La vice-présidente du RN, Edwige Diaz, à propos de la polémique lancée par les propos d'Amélie Oudéa-Castéra : «L'Education nationale est le parent pauvre de ces politiques gouvernementales»;
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00:00 Je considère que chacun est libre de placer ses enfants dans l'école qu'il juge la plus adaptée,
00:05 mais je voudrais quand même avoir une pensée pour tous les agents de l'éducation nationale
00:10 qui, après avoir eu le ministre wokiste Papendiaï,
00:14 ont eu le droit à un ministre de l'éducation nationale éphémère en la personne de Gabriel Attal,
00:18 qui a fait une promesse qui nous avait dit qu'il y aurait un professeur devant chaque classe.
00:24 Or, cette promesse n'est pas tenue.
00:27 Moi, vous savez, je suis élue en Gironde, dans une circonscription très rurale,
00:30 et parmi les dossiers que je traite les plus fréquemment,
00:33 il y a la question du non-remplacement des enseignants,
00:37 et même de la question des fermetures de classes.
00:40 Donc, clairement, l'éducation nationale est le parent pauvre de ces politiques gouvernementales,
00:44 et Mme Oudéa Castera en fait la démonstration quand elle dit
00:49 qu'il y a un problème d'absence de professeurs non remplacés.
00:53 Ben oui, Mme la ministre, vous faites le constat de l'échec de votre gouvernement.
00:57 Et moi, je crains le pire pour l'avenir,
00:59 parce que quand on voit le portefeuille qui a été confié à cette ministre,
01:02 c'est-à-dire un portefeuille XXL,
01:04 moi, je ne vois pas comment on peut raisonnablement bien gérer les Jeux olympiques,
01:08 et en même temps bien s'occuper de nos élèves, de nos enseignants,
01:12 alors que tous les classements indiquent que le niveau scolaire de nos enfants dégringole.
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