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00:00 Nos binômes ont chacun 20 noyaux. Le gagnant sera celui qui arrivera, en crachant, à mettre
00:07 le plus de noyaux dans le bol de son partenaire. Simple, basique, comme dirait l'autre. Et
00:11 c'est l'équipe verte qui démarre son lancé de 20 noyaux. Alors, combien arriveront dans
00:15 le récipient ?
00:16 Allez, c'est parti !
00:17 C'est parti ?
00:18 Je dois mettre de l'eau aussi.
00:19 Allez, allez, hop, hop !
00:20 Oh oui, bien joué !
00:21 Yes !
00:22 Bien joué !
00:23 Qui va rester ? Qui va partir ? Le dossier est brûlant au sommet de l'exécutif. A
00:29 quelques jours du remaniement se tenait hier le dernier dîner à l'Elysée avant la pause
00:34 estivale. A table des ministres qui ne savent pas le sort qui leur sera réservé, Emmanuel
00:40 Macron leur a déclaré "J'ai été à votre place" et je sais que ces moments ne sont
00:43 jamais agréables. Il faut prendre beaucoup de distance.
00:46 Putain, c'est dingue !
00:47 Comment je l'ai vu venir cet arbre qui cache la forêt, là ?
00:52 Ah non, mais on est des cons !
00:53 Après, c'est lui qui a merdé aussi, c'est lui qui nous a emmenés.
00:56 Mais il nous a emmenés, alors là, pour le coup, il nous a emmenés dans son délire.
01:01 Les loyaux, on n'est pas bien, hein ?
01:02 Ah non !
01:03 C'est pas un peu bizarre ?
01:04 Mais pourquoi ce serait bizarre ?
01:05 Bah c'est quand même bizarre, il y a un remaniement dans les prochains jours, il y a des ministres
01:10 qui vont quitter le gouvernement, ça fait une drôle d'ambiance quand même.
01:13 Oui, mais la vie ne s'arrête pas, qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? Moi, je
01:16 n'ai vu que des gens charmants, qui étaient heureux d'être ensemble pour un moment de
01:22 convivialité.
01:23 Il est lourd !
01:24 Ça va ou ça ?
01:25 Doucement !
01:26 Mieux vaut être quelqu'un de fragile que quelqu'un de très fort.
01:31 Tu y vas ? Je te relaie.
01:32 Parce que les costauds dans ce jeu sont éliminés.
01:35 C'est pas tous les jours comme ça, c'est un peu compliqué la vie de ministre.
01:41 Moi, je ne vais pas me plaindre, j'ai choisi d'y être, mais voilà, ça fait du bien de
01:46 se retrouver et puis d'évoquer un peu des sujets plus légers peut-être, un instant,
01:52 un instant de répit.
01:53 Je dois avouer que je croyais avoir vu pas mal en 45 ans de politique, mais j'étais
02:02 loin de tout connaître encore de la nature humaine.
02:06 On va écouter Jordan Bardella, c'est vrai que le Rassemblement National a été l'un
02:10 des premiers partis à dire, tout comme les Républicains d'ailleurs, celui qui casse,
02:15 celui qui paye, il pille.
02:17 Celui qui pille, celui qui casse, il paye.
02:20 Mais c'était pas faux non plus.
02:22 Pas faux non plus.
02:23 Ce jour-là, Adam, commerçant du quartier, vend à quelques jeunes de quoi faire des
02:26 grillades, ce qu'il ne sait pas c'est qu'elles serviront lors de cette fête illégale à
02:30 laquelle il a fini par se rendre.
02:32 Les putes, ils sont bien amusés, ils se sont bien éclatés, ils ont bu, ils ont mangé,
02:36 et c'est pour eux aussi ce qui compte.
02:37 Parce que c'est vrai que le quartier, on dirait l'abandonné.
02:40 Avant de cuire vos chipolatas au barbecue, il est conseillé de les piquer avec une fourchette
02:50 pour qu'elles restent tendres.
02:52 Je dirais vrai.
02:54 C'est faux !
02:55 C'est faux !
02:56 Mais c'est vrai !
02:57 Je le fais.
02:58 Mais pendons-la !
02:59 Les familles se réjouissent de cette fête foraine inattendue qu'ils pensent organiser
03:08 par la mairie.
03:09 Mais derrière, ce sont bien des dealers, mon Gimagri et membres du collectif qui a dénoncé
03:13 cette action.
03:14 Les parents, ils étaient dans la confusion parce qu'ils ont participé à quelque chose.
03:17 Ils n'étaient pas volontaires au départ.
03:19 Mais comme ils ont dit certains aussi, il y en a qui ont pensé à nous.
03:24 Ils ont pensé au quartier abandonné défavorisé.
03:27 Ils ont organisé quelque chose pour les enfants.
03:30 Et nous nous souhaitons que les aides sociales et les allocations familiales aux parents
03:34 de mineurs récidivistes soient supprimées, soient retirées.
03:38 Je pense que c'est un principe non seulement de bon sens, mais un principe de justice.
03:41 Les casseurs doivent payer.
03:43 Il faut appliquer le principe du casseur-payeur.
03:45 Tu casses, tu payes et si tu ne peux pas payer, c'est tes parents qui paient.
03:49 Ce groupe de jeunes a été surpris de nuit par le gardien du Mont-Valérien alors qu'ils
03:54 utilisaient la flamme comme un grill.
03:56 Ils avaient jeté une bouteille de soda et des détritus dans le brûloir en bronze pour
04:00 y faire griller des chamallows.
04:02 L'employé a immédiatement alerté la police qui est venue interpeller les six suspects
04:06 peu après minuit.
04:07 Le Mont-Valérien, c'est le principal lieu d'exécution des résistants et des otages
04:12 par l'armée allemande pendant la seconde guerre mondiale.
04:14 Plus d'un millier de personnes y ont été fusillées.
04:17 Ce lieu est devenu en 1960 un monument colossal.
04:20 "Il faut franchir un mur d'épaisse fumerolle, se glisser entre les tentacules de magma,
04:27 projeté vers le ciel.
04:28 Avec agilité, ce drone esquive plusieurs séries d'explosions.
04:32 Dans un air vibrant de chaleur, l'appareil vient raser la coulée de lave incandescente.
04:38 Deux ans qu'Alexis Télémak attendait de capturer ce spectacle hypnotisant.
04:44 À l'éveil de ce volcan islandais il y a dix jours..."
04:48 Regardez ce fossile remarquablement préservé.
04:52 Il s'agit d'un petit mammifère, vous voyez sur la gauche, plantant ses crocs dans les
04:56 côtes d'un dinosaure faisant trois fois sa taille.
04:59 La scène réelle reproduite ici en dessin a été figée en pleine action dans la cendre
05:04 d'une éruption volcanique il y a 125 millions d'années.
05:07 Preuve pour les scientifiques qu'il existait à l'époque des petits mammifères capables
05:12 d'attaquer un dinosaure adulte.
05:14 "Fasciné par les volcans depuis l'enfance, Alexis Télémak avait déjà tenté à deux
05:19 reprises d'assister à une éruption volcanique, comme ici en février 2022 où il est arrivé
05:25 trop tard.
05:26 Il y a quelques jours, il a accompli son rêve.
05:29 Après 800 ans de sommeil, c'est la troisième fois en deux ans qu'un volcan se réveille
05:34 dans la région."
05:36 "Cette ville a traversé beaucoup de tourments, beaucoup de soucis, on les a toujours surmontés
05:40 et nous allons de nouveau les surmonter."
05:42 "Mais au-delà de surmonter ces tourments, comment vous les expliquez ? Est-ce qu'aujourd'hui
05:47 il y a une violence plus importante ? C'est ça qu'on veut aussi comprendre, même
05:50 s'il est dur de faire un diagnostic à chaud peut-être."
05:54 "J'essaye de vous expliquer que l'histoire remonte à loin.
05:57 C'est une histoire qui veille de 30 ans.
05:59 Nous avons un hôpital ici, c'est le seul dans le nord de la Meurthe-Moselle.
06:03 Nous n'avons plus d'infirmières, on les recrute au Liban."
06:06 "Quelles sont vos doutes, Jean ? Si vous permettez, je viens de parler un petit peu,
06:13 je préférerais reprendre mon souffle."
06:16 "Je voterai comme je le sentirai dans le moment venu."
06:20 "On n'a plus de médecin.
06:22 Je suis une ville de 10 000 habitants, nous n'avons plus un médecin généraliste.
06:25 Je suis enseignant de métier, bientôt à la retraite au 1er septembre, après 46 années
06:31 de bon loyer-service, on manque d'enseignants.
06:34 Il n'y a plus de remplacement dans les écoles.
06:37 Nous avons un hôtel de police d'agglomération, il est situé sur le territoire de la commune.
06:40 C'est une ville très structurée.
06:42 Il manque 30 % de policiers dans cet hôtel de police.
06:45 Nous avons une poste, elle est fermée depuis un an et demi sur un quartier de 4 000 habitants.
06:49 Elle joue un rôle social énorme."
06:50 Quelle phrase, commençons par "Eh bien, constitue Nicolas".
06:54 "Eh bien, dansez maintenant."
06:56 "Mais oui, bravo."
06:57 *Musique*
07:19 "Waouh, putain mais...
07:26 Wouh !
07:27 Et là, je crache dans les airs, il l'attrape au plein doigt."
07:32 "J'attrape et je leur crache doucement dans mon saladier.
07:35 Merci, bah oui, merci bien."
07:37 Depuis l'effacement de l'outrage à la pudeur du code pénal en 1994, les hommes ont le
07:44 droit de se balader torse nu, à condition que le maire n'ait pas pris un arrêté spécifique
07:49 l'interdisant sur une zone bien définie.
07:51 "Donc c'est le maire qui prend des arrêtés de police où il va indiquer les tenues qui
07:56 sont correctes.
07:57 Il y a des amendes qui vont de 15 euros à 60 euros environ."
08:01 Car la poupée, inventée en 1959,
08:05 "Je vous attendais."
08:06 "Bonsoir ma chérie."
08:07 a commencé sa carrière comme femme au foyer.
08:10 "Content de sortir avec vous, ça me changera les idées."
08:13 Les femmes, elles, tombent sous le coup de la loi contre l'exhibition sexuelle.
08:17 Elles risquent 15 000 euros d'amende et un an de prison.
08:20 "J'ai-je le droit de conduire en thong ?"
08:22 Depuis quelques jours en Iran, cette vidéo est devenue virale sur les réseaux sociaux.
08:27 On y aperçoit une femme non voilée interpellée en pleine rue par une femme en hijab, présumément
08:34 de la police des mœurs.
08:36 Démantelée au plus fort de la contestation, la police des mœurs est de retour dans la rue.
08:41 Leur cible, des femmes jugées trop émancipées selon le régime et qui ne respectent pas
08:46 les codes vestimentaires stricts.
08:48 "Mais très vite, Barbie devient active, hôtesse de l'air, vétérinaire ou astronaute.
08:53 Elle apprend plus de 250 métiers.
08:56 La volonté de sa créatrice."
08:59 "J'espère que Barbie va vivre longtemps en reflétant toujours les changements de la société."
09:04 À 30 ans, cette habitante de Téhéran qui préfère rester anonyme vit dans l'angoisse permanente,
09:10 mais elle refuse de céder.
09:12 "Pour nous les femmes, ce n'est pas depuis deux jours, mais depuis des mois que nous
09:18 avons peur et que nous sommes stressées.
09:21 Mais malgré tout, nous continuons de ne pas obéir."
09:25 De nouvelles accusations contre Nicolas Bedos.
09:29 Le parquet de Paris a annoncé hier avoir ouvert une enquête pour viol et agression sexuelle.
09:33 Trois femmes ont déposé plainte contre le réalisateur.
09:36 Deux d'entre elles dénoncent des violences sexuelles qui ont eu lieu en 1999 pour l'une
09:40 et en 2017 pour l'autre.
09:43 Son avocate avait décrit un geste accidentel.
09:46 Et selon Mediapart, c'est ce terme qui a fait réagir plusieurs femmes.
09:50 Trois d'entre elles ont déposé plainte.
09:53 L'une d'elles est comédienne.
09:55 Elle accuse le réalisateur de l'avoir violée chez lui en 1999 après une soirée entre amis.
10:00 "C'est pas une blague, tu me connais très bien.
10:03 C'est pour te dire que j'étais mariée."
10:05 "Oui, Alan.
10:07 C'est bon, j'ai compris."
10:09 "En gros, c'est moi qui me suis imaginé la tête, c'est moi qui me suis fait des films dans ma tête, c'est ça ?"
10:14 "Bah oui !"
10:15 "Vous êtes en train de me dire que tout ce que je pensais, tout était faux.
10:18 Y'avait pas ce feeling, y'avait pas ce petit trou de fou marré."
10:21 "Fou marré, non."
10:22 "Selon ses propos, tout serait parti en vrille.
10:25 Il aurait complètement changé de comportement.
10:27 Il lui aurait demandé avec insistance de monter dans sa chambre.
10:29 Elle aurait refusé, elle aurait pris ses affaires pour partir.
10:31 Et là, d'après son récit, il l'aurait plaqué contre le mur, l'aurait attrapé par la gorge.
10:37 Et il lui aurait dit 'Mais tu te prends pour qui ? T'es pas Catherine Deneuve' ?"
10:39 "Au fait, l'Argentine, c'est où exactement ?"
10:42 "L'Argentine, je crois que c'est vers l'Afrique du Sud."
10:46 "L'Argentine, c'est au Brésil."
10:47 "Bon, là, Pierre-Olivier, les filles se noient.
10:50 Pouvez-vous surfer à leur secours ?"
10:52 "L'Argentine, c'est en Amérique du Sud, y'a le Chili, c'est vraiment à l'est du Chili."
10:56 "Ouh, c'est presque pareil."
10:58 "Euh oui, un continent près."
11:00 "Cette vidéo a été vue plus de 5 millions de fois sur Twitter."
11:05 "Alors du coup, là, je suis à ça maximum que j'en basse une fitte."
11:07 "Un homme s'approche d'elle."
11:09 "J'ai 100 euros, non ?"
11:10 "Il lui propose 100 euros en échange d'un rapport sexuel."
11:14 "Mais je suis pas une pute !"
11:15 "Non, non, j'ai jamais dit ça. J'ai très bien, je vais respecter tout."
11:20 "Après plusieurs refus."
11:21 "Non, mais non, non."
11:22 "L'homme insiste. Elle lui demande de partir."
11:26 "Les plus belles naissances à Naïs, et vraiment, j'en parle en connaissance de cause,
11:31 les plus belles naissances sont celles qui naissent du fruit de l'amour, pas du fruit de la magouille."
11:35 "Ah, c'est beau."
11:37 "Vraiment, c'est beau."
11:38 "Est-ce que tu crois que Pablo Escobar, c'est le fruit de l'amour ?"
11:40 "Je n'en sais rien."
11:42 "Je peux t'aimer sans faire des enfants."
11:43 "Dans un instant, merci Anaïs Sennes."
11:45 "Pardon ? Tu peux t'aimer sans faire des enfants ?"
11:46 "Dans un instant."
11:47 "Ah bon ?"
11:48 "Oui, si !"
11:49 "Vous êtes chelou, hein."
11:50 "Non, je suis pas chelou."
11:52 "Si, si, vous êtes chelou. Donc, bouge."
11:54 "Je savais pas comment réagir."
11:56 "Et je me suis dit, à tout moment, il a un couteau, donc j'ai préféré rester calme."
12:01 "J'étais entre deux voitures, donc à tout moment, je me suis dit, il a un couteau, il m'agresse."
12:07 "Donc je suis restée calme et puis j'ai attendu."
12:09 "Je trouve ça un peu triste de se faire la tête juste pour une histoire de chanson."
12:18 "Euh, pardon, j'ai bien entendu. C'est quoi cette histoire ?"
12:21 "Vous ne vous parlez plus depuis 5 ans à cause d'une chanson ?"
12:25 "Vous êtes musicien, c'est ça ?"
12:27 "On est avant tout artistes, tous les deux."
12:30 "T'es prêt ? Un petit roulement de tambour quand même pour le..."
12:34 "3, 4..."
12:36 "J'adore ! J'adore ce jeu ! Enfin, j'adore, parce que je gagne."
12:47 "Ouais, sinon je déteste."
12:49 "J'avais envie de faire une autre version de 'Salut Loucoco'."
12:53 "Et Romuel, il m'a dit qu'il n'avait pas trop envie, qu'il n'était pas trop motivé."
12:58 "Et moi, je lui ai dit, si ce n'était pas motivé, ce n'est pas grave, je vais le faire avec Angélique."
13:02 "Je vais le faire avec ma femme."
13:03 "Sa compagne, elle a tout simplement repassé derrière ce que j'avais fait avec mon frère."
13:09 "Et ça, je ne l'ai pas supporté. Et c'est ça qui a tout brisé."
13:12 "Est-ce que le con de base dont vous faites tous partie autour de la table, qui passe sa vie sur son portable..."
13:22 "Y compris quand on bouffe en tête à tête, à regarder le coup d'après, peut se détacher des avis, quoi ?"
13:29 "Est-ce que vous pouvez aller manger dans un restaurant parce que vous avez envie de manger dans ce restaurant ?"
13:34 "Non, non, non, non, je dis tout de suite non."
13:36 "Eh ben, votre monde est un monde de merde dans lequel je ne veux pas rentrer."
13:41 *Musique triste*
14:09 *Bruit de pet*
14:10 *Bruit de coup de feu*