• il y a 10 mois
TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka ! 


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Transcription
00:00 - Oui, la pédophilie c'est une maladie donc il faut pouvoir la traiter.
00:02 Il y a certains pays où les gens veulent tuer les pédophiles
00:04 ou ils pensent que quelqu'un qui est pédophile n'a pas de place dans la société
00:08 et doit être mort.
00:10 Donc si on peut les traiter et leur permettre de vivre une vie à peu près normale
00:13 et calmer leur pulsion infâme, évidemment qu'il faut le faire.
00:16 Et pardon, mais il faut surtout penser avant tout aux enfants
00:18 et si on peut empêcher les enfants d'être victimes de ces monstres,
00:21 évidemment qu'il faut les casser.
00:22 Je ne vois même pas pourquoi il y a des personnes qui se disent...
00:24 Enfin, je vois des noms, je ne comprends pas pourquoi ils disent ça.
00:26 - Ils ne vont pas beaucoup parler.
00:27 Non, si, ils vont parler quand même, mais ils vont être chiants, oui.
00:30 - Jacques, moi je me souviens d'un...
00:31 - Jacques Cardiff.
00:32 - Jacques Cardiff.
00:33 - On t'a reconnu, t'en perds pas.
00:34 - Non, mais je me souviens d'un reportage qu'on avait fait en Floride
00:39 sur un village des pédophiles, ça existe aux Etats-Unis,
00:42 et c'était très très impressionnant parce que tous disent qu'ils veulent être soignés.
00:47 Donc je ne comprends même pas qu'on puisse se poser la question aujourd'hui.
00:50 Il y a des moyens de castration chimique qui sont momentanés.
00:52 Il ne s'agit pas de castrer la personne à vie.
00:55 Il y a deux types de castration.
00:56 Il y a la castration par cachet, mais là c'est par cachet.
00:59 - Non, non, il y en a deux.
01:00 - Il y en a deux.
01:01 - Oui, il y en a deux, mais ce que je veux dire c'est que...
01:02 - Il y a la chirurgicale et par cachet.
01:03 - Très bien, mais là, moi je pense que déjà,
01:06 appliquer la castration chimique qui existe en France,
01:09 déjà, mais de l'appliquer un peu plus systématiquement
01:12 sur des gens qui demandent à pouvoir être soignés,
01:16 je pense que voilà, c'est...
01:18 - Et même ceux qui le voient.
01:19 - Et même ceux qui le voient.
01:20 - Et même ceux qui le voient.
01:21 - Et même ceux qui le voient.
01:22 - Et même ceux qui le voient.
01:23 - Et même ceux qui le voient.
01:24 - Donc, c'est interdit.
01:25 La castration chimique en France, c'est un médecin qui peut...
01:28 Mais moi, je suis contre la castration physique
01:32 parce que c'est l'amputation du corps humain, on est d'accord,
01:35 alors OK, d'un pédophile, mais après, on s'arrêtera où ?
01:38 C'est-à-dire qu'on pourra couper la main à un voleur ?
01:40 - N'importe quoi.
01:41 - N'importe quoi.
01:42 - Ça n'a rien à voir.
01:43 - Et un criminel ?
01:44 - Pédophile, pour moi, ça part.
01:46 - Et un criminel ?
01:47 - Pour moi, un pédophile, il doit être hors...
01:48 - Physiquement ?
01:49 - Pour moi, un pédophile, c'est terminé.
01:50 - Pour le devoir de même.
01:51 - Un pédophile, pour moi, c'est terminé, il sort.
01:54 Terminé, il sort de la société, c'est fini.
01:57 - Il est hors castre physiquement ?
01:58 - Il est hors castre, oui, pour moi, oui.
01:59 - Sauf si t'es un mec qui sort en remontant.
02:00 - Pour moi, oui.
02:01 Qu'est-ce que tu vas faire, toi, encore ?
02:02 - Non, moi, je le maintiens.
02:03 - Tu vas les laisser en prison, ils vont ressortir 10 ans après.
02:04 T'as bien vu les récidives qu'il y a ?
02:06 - Et c'est terminé.
02:07 - Faites de jumeul.
02:08 Oui.
02:09 Raymond ?
02:10 - Moi, j'ai pas de pitié.
02:11 Moi, j'ai pas de pitié.
02:12 - Moi non plus.
02:13 - J'ai aucune pitié.
02:14 - Non, mais c'est bon, Bénaïme et Gilles, allez, allez.
02:15 - C'est pas une question de pitié, c'est que les psys qui sont interrogés disent que ça ne fonctionne pas.
02:21 - Avec vous, rien ne fonctionne.
02:22 Bénaïme et Gilles, vous allez dans la France.
02:23 Bénaïme et Gilles, si tu les écoutes, rien ne fonctionne.
02:26 Ils sont toujours dans la France du passé.
02:28 - J'ai pas de pitié, j'ai pas de pardon.
02:31 - Moi non plus, je suis comme toi.
02:32 - Quelqu'un qui n'a pas d'erreur pour un enfant, c'est quelqu'un qui se sort de la société.
02:35 - Bénaïme et Gilles, on n'en peut plus.
02:36 - Ce que tu fais pour un enfant, avoir une érection pour un enfant, je ne veux pas te le voir en face de moi.
02:40 - Exactement.
02:41 - J'ai pas de pitié, j'ai pas de pardon.
02:42 - Mais la pulsion, ils vont la faire autrement.
02:43 - Chut, chut, chut.
02:44 - Ils vont la faire autrement.
02:45 - Si eux, ils ont décidé qu'il fallait...
02:46 - Ils utiliseront pas leur sexe, ils utiliseront autre chose.
02:47 - C'est pas ça.
02:48 Bénaïme, t'es encore à côté de la plaque.
02:49 - Bah oui, peut-être, mais je suis pas d'accord avec toi.
02:50 - Ce qu'on est en train de dire, c'est est-ce qu'on les met hors des toits de nuire ou pas ?
02:53 On s'en fout.
02:54 - La question, c'est pas la, c'est ce que dit Raymond, il est en train de dire, ils sont, ils parlent pas.
03:03 - C'est eux qui décident de ça, les pédophiles, quand ils s'attaquent aux enfants, c'est eux qui décident de se sortir de la société.
03:08 Si maintenant, eux, ils ont pris des mesures à Madagascar pour essayer un truc, pour protéger leurs enfants à eux, moi, je suis d'accord avec eux.
03:16 Moi, personnellement, je suis d'accord avec eux.
03:18 - Parce que moi, demain, tu me mets un mec, tu me dis que c'est un pédophile, je ne veux pas qu'il me parle.
03:23 Même s'il a purgé sa peine, même si tu me dis, regarde, il est gentil, maintenant, il fait des...
03:28 - Je ne dis pas ça en plus.
03:29 - Ne me parle pas.
03:30 Ne me parle pas, je ne veux pas te voir.
03:32 Je ne veux pas t'entendre, je ne veux pas que tu me touches, je ne veux pas faire la queue même au supermarché derrière toi.
03:37 Tu n'existes pas qu'une merde.
03:38 - Ce qu'on est en train de vous dire pour expliquer à Gilles Verdez et Bénaïme, ce qu'ils sont en train de dire...
03:42 - On n'est pas les 2 seuls, hein.
03:43 - Non, non, non.
03:44 - C'est lui, Adoine, voilà.
03:46 - On est 4.
03:47 Bon, voilà, le prof d'histoire aussi.
03:48 - On n'est pas d'accord.
03:49 - Non, non, merci, s'il vous plaît.
03:51 - Arrête avec les droits de l'homme et les droits de l'enfant.
03:53 - Chut, tais-toi 2 secondes, s'il te plaît, Adoine.
03:54 Merci.
03:55 Juste pour vous expliquer, les chéris, c'est pas du tout...
03:58 La question, en fait, là, c'est juste, nous, ce qu'on veut savoir.
04:01 C'est pas...
04:02 Vous allez nous dire, oui, mais ça ne marche pas, les...
04:04 C'est pas ça.
04:05 On veut trouver des solutions, voilà, nous, je vous le dis, pour que...
04:08 Terminé.
04:09 Parce que là, je vois plein de gens sur les réseaux qui disent
04:11 "il faut aller encore plus loin", etc.
04:13 - Vous vous rendez compte ce qu'il vient de dire ?
04:15 - Attends, laisse-la parler, s'il te plaît.
04:17 - Moi, non.
04:18 - Laisse-la parler.
04:19 - Les droits de l'homme, moi, ça me choque.
04:20 - Moi aussi.
04:21 - Parce que je pense aussi aux droits de l'enfant.
04:22 - Moi aussi.
04:23 - Il a le droit de ne pas avoir...
04:24 - Moi, je pense plus aux droits de l'enfant qu'aux droits de l'homme.
04:25 - ...quelqu'un qui veut violer à un coin de rue.
04:26 Et alors, soit on peut continuer à être hypocrite, à pleurer des cas.
04:28 - Bien sûr.
04:29 Bravo, Daniel.
04:30 - On peut tous, mais on dit "ah bah non, ça marche pas, puis c'est cruel,
04:32 c'est inhumain quand même de faire ça à quelqu'un".
04:34 - Qui a été cruel en premier.
04:35 - Je suis désolée, c'est cruel et inhumain, c'est de violer à un enfant.
04:37 - Je vous réponds.
04:38 - Il n'y a pas d'argument là-dessus.
04:40 On a des moyens, ça marche peut-être pas dans 100% des cas,
04:43 mais il y a des moyens qui existent.
04:45 On n'a aucune hésitation à avoir avec ces gens-là.
04:47 - Non, non, c'est pas vrai.
04:48 - On continue à pleurer à chaque fois.
04:50 Et on ne fait rien parce qu'il y a la loi, parce qu'il y a les droits de l'homme.
04:53 - Bien sûr.
04:54 - Ça arrive avec les droits de l'homme en ce moment, dans tous les domaines.
04:56 Excusez-moi, mais les droits de l'homme...
04:58 - Et justement, vous qui êtes si clément avec les pédophiles
05:00 en invoquant les droits de l'homme, en disant "oui, mais les droits de l'homme...".
05:02 - On n'est pas clément avec les pédophiles.
05:03 - Ah si, tu ne peux pas invoquer les droits de l'homme quand tu parles de ça.
05:04 - Non, non.
05:05 - Là, tu vas pouvoir sauver des pédophiles,
05:06 puisque il y a un cas où ça peut les sauver, on peut tolérer.
05:09 C'est un cas où un mec qui n'est jamais passé à l'acte va voir un médecin
05:11 ou je ne sais pas quoi, et il dit "excusez-moi, je crois que j'ai un problème,
05:13 je crois que je suis malade, je suis attiré par les enfants,
05:15 je veux être guéri maintenant, avant de passer à l'acte".
05:17 Et là, on peut sauver peut-être des pédophiles et les empêcher de passer à l'acte.
05:20 Donc si vous voulez être clément avec les pédophiles, castrez-les.
05:22 Mais ne cautionnez pas ce qu'ils font, ne diminuez pas la gravité de leurs actes
05:27 en disant "oui, mais les droits de l'homme...".
05:29 - C'est très grave, c'est très grave.
05:30 - Ou une copa, les amputer, etc.
05:31 - C'est très grave, c'est très grave.
05:32 - On ne s'en fout pas du tout.
05:33 - Je dis simplement que cette possibilité-là qui existe, par ailleurs en France,
05:38 déjà, d'abord ce n'est pas un médecin, ce n'est pas un juge qui l'apprend,
05:40 c'est le médecin à temps de terminal.
05:42 - Personne n'a parlé de juge.
05:43 - Et par ailleurs, ce qu'on te dit, c'est que tu as 10% seulement de chance
05:47 que ça puisse fonctionner et que donc, si on va croire qu'on a une sorte d'immunité
05:52 et qu'en fait les mecs vont être dans la nature parce qu'ils seront castrés
05:54 et qu'on sera très content qu'ils soient castrés,
05:56 et en fait ils vont prendre des outils, des machins, des trucs
05:58 et ils continueront à faire ce qu'ils ont su faire.
06:00 - Ce n'est pas ça l'explication.
06:02 - Pour moi, les gars, pédophile pour moi, c'est terminé.
06:06 - Terminé.
06:07 - On protège les gens.
06:08 - Or de la société, terminé.
06:09 Terminé, c'est fini, on ne veut plus les voir.
06:11 Merci, au revoir.
06:12 - On n'a pas besoin de les castrer alors.
06:14 - Si c'est prison à vie avec une préparation.
06:16 - Vous trouvez la solution, mais plus les voir.
06:17 Terminé, merci, au revoir.
06:18 Voilà, fini.
06:19 - Si le problème c'est de ne plus les voir, on les enferme à vie éventuellement.
06:22 - Mais les droits de l'homme, c'est précisément...
06:23 - Non, non, les droits de l'homme, on les enferme à vie.
06:25 - Les droits de l'homme, c'est précisément la protection du corps humain.
06:27 - On les crève.
06:28 - Rien ne nous différencie de si on se met à tuer les gens, si on se met à les castrer.
06:32 C'est l'honneur de la France, les droits de l'homme.
06:34 - Mais alors quand tu viens à un bébé, tu es en protection du corps.
06:37 - Quand c'est quelqu'un qui est malade, il demande lui-même à être soigné.
06:40 - Je peux te rappeler une histoire.
06:42 - Attendez, c'est bon, là, vas-y, la case d'histoire à la maison.
06:45 - Ça peut être un mois, ça peut être deux mois, ça peut être trois mois,
06:47 c'est momentané, la personne retrouve ses facultés.
06:49 - Si il est malade, ça ne va pas l'empêcher de tuer quelqu'un.
06:51 - Si il est malade, Francis Solm, Francis Solm, Francis Solm n'a pas pu vivre.
06:56 - Les gars, les gars, la question, la question.
06:58 - Mais vous avez toujours des contre-exemples absolument exceptionnels.
07:01 - Chut, tu es de son corps à doigts.
07:03 - On n'utilise pas les moyens qui sont à notre disposition.
07:06 Donc c'est ça, le truc, c'est que tu as la possibilité aujourd'hui
07:09 de pouvoir traiter des gens qui sont malades, qui le demandent,
07:12 pour un mois, pour deux mois, pour trois mois, c'est encadré par le médecin ou les professionnels.
07:16 - Patricia, la secrétaire de direction, s'il vous plaît.
07:20 - Pour moi, la castration, ça ne suit pas, pour moi, c'est des peines de mort.
07:23 - Ah d'accord, quand même.
07:25 - Directement du cas de castration.
07:27 - Il y a plein de gens qui pensent comme elle.
07:29 - Oui, mais on ne peut pas le dire.
07:31 - Il y a un cas où le non est viable, c'est le cas où on dit, à mon sens,
07:35 c'est le cas où on dit, castrer les pédophiles, c'est quelque part les aider à mieux vivre et aller mieux.
07:39 Est-ce qu'ils méritent d'être aidés ? Je ne sais pas.
07:41 Et il y a plein de gens qui pensent qu'ils doivent au moins être enfermés à vie,
07:43 voire pire, comme a dit Polska, et il y a plein de gens qui pensent comme elle.
07:46 - Non, mais la peine de mort a été aboli, on ne va pas revenir à ça.
07:49 - Non, mais les gens qui le pensent, bien sûr, mais il n'y a pas de débat.
07:51 - On a des moyens.
07:52 - S'il vous plaît, s'il vous plaît, laissez-moi parler.
07:53 Oh, qu'est-ce qu'elle a, Garcimore, là ?
07:55 - Oui, Garcimore.
07:57 - Non, mais tu parles de droit de l'homme, justement, c'est ce que dit...
07:59 - Ça peut être Médeine, lui.
08:01 - Pardon.
08:02 - Non, je voulais simplement rappeler le cas de Francis Holm,
08:04 qui justement était dans l'incapacité d'assouvir ses fantasmes.
08:08 Eh bien, il a tué ses victimes.
08:10 - Eh oui.
08:11 - Voilà.
08:12 - Donc il aurait mieux valu qu'il les viole.
08:13 - Benaïm, ce qu'on est en train de te dire...
08:14 - C'est génial comme raisonnement.
08:15 - Non, je veux que tu expliques...
08:16 - Il vaut mieux le violer, parce que...
08:17 - Tu peux écouter ?
08:18 Ce que je t'explique, c'est que vous le présentez...
08:19 - Benaïm, elle a des drôles de raisonnements.
08:20 - Elle est brillante, cette femme.
08:21 - Vous le présentez comme la panacée en disant "ça va résoudre le problème".
08:23 - Pas du tout.
08:24 - Pas du tout.
08:25 - Ça ne le résoud pas.
08:26 - C'est encadré par des médecins.
08:47 - C'est pas du tout.
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