Eliott Mamane : «Le 31 décembre est un moment de célébration léger, et même dans ces moments-là, les forces de l'ordre sont attaquées»
Le chroniqueur politique, Eliott Mamane, sur les violences contre les policiers : «Le 31 décembre est un moment de célébration léger, et même dans ces moments-là, les forces de l'ordre sont attaquées. C'est bien le signe qu'il n'y a pas de violence policière, mais plutôt des violences envers les policiers»
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00:00 C'est tout à fait juste. En réalité, au-delà des faits de violence auxquels les forces de l'ordre sont exposées quotidiennement sur le territoire en France,
00:06 il y a un discours médiatique qui accompagne la description de ces événements, qui ne va pas exactement dans leur sens.
00:13 Vous savez, on parle souvent de violences policières qui seraient structurelles. En réalité, ce qui est systématique, et on le voit bien,
00:20 c'est précisément les violences exprimées à l'encontre des forces de l'ordre. À chaque fois qu'il y a un événement, une fête culturelle,
00:26 une fête religieuse ou un rassemblement qui est supposé être en réalité le 31 décembre, n'a en plus aucune charge symbolique,
00:33 au-delà du passage de la nouvelle année, il n'y a strictement aucune analyse qui pourrait nous permettre de considérer qu'en réalité,
00:40 c'est une expression de France qui serait face à face, etc. Le 31 décembre est simplement un moment de célébration,
00:45 tout ce qu'il y a de plus léger. Et même dans ces moments-là, les forces de l'ordre sont attaquées.
00:50 C'est bien le signe qu'en réalité, il n'y a pas de violences policières, mais qu'en revanche, il y a des violences à l'encontre des policiers
00:56 qui s'expriment systématiquement.
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