Quelles sont les sorties ciné de cette semaine ? Le 04 Octobre

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Quels films sont en salles aujourd'hui ? Découvrez les films qui sortent ce mercredi 04 octobre dans Par Ici Les Sorties.
Transcription
00:00 *Musique*
00:17 Bonjour à tous, c'est par ici les sorties, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les films à l'affiche.
00:21 Comédie, drame, policier, thriller, documentaire et romance sont au programme cette semaine,
00:27 avec tout d'abord Bernadette de Léa Dominac.
00:30 Le fantastique sera au cœur du film de Thomas Kailé, Le règne animal.
00:33 Nous ferons la connaissance de l'autre Laurence.
00:36 Nous nous rendrons au Mexique pour Lost in the night de Amat Escalante.
00:40 Nous découvrirons l'ère de la mer en libre.
00:42 Nous nous rendrons à l'hôpital pour le documentaire de Claire Simon, Notre corps.
00:46 Et Eva Husson viendra nous parler de son troisième film, Entre les lignes.
00:50 Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine,
00:55 nous vous proposons de découvrir le classement des films en salles,
00:58 établi par les étoiles des spectateurs sur le site Allociné.
01:01 En troisième position, Dogman obtient 4/5.
01:06 Juste au-dessus, avec 4,1/5, on retrouve le Procès Goldman.
01:13 Et cette semaine se place en première position, Poisson Rouge qui obtient 4,5/5.
01:23 Retour aux sorties de la semaine.
01:25 Pour son premier film, Bernadette, Léa Domenac a choisi la satire bienveillante
01:30 en mélangeant réalité et fiction.
01:32 Catherine Deneuve incarne une Bernadette Chirac jugée trop ringarde
01:36 qui décide de prendre sa revanche en devenant une figure médiatique incontournable.
01:41 Madame Chirac, comme Claude ne m'a pas donné de budget pour commander un vrai sondage d'opinion,
01:47 je me suis permis d'en réaliser un moi-même sur le personnel de l'Elysée.
01:52 Les résultats ne sont pas bons.
01:53 Bernadette, c'est un film d'abord sur la revanche d'une femme,
01:55 Bernadette Chirac, qu'on connaît tous.
01:57 Les gens vous trouvent ringardes.
01:59 Bonjour Madame Chirac.
02:00 Bonjour Madame Dénier.
02:01 Puis c'est une fable, c'est une fable politique qui raconte aussi, je pense,
02:04 avec nostalgie et humour les années 90.
02:07 Bonjour Madame.
02:08 Bonjour Madame Chirac.
02:09 Nous allons faire en sorte que les Français découvrent votre vrai visage.
02:13 Le personnage de Bernadette, ça devient un espèce de héroïque comique.
02:18 Il y a un mélange de tons dans le film qui est assez fou.
02:21 Si vous voulez devenir une égérie, il va falloir vous mettre à la part.
02:25 Parfait.
02:28 Le film a quelque chose de pas tellement réaliste aussi,
02:30 c'est-à-dire qu'il s'inspire de faits réels, mais c'est vraiment une fable.
02:33 Vous n'êtes pas ringard, vous êtes vintage.
02:35 Il y a plein de situations justement où c'est vraiment amusé à se dire,
02:38 on ne sait pas comment ça s'est passé, réécrivons l'histoire, réinventons-la comme on veut.
02:43 Vous allez me dire que ça aussi c'est vraiment vintage ?
02:46 Les Musclés sont au club Dorothée, ils ont beaucoup de succès.
02:49 Elle ne voulait pas une copie, c'est ça que je trouve bien avec Léa,
02:52 c'est qu'elle est dans une réinvention constante.
02:55 Vous savez pourquoi j'adore les campagnes électorales ?
02:57 Parce que j'adore partir à la rencontre des Français.
03:00 On ne voulait pas être dans la caricature justement.
03:02 On voulait éviter, d'ailleurs dans le choix des comédiens,
03:04 moi je voulais des gens qui incarnent, je ne voulais pas des gens qui imitent.
03:07 Pouvez-vous nous dire un petit mot sur votre complicité avec votre épouse ?
03:11 Je dirais qu'elle est mon atout le plus précieux.
03:15 Le but c'était de réécrire l'histoire de façon féministe,
03:17 c'est-à-dire qu'on met sa femme au premier plan et lui il dégage quelque part.
03:21 À partir de maintenant, ça va filer dans l'Elysée.
03:25 Mais enfin, qu'est-ce que c'est que ce bordel ?
03:27 Le Règne animal est le deuxième film de Thomas Kailé
03:36 et aborde le thème du fantastique.
03:38 Dans un monde confronté à une vague de mutations qui transforme certains humains,
03:42 un père de famille fait tout pour sauver son fils de ce phénomène mystérieux.
03:47 Emile !
03:48 Arrête ton circuit !
03:51 C'est quoi ton problème ?
03:52 C'est bon !
03:53 C'est un film de genre au pluriel.
03:59 C'est à la fois un film intime, spectaculaire, c'est un drame, c'est un film d'aventure,
04:03 c'est un film sur une famille, c'est un film fantastique.
04:06 C'est une mutation, c'est un phénomène récent, complexe, on ne comprend pas tout.
04:11 C'est la nature qui reprend ses droits.
04:13 Il y avait une dimension complètement bouleversante,
04:17 et puis aussi d'un père avec son fils, de ce que ça engendre,
04:21 comment il se sépare, comment le fils prend sa route.
04:23 Paul et Romain, moi ce qui m'a d'abord intéressé,
04:26 c'est qu'ils s'entendent merveilleusement bien
04:28 et d'être au cœur de cette relation-là, de pouvoir restituer ça au spectateur.
04:31 Ça t'a fait quoi quand maman elle a commencé à changer ?
04:34 Me faire confiance.
04:35 On va la retrouver.
04:36 L'acteur doit se rapprocher du personnage, et moi un de mes rôles, c'est de me rapprocher d'eux.
04:41 C'est d'essayer de comprendre qui ils sont en tant que personnes,
04:44 et de les filmer en tant que personnes.
04:45 Papa.
04:47 Qu'est-ce qui s'est passé ?
04:48 Le véhicule a quitté la route.
04:50 Thomas, il va vraiment être très appliqué pour aller dans la direction qu'il souhaite,
04:55 et très précis, et non, il n'est pas autoritaire, il est extrêmement doux.
04:58 Mais constamment friand de ce qui va déborder,
05:01 mais en même temps très sérieux sur les indications,
05:05 ou ce qu'il pouvait nous dire avant chaque prise,
05:07 et tout comme s'il voulait sacraliser le moment.
05:09 T'as peur des créatures ?
05:10 Faut apprendre à vivre ensemble.
05:12 Faut pas avoir peur.
05:14 Il y a ce monde qui bascule, des transformations, tout un contexte fantastique,
05:19 mais ça sert presque de loupe pour regarder ce qui se passe dans cette famille,
05:23 ce qui se passe pour ce jeune homme.
05:24 Si on t'attrape, c'est terminé, tu seras tout seul. Tu comprends ça ?
05:36 L'autre Laurence de Claude Schmitz est un polar qui met en scène un détective privé
05:41 dont la nièce lui demande d'enquêter sur la mort de son père.
05:45 Françoise, t'as moins le temps.
05:51 La dernière fois que je lui ai parlé, c'était comme s'il savait qu'il y avait quelque chose qui allait se passer.
05:56 Tu veux une contre-enquête ?
05:58 C'est toi que je veux engager, moi.
06:00 Merci, monsieur le détective.
06:01 On dit à l'agent de recherche privé.
06:04 En réalité, c'est un conte, mais qui prend la forme d'une sorte de polar.
06:07 Jade, Laurence, où en es-tu ?
06:10 Je suis pas de la famille de François Laurence.
06:12 Son frère et sa fille, on est pro-Boléan.
06:15 Il reprend des codes qui appartiennent à certains films de genre, dont le polar,
06:19 et puis un peu la série B aussi, de films d'action.
06:22 Ça fait partie d'un background qui m'a constitué en tant qu'adolescent.
06:25 Des figures que j'ai ingurgitées, des personnages, des films,
06:30 au cinéma américain aussi, beaucoup, en série B.
06:33 On m'a dit pour la ressemblance, mais...
06:35 C'est gay, hein ?
06:36 C'est bluffant.
06:37 C'est comme si je reprenais tous ces éléments-là dans ce film,
06:40 et que j'en faisais un conte sur l'effondrement de récits patriarcaux.
06:44 Tu crois que c'est un règlement de conte ?
06:46 T'es de la police ?
06:48 Amath Escalante nous emmène au Mexique,
07:00 où après une manifestation, une militante écologiste disparaît.
07:03 Quelques années plus tard, son fils tente de comprendre ce qu'il a pu advenir de sa mère.
07:07 Lost in the Night pratique le mélange des genres entre films noirs et comédie sociale.
07:12 Il y a trois ans, ma mère est disparue.
07:16 Je cherche la justice.
07:23 Je dois trouver ma mère, putain.
07:28 Je voulais faire un film plein de suspense,
07:30 qui vous captive jusqu'au moment où l'on découvre la vérité.
07:34 Tout apporte ici.
07:35 Qu'ils soient impliqués ?
07:39 Les Aldama.
07:40 Je voulais aussi qu'il y ait de l'humour,
07:44 comme dans le personnage de Monica et sa façon de voir la vie.
07:47 C'est plein d'ironie.
07:49 La famille Aldama est pleine de personnages
07:53 qui ne se prennent pas vraiment au sérieux, d'une certaine façon.
07:56 Je voulais donner cet éclairage au personnage
07:59 et l'amener aussi dans mon histoire.
08:01 A mes yeux, cela donne plus de réalité en prenant cette distance humoristique.
08:04 Pour moi, la vie est drôle aussi.
08:06 Monica, elle aime jouer d'une certaine façon avec la mort.
08:13 Elle fait ses simulations de suicide dans ses vidéos,
08:17 alors qu'elle sait très bien qu'elle ne va pas vraiment se tuer dans la vie réelle.
08:21 Elle ne fait que le simulé sur les réseaux sociaux
08:24 dans l'idée de s'en approcher au plus près.
08:26 Elle fait ça plus pour se désennuyer que pour faire peur aux autres
08:30 ou quelque chose de terrible comme ça.
08:32 Nadia, si tu nous sentes,
08:39 tu m'as dit ça toujours.
08:41 Avec l'air de la mère en libre, Nadia Moknesh
08:51 souhaitait traiter d'un mariage arrangé pour un garçon
08:54 et par la même, prendre à contre-pied la représentation du mariage arrangé.
08:58 Un jeune homme, issu d'une famille intégrée,
09:00 n'a jamais osé avouer à sa famille son homosexualité
09:03 et se retrouve piégé par son secret.
09:05 Saïd !
09:07 Mon frérot, tu peux ouvrir la porte là, s'il te plaît ?
09:09 Quand vous braillez comme ça, qu'est-ce qu'il y a ?
09:11 Je ne sais pas si tu es au courant, on nous attend à la maison.
09:13 Ça va, il n'y a pas le feu.
09:14 Oui, on vous attend.
09:15 Au moins ici, tu seras tranquille,
09:17 on a du merdique à laisser derrière toi.
09:18 Alors, les tourtereaux, ça va ?
09:20 L'air de la mère en livre, c'est un hymne à la liberté.
09:23 Ne me dis pas que tu as cédé ?
09:25 Si c'est pour avoir ma bénédiction, c'est mort.
09:27 C'est le regard de la majorité sur la minorité.
09:30 Ils ont déclaré vouloir se prendre pour époux
09:33 et nous avons prononcé au nom de la loi
09:35 qu'ils sont unis par le mariage.
09:37 Étrangement, pour moi, c'est un film français malgré tout.
09:40 Sur une famille, certes, avec des origines arabes,
09:43 ça reste un film français.
09:44 Excuse-moi, je suis un peu tendu.
09:47 Il reste des bribes d'héritage, des bribes de tradition,
09:50 des bribes de religion, mais tout est déjà un peu effiloché.
09:54 J'attends de voir si elle arrête de devenir papa.
09:56 Si j'accepte ce mariage, elle vient me proposer une famille.
09:58 Je sais, moi aussi.
10:00 Nadir Moknesh a réussi à vraiment nous mettre dans la peau
10:04 de ces deux jeunes qui ont des désirs,
10:07 qui ont des envies, qui ont des rêves,
10:09 mais qui ont du mal à se détacher du poids des traditions très fortes.
10:13 Ils sont dans une prison qu'ils ont choisie.
10:16 T'es sur quoi ?
10:17 Des conneries d'insta.
10:20 N'attends pas pour te coucher, hein. Bonne nuit.
10:22 On les a moulés pour être à cette manière.
10:25 Exactement. Ils l'ont accepté.
10:27 Puis à un moment, tu vois que ça craque de partout,
10:30 que ça ne marche pas, tout est faux.
10:31 Qu'est-ce qui ne va pas entre vous ?
10:32 Pourquoi vous ne demandez pas plutôt votre fils ?
10:34 Mais j'ai envie de me dire que c'est une minorité,
10:36 que ce n'est pas tout le monde,
10:37 que les jeunes, maintenant, sont prêts à faire passer leurs désirs
10:40 avant la tradition.
10:42 Salut.
10:43 C'est un ami à toi ?
10:45 Je l'ai rencontré, je ne suis plus à la fac.
10:47 Dans tous mes films, il y a un personnage homosexuel,
10:50 sans le souligner, sans le pointer.
10:52 Ça, ça a permis d'introduire ce personnage-là dans des films algériens,
10:56 sans qu'on en fasse violence ou sans qu'on dise quoi que ce soit.
11:01 Tu m'as dit le mensonge, c'est à double tranchant.
11:03 Tu mens autres, après, sans t'en rendre compte, tu te mens toi-même.
11:05 Ne dis pas que tu n'as rien vu.
11:08 Je ne suis pas pour la révolution, je suis pour quelque chose de plus doux,
11:13 une révolution tranquille.
11:15 C'est ça qui m'intéresse.
11:16 Notre corps de Claire Simon pose un regard sur les femmes à l'hôpital.
11:26 La cinéaste filme un service où des destins de femmes se croisent,
11:30 confrontées à la peur et à l'espoir.
11:32 Qu'est-ce qui vous amène à nous, du coup ?
11:35 Qu'est-ce qui se passe ?
11:36 Vous me confirmez que c'est ce que vous voulez faire ?
11:39 Oui.
11:40 Alors, je vais vous faire un petit dessin pour que vous compreniez bien.
11:42 Je vous laisse vous réveiller, c'est parfait.
11:44 C'est bien les caméramans, c'est sympa le cinéma, c'est bien.
11:47 Je trouve ça très bien, cette histoire de film.
11:49 Claire Simon, je trouve ça génial.
11:51 L'hôpital est pour le film une forme de récit.
11:54 C'est-à-dire que les femmes viennent à différents âges,
11:57 pour différentes pathologies, tout au long de leur vie.
12:00 Alors, ça fait combien de temps que vous essayez d'avoir un enfant ?
12:03 Dix mois maintenant.
12:05 Alors, on y va.
12:06 C'est important que même les hommes les moins intéressés
12:10 par le corps des femmes sachent ce que les femmes traversent.
12:14 La voilà !
12:15 Ecoutez !
12:16 J'ai des injections à faire aussi ?
12:18 Non, vous n'en avez pas de traitement.
12:20 Ce qui est beau dans le fait de filmer, c'est qu'on ne s'occupe pas de soi,
12:24 si vous voulez, on s'occupe des autres.
12:26 L'hôpital est un lieu où chaque personne arrive avec son histoire.
12:30 Maternité, cancer, PMA, endométriose, transition de genre, etc.
12:40 Toutes ces pathologies gynécologiques qui pèsent sur nos vies,
12:44 nos amours, nos espoirs.
12:47 J'ai été voir un médecin et j'avais des ganglions.
12:50 On a fait une biopsie.
12:53 Ma question, c'était est-ce que je me fais soigner dans cet hôpital où je filme ?
12:58 Moi aussi, je me suis déshabillée devant le médecin.
13:02 Ça me rend des femmes parmi les femmes.
13:05 C'était important aussi de parler avec le médecin.
13:10 Il me dit "moi je m'occupe de votre maladie, vous vous occupez du film".
13:14 La question c'est, par où on commence ?
13:17 -Votre visage. -Merci.
13:20 J'ai dans ce film filmé mes semblables et j'étais une semblable parmi les autres.
13:26 Je finis par être touchée.
13:29 Mais après je me relève.
13:31 [Musique]
13:40 La pudeur et les non-dits sont au cœur d'entre les lignes d'Eva Husson
13:43 où il est question de surmonter le deuil à travers l'écriture.
13:46 Dans l'Angleterre de 1924, une femme de chambre chez un couple d'aristocrates
13:51 fréquente secrètement le fils des propriétaires du manoir voisin
13:54 tout en sachant que leur différence de milieu rend leur amour impossible.
13:59 [Musique]
14:17 Ce qui est très beau et ce qui est extrêmement touchant,
14:20 c'est que c'est une peinture collective du processus de deuil
14:24 et de toutes les manières que le deuil a de se déployer dans un groupe.
14:30 C'est ça qui est très beau.
14:32 Ça part du principe qu'un deuil n'affecte pas qu'un individu.
14:37 [Musique]
14:40 La catastrophe au sens étymologique du terme est constitutive des parcours d'artistes
14:45 et en fait, au lieu d'un écroulement définitif et destructeur,
14:50 la catastrophe devient source de création.
14:53 Et ça, c'est fascinant à raconter en tant qu'artiste, c'est une mise en abyme.
14:57 [Musique]
15:04 Dans la société, il y a vraiment une éducation.
15:08 L'aspiration, c'est être la muse quand on est une adolescente ou une jeune femme.
15:13 Ce n'est pas être une créatrice.
15:15 [Musique]
15:23 Ce moment dans l'histoire lui permet d'avoir une aspiration socio-économique
15:27 qui était impossible il y a 30 ans auparavant.
15:30 [Musique]
15:34 Elle sait qu'elle peut échapper à sa condition sociale et elle a la liberté d'esprit
15:40 parce que c'est une artiste de se dire "j'appartiens autant au mur de cette maison,
15:45 à cette bibliothèque peuplée d'hommes".
15:48 Il y a 2000 ans de littérature apatriarcale sur la bibliothèque
15:52 et elle se dit "moi je serai partie de la bibliothèque un jour".
15:55 [Musique]
15:59 Et tout de suite, le reste de l'actualité en bref et en images.
16:02 [Musique]
16:09 Il y a une menace de nous battre, de nous violer, de nous tuer.
16:12 Puis vous ne pouvez pas nous protéger.
16:14 [Musique]
16:16 Nous devons voir que ce sont des crimes d'un nouveau âge moderne
16:22 et que le terrorisme donne un chemin direct à la violence réelle dans le monde physique.
16:31 [Musique]
16:34 Restez à la maison.
16:35 Si nous restons silencieux, nous risquons de perdre ce que nous avons obtenu,
16:40 des décennies de travail.
16:42 [Musique]
16:49 C'est une histoire comme on a envie d'en entendre, comme il faut raconter dans les écoles.
16:54 Le point commun à toutes nos entreprises se résume en un mot, le plaisir.
17:01 [Musique]
17:03 Et lui, ce qu'il aime, c'est ses salariés.
17:06 J'inspire la confiance auprès de mes collaborateurs.
17:09 Un patron qui dit ce qu'il fait et fait ce qu'il dit.
17:14 Dès qu'il a racheté, l'enseigne était morte à ce moment-là.
17:18 [Musique]
17:21 Imaginons une fraction de seconde qu'un des deux entrepôts se mette en grève.
17:27 [Musique]
17:32 [Musique]
17:39 [Musique]
17:46 [Musique]
17:51 [Musique]
17:56 [Musique]
18:02 [Musique]
18:06 Voilà Paris S'il est sorti, c'est fini.
18:08 Rendez-vous la semaine prochaine et en attendant, n'oubliez pas d'aller au cinéma.