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Court métrageTranscription
00:00 *Générique*
00:16 Bonjour à tous, c'est Paris Ciné Sorties, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les films à l'affiche.
00:21 Films historiques, comédies dramatiques, comédies et films d'action sont au programme cette semaine,
00:26 avec tout d'abord Jeanne Dubary, de et avec Maïwenn.
00:29 Nous découvrirons le premier film de la scénariste Florence Vignon, L'homme debout.
00:33 Nous nous rendrons au Japon avec Umami de Slo Nisso.
00:36 Et nous ne manquerons pas d'attacher nos ceintures pour le dixième volet de Fast & Furious, signé Louis Letherier.
00:43 Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine, nous vous proposons de découvrir le classement des films en salles,
00:49 établi par les étoiles des spectateurs sur le site Allociné.
00:53 En troisième position, Le Paradis obtient 3,5 sur 5.
00:58 Juste au-dessus, avec 3,6 sur 5, on retrouve le principal.
01:04 Et cette semaine se place en première position, Le Cours de la vie qui obtient 3,7 sur 5.
01:11 Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:16 Présentée en ouverture du Festival de Cannes, Jeanne Dubary de Maïwenn nous plonge à Versailles, sous le règne de Louis XV.
01:22 La cinéaste interprète celle qui va devenir la favorite officielle du roi,
01:26 non sans déclencher un scandale, personne ne veut d'une fille des rues à la cour.
01:31 Et voici Jeanne Vaubernier, dite l'ange.
01:42 Un ange tombé du ciel.
01:45 Je vous attendais moi.
01:46 Je pense que Maïwenn s'est toujours un peu identifiée à ce personnage très libre,
01:51 l'ascension sociale, le fait de réussir à s'intégrer dans un monde qu'elle ne connaît pas.
01:56 Maïwenn est quelqu'un qui vient de rien et qui s'est fait toute seule.
01:59 Sa Majesté le Roi aimerait revoir Madame.
02:02 Très bien. Quand cela ?
02:05 Maintenant, s'il est possible Madame.
02:14 Tu seras prête dans une heure ?
02:15 Non, je suis prête.
02:17 Comment ça ?
02:18 Je suis prête.
02:19 Peut-être que c'est le tempérament de Jeanne me rejoint,
02:25 parce que c'est aussi l'histoire d'une transfuge et tout ce qui est...
02:29 Toutes les histoires de transfuge me passionnent.
02:33 Et avec Jeanne, en tout cas, j'avais envie de la défendre.
02:38 La Comtesse Jeanne Dubarry.
02:43 Surtout, ne regardez pas le roi dans les yeux.
02:46 Ce serait perçu par la cour comme une invitation.
02:50 Une invitation à quoi ?
02:51 À la baguette.
02:52 C'est une héroïne qui n'est pas manichéenne.
02:55 On sent qu'elle a une espèce d'imperfection.
02:59 Et donc, elle est étonnante.
03:02 La manière dont elle regarde le roi au début,
03:04 quand ils sont mis l'un face à face,
03:05 elle a une espèce d'insolence, mais qui n'est jamais machiavélique.
03:09 Une espèce de lumière, de luminosité.
03:12 L'idée que je me faisais du personnage de Louis XV
03:15 et ce que j'en ai fait dans mon scénario,
03:17 plus ce que Jenny Depp apporte au film,
03:21 c'était l'alignement des planètes.
03:24 Johnny est quelqu'un qui peut être souriant un jour,
03:28 fermé un autre jour, il n'est jamais pareil.
03:31 C'est exactement comme ça que je voulais Louis XV.
03:33 Elle a choisi un acteur charismatique.
03:37 Il fallait que quand il entre dans la salle,
03:40 il soit le roi et qu'il ait suffisamment de charisme
03:43 pour que tout le monde se taise et dise "Mon Dieu, c'est lui".
03:47 Avec tout ce qu'il y a d'inquiétude, de dangereux,
03:50 mais aussi de charmant, de touchant.
03:52 Il vit dans sa bulle.
03:55 Je trouve que prendre une star internationale,
03:59 ça isole aussi.
04:01 Le roi, il est ça, il est cette solitude.
04:04 "Arrêtez votre premier médecin."
04:08 "Arrêtez votre premier médecin."
04:12 "Arrêtez votre premier médecin."
04:16 "Arrêtez votre premier médecin."
04:20 "Arrêtez votre premier médecin."
04:24 "Arrêtez votre premier médecin."
04:26 Je n'avais pas beaucoup de savoir avec Johnny Depp,
04:28 mais ce que j'ai vu, c'est que Maïwenn l'a dirigé
04:30 dès le premier jour à la Maïwenn.
04:32 Je pense qu'il ne s'attendait pas forcément à ça.
04:34 Mais j'ai senti, de ce que j'ai pu voir,
04:36 beaucoup d'admiration de la part de Johnny pour Maïwenn,
04:38 qui a porté le projet depuis toujours,
04:40 qui a toujours voulu que ce soit lui, même dans ses déboires.
04:42 Elle a continué à le soutenir.
04:44 Je pense qu'il y avait une forme de reconnaissance
04:46 et de respect mutuel.
04:48 "Nous coûtons tout sur vous pour que cette misérable femme
04:50 soit chassée de la cour."
04:52 "Le roi a d'autres maîtresses."
04:54 "T'es en train de découvrir
04:56 le côté sombre du roi."
05:04 "Vous êtes son danger, Madame."
05:32 "On a un gros problème avec Jifar."
05:34 "Vous vous rendez compte qu'il a toutes ses annuités
05:36 mais qu'il s'accroche."
05:38 "Petite retraite tout en douceur, il arrivera à me le convaincre."
05:40 "Tu le connais bien, toi, Jifar ?"
05:44 "Spéciale. Très spéciale."
05:46 Comment la rencontre avec une personne
05:50 peut changer un destin,
05:52 peut changer le cours d'une existence ?
05:54 Et comment,
05:56 en se rencontrant,
05:58 chacun va donner un nouveau sens à la vie de l'autre
06:00 et leur permettre
06:02 de remettre en question ?
06:04 "Je fume beaucoup."
06:06 "Et vous avez jamais pensé à ralentir ?"
06:08 "J'ai quand même beaucoup diminué."
06:10 "Là, nous avons un magnifique motif
06:12 d'inspiration végétale."
06:14 "Non mais je parle du travail."
06:16 "Pourquoi vous voulez que je ralentisse le travail ?"
06:18 "Il y a beaucoup de sujets dans ce film."
06:20 "Il y a le sujet de l'entreprise,
06:22 le sujet de la solitude,
06:24 le sujet de la résistance,
06:26 le sujet de la modernité."
06:28 "Il m'a à chaque fois le coquin."
06:30 Le personnage de Henri
06:36 se tue à la tâche
06:38 parce qu'à un moment, il doit partir et il résiste.
06:40 "Vous imaginez peut-être que je vais me taper
06:42 l'ancêtre là, jusqu'à ses 70 piges,
06:44 parce que c'est la loi, c'est ça ?"
06:46 "Il ne va pas revenir à la charge au moins, rassurez-moi."
06:48 "Je l'ai bien vu son manège, mais ça ne se passera pas comme ça."
06:50 Il est contestataire par rapport à une façon
06:52 de travailler aujourd'hui
06:54 et il trouve que l'humain n'est plus au centre
06:56 de la relation et de la vente.
06:58 C'est pour ça que lui,
07:00 il travaille à l'ancienne, il a toujours travaillé comme ça.
07:02 Il fait son chiffre, on n'a rien à lui reprocher.
07:04 "Ça fait 30 ans que je suis dans le papier,
07:06 30 ans que je remplis mes objectifs de vente.
07:08 Leur idée de mobilier,
07:10 j'y crois pas une seconde.
07:12 On est bien d'accord, ce qui compte,
07:14 ce sont les objectifs de vente."
07:16 "Oui, c'est sûr, c'est le chiffre qui compte, je ne peux pas vous donner ta...
07:18 "Voilà."
07:20 "Il a clairement envie de résister
07:22 à la vente par correspondance
07:24 aux surchiffres qu'il faut faire, etc.
07:26 Il résiste."
07:28 "Monsieur Morel,
07:30 ça fait plus de 25 ans
07:32 qu'on travaille ensemble, alors son histoire,
07:34 je la connais par cœur. Et alors ?
07:36 Et bien, je l'écoute. Et pourquoi je l'écoute ?
07:38 Est-ce qu'il a besoin de parler, Morel ?
07:40 Alors, je l'écoute."
07:42 "Non, non, non, non, mais non, c'était pas prévu, ça.
07:44 Mais non,
07:46 vous vous rendez compte de l'heure qu'il est,
07:48 je leur dis quoi, à plus haut au moins."
07:50 "C'est pas un film naturaliste, mon film, c'est un conte, en fait.
07:52 Vraiment, ça se donne à voir comme un conte,
07:54 drôlatique, fantasque, poétique.
07:56 Il n'y a pas de...
08:00 il n'y a pas de...
08:02 il n'y a pas de leçon donnée à personne.
08:04 Personne n'est bon ni méchant."
08:06 "Vous m'avez déçu,
08:08 Mademoiselle Alfaro.
08:10 Et maintenant, je n'ai plus envie de vous écouter."
08:12 "C'est vraiment là, une espèce de mécanique
08:14 d'un monde,
08:16 voilà, qui devient fou,
08:18 qui avance, qui avance et qui broie sur son chemin
08:20 même les petits patrons,
08:22 qui broient tout le monde, voilà.
08:24 Et c'est dans cette métastructure
08:26 comment deux individus vont pouvoir
08:28 accéder
08:30 à leur capacité de se réapproprier
08:32 leur destin, de se
08:34 rebeller et de se poser les bonnes
08:36 questions, de savoir est-ce que
08:38 où je suis encore un sens ?
08:40 Est-ce que ce qu'on me demande de faire a un sens ?"
08:42 "Faites le bosser, crevez-le,
08:44 qu'il n'en puisse plus.
08:46 Je sais que vous pouvez y arriver, je le sais.
08:48 Vous le restez dans la boîte,
08:50 oui ou non ?"
08:52 À l'affiche d'Houmamie de Sloniso,
08:58 Gérard Depardieu incarne un chef étoilé
09:00 au bout du rouleau qui décide de partir
09:02 au Japon à la recherche d'un chef
09:04 qu'il avait battu à un concours de cuisine
09:06 40 ans plus tôt.
09:08 "J'ai pas de famille,
09:10 j'ai pas d'héritier." "Qu'est-ce que tu fais ?"
09:12 "Elle va sucer la courge de son critique."
09:14 "Pauvre connard, enfin !"
09:16 "Je suis venu."
09:18 "La protein-trix ?"
09:20 "Déplacer ce corps, c'est toute une histoire."
09:22 "La bête déplace son esprit."
09:24 "À mon avis, il y a autant de définitions
09:26 de l'Houmamie que de personnes qui essayent
09:28 de l'expliquer. C'est une saveur
09:30 mais très indéfinie.
09:32 Elle peut être autant
09:34 gustative que spirituelle,
09:36 cette saveur."
09:38 "Tu te souviens de ce concours
09:40 des meilleurs chefs, il y a 42 ans
09:42 à Paris ?"
09:44 "Tu me souviens."
09:46 "Oui, j'avais perdu face à un gars
09:48 qui avait présenté un bout de pâte
09:50 et ses abrutis de jus.
09:52 Il venait de découvrir
09:54 un nouveau goût."
09:56 "Tout était entêté à vouloir comprendre
09:58 ce que c'était que cette cinquième saveur."
10:00 "Moi, l'expérience,
10:02 déjà juste d'aller au Japon avec Gérard,
10:04 juste ça, c'était
10:06 l'Houmamie pour moi."
10:08 "Il y a un truc magique de voir,
10:10 de suivre Gérard, même des jours
10:12 où je tournais pas, de le voir faire ses scènes,
10:14 se balader dans le Japon,
10:16 dans les villes du Japon, c'était ouf."
10:18 "En fait, pour moi, tout au Japon
10:20 reste gravé.
10:22 C'est une expérience incroyable."
10:24 "C'est les célibats."
10:26 "De toute façon, le film est très allégorique,
10:28 il y a un espèce de chose comme ça,
10:30 si on considère Gérard
10:32 comme le roi du cinéma,
10:34 un des rois du cinéma, en tout cas,
10:36 un grand monument du cinéma français.
10:38 Là, il joue un immense chef."
10:40 "Oh, remenez les poissons, là !
10:42 Faut qu'on retrouve notre talent, merde !"
10:44 "C'est un film familial, donc quelque chose
10:46 qui tient de l'affiliation,
10:48 de la passation."
10:50 "Papa, c'est tiré. Tu vois pas que c'est pas le moment,
10:52 il est là.
10:54 Regarde ce que je te dis, là.
10:56 Qu'est-ce que tu racontes, putain ?
10:58 Envoie, Léo. Qu'est-ce que tu racontes ?
11:00 Qu'est-ce qu'il y a ? Mais t'entends pas ce que je te dis, papa,
11:02 c'est tiré." "Dans la vie, quand tu fais le même métier
11:04 que ton père ou que ta mère,
11:06 t'as toujours une pression énorme, plus que autre chose
11:08 que ce que tu vas faire, quoi.
11:10 Encore plus avec un chef
11:12 comme interprète, Gérard, quoi.
11:14 Donc je pense qu'il y a un truc,
11:16 qui est dur, qui est lourd,
11:18 qui est pesant,
11:20 qu'on ressent dans toute la famille, quoi."
11:22 "Il sera là ce soir,
11:24 jamais il me laisserait le restaurant."
11:26 "Effectivement, c'est pas un film sur la cuisine.
11:28 Ça dépasse largement
11:30 ce thème-là.
11:32 Ça parle vraiment d'un homme.
11:34 Comment, quand on est arrivé très haut,
11:36 comment continuer à entretenir
11:38 le désir ?
11:40 La cuisine est un prétexte, puisque la cuisine,
11:42 on invente tout le temps.
11:44 Comment continuer à
11:46 vivre et à garder cette envie ?"
11:48 "Je t'avais dit que ça passerait pas sur moi."
11:50 "Tu te rappelles de quoi, au juste ?"
11:52 "De ta faveur.
11:54 De mamie."
11:56 L'avant-dernier volet de Fast & Furious
12:04 débarque sur les écrans avec un réalisateur
12:06 français derrière le volant.
12:08 Le dixième film, qui met en scène la famille
12:10 de Dominique Toretto, a été réalisé par
12:12 Louis Letherier, qui a déjà signé
12:14 pour le onzième film, qui clorera
12:16 cette franchise, initiée en 2001.
12:18 "C'est particulier, surtout
12:30 quand c'est le dixième épisode.
12:32 C'est 25 ans, donc c'est deux générations
12:34 et demie, en fait, de gens qui se retrouvent au cinéma
12:36 tous les deux ans pour aller voir ses films."
12:38 "C'est vrai qu'on a rencontré
12:48 beaucoup de membres de ce fan club,
12:50 justement, mondial,
12:52 qui est énorme, et ces gens-là
12:54 vraiment vont voir des Fast & Furious
12:56 en famille depuis des années,
12:58 et je pense que cette fois-ci, c'est une nouvelle
13:00 génération qu'on va découvrir. Enfin, c'est une génération,
13:02 évidemment, l'ancienne génération,
13:04 mais ils vont le voir en famille,
13:06 et c'est pour ça qu'on a créé
13:08 un film un petit peu
13:10 multigénérationnel,
13:12 où tout le monde peut s'y retrouver."
13:14 "C'est vraiment centré sur des personnages,
13:18 des personnages que les gens connaissent,
13:20 que une partie du monde connaît,
13:22 et justement, ces gens vont les découvrir,
13:24 mais justement, ils vont les découvrir à une étape de leur vie
13:26 qui est différente. Donc, ils vont arriver,
13:28 et justement, c'est un chevet
13:30 pour cette famille, la famille
13:32 d'Ettoretto, et voilà.
13:34 Mais il y a des codes,
13:36 et c'est des codes qu'on a un petit peu
13:38 changés et poussés, on a poussé
13:40 un petit peu les manettes jusqu'au bout,
13:42 et vous allez voir, c'est assez étonnant."
13:44 "Is it dead?
13:46 They're not afraid of anything.
13:48 But I am."
13:50 "Cette fois-ci, je pense qu'il y a plusieurs degrés.
13:52 C'est un film à lire à plusieurs degrés, on peut s'y reconnaître
13:54 dedans, il y a une projection
13:56 aussi complètement dingue,
13:58 donc c'est assez drôle."
14:00 "Tommy."
14:02 "I knew you would come for me.
14:04 So how about we all just start shooting each other
14:06 from the end?"
14:08 "Let's dig some graves."
14:12 "Ce qui me plaît, c'est vraiment le cœur,
14:14 c'est de trouver, c'est ce zoom sur le personnage.
14:16 Et ça,
14:18 dès le départ,
14:20 c'était très important
14:22 pour moi, et je pense que j'ai réussi à le garder.
14:24 C'est pas un accessoire, la voiture.
14:26 La voiture, c'est une cape de super-héros.
14:28 La voiture, ou la moto,
14:30 ou quelques véhicules,
14:32 quelques contre-véhicules,
14:34 et le costume de super-héros de cette famille."
14:36 Et tout de suite, le reste de l'actualité,
14:44 en bref, et en images.
14:46 [Musique]
14:48 [Musique]
14:50 - Il ne parle pas quand il dort. - Il m'envoye des messages. Qu'est-ce qu'il a ?
14:54 - Fais voir si tu te rends compte. - Mais papa en parle.
14:57 - Tu sais comment tu te cures ? - Je sens la musique.
15:01 - Il doit faire ce qu'il veut. - Bien sûr, c'est ça.
15:04 La guitare fait que une partie se tensionne et l'autre se relâche.
15:08 Comme le dit, c'est un autosexuel.
15:11 Tu penses à elle ?
15:14 Non.
15:18 Dans un can.
15:20 Oui, j'y passe !
15:36 Tout le temps !
15:40 Chaque jour !
15:43 Elle me manque aussi, papa.
15:45 Je suis là et bien vivante !
15:48 C'est beau, l'amour.
15:57 C'est beau, l'amour.
16:00 La nuit
16:03 Le soleil dans le ciel
16:08 Et un océan de lumières
16:11 Pour te faire reposer
16:14 Un cri pour venir
16:21 Au monde
16:25 Je me souviens de l'époque de M. Bassin, mais pas de ce qu'il s'appelle.
16:30 Nous avons subattir notre paradis,
16:39 où les animaux de toutes sortes et de toutes tailles
16:42 peuvent vivre ensemble en harmonie.
16:44 La cité sanctuaire.
16:46 Chaque enfant va cueillir une fleur dans l'arbre à vue.
16:49 - J'ai trouvé mon bœuf ! - Mais ne cueillez jamais la dernière fleur de l'arbre.
16:53 J'aimerais aller explorer les terres sauvages.
16:56 La vie
17:03 - Tu sais ce qui m'est arrivé ? - Quoi ?
17:06 - Je suis amoureux de toi. - Quoi ?
17:09 - Et je crois que tu es amoureuse de moi aussi. - Je suis mariée.
17:13 Tu es nerveuse de ce qu'il va se passer demain ?
17:16 - Peut-être. - Bienvenue à la film, Anna.
17:20 - Tu me fais l'enfer parce que tu aimes moi. - Evidemment.
17:24 Je ne serai pas la protagoniste ni je n'ai rien à voir avec cette film.
17:29 Je vais me maintenir à une distance.
17:32 Nous allons juste faire une film. Confie en moi.
17:34 Je suis fatiguée de telle émotion.
17:37 Je sens tout ça. Je veux un travail normal.
17:41 Voilà par ici les sorties, c'est fini. Rendez-vous la semaine prochaine.
17:44 En attendant, n'oubliez pas d'aller au cinéma.