien reçus, oui, il n'y a pas eu full de députés clairement, mais
01:36 le peu en tout cas
01:39 le nombre de députés était assez restreint, ils étaient...
01:44 Combien, une trentaine ?
01:46 Non, même pas.
01:47 Vous avez la petite minorité, c'est encore la...
01:49 Oui, tout à fait.
01:51 Non, mais il y en avait en tout cas.
01:53 Tout à fait, il y en avait, ils ont été assez ouverts et au contraire ils étaient plutôt positifs et assez, on va dire, de notre côté.
01:59 Attentifs, oui.
02:00 Voilà, tout à fait.
02:01 Oui, mais madame Ursula von der Leyen a encore sa puissante majorité, on est bien d'accord.
02:05 Oui, tout à fait.
02:06 Mais en fait, beaucoup disent d'ailleurs que le Parlement... On se demande ce que joue, quel rôle du Parlement européen, mais c'est une autre affaire.
02:11 Et alors vous, effectivement, vous avez, vous avez, dès le début de la
02:17 pandémie, appelons-le comme on veut, vous avez pris position et surtout vous avez écrit un livre,
02:23 un livre très passionnant, d'ailleurs le titre est très explicite, "Ne touchez pas à nos enfants".
02:29 Et vous dites, dans la prière d'un séré, "Depuis janvier 2022",
02:34 2022, donc un an et demi presque, "pas moins de 48 protocoles sanitaires scolaires
02:39 se sont succédés, provoquant mal-être et souffrance chez les enfants et les adolescents".
02:43 Vous avez fait un livre, donc effectivement on peut dire, d'ailleurs tout le monde s'accorde à dire,
02:47 qu'on comprend que chez les personnes depuis 65 ans, 70 ans ou 80 ans, il y a des problèmes,
02:53 et s'il s'agit de les... Évidemment, on ne va pas les laisser sans soins,
02:58 et puis le vaccin, on est pour, on est contre, c'est un problème, peut-être, moi je...
03:02 Il fait un bon trou, disons, il corrige certaines choses, en tout cas sur les mots les plus...
03:10 Mais la chose, c'est les enfants, c'est les adolescents.
03:14 Et on a bien vu que dès le début d'ailleurs, même quand on ne savait pas quels étaient les effets
03:19 de transmission et de protection, on a bien vu que l'histoire des enfants a quand même beaucoup heurté.
03:25 Et votre livre est plein de témoignages, on va en parler tout de suite après cette petite pause.
03:30 Emmanuel Darle, qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce que vous avez recueilli ?
03:34 Et restez bien avec nous, on se retrouve tout de suite, et vous pouvez interpeller Emmanuel Darle
03:38 pour son livre "Ne touchez pas à nos enfants, masques, mesures sanitaires, vaccins, anti-Covid-19,
03:42 l'impact chez les enfants" au 0826-300-300, on attend vos appels, 0826-300-300.
03:48 A tout de suite sur Sud Radio.
03:50 Ici Sud Radio.
03:53 Les Français parlent au français.
03:58 Je n'aime pas la blanquette de veau. Je n'aime pas la blanquette de veau.
04:04 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
04:07 Il y a une magnifique chanson de Jacquie Gelin, vous la connaissez tous, on la passe souvent ici à Bercov dans tous ses états.
04:12 "Alertez les bébés, alertez les bébés".
04:15 Vous, vous avez alerté les parents en disant "Ne touchez pas à nos enfants", Emmanuel Darle.
04:20 Alors, qu'est-ce qui s'est passé ? On ne va pas raconter toute l'histoire, mais sur les enfants.
04:26 Parce qu'on a dit "Il faut vacciner tout le monde, tous vaccinés, tous protégés".
04:30 C'est le slogan partout, et on se rappelle très bien de la petite fille qui allait embrasser sa grand-mère.
04:36 Et on voyait cette vidéo assez hallucinante, la grand-mère se retrouvait intubée.
04:41 Donc, c'était les petits enfants qui empoisonnaient littéralement leurs grands-parents.
04:45 Alors, qu'est-ce qui s'est passé vraiment ? L'impact ?
04:48 Alors, ce qui s'est passé, c'est que dès le début, en fait, on a terrorisé les parents en leur faisant croire que leurs enfants, en fait, étaient un potentiel danger pour eux-mêmes.
04:58 On les a surnommés comme étant des "superspreaders".
05:03 - Vous voulez dire "transmetteurs du virus", du coronavirus.
05:08 - Tout à fait, et à ce titre, en fait, on a commencé à les masquer, on a confiné la population au niveau général.
05:15 Mais, et puis, on a parlé après, on les a... En tout cas, il y a eu 50% des 12-17 ans qui ont été injectés.
05:23 - Mais ce n'est pas des chiffres précis, parce qu'on vous dira "Je ne veux pas faire l'avocat des... Il ne s'agit pas de Provax ou Antivax".
05:29 Mais on vous dit "Oui, mais enfin, c'est une minorité infime par rapport aux milliards de gens qui se sont fait injecter, vacciner et qui n'ont pas de problème".
05:38 - Alors, au niveau des chiffres, on a des données assez précises.
05:42 On peut comparer le bénéfice, le soi-disant bénéfice, par rapport donc à la maladie elle-même.
05:49 On voit que sur la période, sur la même période, donc qui couvre, on va dire, 2021-2022,
05:55 on a 324 hospitalisations d'adolescents âgés de 10 à 19 ans.
06:02 A contrario, dans les données brutes de la NSM, on a 892 cas graves.
06:07 On voit très bien qu'il n'y a aucun bénéfice à vacciner des personnes qui ne sont pas touchées par une épidémie,
06:14 mais aussi et surtout à leur insuffler un sentiment de terreur, puisqu'on connaît aujourd'hui les conséquences.
06:20 On a une augmentation de quasiment 300% de gestes suicidaires chez les adolescents âgés de moins de 15 ans.
06:27 Le niveau de saturation des hôpitaux pédiatriques en termes de tout ce qui porte sur la santé psychique est toujours en augmentation.
06:39 Il y a eu une enquête qui a été menée, donc en cours de...
06:44 Donc par Santé publique France, on aura les résultats en juin.
06:50 Mais en fait, on a passé un petit peu sous silence la détresse de tous les enfants,
06:55 à qui on a masqué, à qui on a refusé finalement, qu'on a isolé.
07:01 - Et puis les enfants ont besoin de voir le visage, ont besoin de voir la bouche s'exprimer,
07:06 on a besoin de voir... Effectivement, c'est une structuration aussi pour les enfants au départ.
07:12 - Tout à fait, et puis un enfant a aussi besoin de repères.
07:14 Quand on change leur quotidien avec des protocoles sanitaires tous les 15 jours, comme ça a été fait,
07:21 c'est pas possible.
07:24 On a quand même affaire à des enfants jeunes, des enfants de 6 ans.
07:28 C'est pas un adolescent de 18 ans.
07:31 - Et d'ailleurs, vous avez recueilli, votre livre est passionnant de ce point de vue-là, je le recommande,
07:37 vous avez énormément de témoignages de parents, de parents très divers,
07:41 et au fond, qu'est-ce qui ressort ?
07:43 Parce qu'on ne peut pas évidemment les citer tous, mais qu'est-ce qui ressort ?
07:46 On va parler aussi des chiffres, Emmanuel, mais qu'est-ce qui ressort de ces témoignages ?
07:52 - Ce qui ressort, c'est avant tout une très grande souffrance qui a été causée par ces protocoles sanitaires,
07:58 donc la souffrance des parents, et également bien sûr la souffrance de leur enfant.
08:04 On a eu, à titre d'exemple, le cas d'une petite fille de 6 ans
08:09 qui a dû se nourrir pendant 2 mois à la paille,
08:13 puisqu'elle a développé une mycose au niveau de la bouche, due au masque.
08:17 - Due au masque, oui.
08:19 - 2 mois, se nourrir à la paille.
08:21 Moi-même, mon fils est tombé dans le mutisme pendant une semaine,
08:24 après qu'on lui ait demandé de remettre son masque après chaque bouchée à la cantine.
08:28 - Bon, vous venez de dire "prenez une bouchée", on disait "remets le masque".
08:31 - Tout à fait.
08:32 L'enfant de Roxane Chaffey, qui est la fondatrice des Maman Louvre,
08:38 son enfant avait 3 jetons pour respirer par jour.
08:45 C'est d'une violence inqualifiable.
08:47 - Attendez, 3 jetons pour respirer ?
08:49 - Tout à fait, on a donné des jetons à son fils,
08:51 chaque élève avait 3 jetons pour pouvoir prendre une bouffée d'oxygène,
08:56 en abaissant un petit peu son masque, tout à fait.
08:59 On en est arrivé à ce stade quand même.
09:02 Et dans le déni général des problèmes qui ont été posés,
09:08 dans le déni de Jean-Michel Blanquer,
09:11 dans le déni de l'ensemble des syndicats, même de l'éducation nationale,
09:15 dans le déni de beaucoup de parents aussi.
09:18 Puisque finalement, on a eu affaire à des parents qui étaient véritablement terrorisés,
09:24 même après l'obligation du port du masque en milieu scolaire,
09:30 il y a eu des parents qui ont continué à masquer leur enfant parce qu'ils avaient peur.
09:34 Tout ça, on ne connaît pas encore les répercussions sur le moyen et long terme,
09:38 mais en tout cas, ce qui est sûr, c'est qu'elles vont arriver.
09:41 - En fait, il y a eu un management par la peur, un gouvernement par la peur,
09:44 sinon par le chaos, c'est ça.
09:47 Mais effectivement, vous dites, je voudrais que vous nous donniez d'autres exemples de témoignages,
09:51 parce qu'en fait, on a dit aux gens, très bien, confinés aujourd'hui,
09:56 d'ailleurs, ceux-mêmes qui ont donné le confinement,
09:58 disons, se demandent si c'était utile ou pas,
10:01 et ils posent la question de l'inutilité.
10:04 On l'a vu, d'ailleurs, c'est mondial, ce n'est pas seulement français.
10:08 Mais ce côté des enfants que vous, vous dites,
10:11 justement, l'impact, c'est-à-dire que, pensez qu'il y a, je ne dirais pas,
10:16 allons pas jusqu'à la génération sacrifiée,
10:18 mais quelque chose a vraiment impacté de façon extrêmement forte
10:23 chez les jeunes, les enfants, etc.
10:26 - Alors, tout à fait. Alors déjà, d'un point de vue scolaire,
10:29 l'ensemble du monde enseignant s'accorde à dire que les enfants,
10:34 tous cycles confondus, ont perdu un an au niveau de leur apprentissage.
10:39 Mais après, plus précisément au niveau de l'impact,
10:43 nous, on a eu, alors je parle, on va dire, dans les collectifs unis d'Enfance et Liberté,
10:48 que je suis de près, les Maman Louvre,
10:51 on a des témoignages très forts, par exemple, d'enfants qui étaient
10:55 soit autistes, ou qui avaient même des problèmes respiratoires, de l'asthme,
11:00 à qui on a obligé de porter un masque,
11:03 en leur disant "si votre enfant ne porte pas le masque,
11:06 il sera tout seul au fond de la cour de récréation,
11:09 il passera sa récré tout seul, il sera au fond de la classe".
11:13 - On a dit ça, vous avez des témoignages précis là-dessus.
11:16 - Tout à fait, tout à fait. Et il y a eu même,
11:18 il y a eu à un moment donné un grand recours au Conseil d'État,
11:23 à peu près plus de 1000 par an,
11:26 il y a eu deux recours, spécifiquement,
11:29 les deux ont été classés, on va dire, sans suite,
11:32 nous on voulait, on a juste demandé une étude d'impact.
11:35 Le Conseil d'État nous a dit "vous ne pouvez pas demander une étude d'impact".
11:40 - Mais pourquoi ? Quelles raisons ont-ils invoquées ?
11:42 - Aucune, que c'était comme ça, et qu'on devait l'accepter.
11:47 - Circuler, il n'y a rien à voir. - Tout à fait.
11:49 - On va en reparler tout de suite, on va continuer avec vous Emmanuel Darle,
11:53 après cette petite pause, à tout de suite.
11:56 - Eh oui, c'est tout à fait normal, écoutez, tout le monde a peur de mourir,
12:13 tout le monde a peur quand on leur dit "ça y est, c'est fini,
12:16 si vous ne faites pas ça, eh bien, il va vous arriver des choses terribles".
12:21 Et je le dis, je le redis encore, qu'à un moment donné, je parle d'il y a deux ans,
12:25 on aurait dit aux Français, comme ailleurs,
12:27 "vous allez circuler à cloche-pied avec une petite plume quelque part",
12:31 eh bien je suis sûr que trois quarts de la population
12:33 auraient circulé à cloche-pied avec une plume quelque part.
12:36 C'est normal, on a peur.
12:37 Alors Emmanuel Darle, vous, vous parlez de ce qui s'est passé aussi avec les enfants.
12:42 L'impact sur les enfants, et très vite on a dit "mais attendez,
12:45 la possibilité pour les enfants soit de recevoir, soit d'être contaminés,
12:51 soit de contaminer est proche de 0,00003%.
12:57 On n'a pas tenu compte, tous vaccinés, tous protégés.
13:00 Au fond, comment les gens ont vécu cette évolution
13:05 de ce qui se passait jour après jour, en 2020, 2021, etc.?
13:11 Alors, ce qu'on voit dans les chiffres, parce que je m'en tiens un peu aux chiffres,
13:18 clairement, c'est que d'une part, cette épidémie, elle est très très contestée,
13:23 ce qu'on peut observer depuis les données de mortalité,
13:26 de Santé publique France, mais également au niveau international,
13:30 ce qu'il y a les données sur Warden Data ou d'autres bases,
13:35 c'est que finalement, cette épidémie a touché principalement
13:38 les personnes de plus de 90 ans, qui étaient bien...
13:40 - 90 ans, vous dites ?
13:41 - Tout à fait. Bien loin du système éducatif.
13:45 La surmortalité, elle est présente chez les personnes de plus de 65 ans,
13:50 avec un pic autour de 80-85 ans.
13:53 - Surtout que l'espérance de vie est de 84 ans, ce qui est déjà...
13:56 - Tout à fait. En fait, c'était surtout des personnes qui étaient,
13:59 finalement, en état d'extrême fragilité.
14:02 A cela s'ajoute le protocole Rivotril, que Pierre Chaillot a largement dénoncé.
14:08 - En fait, c'est la surmortalité dans les années précédentes,
14:11 le Covid, c'était ça. On mourrait de grippe, 15 000 personnes par an,
14:16 en France, grosso modo.
14:18 - Tout à fait. On n'a pas masqué, on n'a pas vacciné les enfants
14:22 avec le vaccin anti-grippe, par exemple.
14:24 On n'a jamais imposé quoi que ce soit aux personnes qui n'étaient pas fragiles.
14:30 Il faut respecter la liberté.
14:34 On peut se vacciner si on en a envie, mais il ne faut pas contraindre, bien sûr,
14:39 et encore moins des enfants, ou les terroriser, manipuler leurs parents
14:43 pour leur faire accepter l'inacceptable.
14:45 Puisque derrière, il y a aussi beaucoup une manipulation mentale,
14:48 une manipulation psychique, à travers des processus pervers.
14:54 Ariane Billerand en a beaucoup parlé.
14:56 - Comme par exemple ? Donnez quelques exemples de manipulations psychiques.
15:00 - Tout simplement, quand vous arrivez tous les soirs à 19h pour faire un macabre décompte,
15:09 vous insufflez une terreur chez les gens, vous les conditionnez,
15:14 et après, du coup, ils ont peur un petit peu de tout,
15:17 ils se mettent dans la tête que c'est un virus extrêmement mortel,
15:21 et qui plus est quand vous manipulez les chiffres,
15:23 parce que les chiffres ont été manipulés frauduleusement.
15:26 - Il faut juste un mot à Emmanuel Darle.
15:28 On a peut-être confondu les morts du Covid et les morts avec le Covid.
15:33 - Bien sûr. - Il y avait d'autres mortalités, d'autres causes de mortalité.
15:36 - Tout à fait, et c'est d'ailleurs pour ça que Santé publique France refuse l'accès aux données,
15:42 des mortalités par cause de décès.
15:46 - Oui, on voulait comparer les décès et les vaccinations,
15:49 ce qu'a demandé Laurent Toubianna, Pierre Chaillot et autres,
15:52 ils ne les ont jamais eues, quoi. Secret défense.
15:54 - Tout à fait, et ça aurait été des données intéressantes, même depuis le départ,
15:59 pour voir ce qu'il se passe un petit peu au niveau de la mortalité en France.
16:03 Mais on nous refuse l'accès à ces bases.
16:06 On a réussi, non, à se procurer avec Vincent Pavan, les données brutes de l'ANSM.
16:11 - Emmanuel Darle, de ce point de vue-là, je me refais le...
16:14 Mais c'est vrai, il y a quand même, il faut le dire,
16:17 ou alors vous allez me dire ça va avoir un peu plus tard,
16:19 mais il y a eu quand même, encore une fois, plusieurs milliards de personnes
16:21 qui se sont faites vacciner, qui ne sont pas mortes.
16:23 - Bien sûr, mais... - Qui ne sont pas atteintes.
16:26 - Bien sûr, mais l'affaire du Mediator, c'est entre 1600 et 2600 décès.
16:31 Aujourd'hui, dans les données brutes de l'ANSM, on en est à plus de 2800.
16:35 - Oui, le Mediator, c'est, oui, cette fameuse scandale qu'il y a eu.
16:40 Effectivement, et qui n'est pas terminée.
16:44 Mais vous, vous dites en fait, au fond, ce que vous voulez aujourd'hui,
16:49 c'est, avec le Conseil scientifique indépendant,
16:52 c'est de rétablir une certaine vérité, et de dire,
16:58 est-ce qu'on va continuer comme ça, parce qu'on annonce d'autres pandémies,
17:01 enfin certains annoncent d'autres pandémies, d'autres...
17:05 Est-ce que, au fond, aujourd'hui, vous dites, arrêtez non pas le délire,
17:11 mais dites les choses comme elles sont,
17:13 donnez les vrais chiffres, donnez les vraies données, c'est ça ?
17:16 - Tout à fait, on a besoin de transparence.
17:18 On a besoin de transparence au niveau national,
17:20 mais également au niveau européen, au niveau international même.
17:24 On a besoin de pouvoir faire analyser les données brutes,
17:29 les données brutes officielles, par des enseignants-chercheurs,
17:37 comme nous sommes avec Vincent, indépendants et neutres,
17:40 sans aucun conflit d'intérêts.
17:42 - Voilà, j'allais vous parler de cela, les conflits d'intérêts, oui.
17:44 Est-ce que, à votre avis, c'est ce qui a joué aussi, je dirais,
17:48 soyons clairs, Big Pharma et l'argent de Big Pharma,
17:52 et on sait que ça sort par centaines de milliards,
17:55 ça a joué un rôle non négligeable, à votre avis ?
17:58 - Alors, nous n'avons pas de certitude à ce niveau-là,
18:02 mais effectivement, on pense quand même,
18:04 il faut quand même se rappeler que les 400 000 morts
18:07 annoncées par Emmanuel Macron, au départ,
18:09 c'était suite à une simulation de Niels Ferguson,
18:12 qui est donc un chercheur... - Le modélisateur, c'est ça ?
18:15 - Tout à fait, et qui est financé par Bill Gates,
18:18 qui a reçu 2,4 millions d'euros...
18:20 - Oui, mais on peut être financé par Bill Gates,
18:23 et n'être pas un type complètement corrompu, mais enfin bon...
18:26 - Tout à fait, mais c'est quand même Bill Gates
18:28 qui tient une bonne partie des rênes à l'OMS aussi,
18:30 on le retrouve dans pas mal d'endroits assez...
18:33 - Et alors, à votre avis, ça, oui, c'est vrai que les 400 000 morts,
18:37 il a dit ça à Trump, il a dit ça à tout le monde, Ferguson,
18:40 il a fait la tournée des popotes en disant
18:42 "ça y est, le monde est en train de mourir", enfin, ou presque.
18:45 Et vous voulez quoi aujourd'hui ?
18:48 En fait, Emmanuel, là, vous, le conseil,
18:50 en fait, tous les gens qui se battent, les personnes qui se battent,
18:53 que ce soit médecins, chercheurs, soignants et citoyens,
18:56 vous voulez quoi ? Vous voulez en fait que tout soit mis sur la table ?
19:00 C'est ça ? - Tout à fait, nous, ce qu'on réclame
19:03 depuis plus de deux ans, c'est un vrai débat public,
19:07 notamment avec les personnes qui ont pris des décisions,
19:12 que ce soit des parlementaires ou même des chercheurs,
19:18 par exemple, de l'Institut Pasteur,
19:20 notamment avec Simon Cochemez, à titre d'exemple.
19:23 Nous, ce qu'on veut, c'est débattre,
19:26 ce qu'on veut, c'est pouvoir confronter les idées,
19:28 la science se construit dans le débat,
19:30 et donc nous demandons également plus de transparence,
19:35 de reproductibilité,
19:37 que les conflits d'intérêts, s'il y en a qui doivent être mis sur la table,
19:43 et communiquer en amont,
19:46 et pas découvrir, comme par exemple, qu'on a pu découvrir
19:51 que Karine Lacombe avait des conflits d'intérêts avec Gilead, etc.
19:55 - Gilead, oui, le phargorhème des civils.
19:58 - Tout à fait, d'autres joyeusetés,
20:00 et ça, c'est pas normal dans une démocratie,
20:03 où justement, on doit s'assurer que le principe de neutralité et d'indépendance
20:08 soit bien respecté.
20:10 - Et bien, effectivement, on va voir si ce sera suivi,
20:15 ça on le saura très très vite,
20:17 et je crois que beaucoup d'auditeurs ont envie de vous interroger aussi,
20:22 Emmanuel Darle, fait des marges sur ce problème qui nous a tous traumatisés,
20:27 il faut le dire, pendant 2 ans, 3 ans, et c'est pas fini.
20:30 - Oui, vous avez la parole sur Sud Radio 0826 300 300 pour interpeller Emmanuel Darle,
20:36 et on l'accueille, Emmanuel de PESAC, bonjour Emmanuel.
20:39 - Bonjour Emmanuel.
20:40 - Bonjour André, bonjour Emmanuel du coup, joli prénom !
20:44 Moi je suis, je me permets de vous appeler, merci de me donner la parole,
20:48 moi je suis effaré sur l'attaque sur les enfants,
20:51 que ce soit sanitaire ou que ce soit psychologique,
20:54 j'en veux un peu aux parents qui se révoltent pas suffisamment,
20:57 moi quand je vois tout ce qui s'est passé, évidemment,
21:00 pendant ce que vous décrivez, et merci pour votre combat,
21:03 je vois aussi les drag queens qui font des incursions dans les écoles,
21:07 qui n'ont absolument rien à faire dans une école,
21:10 et on peut pas me traiter d'homophobie,
21:12 un des copains de mon père c'était Michou et je l'ai connu moi-même,
21:15 et lui c'est quelqu'un d'adorable, et y'a pas de police des braguettes,
21:18 je veux dire la chose est différente,
21:20 et je trouve que c'est une, vous savez,
21:23 peut-être que ces propos vont hérisser le poil de beaucoup,
21:26 mais toutes les dictatures ou démocratures
21:29 ont mis la main sur les enfants le plus tôt possible,
21:32 parce que ce sont des gens qui sont malléables,
21:34 ce sont des gens qui sont effectivement en pleine construction,
21:37 et on autorise des choses aujourd'hui
21:39 qui étaient sous le coup de la loi il y a quelques années,
21:41 moi ça me rend dingue, j'ai des enfants qui sont grands maintenant,
21:44 parce que j'ai une cinquantaine d'années,
21:46 et je ne suis, pour vous dire, je ne suis même plus en envie,
21:49 pour l'instant, évidemment j'en ai envie,
21:52 qu'ils aient des petits enfants aujourd'hui,
21:54 parce que quand je vois comment ils seront à l'école,
21:58 ce qu'on leur apprendra, on va leur apprendre à changer de sexe,
22:01 mais ils ne sauront ni compter, ni lire, ni écrire,
22:03 ça me rend fou,
22:06 et ce qui me rend fou c'est l'inertie aussi derrière,
22:08 et je vous remercie de votre combat, madame,
22:10 et à vous André, et aussi à Marie-Estelle Dupont,
22:14 et à tous ceux qui se...
22:16 On est dans l'inversion des valeurs en fait,
22:18 les anciens doivent défendre les jeunes,
22:20 et aujourd'hui on a les anciens qui veulent sacrifier les jeunes
22:22 pour leur confort,
22:24 et ça, ça me rend fou, et je finirais juste sur une citation,
22:26 et je ne vous embête pas, vous me connaissez de temps en temps,
22:28 vous m'avez au téléphone de temps en temps,
22:30 - Non, vous ne nous embêtez jamais, au contraire, Emmanuel, oui, dites.
22:32 - "Il n'y a point de plus cruelle tyrannie
22:34 que celle que l'on exerce à l'ombre des lois
22:36 et avec les couleurs de la justice",
22:38 et c'est de Montesquieu, et on est en plein dedans,
22:40 à tous les niveaux, et moi ça me rend fou,
22:42 et en tout cas, merci de m'avoir donné la parole,
22:44 et merci pour votre combat, continuez.
22:46 - Merci, alors Emmanuel Darb, justement,
22:48 voilà, Emmanuel,
22:50 qui se dit, mais,
22:52 qu'est-ce qui se passe à la niveau,
22:54 parce que c'est vrai qu'on a l'impression qu'il y a une espèce de
22:56 de mise en condition,
22:58 de, je ne dis pas,
23:00 on ne va pas parler de dictature,
23:02 mais on a l'impression qu'on veut vraiment normaliser,
23:04 vous savez, la Tchécoslovaque,
23:06 normalisation, ça s'appelle.
23:08 - Alors, c'est plus, je pense,
23:10 qu'une normalisation,
23:12 il y a une sexualisation aujourd'hui des enfants,
23:14 dans les écoles, on fait intervenir
23:16 les drag queens, etc.,
23:18 des personnes qui relèvent plutôt
23:20 de la société du spectacle,
23:22 c'est la société du spectacle.
23:24 - Oui, c'est du show business.
23:26 - Et notamment, hier, on a été assez interpellé, puisque
23:28 Vincent, en fait, avait une exposition de photos
23:30 au Parlement européen,
23:32 et Vincent est tombé
23:34 sur une photo à caractère pornographique.
23:36 Donc, des hommes,
23:38 vraiment nus,
23:40 on voyait tout,
23:42 en sachant que le Parlement européen
23:44 est visité aussi par des enfants.
23:46 Donc, on se demande,
23:48 finalement, pourquoi
23:50 on injecte
23:52 autant de sexualité
23:54 dans notre quotidien.
23:56 Je repense également aux propos
23:58 de Bruno Lomère
24:00 dans son, soi-disant, ouvrage.
24:02 - Oui, ça c'était un roman.
24:04 - Mais ça c'est un petit peu à côté, je sais bien,
24:06 mais il y a cette volonté, quelque part, de...
24:08 - Non, mais le côté choisir son sexe à 7 ans, etc.
24:10 - Ah non, mais de toute façon,
24:12 c'est abominable. Un enfant
24:14 se construit,
24:16 pour sa construction, il a besoin de repères.
24:18 Bien sûr qu'il va
24:20 se poser des questions, on s'en est tous posé à un certain âge,
24:22 mais il y a le temps pour ça.
24:24 Ce qu'il faut, c'est d'abord privilégier
24:26 les apprentissages.
24:28 - Vous pensez qu'Emmanuel, ça a été un peu,
24:30 je dirais pas,
24:32 il lit la sexualisation avec ce qui s'est passé
24:34 avec le Covid, et c'est pas
24:36 complètement, effectivement...
24:38 - Non, ça va de toute façon dans la continuité.
24:40 De toute façon, c'est l'ère du transhumanisme,
24:42 tout est relatif pour aller...
24:44 En tout cas, tout est aligné pour aller vers ça.
24:46 Et...
24:48 - Oui, c'est intéressant.
24:50 Vous avez...
24:52 Il y a aussi les injections,
24:54 mais il y a aussi les implants.
24:56 On pense aux implants, bientôt.
24:58 Pour l'homme augmenté, ou l'être humain augmenté.
25:00 Lucien, vous avez la parole
25:02 sur Sud Radio 0826 300 300.
25:04 On se retrouve tout de suite,
25:06 on ira à Saint-Giron, chez Marthe.
25:08 A tout de suite sur Sud Radio 0826 300 300.
25:10 - Ici Sud Radio.
25:12 Les Français parlent au français.
25:16 Je n'aime pas la blanquette de mots.
25:20 Je n'aime pas la blanquette de mots.
25:22 - Sud Radio Bercoff,
25:24 dans tous ses états.
25:26 - Vous êtes bien sur Sud Radio,
25:28 dans le face-à-face d'André Bercoff,
25:30 et vous avez la parole au 0826 300 300.
25:32 On va à Saint-Giron,
25:34 avec Marthe. Bonjour, Marthe.
25:36 - Bonjour, Marthe. - Bonjour.
25:38 - Bonjour.
25:40 Je vous appellais,
25:42 parce que depuis le début,
25:44 j'essaye d'éveiller les consciences,
25:46 de réveiller les gens.
25:48 Je suis un peu isolée,
25:50 parce que les gens,
25:52 ça ne passe pas sur BFM,
25:54 donc automatiquement, ils ne te croient pas.
25:56 T'es pas médecin, ils ne te croient pas.
25:58 Donc moi, mon fils,
26:00 devait rentrer dans un lycée professionnel
26:02 à une demi-heure du domicile.
26:04 Et comme je devais prendre le car,
26:06 moi j'ai dit le masque dans le car,
26:08 le masque à l'école, le masque partout,
26:10 j'ai dit non. Je ne voulais pas qu'il soit...
26:12 - Il a quel âge, votre fils ?
26:14 - Maintenant, il a 18 ans.
26:16 Parce que c'était il y a 15 ans, à l'époque.
26:18 Et donc, bon, j'ai été appelée,
26:20 parce qu'on me demandait ce que devenait mon fils.
26:22 Bon, moi je me dis, je l'ai inscrit,
26:24 ça me l'a dit qu'il allait rentrer,
26:26 mais bon, je n'ai jamais voulu
26:28 qu'il retourne à l'école, parce qu'en plus,
26:30 entre eux, les enfants, bébés, soeurs, ils se parlent,
26:32 donc il aurait été influencé pour aussi
26:34 la piquouse, et ça,
26:36 chez moi, c'est... Bon, eux,
26:38 ils ne sont pas trop réveillés, ils ont toujours été tous contre moi,
26:40 mais je suis quand même arrivé
26:42 à ce que personne n'a pas fait.
26:44 Et du coup,
26:46 et puis bon, comme je suis artisan,
26:48 évidemment, j'ai eu la chance de ne pas être confinée.
26:50 J'ai eu la chance de faire ce que je voulais.
26:52 Donc, de parler
26:54 beaucoup. J'ai beaucoup essayé de réveiller
26:56 beaucoup de gens. Et maintenant,
26:58 on passe à l'éveil, parce que bon, là,
27:00 maintenant, ils essaient de gouverner par la peur.
27:02 Mais après,
27:04 on sait très bien que
27:06 il y a un combat, et que
27:08 voilà, que ça se passe, et que
27:10 il faudrait
27:12 que ça se passe sur les FMTV pour que les gens
27:14 puissent comprendre, parce que
27:16 sinon, ils ne comprennent pas. Tu continues encore,
27:18 il y en a beaucoup qui ne sont pas réveillés,
27:20 il y a des choses, il faudrait... - Oui, mais Marthe,
27:22 il faut leur dire qu'il n'y a pas que
27:24 telle ou telle chaîne. Il y a
27:26 les réseaux sociaux, il y a nous,
27:28 il y a beaucoup d'autres, il y a beaucoup
27:30 de gens qui essayent de faire des choses un peu
27:32 différentes. - Il y en a, il y en a,
27:34 mais c'est très peu. Moi, je le vois,
27:36 très peu, même chez moi, mais j'ai
27:38 7, 8 dans la famille,
27:40 mes frères et soeurs, moi j'ai un frère qui m'a dit
27:42 que j'étais inconsciente
27:44 de ne pas vacciner mes enfants, et de
27:46 ne pas vacciner, quoi. Et donc,
27:48 voilà, on nous
27:50 remet, on nous donne
27:52 une étiquette, le composite, et puis c'est fini,
27:54 quoi. - L'étiquette, l'étiquette, oui.
27:56 - Moi, j'ai fait un petit annoncé, parce que bon,
27:58 moi, ça fait trois ans que je parle
28:00 que de ça. Quand les gens me parlent de projets, moi je leur parle
28:02 de ça. Moi je leur dis, le futur,
28:04 il faut arrêter de penser
28:06 au futur, tout va s'écrouler,
28:08 réveillez-vous.
28:10 Réveillez-vous. Mais c'est dur,
28:12 parce que ils sont comme ça,
28:14 ils pensent, et la retraite,
28:16 ils pensent à droite, à gauche,
28:18 alors que non, il faut penser
28:20 maintenant, c'est l'instant présent.
28:22 - Bon, écoutez, j'espère quand même que,
28:24 en tout cas, je suis même sûr que beaucoup
28:26 effectivement se posent des questions
28:28 comme vous, et réagissent aussi.
28:30 Encore une fois, chacun réagit
28:32 ce qu'on veut, moi je ne prends pas partie sur le fond
28:34 vaccination ou pas vaccination,
28:36 ce que je prends partie, c'est qu'on
28:38 s'enquête, on se demande ce qui se passe,
28:40 qu'on ait l'esprit critique,
28:42 vraiment, qu'on regarde
28:44 tous les avis, et qu'on se fasse sa propre opinion.
28:46 - Voilà, je vous dis que c'est mon avis.
28:48 - C'est votre vie, c'est votre vie,
28:50 c'est vous qui choisissez votre vie, personne d'autre.
28:52 - Bien sûr, bien sûr.
28:54 - Emmanuel Darle ?
28:56 - Oui, alors, la responsabilité
28:58 des médias,
29:00 elle est énorme, dans cette affaire,
29:02 puisqu'on a
29:04 véritablement assisté à une véritable
29:06 en tout cas, censure,
29:08 on a censuré les chercheurs
29:10 qui osaient porter
29:12 une voix dissidente.
29:14 Que ce soit, on a tenté
29:16 de les décrédibiliser, on a...
29:18 Je rappelle
29:20 aussi que
29:22 les auditions de la commission d'enquête parlementaire
29:24 sur les effets secondaires, les auditions
29:26 ne sont toujours pas publiées,
29:28 les auditions de Christine Cotton,
29:30 on n'en a toujours pas.
29:32 Que ce soit les associations de victimes...
29:34 - Parce qu'au Sénat, il y a eu plusieurs auditions.
29:36 - Oui, oui,
29:38 tout à fait, il y a eu...
29:40 On a été auditionné avec Vincent Pavan,
29:42 il y a eu l'audition
29:44 de Christine Cotton,
29:46 de plusieurs collectifs comme Verity France,
29:48 mais elles ne sont toujours pas publiées.
29:50 Et puis il y a Satou Merta,
29:52 dans les médias, justement,
29:54 pour tenter de décrédibiliser toute forme
29:56 de voix dissidente,
29:58 et notamment décrédibiliser
30:00 des chercheurs,
30:02 sans aucun argument scientifique.
30:04 Et ça pose vraiment la question
30:06 aussi de l'indépendance
30:08 et de la neutralité des médias aussi.
30:10 - Alors justement, moi je voudrais qu'on revienne
30:12 à peut-être expliquer
30:14 aux éditeurs résistants de Sud Radio,
30:16 au fond, qu'est-ce que c'est
30:18 que la science ? Parce que vous avez vu que des gens
30:20 lui disent "moi j'ai pris, effectivement,
30:22 je suis vacciné, mais parce que je crois à la science".
30:24 Et ceux qui ne se vaccinent pas,
30:26 ce sont des anti-scientifiques.
30:28 Et voilà, et c'est la querelle,
30:30 je ne veux pas rentrer là-dedans, mais
30:32 c'est quoi, comment on peut... Il faut
30:34 reprendre la science, c'est pas une religion,
30:36 c'est pas des textes sacrés,
30:38 c'est pas une vérité révélée qui ne bouge pas,
30:40 hein, je veux dire, sinon on sera encore avant-pasteur.
30:42 Comment peut-on...
30:44 Vous êtes chercheuse au CNRS,
30:46 vous-même, et Emmanuel Dard, et d'autres,
30:48 comment définir
30:50 ce qu'est une science, ce qu'est un mouvement
30:52 scientifique, ce qu'est, voilà,
30:54 une création scientifique ?
30:56 - Alors, c'est
30:58 une vaste question.
31:00 - C'est vrai, mais non, mais c'est quoi
31:02 la science ? C'est la question,
31:04 c'est le questionnement, c'est la discussion,
31:06 c'est la recherche permanente ?
31:08 Parce qu'il y a les faits aussi, à un moment donné, il y a les faits.
31:10 - D'abord, la science, je crois qu'on pourrait,
31:12 si on devait le résumer en quelques mots, ça serait d'abord
31:14 l'art de douter.
31:16 Puisqu'il n'y a pas de vérité,
31:18 comme vous l'avez dit, à un instant T,
31:20 et puis, peut-être certaines
31:22 vérités scientifiques à un instant T ne sont plus
31:24 valables à un instant T+1, puisque
31:26 la connaissance évolue.
31:28 Mais je pense que ce qui
31:30 différencie la science et le scientisme,
31:32 c'est aussi la
31:34 transparence, la reproductibilité,
31:36 montrer,
31:38 justement, quand on arrive à un résultat,
31:40 montrer ouvertement
31:42 et de façon reproductible
31:44 par les paires, comment on y arrive ?
31:46 - Si c'est un fait, ça doit être reproduit,
31:48 effectivement, en laboratoire ou ailleurs.
31:50 - Tout à fait. Il ne doit pas y avoir de fraude.
31:52 Il doit y avoir
31:54 une méthodologie rigoureuse
31:56 et donc, voilà.
31:58 Je pense que...
32:00 - Et, en fait, vous avez l'impression
32:02 que beaucoup de gens n'ont pas observé,
32:04 en France ou dans le monde,
32:06 ce protocole-là ?
32:08 - Bon, alors, il y a eu l'enfer dans Sennheiser,
32:10 et puis il y a eu aussi l'article
32:12 du pass sanitaire de Baudet-Zia,
32:14 le co-signé par
32:16 Simon Cochemez de l'Institut Pasteur.
32:18 - Alors, c'était quoi ? Rappelez l'affaire du pass
32:20 sanitaire. On a beaucoup parlé du Lancet.
32:22 Mais rappelez l'affaire du pass sanitaire.
32:24 - Alors, ça a été le 12 fois plus, qui s'appuie
32:26 sur un modèle de simulation, en fait,
32:28 de type
32:30 SIR,
32:32 susceptible, infecté, rétabli,
32:34 qui est un modèle épidémiologique utilisé, notamment,
32:36 par Nellis Ferguson. Et on s'aperçoit,
32:38 notamment, dans le jeu d'équation, que
32:40 les auteurs, en fait,
32:42 ajoutent, si vous voulez,
32:44 des...
32:46 ajoutent des choux à des carottes,
32:48 pour aller
32:50 calculer des poireaux. Enfin, pour résumer les choses,
32:52 le système d'équation
32:54 n'a pas d'unité homogène, en fait.
32:56 - Vraiment ? - Voilà. Et donc,
32:58 Vincent Pavand... - On l'a touillé, un peu, quoi.
33:00 - Tout à fait. Et puis, alors, on avait demandé
33:02 avec Vincent Pavand, notamment,
33:04 qui est à l'origine
33:06 de la critique de cet article,
33:08 les données et le
33:10 code de simulation. Et,
33:12 au départ, les auteurs refusaient
33:14 de les fournir. - De les fournir, ouais.
33:16 - Donc, ça posait question,
33:18 et puis, après, quand on
33:20 les a obtenus, Vincent
33:22 Pavand s'est largement penché sur cette
33:24 question, et ce qui a conduit, d'ailleurs,
33:26 à déposer une plainte pour faux et usage de faux.
33:28 - Ah oui, carrément. Qu'il a déposé,
33:30 oui. - Tout à fait. - C'était, à l'origine,
33:32 enfin, oui, d'imposer
33:34 le pass sanitaire sans lequel
33:36 on ne pouvait strictement rien faire.
33:38 Mais, quand vous arrivez, alors,
33:40 c'est à la chercheuse que je vais...
33:42 Quand vous arrivez à ce qu'un Jean
33:44 Castex, le Premier ministre,
33:46 disait "Attention, vous pourrez consommer
33:48 un café
33:50 dans les bars,
33:52 voyons, assis, mais pas debout."
33:54 Debout... Mais, moi, ça m'a posé
33:56 une question presque sociologique, j'allais dire, zoologique.
33:58 Sociologique. Et, debout,
34:00 évidemment, vous voyez ce qui est très gros, mais quand
34:02 vous êtes assis, le virus
34:04 ne passe pas en dessous de
34:06 1m50. C'est quoi ça ?
34:08 - Alors, moi,
34:10 j'ai pas deux mots.
34:12 C'est,
34:14 pour moi, c'est...
34:16 Là, on n'est pas dans la science,
34:18 clairement. - Mais comment les gens ont pu
34:20 écouter ça sans réagir ?
34:22 C'est ça la question, aussi.
34:24 - Parce que je pense que
34:26 ils ont été beaucoup manipulés, comme on l'a
34:28 dit tout à l'heure,
34:30 à un moment où... Mais je crois qu'il y a aussi
34:32 beaucoup de gens qui ont quand même
34:34 rigolé, il y a eu plusieurs infographies qui ont
34:36 circulé avec le virus qui passait au-dessus
34:38 de la tête. Enfin, c'était quand même
34:40 ubuesque. On a assisté
34:42 comme ça à des mesures qui étaient totalement
34:44 incohérentes. Et toutes
34:46 les personnes qui dénonçaient ces incohérences
34:48 ont été taxées de complotistes.
34:50 C'est juste de remettre
34:52 du bon sens.
34:54 Et la science, c'est avant tout aussi beaucoup
34:56 de bon sens. - C'est clair, c'est clair.
34:58 - La science, c'est aussi beaucoup, beaucoup
35:00 de bon sens. Et je crois que, effectivement,
35:02 il faut avoir beaucoup de bon sens
35:04 pour ne pas toucher à nos
35:06 enfants. Ce que vous avez écrit, Emmanuel Darle.
35:08 Et encore une fois, vraiment,
35:10 soyez sous alerte, non seulement les bébés,
35:12 mais alertez aussi les parents.
35:14 - Merci beaucoup,
35:16 chers auditeurs, d'être toujours aussi nombreux
35:18 à nous écouter. Et merci à Emmanuel Darle
35:20 pour son livre "Ne touchez pas à nos
35:22 enfants. Masques, mesures sanitaires, vaccins,
35:24 anti-Covid-19. L'impact chez les
35:26 édité chez Books on Demand, tout de suite l'émission de Brigitte Lehaey, à tout de suite sur Sud Radio.

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