Thomas Binet reçoit Baptiste Laurent, président co-fondateur Vertuo.
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NewsTranscription
00:00 Sud Radio, Oser entreprendre, Thomas Binet.
00:04 Bonjour Thomas.
00:05 Bonjour Jean-Marie.
00:06 Oser entreprendre, comment entreprendre, comment se lancer dans l'aventure de l'entreprise,
00:10 on en parle aujourd'hui avec vous et votre invité.
00:12 Absolument, mais on va commencer d'abord avec les indiscrets du magazine Entreprendre,
00:15 où on va découvrir les nouvelles de la semaine du Monde de l'Entreprise.
00:18 Notre grand témoin, Baptiste Laurent, cofondateur et président de Vertuo Société, ayant pour
00:23 vocation de végétaliser les villes afin de réduire le réchauffement climatique, et
00:27 on va parler forcément start-up, mais on continuera à en parler avec les essentiels
00:30 de l'entrepreneuriat, on va parler justement de certaines difficultés des start-up.
00:34 Oui, c'est pas toujours facile de se lancer, mais avant ça, les indiscrets en partenariat
00:38 avec le magazine Entreprendre, vous allez nous faire entrer Thomas dans les coulisses
00:42 des entreprises, et on commence par parler de John Elkan, c'est l'héritier d'Agneli
00:47 qui a racheté 15% de Philips cet été.
00:49 Absolument, l'héritier vedette du clan Agneli, propriétaire historique de Fiat et premier
00:53 actionnaire privé du géant automobile Stellantis, continue sa diversification dans le médical
00:58 en achetant à hauteur de 15% dans le capital de l'ancien géant néerlandais de l'électroménager
01:03 Philips qui s'est recentré depuis sur le médical.
01:06 Le conglomérat italien affiche de nouvelles ambitions.
01:09 Souvenons-nous quand même que Fiat n'était pas en très bonne santé il y a quelques années,
01:13 comme quoi il ne faut pas enterrer trop vite certaines sociétés.
01:15 Et surtout des sociétés légendaires comme Fiat.
01:17 Allez, vous allez nous raconter aussi l'histoire d'un homme désargenté qui est devenu propriétaire
01:22 de la chaîne de magasins de chaussures Finsbury.
01:24 Absolument, il s'appelle Arnaud Bruyon, retenez ce nom, fils d'ouvrier d'une banlieue délaissée
01:29 sans diplôme.
01:30 Il se met à travailler à 17 ans et enchaîne les jobs pour se nourrir et survivre.
01:34 Il se fait recruter comme l'employé de vente dans une petite chaîne de magasins de chaussures
01:38 Finsbury à Paris.
01:39 10 ans après, il se retrouve responsable de 7 magasins de 7 enseignes.
01:43 Il est très motivé et s'occupe de tout.
01:44 Devant une telle énergie d'ailleurs, les fondateurs de la marque décident de lui vendre
01:48 l'entreprise.
01:49 En tant qu'obtient de la BPI France, banque publique d'investissement, il prend le contrôle
01:52 de Finsbury.
01:53 En 2022, Finsbury c'est 46 millions d'euros de chiffre d'affaires avec 78 boutiques,
01:58 dans 9 pays.
01:59 Et il s'apprête d'ailleurs à lancer Finsbury pour femmes dans les grands magasins et sur
02:02 le digital.
02:03 C'est une vraie aventure à la française.
02:04 En plus, on parle toujours du rêve américain.
02:06 Là, c'est le rêve français.
02:07 Tout simplement.
02:08 Bravo à lui.
02:09 Dernière information, Thomas.
02:10 Dernière indiscrétion.
02:11 C'est celle d'une facturation.
02:13 La facturation électronique qui deviendrait bientôt obligatoire.
02:16 Oui, c'est un peu moins de l'amour que le sujet précédent, mais elle devrait l'être
02:18 au 1er juillet 2024.
02:20 Mais la date sera quand même précisée normalement dans la loi de finances prochaine.
02:24 Alors ce qui est clair, c'est qu'à travers cette réforme, Bercy souhaite endiguer la
02:27 fraude à la TVA.
02:28 Mais il y a aussi certains avantages à cette réforme.
02:30 La baisse des erreurs et du temps de traitement des factures à travers sa dématérialisation,
02:34 simplifier le processus de déclaration de la TVA, alléger les charges administratives
02:39 et avoir une gestion plus intelligente des données financières de l'entreprise.
02:41 Arrêtez de gaspiller le papier, tout simplement.
02:43 Et l'encre, pourquoi pas ?
02:44 Tout de suite Thomas, on accueille le grand témoin de la semaine.
02:48 C'est votre invité Baptiste Laurent.
02:49 Bonjour à vous et bienvenue sur Sud Radio.
02:51 Vous êtes le cofondateur et président de Vertuo, société ayant pour vocation de végétaliser
02:57 les villes afin de lutter contre le changement climatique.
03:01 Bienvenue sur Sud Radio.
03:02 Bonjour.
03:03 Baptiste Laurent, créer et lancer une start-up, c'est le rêve de nombreux Français et particulièrement
03:08 dans la jeune génération.
03:09 Et pour autant, ce n'est pas un long fleuve tranquille.
03:11 On va en parler avec vous justement, mais avant tout, est-ce qu'en 30 secondes, vous
03:15 pouvez me pitcher, comme on fait devant les fonds de pension de tous ces banques, ce qu'est
03:22 Vertuo ?
03:23 Vertuo, c'est la promesse de réussir à végétaliser les villes, même dans les endroits
03:28 où on n'a pas accès à de la pleine terre, donc vraiment partout, ce qui est le cas dans
03:31 toutes les zones urbaines assez anciennes.
03:33 Du coup, on a créé un système qui est unique, qui est breveté, qui permet de recréer un
03:38 cycle de l'eau, récupérer les eaux de pluie et végétaliser sans aucun arrosage toute
03:42 l'année avec une ultra grande performance en termes de rafraîchissement, parce que
03:46 du coup, on crée un milieu idéal pour les plantes, là où normalement, il n'y a que
03:50 du béton.
03:51 Je crois que vous avez plus ou moins 30 secondes en plus, on va faire concluter.
03:53 Qu'est-ce qui vous a poussé à vous lancer dans une aventure entrepreneuriale de cette
03:56 nature ?
03:57 De cette nature ? Alors moi, j'ai toujours eu une envie d'entreprendre.
04:03 Exactement, ça je pense qu'on l'a dès le début.
04:05 J'étais à l'école déjà, j'ai créé une première boîte.
04:08 Vous êtes dans un milieu familial où l'entrepreneuriat était déjà inscrit ?
04:13 Pas particulièrement.
04:14 Donc c'est vous là, vraiment.
04:16 Exactement, c'est par passion et parce que aussi, je ne me sentais pas forcément à
04:20 l'aise en tant que salarié.
04:21 J'avais envie de faire beaucoup plus de choses, d'entreprendre des choses et le mot entreprendre
04:25 est très bon pour ça.
04:26 Du coup, j'ai eu envie vraiment de m'investir sur un sujet de ce qu'on appelle la ville
04:32 durable parce que je me suis rendu compte, j'ai fait du e-commerce avant, j'ai fait
04:36 de l'assistance informatique, donc vraiment d'autres sujets qui n'ont rien à voir.
04:39 Et je me suis rendu compte qu'il y avait un sujet qui n'évoluait pas énormément
04:42 ces dernières années, c'est tout ce qui est construction, tout ce qui est aménagement.
04:45 On regarde les aménagements urbains, vous regardez votre maison, ce sont les mêmes
04:48 produits qu'on utilise depuis 100, 200 ans.
04:50 Il y a un vrai problème en fait, alors qu'on a des enjeux énormes aujourd'hui.
04:53 Et donc c'est comme ça que j'ai commencé vraiment à me pencher sur cette question-là.
04:56 Alors moi, je voudrais m'attacher quand même à un sujet qui est crucial quand on
05:00 lance une entreprise, une startup en particulier, c'est le financement.
05:02 Comment trouve-t-on le financement nécessaire ? Ça va intéresser quand même nos auditeurs
05:06 ce dimanche matin parce qu'il y en a certains qui ont envie, mais ils ne peuvent pas, ils
05:09 n'ont pas les moyens.
05:10 Vous les aviez, vous, déjà ?
05:12 Alors, personnellement non.
05:13 Il faut savoir aujourd'hui qu'en gros, il y a un peu… j'ai envie de dire que la
05:17 difficulté n'est pas vraiment au démarrage.
05:19 Au démarrage, en France, on arrive très facilement à trouver des fonds.
05:22 Pourquoi ? Parce qu'il y a déjà… alors si on a un sujet innovant, puisque si bien
05:26 sûr on recrée un bain de commerce, c'est un peu différent, il faut aller voir des
05:29 banques, des prêts normaux.
05:30 Mais si on a une innovation, il y a la Banque Publique d'Investissement, la BPI…
05:33 De ce dont je parlais tout à l'heure.
05:35 Exactement, qui est très bien structurée pour ça.
05:36 Ils ont un système de prêts d'honneur, ce qu'on appelle.
05:40 C'est-à-dire que même quelqu'un qui n'a pas du tout les fonds vient, il faut
05:44 qu'il passe bien sûr à un comité, à un business plan qu'il soumet.
05:49 Et si son dossier passe, en fait, la banque va lui faire un prêt, un prêt d'honneur
05:54 en personne et qui sera, si jamais il échoue, qui sera jamais redemandé derrière.
06:01 Les montants sont-ils variables en fonction des projets ou c'est une mise quasiment
06:05 la même pour tout le monde ? Non, alors je crois que le minimum ça doit
06:09 être 15 000 euros pour un prêt.
06:11 C'est ce qu'on appelle les bourses, les bourses French Tech par exemple.
06:14 Ça peut aller jusqu'à 50 000 euros, il me semble.
06:16 Et ça, ça n'a rien à voir avec la personne, c'est plus l'ambition du projet.
06:22 Forcément, si on a un BP qui tient la route et qui crée plusieurs millions...
06:24 Un bilan prévisionnel.
06:25 Exactement.
06:26 Plusieurs millions d'euros de chiffre d'affaires dans les cinq ans à venir et qui créent
06:29 de l'emploi, forcément on peut demander une enveloppe plus importante.
06:32 Alors, Mathis Laurent, vous disiez que la difficulté, ce n'est pas le lancement définitif
06:36 pour le financement, c'est par la suite.
06:37 C'est quoi ? Un an, deux ans après, c'est ça ?
06:39 Oui, moi je dirais en tant qu'entrepreneur, c'est ça.
06:41 En fait, en France, on est très bien structuré sur l'amorçage puisqu'il y a la BPI, mais
06:45 il y a tout un tas d'autres associations aussi.
06:47 Moi, je fais partie du réseau Entreprendre aussi, par exemple, ce qui est un réseau
06:50 d'entrepreneurs et qui aide aussi au démarrage.
06:52 Et tout ça, c'est assez facile.
06:54 Par contre, ça, c'est pour...
06:55 C'est à quel moment que ça devient difficile ?
06:56 Voilà, c'est à peu près...
06:58 Une fois qu'on a prouvé ce qu'on appelle le POC, c'est le proof of concept, c'est-à-dire
07:02 qu'on se lance, on met en route un projet et on montre qu'on a ses premiers clients
07:07 qui payent.
07:08 Mais on n'est pas rentable pour autant.
07:09 Pour être rentable, il faut atteindre 100, 150, 200 clients.
07:13 Donc, ce n'est pas une question de temps, c'est plus une question de volume d'affaires,
07:16 en définitive.
07:17 Oui, exactement.
07:18 C'est le palier entre mon idée, elle marche, je l'ai montré, mais il faut que je tienne
07:24 pendant 2-3 ans pour être complètement rentable.
07:26 Et ce palier-là, en fait, il est...
07:28 Souvent, aux États-Unis, on va aller voir des fonds, par exemple.
07:31 Et en France, c'est un petit peu plus délicat.
07:34 Il y a des fonds qui financent, bien sûr, mais c'est plus difficile que la partie au
07:38 démarrage.
07:39 Il y a vraiment une question que j'ai envie de vous poser.
07:40 Entre l'idée que vous aviez au moment où vous vous êtes lancé, vos attentes, vos
07:44 envies et ce que vous avez découvert, est-ce qu'il y a des choses qui ont été amenées
07:47 à vous surprendre ? Une différence entre le démarrage que vous avez vécu et la suite.
07:51 En termes d'investissement, c'est...
07:52 Sur tout sujet, on a des rêves quand on se lance en qualité d'entrepreneur.
07:56 Oui, alors ça, c'est sûr.
07:57 C'est ça, il y a cette bascule.
07:59 Est-ce qu'il y a une bascule ?
08:00 Non, en fait, je pense qu'il faut...
08:02 Je pense qu'on revient à l'une des qualités d'entrepreneur, c'est sa "résilience",
08:07 entre guillemets, parce qu'en fait, au début, vous avez une idée.
08:10 Il ne faut jamais penser que cette idée va s'accomplir exactement de la même manière.
08:14 Vous tenez le même discours que Laurent Tapie, la dernière fois dans notre émission, où
08:17 il parlait de résilience de la même manière que vous.
08:19 Ah oui ?
08:20 Oui.
08:21 Eh bien, on se rejoint.
08:22 Vous pourrez réécouter le podcast sur Sudradio.fr.
08:24 OK.
08:25 Et du coup, en fait, c'est exactement le même sujet.
08:28 C'est-à-dire que l'idée, ce qui compte, c'est que...
08:30 Enfin, moi, j'ai toujours fonctionné comme ça.
08:31 J'ai un fil rouge, j'ai un objectif.
08:32 Ça, c'est important, parce que c'est l'objectif qu'on donne à tout le monde, aux investisseurs,
08:36 aux clients.
08:37 Par contre, après, le chemin est tortueux.
08:38 C'est un peu comme si on allait en montagne et qu'il n'y a pas de chemin de randonnée.
08:41 Vous allez créer votre chemin.
08:42 S'il y a un moment où vous allez tomber sur des arbres en travers de la route, vous
08:44 allez le contourner.
08:45 C'est exactement la même chose.
08:46 Une ultime question pour vous, Baptiste Laurent.
08:49 Un conseil à donner aux futurs startuppers, puisqu'on les appelle comme ça, qui nous
08:53 écoutent.
08:54 Un conseil, peut-être une difficulté que vous avez rencontrée, ou quelque chose de
08:58 positif, je ne sais pas.
08:59 Quelque chose que vous avez envie de partager à l'instant, en quelques secondes.
09:02 Je pense qu'en fait, il faut croire en soi.
09:06 Il faut vraiment écouter ses tripes.
09:07 Je pense qu'on le sent à l'intérieur de soi-même si on est vraiment un entrepreneur
09:11 ou pas.
09:12 Après, ce que j'ai envie de dire, c'est que du coup, si on sent qu'on a envie de
09:17 vraiment créer des choses qui peuvent être difficiles, à un moment, il ne faut pas trop
09:22 écouter tout autour de nous.
09:23 On a tendance souvent à dire qu'il faut écouter, bien se poser, réfléchir.
09:28 C'est souvent un peu… Déterminé.
09:29 Exactement.
09:30 Après, il faut y aller.
09:31 Il faut foncer.
09:32 Comme je disais tout à l'heure, si on a un objectif, si on a une étoile à viser,
09:36 on va passer tous les obstacles.
09:38 Merci à vous.
09:39 Passez-les en tout cas.
09:40 On vous souhaite bonne chance dans votre parcours.
09:42 Merci à vous Baptiste Laurent.
09:43 Je rappelle que vous êtes le cofondateur et président de Vertuo.
09:47 Tout de suite, les essentiels de l'entrepreneuriat.
09:49 Thomas, vous allez nous parler de start-up justement et de la French Tech.
09:53 Oui, Jean-Marie.
09:54 Zeno, le spécialiste des fournitures et de l'équipement pour les professionnels présente.
09:59 Sud Radio, oser entreprendre, les essentiels de l'entrepreneuriat.
10:04 Et vous allez donc, Thomas, nous parler des start-up toujours et de la French Tech.
10:08 Oui, Jean-Marie.
10:09 Depuis un an, les difficultés s'amoncèlent quand même dans le ciel des start-up.
10:12 On a eu beau en parler à un instant avec Baptiste Laurent, le problème de financement
10:15 s'est fait ressentir à tous les étages.
10:17 Et pour autant, la France a bénéficié d'un record de levée de fonds en 2022.
10:21 Ah oui, effectivement.
10:22 Alors, vous voulez nous parler des résultats du baromètre annuel du France Digital et
10:26 de EY.
10:27 Oui, EY, Hertz & Young.
10:29 Oui, selon les résultats avancés dans ce baromètre, les start-up ont enregistré
10:33 une croissance moyenne de leur chiffre d'affaires de 32% en 2022.
10:37 Ce sont à 60% les grands groupes qui sont les pourvoyeurs les plus importants de ressources
10:41 dans les start-up.
10:42 Les difficultés majeures pressenties pour les prochains mois sont les difficultés pour
10:46 ces jeunes sociétés à contractualiser avec des entreprises tant du privé que du public.
10:50 Il n'y a pas de préférence française ou née européenne, contrairement aux préférences
10:55 américaines et chinoises.
10:56 C'est la seule difficulté rencontrée ou pas ?
10:58 Non, parce que la levée de fonds est très présente dans les préoccupations des dirigeants,
11:01 mais aussi le recrutement encore et toujours.
11:04 70% des start-up interrogés souhaitent recruter entre 1 à 10 personnes en 2024 et 18% entre
11:12 11 et 50 personnes.
11:13 Il faut juste trouver les talents en face.
11:16 C'est la difficulté du moment.
11:17 En tout cas, c'est une difficulté de riche en quelque sorte.
11:20 Merci beaucoup, monsieur Thomas Binet.
11:21 On vous retrouve dans quelques instants pour Oser Investir.