La journaliste, Karima Brikh, dans Soir Info, au sujet de la laïcité remise en cause au sein de l'école publique : «Sur l'aspect du rejet, il y a chez une partie de cette jeunesse une revendication identitaire qui est forte [...] Cela montre à quel point en France, une partie des politiques et des gens dans l'Education nationale sont terrorisés».
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00:00 l'aspect du rejet, je pense qu'il y a effectivement, chez une partie de cette
00:03 jeunesse, une revendication identitaire qui est forte, un rejet des valeurs
00:07 républicaines, un rejet littéralement, presque un sentiment de supériorité
00:12 aussi, de dire ben non, on trouve que ces valeurs-là s'exposer, c'est quelque chose
00:16 de négatif, c'est quelque chose effectivement de sale, vous l'avez dit
00:19 tout à l'heure Céline Pignard, alors nous on a ces valeurs-là et je pense que
00:23 donc cette revendication qui est très forte et ce rejet effectivement de cette
00:27 laïcité et ça va au-delà de ça et si je peux juste me permettre, ça montre
00:31 aussi à quel point je pense que en France, il y a une partie, oui des politiques mais
00:36 aussi on le voit dans l'éducation nationale, les gens sont terrorisés, on
00:40 n'arrive pas à changer, à rendre la mémoire de Samuel Paty avec le nom du
00:45 collège Samuel Paty, il y a cette peur aussi des représailles islamistes, on le
00:50 voit quand même, il y a des professeurs qui décident de fermer les yeux.
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