Strasbourg transpose Turandot dans une Chine "Big brother"

  • l’année dernière
Une dictature oppressante qui s'appuie sur l'image et la technologie: l'Opéra de Strasbourg a transposé dans la Chine communiste le Turandot de Puccini, en y ajoutant la problématique actuelle du consentement en amour.

Category

🗞
News
Transcription
00:00 [Musique]
00:26 Une grande mêle à Gallopole avec des anciennes lumineuses, une foule bigarrée collée à son portable,
00:33 la puissance des images, la société hyper connectée, hyper médiatisée.
00:39 Mais ce que je trouve intéressant dans ce spectacle, c'est qu'il évolue en cours de route
00:44 pour aller vers quelque chose de plus abstrait, plus poétique, plus concentré et plus intime aussi d'ailleurs.
00:51 [Musique]
01:13 C'est vrai qu'aujourd'hui, ces baisers forcés, ils posent beaucoup plus question qu'à l'époque de Puccini.
01:20 Et à bon droit, c'est vrai qu'il y a la question du consentement qui se pose, qui est une question très actuelle évidemment.
01:28 Et cette question n'a pas laissé indifférente notre metteuse en scène, Emmanuelle Bastet,
01:33 qui a voulu effectivement montrer qu'il y avait dans ce geste quelque chose de très violent, mais qui provoque du remords.
01:39 [Musique]
01:50 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

Recommandations