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Du lundi au jeudi, Laurent Ruquier et Julie Hammett vous donnent rendez-vous pour "Le 20H de Ruquier", un rebond et des débats sur les grands thèmes de l'actualité de la journée. Au programme ce mercredi, le décès du journaliste Jean-Pierre Elkabbach.

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Transcription
00:00 Déjà c'était un personnage exceptionnel à imiter parce qu'il avait un accent, une
00:05 faconde, une faculté de parler anglais à peu près à votre niveau.
00:09 Je vous remercie Nicolas, je vous reconnais bien là.
00:13 Non mais j'ai vu l'émission sur les anglicismes hier, vous voyez où je suis, je suis un fidèle
00:18 de mon parcours.
00:19 C'est gentil.
00:20 Et c'est vrai que je me souviens sur les conférences de presse quand il vendait en
00:25 Europe 1, quand il était président d'Europe 1, il disait "l'avenir c'est le web, c'est
00:28 le web, on va être l'aider, l'aider sur les post-cats".
00:31 Les post-cats je ne savais pas ce que c'était, c'était le podcast.
00:35 Et il le prenait bien ou pas ? Il le prenait bien ou pas ?
00:40 Oui, il le prenait bien au tout début, parce qu'il a été fondateur pour moi, parce que
00:44 je ne serais pas en train de vous parler si Jean-Pierre ne m'avait pas recruté parce
00:48 que moi j'étais très très bien sur les chansons.
00:50 Il m'a fait la danse du ventre pour essayer de venir sur Europe 1, mais moi je pensais
00:54 que c'était le graal, c'était d'être sur les chansons avec tout le respect que je
00:57 dois à cette antenne.
00:58 En fait j'avais peur, je ne voulais pas être sur Europe 1.
01:02 Et quand je suis venu, tout de suite j'ai voulu l'imiter et faire les pastiches derrière
01:05 son interview politique.
01:06 Il m'a dit "fais pas ça, fais pas ça, je n'aurai plus d'invité, ils ne vont plus
01:09 venir".
01:10 Arrête, arrête tout de suite.

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