A Votre Ecoute - Le détachement

Sud Radio

l’année dernière

Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————

▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75yzts
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/

———————————————————————

Nous suivre sur les réseaux sociaux

▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————

☀️ Et pour plus de vidéos de À Votre Écoute : https://www.youtube.com/playlist?list=PLaXVMKmPLMDR9HQGL0l8yMnl68jdJGR6W

##A_VOTRE_ECOUTE-2023-10-10##

Category

🛠️

Lifestyle

Transcript

Display full video transcript

00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente

00:07 Sud Radio à votre écoute, 16h-17h, Alexandre Delovane

00:12 Bonjour à tous, alors je suis ravi de vous retrouver jusqu'à 17h, une heure d'écoute, une heure d'échange et de témoignage

00:28 sur vos différents questionnements de vie. Vous souhaitez participer à l'émission, c'est le 0826 300 300.

00:35 Et si aujourd'hui vous nous appelez, c'est aussi parce que vous avez du mal à être dans le détachement face à une situation ou à un événement.

00:43 Le détachement, c'est d'arriver à se libérer d'une emprise ou de préoccupations et d'amener la conscience au moment présent.

00:51 Certains d'entre vous l'atteignent et d'autres ont du mal à le faire et si aujourd'hui vous décidez de mettre en action sur le détachement,

00:59 il vous suffira de laisser aller vos idées fixes sur la façon dont vous percevez la vie, car sinon vous essayez de contrôler votre monde

01:07 au lieu de faire confiance au processus de la vie. Ne vous inquiétez pas, durant toute l'émission, je vais vous donner des clés pour appliquer le détachement

01:16 et si tel est votre cas, et bien sûr sans oublier que nos auditeurs pourront aussi témoigner ou suggérer des conseils en fonction de leur expérience.

01:26 Alors cette émission à votre écoute, c'est aussi la vôtre, un moment de partage, de guidance et d'écoute.

01:32 Et à présent, détachez-vous de toutes vos préoccupations et prenez le temps de nous appeler au 0826 300 300.

01:39 Un groupe Facebook à votre écoute vous est dédié pour poster vos avis et vos commentaires et nous sommes en direct live sur Youtube et sur le live de Facebook.

01:48 Aujourd'hui à la réalisation de l'émission, c'est Lucille et Benoît, au standard Aude et Zach.

01:55 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane.

02:00 Et avant de donner la parole à Sophie, je vais reprendre un message du groupe à votre écoute sur Facebook concernant le sujet du jour, notamment le détachement.

02:10 C'est celui de Maryse qui nous dit "le détachement c'est accepter ses émotions, c'est prendre du recul, c'est savoir dire non, se détacher de quelqu'un,

02:18 c'est couper aussi tout lien sur les personnes qui nous sont néfastes, se connecter à soi au moment présent, se changer les idées et faire de nouvelles rencontres et surtout l'appliquer".

02:31 Effectivement, le détachement c'est toutes ces parties-là où en tous les cas de mettre en application tout ça et ça vous permettra de pouvoir avoir un avenir beaucoup plus serein.

02:42 Et la parole est à Sophie. Bonjour Sophie.

02:44 Bonjour Alexandre.

02:46 Bienvenue sur Sud Radio.

02:48 Merci, je suis contente de vous avoir au téléphone.

02:51 Merci également. Alors je vais vous poser la question du jour. Arrivez-vous facilement à vous détacher d'un événement difficile ou d'une relation ?

03:00 Je pense que oui, parce que je fais pas mal de méditation.

03:06 La méditation m'apprend à vivre le moment présent et que ce qui s'est passé avant, moi je pense que ça rend plus fort en fait, pour l'avenir.

03:19 Et ça vous permet de prendre les bonnes décisions et de vous sortir d'une emprise, soit de pensée ou de obsessionnel ou d'une certaine forme de dépendance ?

03:32 Ah oui, complètement. J'y arrive.

03:38 Bien Sophie, alors vous êtes célibataire depuis 4 ans, vous avez eu des petites histoires qui n'ont jamais vraiment fonctionné depuis.

03:46 Mais auparavant vous avez été dans une relation de 13 ans avec votre compagnon.

03:51 Vous étiez paxé et vous avez formé une petite famille recomposée et malheureusement ça n'a pas fonctionné.

03:58 Vous dites que vos filles respectives ne s'entendaient pas entre elles et vous avez reproché à votre compagnon de parler mal à votre fille.

04:08 Il y avait d'autres problèmes qui se rajoutaient à cela, comme un mode de vie qui était très différent du vôtre.

04:15 Alors aujourd'hui vous recherchez une relation stable qui vous amènera à vous projeter dans l'avenir.

04:21 Et pour revenir sur le sujet de cette ancienne relation, vous parlez d'un autre mode de vie.

04:26 Était-il beaucoup plus différent que celui que vous auriez espéré ou tout simplement du vôtre ?

04:33 Le mode de vie, je pense de mon comportement à moi.

04:39 De votre ex-compagnon, de comment lui se projetait vous, bien sûr.

04:43 Oui, on a eu des modes de vie qui ont différé.

04:49 Moi je suis rentrée un peu plus dans la raison avec l'âge.

04:54 Et puis je pense que les années nous ont séparés, nos filles nous ont séparés.

05:01 Et nos modes de vie, à faire peut-être un peu plus attention, plus de sport, plus de faire plus attention de manière générale.

05:12 Ce que lui prenait un autre chemin et tout ça nous a séparés, effectivement.

05:18 Et je pense que ce qui a été difficile c'est différent ou c'est conflit qu'il a pu avoir avec votre fille ?

05:26 Oui, tout à fait.

05:28 Ça a été dur.

05:29 Oui, il a été très dur avec ma fille.

05:36 Ça a été compliqué, très compliqué.

05:40 Et du coup, j'ai dit stop.

05:42 En quelque sorte, vous ne l'avez pas pardonné ?

05:46 Ah si, maintenant, j'ai pardonné parce qu'il a ses raisons.

05:51 Je pense qu'il voulait protéger sa fille.

05:54 Il a ses raisons qui lui sont propres.

05:56 Et si, j'ai pardonné.

05:58 Très bien.

05:59 Au mieux.

06:01 Alors aujourd'hui, vous recherchez une relation stable pour vous amener à vous projeter dans l'avenir.

06:09 Est-ce que vous faites des démarches pour rencontrer des personnes ?

06:15 Racontez-nous un petit peu.

06:17 Je suis sur des sites de rencontres.

06:22 Je sors pas mal aussi.

06:24 Mais j'avoue que je suis un peu… je sais pas, j'ai l'impression que les envies peut-être des hommes ou de certaines femmes aussi, sûrement, ne sont pas les mêmes que les miennes.

06:38 Et aucun coup de cœur en l'espace de 4 ans.

06:42 Rien.

06:43 D'accord.

06:44 Mais qu'attendez-vous de l'amour ?

06:47 De la compréhension, du respect, du…

06:51 Oui, du respect de l'autre.

06:54 Et je pense que ces sites ont peut-être un peu perverti les rapports amoureux.

06:58 C'est si facile d'aller se servir…

07:01 Voilà, peut-être que l'âge aussi.

07:03 J'ai 52 ans.

07:05 Peut-être que l'âge, je sais que c'est plus compliqué pour rencontrer quelqu'un.

07:13 Alors votre questionnement aujourd'hui, c'est de savoir si vous allez rencontrer quelqu'un.

07:18 C'est bien ça ?

07:19 Exactement.

07:20 Oui, alors déjà, vous avez une expérience de vie, vous avez déjà eu une longue histoire qui a duré 13 ans et puis sûrement d'autres histoires aussi.

07:30 Donc, vous connaissez le modèle du couple et de son fonctionnement.

07:35 Et pour moi, vous n'êtes pas novice sur ce sujet-là et je vous sens avoir cette capacité, cette possibilité à nouveau d'aller vers une nouvelle réalisation sentimentale.

07:46 Il est vrai que vous avez été peut-être…

07:50 Aujourd'hui, vous êtes plus prudente et vous avez été fragilisée, peut-être par rapport à votre passé affectif.

07:58 Et surtout, et de ce que je ressens pour vous particulièrement, et ça peut être utile aussi pour certaines personnes qui fréquentent beaucoup trop de gens où on se perd un petit peu.

08:09 C'est-à-dire que des relations qui sont vécues de manière un petit peu éphémère ou vécues de manière instable, et bien parfois, ça nourrit un moment présent, mais ça ne donne pas forcément un plein épanouissement.

08:24 Et c'est ce que je ressens chez vous.

08:26 Et c'est pour ça qu'aujourd'hui, je vous sens plus vouloir limiter les rencontres, mais être sûr d'aller vers la bonne rencontre.

08:34 Ça va demander un petit peu de temps encore, mais vous verrez que 2024 est une année assez propice à ce genre de rencontre et vous permettre de pouvoir vous projeter dans l'avenir.

08:46 C'est cette histoire ou cette rencontre qui viendra d'un lieu, d'un environnement qui n'est pas très loin de chez vous, d'une personne qui est en cours de divorce ou qui vient juste de divorcer.

08:58 Et il y a une histoire d'habitation ou peut-être de voisinage, mais ce n'est pas forcément un voisinage à proximité, c'est peut-être plus lointain.

09:07 Mais vous verrez que vous serez amené à discuter avec cette personne, à échanger et à vous confier, et bien évidemment, à vivre une histoire.

09:16 Pour moi, c'est le courant de 2024 et il va falloir encore un petit peu patienter, mais il semblerait qu'à l'été 2024, vous soyez déjà dans cette histoire-là.

09:28 Très bien, je vous remercie.

09:30 Sophie, il va falloir nous rappeler pour nous donner de vos informations.

09:35 Avec plaisir.

09:36 Et de vos nouvelles, bien entendu.

09:38 Allez, merci à vous et prenez soin de vous.

09:42 Merci Alexandre, au revoir.

09:43 Si vous aussi vous souhaitez réagir et témoigner sur le sujet ou si vous avez des questionnements sur votre devenir, on vous attend au standard, au 0826 300 300.

09:52 On se retrouve dans quelques minutes avec Maria, elle souhaite vendre son salon esthétique.

09:57 Alors restez à l'écoute, c'est dans quelques secondes.

10:00 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

10:05 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission, au programme de l'émission Le Détachement.

10:11 Alors si vous souhaitez réagir aux témoignages de nos auditeurs, faites-le en postant vos commentaires sur le groupe Facebook à votre écoute.

10:18 Allez, passons à la minute du "Saviez-vous".

10:21 Le saviez-vous que le secret du détachement, c'est de se contenter autant du bon que du mauvais dans vos décisions lors de votre moment présent.

10:29 Mais c'est aussi de simplifier la vie tout en laissant aller les attachements afin de laisser le bonheur et l'épanouissement émerger de l'intérieur de vous.

10:38 Allez, vous souhaitez témoigner sur le sujet, poser des questions concernant votre devenir, je suis à votre écoute au 0826 300 300.

10:46 Ici, on écoutait Maria. Bonjour Maria.

10:49 Bonjour Alexandre.

10:51 Bienvenue sur Sud Radio.

10:52 Je suis très heureuse de vous écouter et merci de m'avoir reçu.

10:56 Moi, je suis ravi de vous accueillir à l'antenne de Sud Radio.

11:00 Alors, je vais vous poser la question du jour. Maria, est-ce que vous, vous arrivez à être dans le détachement face à un événement ou face à une relation ou une histoire affective ?

11:11 J'y arrive avec un peu de difficulté, mais j'y arrive, oui.

11:16 D'accord. Est-ce que vous avez un petit conseil ?

11:19 Eh bien, un petit conseil, c'est que j'ai tendance à me fermer un peu dans mon isolement, soit à l'Institut parce que j'ai des cabines qui peuvent me le permettre.

11:32 Et puis, je réfléchis à ce qui vient de m'arriver et comment je peux l'affronter pour le lendemain, pour faire face à mes clientes et être toujours avec le sourire et dispo. Voilà.

11:46 Très bien. C'est une bonne attitude à adopter et ça nous permet de réfléchir un peu sur soi, de prendre du temps pour se poser les bonnes questions et d'agir autrement et différemment.

11:57 Alors, Maria, on va revenir sur votre questionnement. Vous avez créé votre centre de bien-être et esthétique en 2008 avec très peu de moyens.

12:07 C'est vraiment courageux de le faire de cette manière-là. Et vous avez commencé à louer un local par la mairie.

12:13 Puis, en 2019, vous avez créé une structure avec une jeune fille qui n'a pas eu le courage ou en tous les cas, l'envie de continuer.

12:21 À ce jour, vous n'en voulez pas, cette femme, mais vous avez 65 ans. On peut le dire à l'entâne.

12:28 Oui, on peut le dire, oui.

12:30 Et à cet âge-là, on aime avoir plus de repos, de tranquillité, de sérénité. C'est ce qu'on appelle normalement la retraite.

12:39 Alors, vous aimeriez savoir un petit peu comment les choses vont évoluer et je crois que vous avez pour idée de vendre votre commerce, c'est ça ?

12:51 Le fonds de commerce.

12:53 Le fonds de commerce, d'accord. Alors, avant toute chose, est-ce que c'est un commerce ou une activité qui fonctionne bien aujourd'hui ?

13:02 Racontez-nous un petit peu toutes ces années que vous avez vécues au sein de cette activité-là.

13:08 Eh bien, c'est une activité qui fonctionne bien. Il y a quand même un portefeuille de 800 clients.

13:16 Je travaille toute l'année. Il y a assez de boulot pour une personne et on était une personne et demie, mais pas assez de travail pour deux.

13:27 J'avais en 2019, donc j'ai déménagé pour plus grand. Donc, c'est un atelier qui a trois cabines.

13:35 J'ai une clientèle fidèle, adorable. C'est un établissement qui est tout seul, je suis toute seule, et qui fait les cinq cantons.

13:49 C'est-à-dire que je suis à Marignac et vous avez tous les cantons aux alentours, y compris Gluchon, si vous avez entendu parler.

13:57 Oui, bien sûr.

13:59 Je suis seule au milieu, ce qui ramène quand même pas mal de clients de tous les environs du 31 et du 65.

14:13 Oui, et puis en plus, c'est quand même des endroits où il y a des périodes d'estival.

14:18 Peut-être aussi, est-ce que ça attire une clientèle saisonnière ?

14:22 Oui, ça attire. Avec le Covid, toutes les maisons ont été vendues aux alentours.

14:29 Donc, il y a quand même beaucoup de secondaires qui sont contents d'avoir un institut quand ils viennent en vacances

14:39 pour être tranquilles, pour se faire des soins ou des épisodes parce qu'ils n'ont pas eu le temps à Toulouse ou autre.

14:48 Et puis, si vous voulez, à Gluchon, avec les termes, parce qu'on a les termes, je suis à 14 kilomètres de Gluchon

14:58 et je suis à peu près à 20 et quelques kilomètres de Saint-Gaudens.

15:04 C'est un institut que je ne peux pas me permettre de fermer, vu le Covid.

15:12 Il y a les PGE, il y a tout ça, donc il faut rembourser. Je ne peux pas aujourd'hui dire que je ferme et je pars à la retraite.

15:19 D'autant plus qu'il y a de l'activité dans ce commerce-là.

15:25 Donc, ça serait dommage de mener tout ça à sa perte.

15:29 Donc, vous êtes dans cette intention de le vendre. Vous avez déjà fait les démarches ?

15:34 Oui, j'ai mis dans trois agences différentes et aussi dans la chambre des métiers de la Haute-Garonne.

15:45 Et pour l'instant, il n'y a pas de demande au niveau de l'esthétique.

15:50 Il y a des demandes concernant les fleuristes, concernant les salons de coiffure, mais il n'y a pas de demande au niveau de l'esthétique.

15:59 Cette année, ce n'est pas une bonne année pour ça.

16:02 Parfois, il ne suffit pas d'avoir un nombre indéfini ou beaucoup de personnes pour avoir le bon acheteur ou le potentiel de pouvoir le vendre.

16:15 On peut très bien avoir cette capacité, même s'il n'y a pas beaucoup de demandes, de le vendre à tout moment.

16:25 Pour moi, avant que vous vendiez ce commerce, j'ai vraiment l'impression et le sentiment que vous allez faire des transformations à l'intérieur.

16:34 Vous allez apporter des changements.

16:36 Je ne sais pas si ces changements sont liés à une petite rénovation, mais pas forcément à de gros travaux.

16:46 Je vous sens apporter quelques petites touches d'un aménagement différent, d'un changement.

16:52 On dirait que d'un point de vue énergétique du lieu, ça va donner une autre dynamique, une autre ambiance.

17:01 Ça va permettre de favoriser aussi cette vente.

17:06 Je ne dis pas que c'est grâce à ça ou que c'est lié justement à ce changement-là, mais ça peut y contribuer et ça peut donner un aspect positif pour vendre plus tard.

17:17 Ça va demander encore un petit peu de temps, mais vous verrez qu'à partir de ce début d'année prochaine, vous avez une proposition.

17:23 Vous avez la possibilité de réfléchir, la possibilité aussi de négocier avec un futur acheteur.

17:30 Et là, ça vous permettra de signer et d'aller vers peut-être une issue et une sortie de votre activité courant du fin de printemps 2024.

17:43 D'accord.

17:45 Vous avez pour intention de faire quelques petits aménagements à l'intérieur ?

17:49 Ecoutez, c'est neuf ici. Ça a été fait en 2019 et ça a été fait justement à mon image.

17:58 Donc, c'est neuf.

18:00 C'est neuf, d'accord. Donc, ça a déjà été fait.

18:04 Donc, ça a déjà été fait, mais peut-être qu'il y a des petites touches que vous allez améliorer encore et vous verrez que ça vous permettra, début d'année prochaine, de pouvoir vendre.

18:14 N'hésitez pas à nous tenir au courant, Maria.

18:17 Je ne vais pas hésiter. Merci beaucoup, Alexandre, pour votre confiance.

18:20 Merci. Prenez soin de vous.

18:23 Alors, si vous aussi, vous vous posez des questions sur votre devenir et que vous souhaitez témoigner à l'antenne, c'est le 0826 300 300.

18:30 Ne bougez pas, on revient dans un instant avec Marie pour le retour de son ex, mais elle a fait aussi une rencontre.

18:36 Alors, quel va être son choix ? On se retrouve dans un instant.

18:39 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

18:46 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

18:52 Et de retour sur Sud Radio, il est bientôt 16h30.

18:55 Alors, vous pouvez aussi nous suivre en direct live sur YouTube et sur le live de Facebook.

18:59 N'hésitez pas à poster vos commentaires sur le groupe Facebook à votre écoute.

19:03 Et si, à présent, vous voulez témoigner ou réagir dans l'émission de demain, le sujet sera sur l'illusion.

19:09 Alors, n'hésitez pas à appeler le 0826 300 300.

19:13 Aude, au standard, vous attend.

19:15 Sur le sujet du détachement, se détacher d'une personne ou d'une situation ne signifie pas de se désintéresser ou se désengager,

19:23 mais plutôt cultiver une relation ou une attitude plus équilibrée et authentique.

19:28 Et en cultivant nos propres passions, nous renforçons notre indépendance et notre bonheur intérieur.

19:35 Et si, à présent, on écoutait Marie. Bonjour Marie.

19:38 Bonjour Alexandre.

19:39 Bienvenue sur Sud Radio.

19:41 Merci.

19:43 Alors Marie, je vais vous poser la question du jour, comme à tous nos auditeurs.

19:48 Avez-vous de la facilité à être dans cette notion du détachement ou face à un événement ou une relation sentimentale ?

19:55 Non, je pense que j'ai beaucoup de travail à faire encore pour être dans le détachement, parce que je suis beaucoup dans le contrôle.

20:03 Donc, je sais que c'est un défaut, j'y travaille, mais j'avoue que j'ai encore une marge de progrès importante à faire.

20:09 D'accord. Alors justement, vous parlez de contrôle.

20:12 Vous avez cette prise de conscience qu'il faut améliorer, cet aspect-là.

20:16 Depuis combien de temps à peu près ?

20:18 Ou est-ce que c'était à la suite d'un événement ou d'une relation où vous avez décidé, vous, de travailler sur vous, sur ce sujet-là ?

20:27 Oui, c'est depuis ma séparation, il y a un peu plus de deux ans maintenant.

20:32 C'est vrai que j'ai engagé un travail sur moi.

20:35 Je vois quelques progrès, mais bon, il y a encore du boulot.

20:40 Vous faites aider ?

20:41 Oui, je me fais aider.

20:43 Bon, très bien. Alors effectivement, vous avez rencontré un homme il y a deux ans.

20:47 Au départ, vous ne l'intéressez pas beaucoup.

20:51 Et pourtant, lorsque vous vous êtes rencontrés, ça a été très fort ensemble.

20:55 Et puis, au fil des jours, cette relation est devenue plutôt amicale.

20:59 En mai dernier, vous avez décidé de mettre fin à votre relation.

21:04 Alors, comme vous avez été déçu par rapport à cette décision et à son comportement, lui, il semble vouloir revenir aujourd'hui.

21:19 Est-ce que c'est le cas ou pas ?

21:21 Non, alors, ce n'est pas exactement ça.

21:23 En fait, on a rencontré cet homme sur un site de rencontre il y a un peu plus de deux ans maintenant.

21:28 Ça a été très fort, mais très bref.

21:31 On s'est vu réellement, on a passé du temps, deux soirées ensemble.

21:35 Ensuite, il a entretenu avec moi des relations purement amicales, mais très épisodiques.

21:43 Et jusqu'à se perdre un peu de vue pendant un an.

21:48 Et en mai dernier, je l'ai recontacté.

21:50 Et là, a commencé une relation où on a vraiment eu une relation.

21:55 Mais pareil, on se voyait que chez lui, tard le soir, et puis on n'a pas partagé.

22:01 On est allé au restaurant, ce genre de choses, mais on n'est jamais parti un week-end.

22:04 On n'a jamais rien partagé d'autre.

22:06 Et donc, au mois d'août, j'ai décidé de mettre fin à cette relation.

22:10 Parce que je me suis dit, voilà, il y a assez sans issue.

22:14 J'ai craqué, je l'ai rappelé, fin septembre, on s'est revu.

22:19 L'espace d'une soirée, merveilleuse, une merveilleuse soirée, mais comme à chaque fois.

22:23 Depuis, pas de nouvelles.

22:25 Et étant toujours sur des sites de rencontres, j'ai rencontré très très récemment là,

22:30 vraiment très récemment, quelqu'un qui finalement est complètement à l'opposé du premier.

22:35 Et ce quelqu'un, il me donne toute l'attention.

22:38 Et il m'apporte en tout cas en une semaine ce que j'aurais tant aimé avoir du précédent homme.

22:44 Bien sûr.

22:46 Effectivement, ce premier homme n'a pas porté suffisamment d'attention.

22:53 Et cette relation était plutôt amicale que d'une vraie histoire.

22:57 Et c'est pour ça que vous avez décidé de mettre fin à tout ça.

23:02 Mais pourquoi aujourd'hui, vous posez toujours la question entre ce choix à faire,

23:08 entre cette nouvelle personne que vous venez de rencontrer, il y a peu de temps,

23:12 et puis cet homme, pourquoi il fait partie encore de votre quotidien ?

23:18 C'est ce que j'aimerais bien savoir, mais moi je pense que j'ai développé des sentiments pour lui

23:24 et j'ai surtout développé des sentiments pour l'histoire que j'imagine vivre avec lui.

23:30 Et je sais qu'il y a beaucoup de fantasmes là-dedans.

23:33 Parce que lui, il ne m'a jamais rien promis en fait.

23:36 D'accord.

23:37 Et cette nouvelle rencontre, il est très attentionné à vous,

23:41 est-ce qu'il projette un avenir avec vous ? Est-ce qu'il a des projets ?

23:46 Oui. C'est très récent mais oui. Du coup, moi j'ai très peur.

23:51 Lesquels ?

23:53 Les projets ?

23:54 Oui. Quels sont les projets ?

23:57 Déjà de partir en week-end. C'est une rencontre très très récente, qui a deux semaines à peine.

24:03 Mais il me parle de partir en week-end.

24:07 Ça va bientôt être mon anniversaire. Il réfléchit à l'endroit où il pourrait m'emmener pour mon anniversaire.

24:11 On s'est vu le week-end dernier, on a projeté de se revoir le week-end prochain.

24:16 Il est charmant.

24:19 Il a envie de s'investir.

24:20 Ah oui. Oui, oui.

24:22 Super ! Alors quel est votre questionnement ?

24:25 Mon questionnement, c'est est-ce que comme je freine et que j'ai très peur,

24:33 est-ce que cette nouvelle relation, je peux y aller tranquille ?

24:39 Et surtout, mon premier questionnement, c'est est-ce que le premier homme,

24:44 est-ce que j'ai des raisons réellement d'espérer qu'il revienne dans ma vie

24:51 ou est-ce qu'il faut que je l'oublie et qu'en fait, il n'a rien à faire dans ma vie

24:56 et puis il ne fait pas partie de mon avenir ? C'est surtout ça.

24:59 Je sais que tous nos éditeurs nous entendent, mais par rapport à ce que vous nous avez évoqué

25:05 et de ce qui est de votre témoignage, vous avez une première relation

25:09 où cet homme n'était pas très investi et vous manquiez d'épanouissement.

25:14 Il ne réalisait pas certains fantasmes ou certaines envies que vous auriez voulu partager avec lui.

25:22 Et puis vous avez aujourd'hui un homme qui, lui, par contre, est dans cette notion d'engagement.

25:27 Donc on est un peu dans des opposés totalement.

25:31 Et aujourd'hui, vous aurez tendance à aller vers la relation qui semble être la plus compliquée

25:37 et non pas vers celle qui vous est présentée comme quelque chose de fluide, de bon à vivre.

25:44 Non ?

25:46 Je crois que malheureusement, si le premier homme revenait dans ma vie et m'appelait ce soir,

25:51 je pense que je craquerais et j'irais vers lui.

25:54 Ah oui, c'est pour ça.

25:56 Comme une addiction en fait.

25:58 Et oui, effectivement. Et là, on parle du détachement.

26:01 Et je crois qu'il faut que vous travailliez sur cette notion de détachement

26:05 parce que là, il y a une notion aussi de dépendance affective.

26:10 Et puis, pensez à votre épanouissement.

26:13 Et l'épanouissement, aujourd'hui, il se donne plus, il se nourrit plus avec ce deuxième homme que vous avez rencontré.

26:19 Alors, est-ce qu'après, il y a une affinité physique ou pas avec cette nouvelle rencontre ?

26:25 Ça, il faudrait peut-être approfondir un peu plus.

26:28 Mais pour moi, ce qui s'est réalisé, ce que vous avez vécu avec ce premier homme,

26:34 je ne vois pas de grand changement.

26:36 Je ne vois pas une grande évolution sur l'avenir.

26:40 Et donc, vous allez rester dans une notion d'attente, dans une notion d'espoir

26:46 et non pas dans quelque chose qui va vous amener à vivre une véritable histoire épanouissante.

26:52 Et puis, avec cette nouvelle personne, c'est sûr, ça fait peu de temps que vous vous êtes rencontré,

27:00 donc il faut laisser le temps et surtout, il faut laisser les sentiments se mettre en place et s'installer

27:06 pour que vous puissiez prendre la décision.

27:09 Donc, il est peut-être un peu trop tôt, c'est peut-être un peu trop prématuré avant de prendre la bonne décision.

27:15 Mais pour répondre à votre question, je pense que vous avez votre avenir

27:20 et en tous les cas, votre destin sentimental s'annonce plus avec la deuxième personne que la première personne

27:26 parce que je pense que le schéma peut se répéter, mais ne changera pas pour autant.

27:32 D'accord.

27:33 D'accord ?

27:34 Très bien, je vous remercie beaucoup.

27:36 Marie, prenez soin de vous et puis vivez votre moment présent, profitez de ce qu'on vous donne.

27:42 Tendez la main vers le bonheur.

27:45 Je vais essayer en tout cas.

27:47 Merci à vous.

27:48 Merci à vous, au revoir.

27:50 Merci.

27:51 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.

27:55 Et la parole est à Gisèle. Bonjour Gisèle.

27:58 Bonjour Alexandre.

28:00 Bienvenue sur Sud Radio.

28:02 Merci, merci beaucoup.

28:04 Merci. Alors, je vais vous poser la question du jour.

28:09 Est-ce que vous, vous êtes dans cette notion, ou en tous les cas, vous appliquez cette notion du détachement

28:15 face à un événement ou à une relation sentimentale ou amicale ?

28:19 Alors, non.

28:21 Non, non, non.

28:22 Non ?

28:23 Non, non, non. C'est-à-dire, j'ai toujours besoin d'avoir des nouvelles des uns, des autres, de la famille, des enfants, de mes parents.

28:33 Donc, voilà. Je voudrais ne pas être sans arrêt en train d'avoir de leurs nouvelles, mais je suis plus fort que moi.

28:43 Je n'arrive pas à m'en détacher.

28:45 Est-ce que, au fond conscient, vous avez peur de l'abandon ?

28:49 Alors, peut-être non, pas peur de l'abandon.

28:53 Mais quand j'étais petite, il y a eu des soucis familiaux avec mes parents, mes grands-parents.

28:58 On a vécu à sept dans la même maison.

29:01 Il y avait des tensions.

29:03 Voilà. Peut-être, oui, ma mère m'a nommée, avait envie de partir.

29:07 Donc, je l'ai rattrapée.

29:08 Bon, peut-être tout ça fait que j'ai besoin d'avoir des nouvelles des uns et des autres.

29:16 D'accord. Alors sûrement, oui.

29:18 Alors, vous nous appelez pour votre petit-fils, parce que vous êtes, comme vous l'avez dit, vous êtes inquiète pour votre entourage et de ce qui se passe autour de vous.

29:28 Et notamment, vous avez un petit-fils qui a 13 ans.

29:31 Il a toujours eu des difficultés pour aller à l'école.

29:34 Et cette année, il est en quatrième.

29:36 Il a fait sa rentrée.

29:38 Ça s'est bien passé.

29:39 Mais dernièrement, il s'est plaint de soucis de santé.

29:43 Votre petit-fils a un fort caractère de ce que vous nous avez communiqué.

29:49 Il répond très facilement à ses parents.

29:51 Mais c'est un garçon qui reste quand même très gentil.

29:55 Et aujourd'hui, vous avez des inquiétudes sur son avenir, peut-être scolaire ou universitaire pour plus tard.

30:03 Quel est votre questionnement ?

30:07 Écoutez, c'est un mois qu'il n'est pas reparti à l'école, parce que la seconde semaine de la rentrée scolaire, il se plaignait de maux de ventre.

30:15 Ses parents lui ont fait des tas et des tas d'examens.

30:19 Voilà, maintenant, tout va bien pour lui.

30:21 Mais au moment de sortir à l'école le matin, il ne veut pas.

30:25 Il se met dans ses toilettes.

30:28 Il n'en sort pas.

30:29 Et il ne veut pas aller à l'école.

30:32 Ma fille l'a amené encore tout à l'heure cet après-midi au collège.

30:37 Il n'a pas pu descendre de la voiture.

30:39 Il ne peut pas y aller en disant "J'ai mal au ventre".

30:42 Je voulais savoir s'il va se débloquer, s'il a une phobie scolaire.

30:49 On lui a demandé s'il a été accueilli à l'école.

30:52 Il dit que non.

30:54 Les parents sont perdus.

30:58 La relation avec son père, elle est comment ?

31:02 Son papa est là.

31:06 Il n'a sans doute pas beaucoup d'autorité sur lui.

31:13 Je pense qu'il lâche assez vite parce qu'il est agacé par le comportement de son fils.

31:19 Je pense qu'il laisse peut-être un peu tomber.

31:22 J'ai l'impression qu'il faut rapprocher le lien entre son fils et le papa.

31:33 Il manque peut-être une certaine forme d'écoute, d'empathie, de bienveillance, d'accompagnement.

31:43 Je crois que votre petit-fils, aujourd'hui, il semble avoir un stress en lui.

31:52 Peut-être une peur ou une crainte, peut-être aussi une démotivation et surtout une perte de confiance en lui.

31:57 Son niveau scolaire est comment aujourd'hui ?

32:01 Non, il est ça va.

32:03 Il dit qu'il n'aime pas l'anglais, qu'il n'aime pas la professeure.

32:07 Après, non, il s'accroche, mais la fille est toujours derrière lui pour lui faire faire les devoirs.

32:13 Il fait les devoirs.

32:15 Et là, c'est un 4ème, mais personne ne le comprend.

32:20 Je crois tout simplement qu'il y a un stress en lui.

32:26 Il faut vraiment l'aider, l'accompagner dans ce sens-là.

32:29 J'ai l'impression que le lien, le rapprochement avec le papa pourrait déjà améliorer son comportement, son attitude, son équilibre et son bien-être aussi.

32:43 Ça pourrait s'améliorer.

32:45 Et puis, de voir un peu ce qui se passe au niveau de l'établissement, voir s'il ne se sent pas rejeté d'un système,

32:56 peut-être sonder un peu autour de ça, mais pour moi, il n'apparaît pas quelque chose de grave.

33:01 Il n'apparaît pas, si vous songez à la notion de harcèlement scolaire ou autre, je ne le ressens pas de cette manière-là.

33:07 Sinon, je crois qu'à cet âge-là, il vous l'aurait peut-être dit, mais je ne pense pas.

33:12 Je sens plus qu'il a une perte de confiance en lui et surtout, il a envie de se sentir protégé.

33:19 Il ne se sent peut-être pas suffisamment aujourd'hui et peut-être dans la relation familiale, parentale, il y a des petits aspects à améliorer dans ce sens-là.

33:29 Voilà, c'est clair.

33:31 Ça va s'arranger.

33:32 S'il allait retourner au collège parce que les vacances de Toussaint arrivent, c'est dramatique.

33:38 Ça va s'arranger.

33:40 Après, bien sûr, il faut le faire surveiller d'un point de vue médical, mais pour moi, ça va s'arranger.

33:46 Il y a un stress qu'il faut justement l'aider à sortir dans cet état de panique, d'angoisse et de peur.

33:54 Merci à vous Gisèle pour votre témoignage.

33:58 Merci beaucoup.

34:00 Prenez soin de vous.

34:02 Et si vous aussi, vous avez besoin de mon ressenti, d'être accompagné dans votre évolution de vie, n'hésitez pas à appeler le 0 826 300 300.

34:10 Alors, on se retrouve dans quelques minutes avec Alex qui a perdu son épouse il y a quelques années et elle a laissé un héritage sur lequel ses enfants veulent s'y opposent.

34:20 Alors, ne bougez pas, on en parle dans un instant et c'est sur Sud Radio.

34:23 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane.

34:28 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

34:34 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie avant de retrouver les vraies voix présentées par Philippe David et Cécile Dominibus.

34:41 Alors, il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radio.

34:44 Avant de retrouver Alex, je vais vous donner quelques conseils pour justement appliquer le détachement.

34:50 Alors déjà, dans un premier temps, apprenez à vous aimer.

34:53 En développant une relation aimante avec vous-même, vous renforcerez votre estime de soi et votre confiance.

35:00 Pratiquez la méditation, elle vous permet de vous recentrer, de calmer votre esprit et de cultiver un état d'esprit détaché.

35:08 Gardez aussi une communication ouverte, évitez de vous accrocher à des idées préconçues ou à des idées ou des attentes rigides.

35:16 Pratiquez l'acceptation, apprenez à accepter les différences, les imperfections et les choix de chacun.

35:23 En cultivant l'acceptation, vous pourrez lâcher prise sur le besoin de tout contrôler et vous concentrer sur les aspects positifs.

35:31 Et puis, soyez présent dans le moment, concentrez-vous sur le moment présent, appréciez les petits moments de bonheur

35:38 en cultivant vos propres passions, hobbies et centres d'intérêt.

35:42 Et la parole est à Alex. Bonjour Alex.

35:45 Bonjour Alex, merci de m'avoir pris en compte.

35:49 Bon ben voilà, là c'est un match Alex contre Alex.

35:54 Oui.

35:55 Bienvenue sur Sud Radio.

35:57 Merci.

35:59 Alors, je vais vous poser la question du jour, est-ce que vous arrivez à être dans le détachement ?

36:04 Je sais que vous avez eu des événements difficiles dans votre vie, mais est-ce que vous avez réussi à être dans cette notion de détachement face à une situation difficile ?

36:12 Non, on essaye de faire face et puis d'avoir un esprit positif.

36:17 Oui, donc vous essayez.

36:20 Je pense que c'est la clé du problème.

36:22 Oui, effectivement. Est-ce que les problèmes du quotidien, parfois, vous amènent pas justement à saboter un petit peu tout ce travail que vous avez fait pour vous éloigner du détachement et puis hop, ça revient, non ?

36:37 Non, non. Disons que je pense qu'à chaque problème il y a une solution et puis il faut surtout bien réfléchir à ce qu'on va faire.

36:45 D'accord. Très bien. C'est une bonne philosophie et c'est une bonne approche aussi.

36:49 Alors, Alex, je vais retracer un petit peu votre histoire.

36:53 Vous avez trois enfants, d'un qui vit en République Tchèque, un autre à 10 kilomètres de chez vous, puis un troisième qui, lui, est plutôt dans la notion de l'empathie par rapport au problème familial qui se pose aujourd'hui.

37:07 Votre fils, qui est proche de vous, s'oppose à la vente d'une maison familiale. C'était la maison de leur maman, c'est ça ?

37:17 Oui, de mon épouse.

37:19 De votre épouse, effectivement. Alors, votre épouse est partie il y a combien de temps ?

37:24 Cinq ans.

37:25 Il y a cinq ans. Et vous, vous avez pris la décision de vendre cette maison, mais c'est une maison où vous vous habitez ou c'est une maison secondaire ?

37:33 Non, non, c'est une maison en résidence principale.

37:35 C'est en résidence principale. Alors, si ce n'est pas indiscret, pour quelles raisons vous souhaitez vendre cette maison ?

37:41 Disons que c'est beaucoup de charges. C'est une très grande maison avec un hectare de terrain. Donc, pour un homme seul, ce n'est pas facile.

37:51 C'est vrai. Et donc, c'est vous-même qui avez pris cette décision de la vendre ?

37:56 Oui, avec l'appui de mon plus jeune fils.

38:02 D'accord. Alors, quelle est la fragilité, la difficulté que vous retrouvez aujourd'hui face à cette prise de décision ?

38:11 J'ai essayé de me faire conseiller par un notaire qui ne fait rien. J'ai fait appel à un avocat qui me dit que pour l'instant, je suis bien dans ma maison et que je devrais en profiter.

38:24 Donc, tout est au point mort.

38:27 D'accord. Alors, vous avez un fils qui est OK pour vendre la maison. Il a conscience de la surcharge que ça demande, la surcharge de travail.

38:37 Et puis, vous avez un autre qui, lui, s'oppose un petit peu sur cette idée de vente. Pour quelles raisons ?

38:43 Je pense que c'est des raisons de jalousie et des questions de, si vous aimez mieux, ce fils fait partie plus ou moins d'une secte.

38:52 Et je pense que c'est ce qui le motive à être négatif à tout point de vue.

38:59 Donc, vous dites qu'il fait partie d'une secte, c'est-à-dire qu'il est engagé dans un mouvement ?

39:04 Je pense, oui. D'ailleurs, c'est avec son épouse qu'il est rentré là-dedans.

39:11 Ah, OK. Alors, vous avez des liens avec ce fils ou est-ce que c'est des relations qui sont plutôt...

39:17 C'est rompu depuis une vingtaine d'années à peu près.

39:21 Alors, cette maison aujourd'hui, qu'est-ce qui vous empêche de la vendre ?

39:27 Il me faut l'accord des trois.

39:30 Des trois ? Des enfants, oui. Et votre questionnement ?

39:34 L'avocat me disait que moi, je représente 50% plus un déficit, on aurait la majorité pour la vendre en se passant d'eux.

39:43 Mais la notaire me dit le contraire.

39:46 D'accord. Et aujourd'hui, quel est votre questionnement ? C'est de savoir si vous allez arriver à trouver un accord,

39:52 un compromis tous les quatre pour pouvoir vendre cette maison, c'est ça ?

39:56 Oui.

39:57 Alors, oui. Moi, je sens que oui. Il y a quelque chose qui se met en place et effectivement, vous devez être peut-être bien conseillé

40:07 parce qu'aujourd'hui, même s'il y a des avis assez favorables sur le fait que vous puissiez vendre cette maison,

40:14 mais je crois qu'il y a une difficulté, une problématique qui semble ressortir sur cette idée de vente de maison

40:27 qui est en dehors de la maison en elle-même, mais d'un problème qui est peut-être d'un problème ancien

40:36 et qui est tout simplement un problème émotionnel et affectif et familial.

40:40 Et je crois que c'est ça où il faut peut-être essayer de résoudre pour arriver à trouver une solution

40:48 et à faire en sorte que vous puissiez ensemble trouver cet accord et aller main dans la main jusqu'à la vente de cette maison.

40:56 Mais ça va se faire. Ça va se faire. Ça va demander encore un petit peu de temps.

41:00 Mais vous verrez qu'à partir de cette fin d'année, d'ici décembre 2023, on sera dans cette prise de décision,

41:10 dans ce changement et votre fils qui aujourd'hui s'oppose à la vente de cette maison,

41:17 eh bien, il essaiera de vous proposer quelque chose et vous allez pouvoir trouver un compromis.

41:24 Donc début 2024, vous serez dans une période assez favorable avec un changement de situation.

41:32 Bien, bien.

41:34 Merci Alex pour votre témoignage et n'hésitez pas à nous tenir au courant parce que 2024, c'est demain.

41:41 Donc les choses vont changer très vite.

41:43 Merci bien.

41:45 Merci à vous.

41:47 Allez, pour conclure, je dirais un avenir prospère, c'est vouloir accepter les courants de la vie et donner du sens à son moment présent.

41:54 On se donne rendez-vous demain. On parlera de l'illusion.

41:57 Alors n'hésitez pas à apporter vos témoignages et à communiquer sur le groupe à votre écoute.

42:02 Je vous répondrai personnellement et passez une bonne fin de soirée.

42:06 La place est au vrai voix. Bonjour, bonsoir.

42:08 Bonsoir Alexandre Delovane.

42:10 Comment allez-vous ?

42:11 Très bien et vous ?

42:12 Ça va bien.

42:13 Vous avez l'air en forme.

42:14 Oui, tout va bien. Est-ce qu'il y a un bon menu ce soir ?

42:16 Il y a un bon menu. Alors même si l'actu n'est pas la plus légère, qu'il soit bien évidemment vu les circonstances au Proche-Orient.

42:24 À 17h30, notre grand débat #Gaza #Israël.

42:29 Craignez-vous l'embrasement du Proche et Moyen-Orient puisqu'il y a des échanges de frappes avec le Liban et il y a évidemment des frappes et des échanges avec la bande de Gaza.

42:39 Est-ce que vous avez peur que le conflit s'embrase, surtout, hier François Hollande a accusé l'Iran, s'il était prouvé que l'Iran a bien participé à l'organisation de l'attaque terroriste de samedi dernier ?

42:51 Quoi que vous pensiez, parlons vrai. On attend vos appels au 0826 300 300.

42:56 Le coup de projecteur. Le moins qu'aux puisires et Cléon Desfontaines, le tête de liste communiste aux Européennes, n'a pas été très tendre avec Jean-Luc Mélenchon ce matin.

43:05 Même chose de la part de Fabien Roussel en milieu de journée. Et on va se poser cette question. La France insoumise est-elle devenue infréquentable ?

43:15 Puisque même le CRIF aujourd'hui, la quelle mise hors du champ républicain, alors on se pose cette question.

43:21 Est-ce que finalement pour vous la France insoumise est devenue infréquentable ou non ? Pas du tout. C'est juste une vue de l'esprit.

43:26 On vous attend également au 0826 300 300. Nos trois vrais voix du jour. Avec Cécile de Ménibus qu'on va cornaquer comme on aime le faire.

43:36 Il va falloir d'ailleurs Philippe Bilger, François Asdegoy et François Derugy. Bonne émission.

43:43 Sud Radio à votre écoute 16h17.

43:47 Alexandre Deleuven