• il y a 3 mois
Transcription
00:00Juste avant votre magazine par ici les sorties, voici le top 3 des films sortis la semaine
00:05dernière, qui sont les plus appréciés par les spectateurs sur le site Allociné.
00:09En 3e position, Langue étrangère obtient 3,4 sur 5.
00:13Juste au-dessus, avec 3,6 sur 5, on retrouve Beetlejuice Beetlejuice.
00:18Et sur la semaine écoulée, c'est Le Fil qui est premier avec 3,8 sur 5.
00:22Et maintenant, place aux nouveautés de ce mercredi.
00:30Par ici les sorties, c'est tous les nouveaux films à voir en salles.
00:44Une semaine placée sous le signe des femmes, qu'elles soient exaltées ou en plein bad,
00:48prêtes à faire la révolution ou à briser leur chaîne.
00:51Des femmes devant et aussi derrière la caméra, et même certaines qui cumulent les postes.
00:55Les barbares, c'est le nouveau film de et avec Julie Delpy.
01:03Un village breton se prépare dans la joie à accueillir des réfugiés ukrainiens remplacés
01:07aux débeautés par des syriens.
01:08Avec une roublardise plus ou moins assumée, Sandrine Kiberlin et Laurent Laffitte se donnent
01:13d'un cœur joie pour souligner la distance entre le vœu pieux et la réalité face à
01:18une immigration d'origine non contrôlée.
01:21Dès que les Russes ont envahi l'Ukraine, tout le village s'est mobilisé.
01:26C'est vrai que les Ukrainiens, ils ont beaucoup souffert.
01:28J'ai voté pour qu'on les accueille.
01:30C'est une comédie sociale, d'une certaine manière, qui étudie un microcosme.
01:36C'est un film solaire avec un sujet sérieux.
01:39Excusez-moi, il faut que je vous parle.
01:40C'est qu'il y a eu tellement de demandes de réfugiés ukrainiens, il n'y en a plus.
01:46En fait, ce sont des Syriens.
01:48Je me suis beaucoup mise à la place du spectateur quand j'écris, surtout quand on écrit une
01:52comédie.
01:53On est obligé de se mettre un peu aussi de l'autre côté de l'écran.
01:58Anne et Philippe ont décidé de vous offrir des produits d'ici.
02:03Oui, enfin, il y aura des produits qui seront un peu périmés d'une ou deux journées,
02:07mais c'est très bon.
02:08Moi, je mange que ça.
02:09Quand j'ai reçu le scénario, j'étais très sensible à la façon dont Julie traite
02:15le pire, avec beaucoup d'humour, avec beaucoup de drôlerie, dans une période qui est quand
02:20même très sensible à ce qu'elle raconte.
02:24Le racisme, c'est les gens qui n'aiment pas les noirs.
02:27Mon père, il aime bien Mbappé ou Marcy.
02:29Elle a un regard très juste sur des Hervé Rioux que joue Laurent ou d'une fille comme
02:35celle que je joue, qui est très border ou une institutrice que joue Julie, qui est trop
02:40accueillante.
02:41Tous ces personnages, finalement, sont tellement bien écrits qu'on arrive à rire de ça.
02:46Le racisme, ça vient de la peur.
02:48Bonjour.
02:49La peur qu'on leur prenne, leur femme.
02:51Pourquoi tu fais coucou, toi ?
02:52C'est avant tout une comédie.
02:54Et c'est vrai que moi, jouer ce genre de personnage, ça m'amuse parce qu'il fonctionne
02:59beaucoup en binôme aussi avec sa femme, qui est jouée par Indiahare, et c'est elle
03:04qui va le faire évoluer.
03:05Tu t'es déjà imaginé ce que c'est ? T'arrives d'un pays en guerre, dans un pays
03:09où t'as aucun repère, et on t'insulte.
03:11Comment je serais, moi, par rapport à ces gens ? Est-ce que j'aurais mes peurs ? Est-ce
03:14que j'aurais mes angoisses, comme le personnage du plombier qui vraiment est bloqué en se
03:19disant « mais c'est quoi ces gens, ils vont nous faire des problèmes ? » Et ou est-ce
03:24que je serais plus comme… Alors, il y a plein de gens neutres aussi, qui sont entre
03:27les deux, qui sont pas sûrs.
03:28En fait, c'est ça, moi, qui m'intéressait, c'est de voir un éventail.
03:31J'en ai marre d'être amie avec quelqu'un qui fait ça, qui va pas aider les autres.
03:34Si t'étais mère Thérésa, ben tu serais en Syrie, tu serais pas à Paimpont, là.
03:37Chaque personnage, d'ailleurs, évolue.
03:39Aucun des personnages n'est le même à la fin du film.
03:41Faut créer une dynamique autour des faillables.
03:46C'est-à-dire ? Je comprends pas.
03:48Je parle pas à le Macron, moi.
03:55Attention, cinquantenaire au bord de la crise de nerfs.
03:58La dépression est au centre de Ma vie, ma gueule.
04:00Entre mélancolie et burlesque, on retrouve pour la dernière fois le ton si personnel
04:04de la réalisatrice Sophie Filière, décédée peu de temps après le tournage de son septième film,
04:09sans avoir pu le monter.
04:11Un autoportrait posthume, porté comme un gant par Anejaoui.
04:18La nuit, je brille.
04:21Mon personnage s'appelle Barberie, dite Barbie, Barbie Bichette.
04:25Quand même un très beau nom de personnage, de femme.
04:28Salut Barbie, j'ai 55 ans et je sais toujours pas quelle est ma nature.
04:32C'est quelqu'un qui est au bord du gouffre et qui a une force certaine, comme avait Sophie d'ailleurs.
04:37T'as toujours tes cigarettes de connesse ?
04:39Hum hum.
04:40T'es sûre que ça va, Barbs ?
04:42J'ai jamais dit que ça allait.
04:44Elle fait pas semblant, Sophie.
04:45C'est un regard à la fois sans concession sur elle-même et à la fois très drôle.
04:50Comment vous vous sentez ?
04:52Moche.
04:53Oui, c'est auto-centré parce que c'est son portrait,
04:56mais c'est très dans l'observation des autres.
05:00Le moindre des petits personnages a son existence.
05:05Non mais, qui fait ça ?
05:07Vous.
05:07C'est ça aussi qui m'a plu et c'est sa drôlerie,
05:11le léger décalage qu'elle avait toujours et qu'il y a à chaque parole de ce film.
05:16Je regarde les clips.
05:18Ah.
05:19Julien Doré.
05:20Julien Doré, le trop mignon avec sa petite barrette là.
05:23C'est quelle chanson ?
05:24De façon générale, faire un film, c'est toujours une question de vie ou de mort.
05:28Déjà, le fait qu'il se fasse, c'est un miracle.
05:32Ah bon ?
05:34Un film, c'est un prototype.
05:36C'est quelque chose, c'est une aventure unique, c'est une histoire d'amour unique.
05:39C'est quelque chose et tout le monde est réuni par la même passion.
05:45Vous allez me laisser partir seule finalement ?
05:48Tu sais que ça va aller.
05:50Là, il y avait encore plus une question de vie ou de mort.
05:54Mais où on était portés par l'art et portés par ce portrait qu'on devait terminer ensemble coûte que coûte.
06:04Tu ressembles à un scoot.
06:06Tu ressembles à un film star du cinquième siècle.
06:08Sa soeur m'avait dit,
06:09« Oh, qu'est-ce que tu ressembles à ma soeur ? »
06:13J'ai dit, « Ah bon, je ne te trouve pas du tout. »
06:15Puis j'ai vu le film, j'ai fait, « Ah oui, si en fait. »
06:19Bizarre.
06:22Fais comme moi.
06:24Va de l'avant.
06:26Faut aller de l'avant.
06:33Destination l'Italie pour des vacances de rêve en famille.
06:35Sauf que dans Speak No Evil, la Dolce Vita vira la grosse cata.
06:39Mention spéciale à James McAvoy, plus terrifiant que jamais.
06:45Je veux remettre le car et partir en ce moment.
06:48Je veux remettre le car et partir en ce moment.
06:52Papa ?
07:04Tu te souviens de la dernière fois où vous êtes venus rester ?
07:08Et tu as changé de plan et tu as essayé de partir sans dire au revoir ?
07:13Au rayon testostérone, il y a aussi Jour de colère
07:15qui fait rimer Joe Estar avec Polar.
07:40Attardons-nous un peu sur les graines du figuier sauvage.
07:43Le nouveau film du réalisateur iranien Mohammad Rasouloff
07:46avait reçu l'Ours d'or à Berlin en 2020
07:49avec son précédent long métrage, Le Diable n'existe pas.
07:52En mai dernier, c'est à Cannes qu'il a reçu le prix spécial du jury.
07:55Le cinéaste ne cesse de défier le régime politique islamique de son pays.
07:59Tourné clandestinement, son nouveau brûlot raconte
08:02le conflit intergénérationnel au sein d'une famille
08:04suite à la nomination du père en tant que juge d'instruction
08:07auprès du tribunal révolutionnaire de Téhéran.
08:12Et maintenant que l'investigation est terminée, il y a des risques.
08:16Bien joué, maman.
08:18Malheureusement, il est l'heure de commencer.
08:22Tu as aussi un mari ?
08:25Oui, j'ai un mari. J'ai un fils aussi.
08:28Oh mon Dieu !
08:33J'étais en prison quand les manifestations
08:36et le mouvement Femmes, Vie, Liberté ont commencé
08:39et on était très curieux de comprendre ce qui se passait depuis nos cellules.
08:43On entendait qu'il y avait des jeunes femmes
08:46et des jeunes hommes extrêmement courageux, déterminés,
08:49qui étaient descendus dans la rue
08:52et qui continuaient de se battre malgré la répression.
08:55Et ça, pour nous, c'était un grand étonnement.
08:59J'avais le sentiment d'étouffer.
09:02Et je ressentais ce besoin vital de liberté.
09:06Donc, chaque jour, quand on commençait à tourner, je me disais
09:11« C'est mon dernier jour de tournage.
09:14Il va être stoppé.
09:16Il va y avoir des manifestations.
09:18Il va y avoir des manifestations.
09:20Il va y avoir des manifestations.
09:22Il va y avoir des manifestations.
09:24Il va y avoir des manifestations.
09:25C'est mon dernier jour de tournage.
09:27Il va être stoppé.
09:29Je n'aurai plus l'occasion de tourner pendant des années.
09:32Alors profite.
09:34Profite de chaque jour.
09:36Profite du fait d'être avec tes amis et tes collaborateurs. »
09:56Je me disais
09:58« Goûte à la liberté du cinéma.
10:00Mets de côté les codes que tu connais
10:03et que tu crois devoir respecter
10:05et laisse parler ton cœur. »
10:07Cette libération,
10:09ce lâcher-prise,
10:11m'ont donné d'autres façons de tourner.
10:14Dans mes films précédents, je cadrais plus.
10:18J'essayais plus de me conformer à mes attentes.
10:21Alors qu'ici, j'ai travaillé plus en liberté.
10:23« T'es sûr que ton famille comprendra ce que tu fais ?
10:26Tu sais que ton père est un meurtre ? »
10:30« Je me sens en sécurité dans ma propre maison. »
10:53« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
10:56« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
10:58« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:00« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:02« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:04« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:06« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:08« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:10« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:12« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:14« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:16« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:18« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:23« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:25« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:27« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:29« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:31« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:33« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:35« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:37« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:39« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:41« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:43« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:45« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:47« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:48« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:50« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:52« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:54« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:56« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
11:58« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:00« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:02« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:04« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:06« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:08« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:10« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:12« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:13« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:15« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:17« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:19« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:21« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:23« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:25« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:27« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:29« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:31« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:33« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:35« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:37« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:38« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:40« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:42« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:44« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:46« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:48« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:50« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:52« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:54« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:56« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
12:58« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
13:00« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
13:02« T'es sûr que ton père est un meurtre ? »
13:04« Maintenant, j'ai l'impression de faire partie de votre troupe.
13:07Le théâtre est ainsi fait,
13:09il se vit au présent. »
13:11« Je raconte ma vie à l'endroit où j'en suis.
13:13C'est-à-dire que je savais que le film serait forcément
13:17une espèce de miroir entre moi et Clémence.
13:19Je voulais juste montrer la liberté qu'on pouvait avoir.
13:21Clémence s'accroche,
13:23elle enchaîne les répétitions,
13:25mais je crois qu'elle ne dort pas beaucoup.
13:27Je ne sais pas ce qui m'a pris de monter Hamlet,
13:29c'est un cauchemar. »
13:31C'est la fin pour toutes les deux de quelque chose
13:33Il raconte que la vie n'est que ça, finalement.
13:37Une succession de naissances et de morts.
13:39Quelle folie !
13:40Tenez-les-moi, cette histoire, et n'oubliez jamais !
13:43Hamlet, c'est nous !
13:47Trop bien.
13:52Deux autres documentaires sur l'écologie sont également à l'affiche.
13:55Toxicilie, sur un désastre sanitaire lié au pétrole en Sicile.
14:00On est en Sicile.
14:02Il y a la matière, la politique,
14:04les affaires, même la magistrature.
14:06Ils nous sacrifient pour ce pétrole.
14:11L'usage du mot « voyage entre nature et culture »
14:14montre qu'une autre voie est possible dans le rapport qu'entretient l'homme à la nature.
14:18Si on faisait une ligne comme ça et qu'on comptait le nombre d'espèces,
14:22ici, on ferait une liste d'insectes, d'oiseaux, de reptiles.
14:26Tu passerais ma haie, là.
14:28Tu passes de l'autre côté et tu chutes à trois ou quatre espèces.
14:41À sa première fuite, le marron sera marqué de la fleur de lys.
14:46S'il récidive, il se fera couper les oreilles et les jarrets.
14:51Si c'est rondi, il aura une troisième règle.
14:53Tu as vu la fleur ?
14:56C'est le marron.
14:57« Ni chien ni maître », c'est une histoire qui se passe en 1759 à l'île Maurice.
15:02On suit un père et une fille qui sont esclaves dans une plantation de canne à sucre.
15:06Le père a un rêve pour sa fille, c'est qu'elle soit affranchie.
15:09Mais la fille, Mathie, elle veut être libre.
15:12Tout de suite, elle a la liberté au cœur.
15:15Et elle s'enfuit, elle marronne. On appelait ça comme ça à l'époque.
15:18Moi, en fait, je savais pas le terme. J'ai dû l'apprendre grâce à ce film.
15:23C'est la première fois que ta fille s'enfuit.
15:26Tu sais où elle va ?
15:27Ressaisis-lui !
15:29On a appris beaucoup de choses à propos de l'esclavage à l'école, au Sénégal.
15:34C'est vraiment inclus dans notre programme.
15:37Mais on nous a pas encore parlé du marronnage.
15:40Pour ma part, j'amène toujours mes marrons vivants.
15:45Parce que je crois aux vertus du châtiment.
15:47Une chasseuse d'esclaves va être engagée pour la retrouver.
15:50Et tout le souffle du film, toute l'émotion du film,
15:53c'est celle de ce père, Massamba,
15:55qui va s'échapper à son tour pour essayer, coûte que coûte,
15:58de retrouver sa fille avant les chasseurs.
16:01Je cherche ma fille.
16:10J'ai pas de souvenirs, moi, dans mes cours d'histoire,
16:13d'avoir abordé ce chapitre.
16:15Alors qu'Anna en parlait au Sénégal, par contre, ça fait vraiment partie...
16:19...du programme.
16:21Les malgaches, eux...
16:24...ne cherchent jamais à s'enfuir. C'est vous, les wallofs.
16:27J'ai grandi sans savoir la guerre d'Algérie.
16:30J'ai grandi sans savoir ce qu'a été l'esclavagisme, la traite négrière.
16:36Aucun être sur cette terre ne mérite telle soureur.
16:39Je répaye à mon roi, à la loi et au ciel.
16:43Les Américains ont cette facilité à questionner leur histoire
16:47là où, nous, on a une cécité et une immense...
16:52...difficulté à apprendre ce qu'était notre histoire.
16:57Avec un peu de...
16:59...de vérité, quoi.
17:03C'est notre île.
17:05Pas la vôtre.
17:17...
17:21Histoire de compléter le tableau des nouveautés de la semaine,
17:24on se quitte avec un extrait d'un thriller autrichien bien cynique
17:27sur les ultra-riches.
17:29Véni, vidi, vici.
17:31...
17:32...
17:33Nous devons enfin trouver ce fou.
17:36Toutes les traces conduisent à Maynard.
17:38Il doit y avoir quelqu'un dans son coin.
17:40...
17:42Je l'ai vu, c'était lui, et il s'en va.
17:45...
17:46...
17:48...
17:50Il y a des gens pour lesquels il n'y a pas de limite.
17:53...
17:56Je peux tout faire. Je suis capable de tout.
17:59...

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