Le Basket au Québec

  • il y a 8 mois

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Sport
Transcription
00:00:00 C'est votre déjeuner McDo enroulé dans une tortilla moelleuse comme une couverture.
00:00:05 Ah, ça doit être le fun d'être enroulé dans une tortilla.
00:00:09 Le burrito matin du réconfort matinal à chaque bouchée.
00:00:13 Bonsoir à tous, Mathieu Gelivet qui vous souhaite la bienvenue à cette émission spéciale
00:00:27 dans le cadre de la grande semaine basketball à RDS, émission qui s'appelle Le Basket au Québec.
00:00:32 Et avant de vous expliquer de quoi il s'agira lors des 60 prochaines minutes,
00:00:36 j'ai le plaisir d'accueillir à ma gauche, vous le reconnaissez, Peter Wipapa et Anno Poulos.
00:00:40 Comment ça va mon cher?
00:00:41 Ça va bien Mathieu, une grande semaine de basketball ici à RDS.
00:00:45 Écoute, on a eu tellement de plaisir, quatre matchs en direct et on clôture ça avec un 60 minutes spécial
00:00:50 comme je vous le mentionnais. On a offert des prix toute la semaine, on a fait de belles entrevues
00:00:54 et c'est un peu ça de quoi il s'agit aujourd'hui. On veut boucler la boucle avec vous
00:00:58 en vous présentant les extraits de nos meilleures entrevues avec le talent local.
00:01:02 On veut faire rayonner le talent local avec cette émission.
00:01:04 Donc, entrevue avec Lou Gansdor, Olivier Maxence-Prosper,
00:01:08 également avec RJ Barrett qui n'est pas québécois, mais on va l'appeler le québécois honoraire
00:01:13 et également une visite en studio de Annie Larouche pour nous parler de l'Alliance de Montréal.
00:01:17 Donc, beaucoup de contenu intéressant au cours des prochaines minutes.
00:01:20 Mais Peter, je veux qu'on commence en parlant des Raptors de Toronto
00:01:23 qui est notre équipe locale québécoise-canadienne, peu importe comment vous voulez l'appeler.
00:01:28 C'est une saison un peu particulière. Avant de commencer à parler des joueurs
00:01:31 qu'on surveillera dans les mois et les années à venir, on va regarder le classement si vous le voulez bien.
00:01:35 Une saison qui était partie pas si mal, on était quoi? 8-8 après 16 matchs.
00:01:39 Après ça, ça part en vrai et la reconstruction est entamée, des transactions.
00:01:45 Donc, quand tu regardes ce classement, c'est quoi l'objectif pour les mois à venir?
00:01:49 Bien, c'est clair qu'il y a un changement. Le mouvement est terminé.
00:01:53 Le noyau de Van Vliet-Siakam, O'Jian Obie.
00:01:57 Mais on a un Scotty Barnes que c'est le joueur de la franchise
00:02:01 et je suis très excité de voir Scotty qui adore jouer à Toronto.
00:02:04 On a RJ Barrett, Emmanuel Quickly.
00:02:06 Je pense qu'on doit continuer à travailler fort à chaque match.
00:02:10 On a un nouvel entraîneur. On va commencer à essayer de gagner des matchs,
00:02:14 plus de montrer, établir une culture, une culture qu'on va travailler pendant 48 minutes
00:02:20 et on va voir ce que ça va produire.
00:02:23 Mais c'est clair, comme Massaoud Juh a dit une fois,
00:02:25 on n'est ici pas pour terminer 8e ou 9e, on veut gagner un deuxième championnat à Toronto.
00:02:30 Tôt ou tard, tôt ou tard. Alors, parlons de ce noyau établi des prochaines années.
00:02:35 Les jeunes joueurs sur qui on veut bâtir.
00:02:37 On commence avec Scotty Barnes qui est revenu au niveau de son année 1.
00:02:41 Après une année 2, un petit peu plus difficile, a amélioré son tir de l'extérieur.
00:02:46 Là, c'est vraiment son équipe. Il n'y a plus de doute, il n'y a plus de siakam, il n'y a plus personne autour.
00:02:50 Il doit s'établir encore plus dans les mois à venir.
00:02:52 Et c'est la constance, la constance de Scotty Barnes.
00:02:55 Troisième année, c'est l'année de vérité pour les jeunes joueurs
00:02:58 et on a vu que Scotty Barnes a vraiment démontré des capacités offensives à améliorer.
00:03:03 On sait qu'est-ce qu'il peut donner défensivement.
00:03:05 Là, c'est le leadership et est-ce qu'il peut produire à 25 points par match
00:03:10 des rebonds, les aides, les blocs en défense.
00:03:13 Moi, je pense que Scotty Barnes, c'est un slam dunk comme repêchage qu'on a eu, quatrième.
00:03:18 Là, on va bâtir, on va l'entourer, on espère, avec les morceaux nécessaires
00:03:24 pour que Scotty devienne ce joueur de franchise constant.
00:03:27 - Bon, parlons des morceaux nécessaires, justement.
00:03:29 Quand on a envoyé Anunobi à New York, on a eu Emmanuel Quigley et RJ Barrett en retour.
00:03:34 Et tout le monde disait, le joyau de la transaction, c'est Quigley.
00:03:37 Mais RJ Barrett, depuis son arrivée, a dit « Attendez, moi, je suis encore un joueur sur qui on peut battre ».
00:03:41 C'est impressionnant ce qu'il fait présentement.
00:03:43 - Mais effectivement, je suis d'accord avec toi, Mathieu.
00:03:45 Puis quand on parle de Barrett, c'est 18 points par match.
00:03:47 Puis on dit « Oui, c'est un bon joueur ». Non, RJ Barrett était choisi troisième
00:03:52 en arrière de Zion puis Jamarron.
00:03:54 Puis je m'excuse, c'est lui le joueur le plus constant de ce trio.
00:03:58 Bref, RJ est retourné à la maison.
00:04:00 On sait que présentement, la moyenne est augmentée à 21 points.
00:04:03 Il attaque le panier. C'est un joueur amélioré.
00:04:06 La maturité-là, défensivement, il m'impressionne, RJ.
00:04:09 Puis je pense que lui, il veut démontrer que devant sa ville natale, son pays,
00:04:14 qu'il peut devenir un joueur étoile.
00:04:17 Et je pense à côté de Scotty Barnes, j'aime ce duo, j'aime la chimie entre Barrett et Barnes.
00:04:22 - Et là, son grand ami, celui qu'on appelle IQ, Emmanuel Quigley, également débarque à Toronto.
00:04:27 Les premières semaines ont été concluantes.
00:04:28 Là, il est blessé présentement.
00:04:30 Mais clairement, c'est un front tireur et c'est un gars sur qui on doit bâtir
00:04:33 dans les 3, 4, 5 prochaines saisons.
00:04:35 - Mais on avait Carl Lowry pendant plusieurs années, on avait Fred VanVleet.
00:04:38 On a besoin d'un meneur de jeu rapide, un meneur de jeu électrisant
00:04:42 qui est capable de vraiment lancer du périmètre.
00:04:45 Quand je regarde 44 % du 3 points, ça, là, c'est impressionnant.
00:04:49 Le futur avec lui, avec Barrett puis Barnes,
00:04:53 ça va être quelque chose qu'on va regarder pendant plusieurs années.
00:04:55 Mais Quigley, il n'est pas rendu à son potentiel encore.
00:04:59 Il est encore jeune, mais ses capacités de lancer du périmètre,
00:05:03 attaquer le panier, un joueur ultra-rapide, il va continuer à se développer.
00:05:07 Je suis très content avec l'acquisition de Barrett et d'Emmanuel Quigley, IQ.
00:05:13 - Un autre dont on veut parler, Gary Trent.
00:05:15 Quand il y a eu cette transaction il y a quelques années,
00:05:17 Norman Powell quitte Toronto, Gary Trent s'amène.
00:05:19 Au début, on pensait tous, toi inclus, que les raptors avaient eu le meilleur de la transaction.
00:05:24 Et là, dans la dernière année, on n'est plus sûr.
00:05:26 Powell joue bien à Los Angeles, Trent joue moins bien.
00:05:28 Il va mieux récemment. Est-ce que le but, c'est de le changer
00:05:31 ou il y a une petite chance qu'on lui offre un nouveau contrat?
00:05:33 - Aucune chance. - Aucune chance?
00:05:35 - L'année dernière, je pensais qu'une autre année avec Gary Trent,
00:05:39 il y a les capacités de réussir ses tirs du périmètre.
00:05:41 C'est quelqu'un, un joueur de confiance.
00:05:43 Mais quand on l'a mis sur la deuxième unité l'année passée avec Nick Nurse,
00:05:47 je pense que ça a tout changé.
00:05:48 Et cette année, je te dirais que c'est un joueur de 12 points par match.
00:05:52 Trent était toujours vers 15, 16.
00:05:54 Pour moi, est-ce qu'on peut lui donner un peu d'espoir ici?
00:05:57 On donne des minutes qui soient productives.
00:05:59 Et comme tu l'as mentionné, on peut l'échanger pour avoir quelque chose en retour.
00:06:03 Gary Trent ne sera plus avec les Raptors l'année prochaine.
00:06:06 - Je veux qu'on enchaîne maintenant sur Chris Boucher, le Montréalais.
00:06:09 On en a parlé, moi et Will, quand on a eu le plaisir d'aller à l'Antichambre la semaine dernière
00:06:13 en disant qu'il est à la croisée des chemins.
00:06:15 Il lui reste une autre année de contrat.
00:06:17 C'est son plus gros contrat en carrière.
00:06:18 Il a fait de belles choses ici et là à Toronto, mais on n'a jamais eu la confiance totale.
00:06:22 Est-ce qu'il va être échangé bientôt ou l'année prochaine?
00:06:24 Comment tu vois la suite pour Chris?
00:06:26 - C'est une bonne question.
00:06:27 Pour Chris, encore une fois, je suis déçu, je suis surpris.
00:06:30 Déçu pour lui parce que quand il est sur le terrain, il est productif.
00:06:33 Regardez, 14 minutes, puis déjà 6 points, puis 4 monts.
00:06:36 Mais il y a quelque chose avec Nick Nurse, le nouvel entraîneur aussi, coach d'Arco.
00:06:40 Je pense que Boucher reste positif et reste un professionnel.
00:06:43 Est-ce que son avenir avec les Raptors, ça reste à suivre?
00:06:46 Mais il y a beaucoup d'équipes qui aimeraient voir un joueur comme Chris
00:06:49 sur la deuxième unité, l'énergie, capacité de jouer défensivement et aussi les 3 points.
00:06:54 Bref, pour moi, j'espère que Chris Boucher va rester avec les Raptors.
00:06:57 - Et terminons avec le choix de première ronde le plus récent, Grady Dick.
00:07:00 Déception pour l'instant, a montré de meilleures choses dans les derniers matchs.
00:07:03 On doit absolument le faire décoller avant la fin de la saison, n'est-ce pas?
00:07:06 - La patience, Mathieu, la patience.
00:07:08 On ne peut pas vraiment penser que Grady Dick, après 40 matchs,
00:07:11 on va dire que la carrière est terminée, c'est un mauvais choix.
00:07:14 Écoute, on a vu que Grady Dick a des capacités,
00:07:18 qu'il a montrées à Kansas, un franc tireur.
00:07:20 Ça va venir, après 2-3 années, on va vraiment décider s'il est un morceau.
00:07:25 Mais pour moi, un franc tireur avec cette motion,
00:07:28 cette habilité de réussir les 3 points,
00:07:31 je pense que Grady, on doit rester patient avec.
00:07:33 - Et donc, pour conclure sur les Raptors, on ne veut pas perdre,
00:07:36 mais on aimerait ça garder notre choix si on est dans le top 6.
00:07:39 On n'est pas obligé de l'envoyer à San Antonio cette année,
00:07:41 ce ne serait pas une mauvaise affaire.
00:07:43 - Top 6 ou moins, on doit garder le choix de premier ronde.
00:07:46 - Alors, c'est assez simple comme constat.
00:07:49 Peter, pour aller à la première pause,
00:07:51 on vous présente la première de nos entrevues de cette émission spéciale.
00:07:54 RJ Barrett dans un français impeccable.
00:07:57 Alex Tourigny a eu la chance de s'entretenir avec lui il y a quelques jours.
00:08:00 Voici ce que ça donnait.
00:08:02 - RJ, merci beaucoup de nous accorder cette entrevue en français.
00:08:06 D'ailleurs, est-ce que tu pourrais rappeler aux téléspectateurs
00:08:08 comment tu as appris le français
00:08:10 et comment tu as été en mesure de garder un si bon niveau de français
00:08:13 toutes ces années-là?
00:08:15 - Quand j'étais petit, je vivais en France.
00:08:17 Mon père, il jouait au basket pour des équipes là-bas.
00:08:22 Alors, depuis comme quatre ans à huit ans,
00:08:26 j'étais en France, allait à l'école là-bas.
00:08:30 Et puis, quand j'étais, ouais, huit, neuf ans,
00:08:34 je suis en Mississauga.
00:08:38 J'allais à l'école en français
00:08:41 depuis que j'avais neuf ans à 14 ans.
00:08:47 Alors, je parle français avec mon petit frère et, ouais.
00:08:52 - J'avais eu la chance de discuter avec toi justement en 2018
00:08:55 lors de la visite de Duke ici au Québec à la Place Belle.
00:08:59 Qu'est-ce que tu retiens justement de cette expérience-là au Québec?
00:09:03 - Ah! On a gagné.
00:09:06 (rire)
00:09:07 On a gagné, c'est tout.
00:09:09 - Parle-moi un peu de la transaction justement
00:09:11 qui t'a envoyé de New York à Toronto.
00:09:14 Quel était le sentiment qui t'habitait justement?
00:09:16 Parce que tu partais de New York,
00:09:18 mais essentiellement, tu retournais à la maison à Toronto.
00:09:21 - Revenir à la maison, j'étais très content, très content.
00:09:25 Tu sais, je vivais aux États-Unis pour comme huit ans.
00:09:31 Alors, maintenant, je suis... je joue pour les Raptors.
00:09:36 Je suis revenu à la maison, alors je suis très content.
00:09:40 - À quoi a ressemblé l'accueil maintenant des partisans
00:09:44 du côté de Toronto depuis ton arrivée dans la Ville-Reine?
00:09:48 - J'ai beaucoup de famille ici.
00:09:51 Mes amis sont ici, alors j'aime tout ce qui se passe ici.
00:09:57 Et je suis très content.
00:10:00 - Comté basket, t'as connu du succès dès ton arrivée
00:10:03 avec ta nouvelle équipe.
00:10:04 Pourtant, nouvelle équipe, nouveau système également.
00:10:07 Comment tu expliques ton succès avec les Raptors de Toronto?
00:10:10 Est-ce que simplement, c'était un bon fit?
00:10:13 - Oui, un bon fit.
00:10:15 C'est difficile.
00:10:16 On a comme 5 personnes qui sont nouvelles aussi, mais c'est ça.
00:10:23 Alors, c'est difficile un peu, mais c'est un bon fit.
00:10:29 - T'es arrivé à Toronto avec ton coéquipier chez les Knicks,
00:10:32 Emmanuel Quickly.
00:10:33 À quel point c'est important pour toi de lui faire connaître
00:10:36 la ville de Toronto, la culture torontoise également?
00:10:39 - Oui, toutes les questions qu'il a pour moi, je l'aide
00:10:45 dans tout ce qu'il a.
00:10:48 Oui, pour toutes les questions qu'il a.
00:10:54 - Quand vous avez appris que vous avez été échangé à Toronto,
00:10:57 quelle a été peut-être la première question
00:10:59 qu'Emmanuel Quickly t'a posée à propos de sa nouvelle ville?
00:11:03 - Il voulait manger, alors je lui ai dit d'aller à Osmos.
00:11:08 - Je dois absolument te parler de l'équipe canadienne senior.
00:11:12 Tu vas avoir la chance de représenter le Canada
00:11:14 aux Jeux olympiques de Paris, comme ton père l'a fait en 2000.
00:11:18 À quel point, justement, c'était un rêve pour toi
00:11:20 de participer aux Jeux olympiques?
00:11:22 Et qu'est-ce que ton père t'a raconté à propos
00:11:25 de son expérience en 2000?
00:11:28 - Juste que c'est une expérience que pas beaucoup de personnes,
00:11:35 tu sais, tu connais.
00:11:38 Alors, il était à la maison tous les jours
00:11:42 pour parler de son expérience.
00:11:44 Et je suis content que je vais aller aux Olympiques
00:11:50 et je peux dire qu'est-ce que c'est ma expérience.
00:11:58 - Tu fais partie de cette nouvelle génération
00:12:00 de joueurs de basket.
00:12:01 Comment tu expliques l'ascension du basketball au Canada
00:12:04 dans les 20 dernières années?
00:12:05 Est-ce que c'est seulement l'effet Raptors,
00:12:07 l'effet Vince Carter?
00:12:09 Comment tu expliques cette ascension du basket au Canada?
00:12:12 - Les Raptors, Vince Carter, Chris Bosch,
00:12:15 et DeMar DeRozan, et aussi comme Andrew Wiggins,
00:12:18 Corey Joseph, Tristan Thompson, tous ces joueurs-là,
00:12:21 pour nous, ils étaient comme...
00:12:24 comme Dieu, ils nous donnaient la confiance
00:12:29 qu'on peut le faire aussi.
00:12:31 - Mais justement, c'est quoi le sentiment de savoir
00:12:34 qu'il y a des jeunes joueurs de basketball
00:12:36 qui te regardent comme si t'étais un Dieu?
00:12:38 - Bien, je peux pas expliquer le feeling.
00:12:41 Je peux pas l'expliquer.
00:12:43 - Longtemps, le basketball canadien a vraiment été dominé
00:12:46 par l'Ontario.
00:12:48 Parlons un peu de l'ascension, de la progression
00:12:51 des autres provinces, notamment le Québec,
00:12:54 avec quatre joueurs dans la NBA présentement,
00:12:56 avec Lugansdor, Benedic Maturin, Chris Boucher
00:12:59 et Olivia Maxence-Prosper.
00:13:01 À quel point tu vois justement cette progression-là
00:13:03 dans les autres provinces canadiennes?
00:13:05 - J'ai joué contre Lugans quand j'étais petit aussi.
00:13:10 (rire)
00:13:12 Mais le progrès est très bien.
00:13:16 Pour le Canada, c'est très bien.
00:13:19 - RJ Barrett, merci encore une fois.
00:13:21 Tu avais peur que ton français ne soit pas à point.
00:13:24 Crois-moi, il est aussi bon qu'en 2018, ici même à Montréal.
00:13:27 Encore une fois, merci pour ton temps aujourd'hui.
00:13:30 - Au revoir.
00:13:32 - Impressionnant, effectivement.
00:13:35 Merci à vous deux. On fait notre première pause et on retourne
00:13:38 notamment entretien avec Lugansdor. Restez des nôtres.
00:13:41 ♪ ♪ ♪
00:13:44 - Bonjour, Bolway Boucher!
00:13:46 Créé par des chefs avec du steak assaisonné canadien
00:13:49 à paix d'une sauce sucrée et épicée à la jerk.
00:13:51 - Un nabat assuré.
00:13:53 - T'es pas le fameux gars des bols?
00:13:54 - Du basket, du bowling et des bols.
00:13:56 - Le nouveau bol de riz steak épicé à la jerk,
00:13:58 seulement chez Subway.
00:14:00 (coups de pieds)
00:14:11 - Les enfants ont besoin de sport et Bon Départ a besoin de vous.
00:14:14 Répondez à l'appel et faites un don pour aider les familles
00:14:17 de partout au pays à surmonter les obstacles financiers
00:14:20 au sport et aux Jeux. Un beau geste comme ça,
00:14:22 ça mérite d'être souligné en grand.
00:14:24 Pour en savoir plus, visitez bondépart.canadiantire.ca.
00:14:28 (applaudissements)
00:14:30 - Et si je vous disais que chez Chope Santé,
00:14:40 on est encore au meilleur des sujets,
00:14:42 ben...
00:14:44 (acclamations)
00:14:46 (musique rock)
00:14:48 ♪ ♪ ♪
00:14:50 (acclamations)
00:14:52 - La Terre est notre domicile collectif,
00:15:16 ce qui fait de nous une famille.
00:15:18 En tant que famille, nous nous efforçons de nous aimer
00:15:21 et de nous protéger les uns les autres.
00:15:23 La diversité des espèces est notre force.
00:15:26 Nous sommes tous liés.
00:15:28 Nous survivons et prospérons ensemble.
00:15:30 Nous célébrons plusieurs choses cette saison
00:15:33 et faisons plusieurs choix.
00:15:35 Notre choix le plus facile est celui de prendre soin
00:15:38 de notre famille. Nous sommes solidaires.
00:15:41 ♪ ♪ ♪
00:15:43 (coups de pieds)
00:15:47 (coups de pieds)
00:15:49 (coups de pieds)
00:15:51 (coups de pieds)
00:15:53 (coups de pieds)
00:15:55 (coups de pieds)
00:15:57 (coups de pieds)
00:15:59 (coups de pieds)
00:16:01 (coups de pieds)
00:16:03 (coups de pieds)
00:16:05 (coups de pieds)
00:16:07 (coups de pieds)
00:16:09 - Achetez vos billets dès maintenant et vivez l'expérience
00:16:11 Omnion Banque nationale, présentée par Rogers.
00:16:14 ♪ ♪ ♪
00:16:16 - Notre émission spéciale de basketball au Québec se poursuit.
00:16:25 On vous a parlé de Chris Boucher dans notre bloc Raptors
00:16:28 juste avant la pause, mais il y a trois autres Québécois,
00:16:30 évidemment, dans la NBA cette saison, qui jouent chacun
00:16:32 des rôles importants à leur façon.
00:16:34 On va en parler un petit peu avec Peter Yiannopoulos.
00:16:36 On commence avec Bénédicte Mathurin, des Pacers d'Indiana.
00:16:39 Peter, l'endébut pour Bénédicte cette saison
00:16:42 à son année 2. Et là, dans les derniers mois,
00:16:45 on sent un petit peu plus de confiance et de productivité.
00:16:47 - Oui, je suis d'accord avec toi, Bénédicte Mathurin,
00:16:50 qui commence à vraiment démontrer qu'il est capable
00:16:53 de percer vers le panier. On voit la constance
00:16:56 dans la ligne de trois points améliorée qu'on a participé
00:16:58 à l'année passée, 36 %, mais pour Ben, la confiance,
00:17:01 c'est jamais le problème, c'est la maturité,
00:17:04 c'est sa concentration, sa discipline défensivement.
00:17:07 Puis je pense que l'entraîneur chef, coach Carl Hall,
00:17:09 voit que le talent est là et quand Ben peut donker
00:17:12 sur n'importe qui, je pense que Ben, l'année prochaine,
00:17:15 dans sa troisième année... Mais les attentes ont élevé,
00:17:17 maintenant, les Pacers. C'est une équipe qui veut le gagner,
00:17:19 peut-être une ronde, deux rondes, peut-être aller en finale
00:17:22 avec l'arrivée de Pascal Siakam, mais Bénédicte Mathurin,
00:17:25 de marde, le Québécois, 14 points par match,
00:17:28 le potentiel est élevé. - Potentiel illimité.
00:17:31 Bon, il était coéquipier de Bénédicte à l'Académie
00:17:33 de la NBA il y a quelques saisons.
00:17:35 Olivier Maxence, prospère, à qui on s'entretiendra
00:17:38 plus tard dans l'émission. Parle-moi un peu d'Omax.
00:17:41 C'est difficile de se tailler une place à Dallas
00:17:43 avec l'effectif qu'il y a là, présentement.
00:17:45 - Bien, encore une fois, c'est un processus de développement.
00:17:47 Chris Boucher, Lugens Dahl, c'était pas facile pour eux
00:17:50 la première année. Puis Olivier Maxence, prospère,
00:17:52 ils ont un plan pour lui. Quand on va le repêcher
00:17:55 en première ronde, on sait qu'il a du talent,
00:17:57 il a du potentiel. Et un joueur polyvalent,
00:18:00 un joueur à 6 pieds et 8, qui peut tout faire,
00:18:02 défensivement, offensivement, côté trois points,
00:18:05 attaquer le panier. Mais c'est tellement un bon coéquipier.
00:18:08 Et Omax, prospère, apprend des joueurs comme
00:18:11 Luka Doncic, Kyrie Irving, puis Dallas,
00:18:13 ils ont des attentes extrêmement hautes aussi.
00:18:15 Fait que pour moi, Omax, au lieu d'être avec
00:18:18 Marquette Alain Thier, il apprend dans la NBA
00:18:20 et il y a eu un match de 20 points.
00:18:22 Ça va être un bon futur pour Omax, très bientôt.
00:18:25 - Et on termine avec qui d'autre? Lugens Dahl,
00:18:28 Oklahoma City, qui connaît une saison incroyable.
00:18:30 On est au sommet de l'Association Ouest,
00:18:32 on est meilleur qu'on pensait l'être à ce stade
00:18:35 de ce processus à OKC. Lugens, c'est déjà le vétéran
00:18:38 de cette équipe. On lui demande pas de marquer
00:18:40 30 points par match, il fait un peu tout.
00:18:42 Quelle belle année pour lui.
00:18:43 - Une année extraordinaire et quand on parle d'un joueur
00:18:46 qu'il y a quelques saisons, un analyse de la NBA
00:18:49 a dit, écoute, quand Lugens est sur le terrain,
00:18:51 on joue 4 contre 5 à l'attaque parce qu'il est pas capable
00:18:53 de lancer des trois points. Cette année, 39 % du centre-ville,
00:18:57 Lugens demeure l'un des meilleurs joueurs défensifs
00:18:59 de la NBA et c'est vraiment le leader incontesté
00:19:02 de cette équipe. Son éthique de travail, écoute,
00:19:06 avec Shea Gildes'Alexander au KC, imaginez en première place,
00:19:10 Lugens est un joueur hyper important pour cette franchise
00:19:13 sur le terrain et à l'extérieur du terrain.
00:19:16 Quel modèle, quel héros ici montréalais et sa présence
00:19:19 avec l'équipe canadienne. Wow, cette année en Paris,
00:19:22 Mathieu, une médaille d'or potentiellement!
00:19:24 - Un 20-24 chargé pour Lugens Dahl et d'ailleurs,
00:19:27 ça aurait été un crime de ne pas lui parler dans le cadre
00:19:30 de cette émission spéciale. Notre collègue Alex Tourigny
00:19:33 a réussi à le rejoindre à Oklahoma City plus tôt cette semaine.
00:19:36 Voici cette entrevue.
00:19:38 - Lugens, quand on regardait les prédictions des experts
00:19:41 en début de saison, j'ai l'impression que tout le monde
00:19:43 dormait un peu sur le Thunder d'Oklahoma City.
00:19:45 Vous avez surpris bien des gens. Comment justement
00:19:48 tu expliques votre succès?
00:19:50 - C'est vraiment un travail. C'est sûr que les prédictions
00:19:52 au début de saison, on regarde pas vraiment ça,
00:19:54 mais c'est vraiment le travail. On a un goal en ce moment
00:19:57 puis on veut aller loin cette saison puis on veut juste
00:20:01 travailler fort. Puis en ce moment, c'est sûr qu'on veut
00:20:06 être les premiers, mais on est dans une bonne position
00:20:09 en ce moment.
00:20:10 - Vous êtes l'une des équipes les plus jeunes de la NBA.
00:20:13 Est-ce que tu vois ça comme un désavantage parce que justement
00:20:15 il y a un manque d'expérience ou comme un avantage?
00:20:18 - Bon, moi, je vois ça comme un avantage, le fait qu'on est
00:20:23 proche, on est vraiment proche en équipe. On passe beaucoup
00:20:27 de temps ensemble, on va manger ensemble, on joue aux jeux
00:20:29 vidéo ensemble, on fait tout ensemble. C'est sûr que des
00:20:32 joueurs qui sont venus dans la NBA, ils jouent pas aux vidéos
00:20:34 comme ça, ils font pas des trucs comme ça en ce moment.
00:20:36 Ça nous aide un peu à vraiment être plus proches.
00:20:39 Le team qui m'a suivi, ça aide vraiment. Puis quand une équipe
00:20:43 est aussi proche comme ça, c'est vraiment facile d'aller
00:20:47 jouer des matchs.
00:20:48 - Tu parles de jeux vidéo. J'imagine que vous jouez
00:20:50 à Touquet. À quel point c'est spécial, voire étrange de jouer
00:20:55 avec son propre personnage?
00:20:57 - C'est sûr qu'on joue à Touquet, mais bon, on s'utilise,
00:21:02 c'est sûr. C'est le fun, amis.
00:21:05 Toute notre jeunesse, on joue à NBA Touquet, puis là,
00:21:09 voir qu'on est dans la NBA, puis on joue ensemble,
00:21:12 puis on rit, c'est vraiment le fun.
00:21:15 - Quand on regarde les statistiques individuelles,
00:21:17 il y a vraiment une chose qui saute aux yeux, la hausse
00:21:20 de ton pourcentage de temps du plancher et qu'à trois points.
00:21:23 Comment tu expliques justement cette hausse de pourcentage-là?
00:21:26 - Bon, la plus grosse chose pour moi au début de la saison,
00:21:30 c'était de vraiment embrasser mon rôle. Puis je sens que
00:21:33 j'ai vraiment fait une belle job avec ça. On a des bons joueurs
00:21:37 offensively, puis on a beaucoup de weapons, on a beaucoup
00:21:43 de joueurs qui peuvent marquer. Puis vraiment, vraiment,
00:21:47 j'essaie juste d'être dans la bonne place au bon moment,
00:21:49 puis vraiment prendre des bonnes shots pour aider mon équipe.
00:21:52 Puis en même temps, c'est le travail, puis c'est le film
00:21:55 que j'ai regardé au début de la saison, puis savoir vraiment
00:21:58 d'où mes shots allaient venir.
00:22:00 - À quel point c'est plaisant pour toi de voir un gars
00:22:03 comme Chet Holmgren, qui a raté toute la dernière saison,
00:22:06 être en mesure de performer comme il le fait présentement?
00:22:10 - Je suis vraiment content pour lui de... Tout le travail,
00:22:13 tout le temps qu'il a dû passer l'année dernière, quand il a
00:22:16 dû nous regarder pratiquer puis jouer, c'est sûr que c'est dur.
00:22:19 Surtout quand t'es le number two pick dans la job.
00:22:23 C'est sûr que c'est plat de manquer une saison complète,
00:22:26 mais il a vraiment travaillé fort pour être prêt cette saison.
00:22:30 Puis on avait besoin de lui l'année dernière, puis là,
00:22:33 on est vraiment content qu'on l'a, puis il a 100 ans cette
00:22:36 année pour jouer, puis il joue vraiment, vraiment bien.
00:22:39 Je suis sûr qu'il va gagner la recrute de l'année.
00:22:42 Je pense qu'il a des grandes chances de la gagner.
00:22:45 Mais je suis vraiment content d'avoir Chet avec nous cette année.
00:22:48 - Je me doute un peu de ta réponse, mais pour toi,
00:22:51 à quel point Shea Gildess-Alexander devra être
00:22:54 nommé le joueur par excellence de la NBA cette saison?
00:22:57 - Définitivement, oui. Je pense que Shea devra être le MVP.
00:23:00 Juste le succès de notre équipe, puis c'est lui notre leader,
00:23:03 puis juste le fait de voir que l'année dernière,
00:23:06 on était peut-être au 10e rang, puis maintenant,
00:23:09 on est rendu deuxième. Puis toutes les améliorations
00:23:12 qu'on a faites en peu de temps, puis c'est lui qui le lead,
00:23:15 puis à 30 points par match, c'est pas facile, puis il y a pas
00:23:18 beaucoup de pertes. Je pense pas qu'il y a quelqu'un qui peut
00:23:21 l'arriver à la NBA en ce moment. Je pense que demain,
00:23:24 si demain, ils auraient donné leur word à quelqu'un,
00:23:27 je pense qu'ils l'auraient arraché, définitivement.
00:23:30 - Lugens, dans tes mots, comment tu expliques justement
00:23:33 le talent du basketball, cette progression du basketball
00:23:36 au Québec dans les 10 dernières années?
00:23:39 - Bien, ça a grandi. Puis là, je pense qu'on peut voir
00:23:42 Montréal puis le Québec au complet, puis il y a
00:23:45 beaucoup de talent, puis il y a beaucoup de joueurs de basket.
00:23:48 Il y a quelques années, c'était dur. Le plus de talent
00:23:51 sortait d'Ontario puis de Toronto, mais là,
00:23:54 s'il y a des recruteurs puis du monde qui veut voir
00:23:57 du bon talent de basket, bien, il peut vraiment
00:24:00 aller à Montréal puis au Québec puis voir beaucoup de talent.
00:24:03 Puis je suis vraiment content. C'est sûr que c'est le fun
00:24:06 maintenant de, you know, d'être dans la NBA. Dernièrement,
00:24:09 j'étais à Utah puis j'ai parlé à Williams qui joue
00:24:12 pour les Utah. Puis c'est juste le fun d'être aux États-Unis
00:24:15 puis voir des personnes qui viennent d'où je viens.
00:24:18 Puis je suis vraiment content de voir combien de Québécois
00:24:21 habitent de Montréalais sont soit à l'université
00:24:24 ou soit à la NBA. Puis, you know, je suis juste vraiment
00:24:27 fier de représenter tout le monde qui vient du Québec
00:24:30 puis de Montréal.
00:24:33 - Lugenz, quelle est l'importance, justement, des gars
00:24:36 comme toi, Chris Boucher, Bénédicte Maturin et Omax
00:24:39 pour la prochaine génération, justement, pour inspirer
00:24:42 la prochaine génération de joueurs de basketball?
00:24:45 Et pour toi, ce modèle, cette idole québécoise, c'était qui?
00:24:48 - Ah! Bon, c'est vraiment important. Moi, je suis
00:24:51 vraiment content et puis je suis honoré en même temps
00:24:54 d'être dans cette position-là, de voir qu'il y a
00:24:57 beaucoup de jeunes qui essaient d'être comme moi un jour
00:25:00 ou comme Bén ou comme Omax ou Chris. C'est sûr qu'il y en a
00:25:03 rien. On n'y est pas beaucoup en ce moment, mais c'est bien
00:25:06 de voir un jeune qui est capable de voir un joueur
00:25:09 de basketball professionnel qui vient de Montréal,
00:25:12 qui parle la même langue que lui ou whatever.
00:25:15 Je suis content d'être dans cette position-là.
00:25:18 Puis moi, quand j'étais jeune, bon, Chris, c'est un gars
00:25:21 qui... Chris est quand même beaucoup plus vieux que moi.
00:25:24 Puis lui, je le regardais juste à l'NCA, puis son parcours,
00:25:27 comment son parcours était malade. Puis de Montréal,
00:25:30 il y avait Joël Anthony qui était en même temps qui jouait
00:25:33 pour Miami-Heads. Il y avait Samuel D'Alembert aussi
00:25:36 qui venait de Montréal. C'est des gars que j'ai pas vraiment
00:25:39 rencontrés quand j'étais jeune, mais maintenant,
00:25:42 on a un contact quand même. Puis je suis juste content
00:25:45 d'avoir atteint ce niveau-là pour être capable de parler
00:25:48 à ce genre de personnes-là maintenant.
00:25:51 - Pour les jeunes qui nous écoutent, je sais que c'est
00:25:54 peut-être difficile à répondre, mais quelle est la recette
00:25:57 du succès? Lorsque les jeunes t'approchent sur Instagram
00:26:00 ou en personne et que tu te demandes que faire pour
00:26:03 justement atteindre la NBA, quelle est ta réponse?
00:26:06 Quel est ton secret peut-être pour atteindre la NBA?
00:26:09 - Oui. Bien, numéro un, le plus important, c'est toujours
00:26:12 de travailler fort, mais aussi d'être patient. Ça va jamais...
00:26:15 Il y a des plus gros moments dans ma tête juste à cause que
00:26:18 ça va jamais revenir directement. Ça va prendre du temps,
00:26:21 même si tu travailles fort, même si tu penses que ça devrait
00:26:24 arriver demain ou quelques jours ou quelques semaines.
00:26:27 Non, ça va toujours prendre... Des fois, ça va prendre des
00:26:30 années. Il y a tout le monde avec des parcours différents.
00:26:33 Puis tu dois juste y croire. Puis le travail, il est fort.
00:26:36 Comme l'histoire de moi, de Ben, de Chris, d'Omax,
00:26:39 c'est tout différent. Il y a des gars qui sont allés jouer
00:26:42 au NBA, au Without Borders ou whatever, ou NBA Academy.
00:26:45 Puis il y a Chris Boucher, lui, qui a dû aller du court.
00:26:48 Puis après ça, il s'est blessé. Le parcours, tout le monde
00:26:51 est toujours différent. Mais tu dois toujours y croire
00:26:54 puis travailler fort.
00:26:56 - Il y a quelques semaines, on a justement vu une photo de toi
00:26:59 avec Benjamin Saint-Just. Quelle est ta relation avec lui?
00:27:02 Comment tu l'as approché, justement? Est-ce que c'est ton
00:27:05 ami? Parle-moi un peu de cette rencontre-là qui s'est
00:27:08 produite à Washington.
00:27:10 - C'est vraiment cool. C'est sûr que moi, je supporte
00:27:13 n'importe quel Montréalais canadien ou Québécois
00:27:16 qui succide dans son sport. Puis ça, on est rentrés en contact
00:27:21 l'été dernier. Je suis allé à un de ses événements.
00:27:24 J'ai parlé à un de ses événements. Puis on est restés
00:27:27 en contact, on est restés proches. Puis j'allais à Washington
00:27:30 puis je l'ai invité à la game. Puis en même temps,
00:27:33 j'avais un cadeau pour lui puis il avait un cadeau pour moi.
00:27:36 Puis c'était la première fois qu'on s'est rencontrés,
00:27:39 mais je suis vraiment content pour lui et son succès.
00:27:42 Puis c'est un gars qui est vraiment dans la fashion aussi.
00:27:45 Il s'habille vraiment bien, comme moi. Ça, c'était le fun.
00:27:48 Puis on a plusieurs trucs à parler puis à catch-up.
00:27:51 J'étais vraiment content de nous rencontrer.
00:27:53 - Tu parles de mode. C'est une passion qui peut coûter cher,
00:27:56 comme toutes les autres, tu vas me dire quand même.
00:27:59 - Non, c'est sûr que c'est le fun, mais t'as pas besoin
00:28:02 de sou vraiment pour avoir de la... d'être stylé.
00:28:05 Ça vient avec, mais, you know, il y a toujours d'autres
00:28:08 façons d'être stylé, mais non, c'est toujours le fun
00:28:11 de bien s'habiller. You know, le basket, c'est vraiment nice,
00:28:14 mais c'est le fun des fois de faire d'autres choses
00:28:17 que le basket. Puis la mode, des fois, c'est le fun
00:28:20 de juste acheter des vêtements puis s'habiller
00:28:23 comme je veux, ça, c'est... ça, yeah.
00:28:26 - Lugens, on se connaissait évidemment avant ton arrivée
00:28:29 dans la NBA. Qu'est-ce qui a le plus changé dans ta vie,
00:28:32 justement, depuis que tu as accédé à la NBA?
00:28:35 - Bien, un petit peu de tout. C'est sûr, la première fois
00:28:38 qu'on s'est rencontrés, j'étais vraiment jeune
00:28:41 puis j'avais pas autant de responsabilités.
00:28:44 J'étais pas un adulte vraiment. Puis là, maintenant,
00:28:47 j'ai beaucoup à... beaucoup à prendre soin de mon corps,
00:28:50 à faire attention à ce que je mange.
00:28:53 C'est sûr que je suis dans... c'est une job, vraiment,
00:28:56 puis à chaque jour, je dois faire quelque chose
00:28:59 qui va m'aider dans ma job, même si c'est in season
00:29:02 ou sinon dans l'off season, c'est toujours...
00:29:05 J'ai toujours pensé à la job, ça. C'est juste vraiment
00:29:08 plus de responsabilité, mais à la fin de la journée,
00:29:11 c'est le fun. C'est quelque chose que j'ai toujours voulu
00:29:14 travailler fort. C'est la position que je voulais être,
00:29:17 ça. C'est juste qu'à chaque jour, ça doit être quelque chose
00:29:20 à cause du basket, mais j'aime ça.
00:29:23 - Merci encore une fois, Lugens, pour ton temps aujourd'hui.
00:29:26 Toujours très apprécié et la meilleure des chances d'ici
00:29:29 à la fin de l'éliminatoire. - Merci.
00:29:32 - Excellente entrevue. Merci à Lugens et on en a une autre
00:29:35 à réserve pour vous au retour. On jase avec Omax.
00:29:38 Olivier Maxence, Prospères.
00:29:41 ♪ ♪ ♪
00:29:44 ♪ ♪ ♪
00:29:48 - Bonjour, bols oué boucher!
00:29:51 Créé par des chefs avec du steak assaisonné canadien
00:29:54 à pied d'une sauce sucrée et épicée à la jerk.
00:29:57 - Un abat assuré. - T'es pas le fameux gars des bols?
00:30:00 - Du basket, du bowling et des bols.
00:30:03 - Le nouveau Boldory Steak épicé à la jerk, seulement chez Subway.
00:30:06 ♪ ♪ ♪
00:30:09 - Tous les achats comptent avec la carte TD
00:30:12 Classe Ultime Voyage. En obtenant jusqu'à 4 fois
00:30:15 le prix de la voiture, vous pouvez arriver plus vite.
00:30:18 TD, on est prêt pour vous.
00:30:21 - Les essuie-tout Royal Tiger Towel sont forts en tigre.
00:30:24 Mais saviez-vous qu'ils sont aussi carboneutres?
00:30:27 Tiger Towel fait partie d'une organisation qui plante
00:30:30 des millions d'arbres chaque année dans des forêts gérées
00:30:33 de façon responsable. Royal, qualité éprouvée, neutre en carbone.
00:30:36 - Le futur s'annonce froid. Et comme nous au Québec,
00:30:39 avec le tout nouveau Kona, Hyundai continue d'être
00:30:42 vraiment beau. Il est conçu autour de nous
00:30:45 et il nous conduit partout, avec style et intelligence.
00:30:48 - C'est clair qu'ils l'ont conçu pour nous.
00:30:51 - Il fonctionne même avec notre énergie propre.
00:30:54 Le tout nouveau Kona électrique de Hyundai.
00:30:57 Plus ouas que jamais.
00:31:00 ♪ ♪ ♪
00:31:03 - L'amour, c'est la seule valeur universelle.
00:31:06 - En février, tomber en amour avec les meilleurs films.
00:31:09 - Celui-là, il est très concret, hein?
00:31:12 - Des chambres rouges.
00:31:15 - Ces théâtres de l'horreur ont longtemps été un mythe.
00:31:18 - Tu peux pas être complice de ça, là, c'est dégueulasse
00:31:21 la façon dont t'es très... - Avec des documentaires
00:31:24 captivants. - C'est normal, il garde les jeunes
00:31:27 hors de la rue. - Et des séries à succès.
00:31:30 - Je pense être le porte-parole de ma génération.
00:31:33 - Succombrez-vous à Crave.
00:31:36 ♪ ♪ ♪
00:31:39 ♪ ♪ ♪
00:31:42 ♪ ♪ ♪
00:31:45 ♪ ♪ ♪
00:31:48 ♪ ♪ ♪
00:31:51 - Pas de bois, pas d'intimité.
00:31:54 Pas de bois, pas de claquettes.
00:31:57 Pas de bois, pas de creuseuse. - Hé, t'es à dedans, ils sont-tu bons?
00:32:00 Ils sont-tu chauds? C'est-tu végé, ça? - Pas de bois, pas de mandagaspésie.
00:32:03 Pas de bois, pas de croquets. Pas de bois, pas de cette affaire-là.
00:32:06 - Putain de flûte! - Pas de bois, pas de meubles.
00:32:09 - Hein? - Pis pas de M. Dubois. - Hein?
00:32:12 - Pas de bois, pas grand-chose, finalement.
00:32:15 C'est pour ça qu'au Québec, on s'assure de bien gérer
00:32:18 cette ressource renouvelable si essentielle à nos vies.
00:32:21 ♪ ♪ ♪
00:32:24 ♪ ♪ ♪
00:32:27 - Notre émission spéciale Basket au Québec
00:32:30 se poursuit encore une fois. Énormément de joueurs canadiens
00:32:33 dans la NCA Division 1 cette saison et beaucoup de Québécois.
00:32:36 En voici une douzaine qui s'illustrent un peu partout
00:32:39 au sud de la frontière. Peter, quels sont les 2 ou 3 noms
00:32:42 qui ressortent du lot pour toi? - Bien, pour moi,
00:32:45 Jameel Telfort à Butler connaît une excellente saison.
00:32:48 Un aîlé de 6 pieds et 7, continue à démontrer
00:32:51 des belles capacités de marquer des points,
00:32:54 être un guerrier défensivement, beaucoup de victoire pour Butler.
00:32:57 Il faut parler de Tyree Samuel qui joue pour les Gators
00:33:00 de la Floride. Écoute, un joueur de 6 pieds et 10 à l'intérieur
00:33:03 s'impose, beaucoup de victoire pour les Gators.
00:33:06 Il faut parler de Quincy Guenier avec le Fighting Lion Knight.
00:33:09 Je pense que Quincy connaît une excellente saison.
00:33:12 Un vétéran, peut-être seulement un Final Four pour l'Illinois.
00:33:15 - On vous en a parlé, on vous l'a promis avant la pause,
00:33:18 un autre de ces Québécois dans la NBA à qui on adore parler,
00:33:21 un jeune homme super sympathique, Olivier Maxence-Prosper.
00:33:24 Nos collègues Alex et P. Will sont restés tard hier soir
00:33:27 et Alex a réussi à lui parler en provenance de Minneapolis.
00:33:30 On les écoute.
00:33:33 - Olivier Maxence-Prosper, je ne sais pas si tu vas être d'accord
00:33:36 avec moi, mais la vie va quand même très vite. Il y a un an,
00:33:39 tu disais peut-être ta troisième saison dans la NCA, une deuxième
00:33:42 avec Marquette, et là, tu joues dans la NBA. Est-ce que tu te
00:33:45 penses encore? Est-ce que tu réalises vraiment que tu joues
00:33:48 dans la NBA? - Ah, ça, c'est certain.
00:33:51 Pour moi, c'est un rêve qui est devenu réalité.
00:33:54 Pouvoir jouer dans la NBA, c'est quelque chose que j'ai rêvé
00:33:57 depuis que je suis tout petit. Puis dedans, maintenant,
00:34:00 c'est toujours une source réelle pour moi. Puis c'est quelque
00:34:03 chose que je suis très content d'être dedans. Puis je continue.
00:34:06 C'est juste le début pour moi, alors. C'est super.
00:34:09 Puis la saison, la saison va super bien en ce moment.
00:34:12 Alors je suis très content. Puis oui, c'est ce que je me
00:34:15 pense toujours. Ça, c'est certain.
00:34:18 - Tu parles de la saison, ça va très bien au niveau de l'équipe,
00:34:21 au niveau personnel. Tu évaluerais cette première
00:34:24 saison-là dans la NBA comment?
00:34:27 - En termes d'équipe, bien, on est dans un... je crois,
00:34:32 on est sixième dans la conférence de West. Alors on n'est
00:34:36 pas... c'est pas comme si on a le meilleur record en ce moment,
00:34:40 mais on va dans la bonne direction en tant qu'équipe.
00:34:43 Puis personnellement, pour moi, je trouve que ça va super bien
00:34:46 en termes de mon amélioration.
00:34:49 Mon amélioration continue. En tant que rookie de la NBA,
00:34:52 les minutes sont en haut et en bas, mais en termes d'amélioration
00:34:55 continue, je trouve que je m'améliore beaucoup chaque match,
00:34:58 que ce soit dans la NBA ou dans la G-League, je m'améliore.
00:35:01 Puis c'est ça qui est important. Je ne suis pas le même joueur
00:35:04 que j'étais au début de la saison. Puis en tant que je
00:35:07 continue dans la bonne direction, c'est ça qui est
00:35:10 important pour moi.
00:35:13 - Olivier Maxence, c'est quoi justement la différence entre
00:35:16 le home-max au début de la saison et le home-max
00:35:19 présentement?
00:35:22 - C'est un home-max qui est plus, you know, en contrôle
00:35:25 de lui-même et de son jeu. You know, dans la game de la NBA,
00:35:28 c'est différent de la game de college.
00:35:31 - Oui, oui.
00:35:32 - So, si tu t'habitues à jouer avec différents joueurs et tout,
00:35:35 alors là, je me sens plus confortable de jouer avec eux.
00:35:38 Le jeu ralentit pour moi quand je suis en train de jouer.
00:35:41 Alors c'est tous des trucs comme ça. Puis je me sens encore
00:35:44 plus confortable avec ma game, mon shooting et les...
00:35:47 comment on joue défensivement avec l'équipe et tout, puis
00:35:50 comment je joue avec mes coéquipiers. Alors pour moi,
00:35:53 c'est... je trouve que je suis beaucoup meilleur maintenant
00:35:56 que j'étais au début de la saison.
00:35:59 - Tu as fait un peu le yo-yo entre la NBA et la G-League.
00:36:02 Comment tu gères ça, justement, cette situation-là?
00:36:05 - Je vois la G-League vraiment comme une opportunité pour moi
00:36:08 d'avoir de l'expérience. Surtout quand tu apportes
00:36:11 beaucoup de minutes, tu sais, dans la NBA directement,
00:36:14 c'est une opportunité pour toi de vraiment jouer, puis juste
00:36:17 jouer ta game. Vraiment, c'est là, la G-League, pour moi,
00:36:20 c'est là pour moi que j'expérimente, je fais ce que je
00:36:23 travaille dans mes workouts et tout, je suis juste
00:36:26 jouer ma game. Puis c'est ça que mon équipe veut.
00:36:29 C'est ça que les majors, ils me voient comme un gars
00:36:32 qui peut revenir dans l'équipe puis vraiment aider l'équipe,
00:36:35 tu sais, plus loin dans cette saison. Alors là, ils veulent
00:36:38 que j'ai des minutes, que je puisse jouer, que je puisse
00:36:41 avoir mon rythme sur le terrain. Alors c'est ça que la G-League
00:36:44 me donne. Alors moi, je vois ça comme une bonne chose.
00:36:47 C'est sûr que je veux jouer dans la NBA, mais pour l'instant,
00:36:50 c'est là que je suis, back and forth, mais je prends ça...
00:36:53 je prends le positif de ça. Tu vois?
00:36:56 - Tout à fait. Au mois de décembre, le 22 décembre,
00:36:59 t'as réussi le meilleur match de ta saison dans la NBA
00:37:02 avec 20 points. Quel effet ça a eu, justement, ce match-là?
00:37:05 Est-ce que c'est un cas de dire, écoute, je suis capable
00:37:08 de marquer 20 points dans la NBA, donc je mérite d'être là?
00:37:11 À quel point ça a eu un effet positif sur ta confiance,
00:37:14 ce match-là?
00:37:17 - Ah, ce match-là, c'était super pour moi.
00:37:20 Pourvoir scorer 20 points dans la NBA, c'est quelque chose
00:37:23 pour moi que... Tu sais, c'était... Spécialement dans
00:37:26 ma première année, ça a fait du bien. C'est vraiment
00:37:29 un boost de confiance. Mais c'est quelque chose que je sais
00:37:32 que je peux faire. Puis c'est juste, comme j'ai dit,
00:37:35 c'est l'amélioration. Je continue à m'améliorer.
00:37:38 Dans ce match-là, j'ai eu l'opportunité de pouvoir jouer
00:37:41 et j'ai pu montrer que je suis capable de scorer 20 points.
00:37:44 Puis pour moi, c'est juste le début. Alors je ne laisse pas
00:37:47 le fait que je ne passe pas ce match-là affecter ma confiance
00:37:50 personnelle. Alors ce 20 points, c'est définitivement
00:37:53 bon pour moi. Puis ça va juste me pousser à faire
00:37:56 du travail fort parce que je sais que je suis capable de faire.
00:37:59 Ça va juste me prouver que je sais que je suis capable
00:38:02 de faire au plus haut niveau.
00:38:04 - T'as la chance de jouer avec des gars comme Luka Doncic,
00:38:07 Kyrie Irving. Qu'est-ce que tu apprends de ces superstars
00:38:10 de la NBA?
00:38:12 - Les deux sont super. Pour moi, c'est des super bons gars
00:38:16 sur le terrain et hors du terrain. Ils m'aident beaucoup
00:38:20 en termes de... Je sais pas, en termes de...
00:38:24 Ils m'aident beaucoup en termes que rookie, en termes de...
00:38:27 en tant que rookie à m'aider à vraiment être grandir
00:38:30 encore plus vite, spécialement Kyrie. Il s'assoit à côté
00:38:33 de moi dans l'avion à chaque fois qu'on voyage.
00:38:36 Il me parle toujours. Il me donne des conseils.
00:38:39 Et juste les voir, la façon dont... leur préparation,
00:38:43 la façon dont ils travaillent, la façon dont ils voient
00:38:46 le jeu. Ils sont extrêmement intelligents en termes de...
00:38:49 la game de basket. Et juste les voir en termes de...
00:38:52 comment ils jouent, comment ils analysent la game,
00:38:56 c'est impressionnant. Parce que c'est un des meilleurs joueurs
00:39:00 dans le monde, ça. Pour moi, juste en termes de...
00:39:04 en tant que voir ça, ça m'aide. Je suis capable d'apprendre
00:39:08 plus vite. Comme ça, quand j'arrive dans mes années plus
00:39:11 tard, je suis déjà un pas devant que plein d'autres joueurs
00:39:14 qui ont pas ces vétérans dans leur équipe.
00:39:17 - Oliver Maxence, j'ai posé la même question à Lugensdor.
00:39:20 Comment tu te sens, même si c'est dans ta première année
00:39:23 dans l'NBA, comment tu te sens d'être possiblement déjà
00:39:26 l'idole de certains jeunes joueurs de basket au Québec
00:39:30 qui te regardent avec l'uniforme des Mavericks, qui disent
00:39:33 "Moi, je veux être pareil comme au max un jour"?
00:39:36 - Alors, c'est incroyable. C'est incroyable de pouvoir
00:39:39 être une idole, mais je me vois en tant que modèle,
00:39:42 idole et modèle pour beaucoup de joueurs, beaucoup de jeunes,
00:39:45 parce que moi, j'étais ce jeune là. J'étais ce jeune là
00:39:48 qui aspirait de jouer dans l'NBA, qui regardait les gars
00:39:51 dans l'NBA et voulait... "Oh, je veux que ça soit moi un jour."
00:39:54 Puis de pouvoir être ça pour plusieurs jeunes, je leur montre
00:39:57 que tu viens... ça dérange pas parce que tu viens. Tu peux
00:40:00 venir de Montréal puis être capable de réussir puis de se
00:40:03 rendre dans l'NBA. Alors moi, c'est ça que je veux leur
00:40:06 montrer. Je veux leur montrer que peu importe d'où tu viens,
00:40:09 tu peux te rendre si tu continues à travailler fort et tu continues
00:40:12 à mettre de l'effort. Et c'est ça que je veux leur montrer.
00:40:15 Puis c'est ça, c'est ma responsabilité de leur montrer
00:40:18 qu'ils sont capables de faire un pas.
00:40:21 - Oui. Tu as certainement travaillé très fort et tu mérites
00:40:24 vraiment tout ce qui t'arrive présentement dans l'NBA,
00:40:27 Olivier-Maxence Prospère. Merci encore une fois de nous avoir
00:40:30 accordé cette entrevue aujourd'hui.
00:40:33 - Merci beaucoup. Je vous apprécie.
00:40:36 - Superbe entrevue. Merci à Alex et au monde.
00:40:39 - Merci.
00:40:42 - Superbe entrevue. Merci à Alex et au Max.
00:40:45 On fait une pause et au retour. Annie Larouche de l'Alliance
00:40:48 de Montréal se joint à nous en studio.
00:40:52 ♪♪♪
00:40:55 - Hôtel Casino Lac-Limmi, une expérience Loto-Québec
00:41:19 en Outaouais.
00:41:22 - Lorsque vous commencez la journée avec les céréales
00:41:25 Swedish composées de blé entier à 100 %,
00:41:28 le reste de la journée s'annonce joyeux à 100 %.
00:41:31 Les céréales Swedish pour des moments carrément bons.
00:41:34 - Ils sont nés pour l'action.
00:41:37 Ils savent dénicher les bonnes affaires.
00:41:40 Voici les acheteurs Marshall's.
00:41:43 Chaque jour, ils travaillent fort pour trouver vos marques
00:41:46 préférées. Ils décèlent la qualité d'un seul toucher.
00:41:49 Ils voient la différence entre le toque et l'authentique.
00:41:52 Impressionnant.
00:41:55 Quand ils mettent la main sur un sac exceptionnel,
00:41:58 ils achètent, mais pas à n'importe quel prix,
00:42:01 quand on a un flair pour les bonnes affaires.
00:42:04 Marshall's.
00:42:07 - Le repas pour deux à 10 $ de PFK.
00:42:10 Deux morceaux recettes originales farinés à la main, fois deux.
00:42:13 - Tu veux un Alicha? En voilà deux.
00:42:16 - Et des frites, obtenez-en deux aussi.
00:42:19 Le repas pour deux à 10 $, seulement chez PFK.
00:42:22 - Vous avez manqué ça? Ça aussi?
00:42:25 Et ça?
00:42:28 Rattrapez vos émissions préférées
00:42:31 ou écoutez-les en rafale sur nouveau.ca
00:42:34 ou en téléchargeant gratuitement l'appli Nouveau.
00:42:37 - Wow!
00:42:40 - Garde tes mains sur le volant.
00:42:43 Si tu veux ton permis, il faut que tu sois prête à tout.
00:42:46 - OK, on recommence.
00:42:49 Oh! L'orignal veut jouer au tennis. Qu'est-ce qu'on fait?
00:42:52 - On dit non! Tu conduis, t'as pas le temps!
00:42:55 - Obtenez jusqu'à 10 % de rabais sur le PDSF,
00:42:58 soit jusqu'à 8 700 $ sur la plupart des Jeeps Grand Cherokee 2024.
00:43:01 Pendant l'événement, l'hiver en 4x4.
00:43:04 - Oh! Un castor! Y a-tu un barrage?
00:43:07 - Toutes les entreprises ont leur propre histoire.
00:43:10 Elles sont toutes uniques, comme les gens d'ici.
00:43:13 On ne raconte pas uniquement ce que l'on fait,
00:43:16 mais qui l'on est.
00:43:19 Monneris, fier partenaire des entreprises d'ici.
00:43:22 ♪ ♪ ♪
00:43:25 - Notre émission spéciale se poursuit
00:43:33 et ça me permet de vous signaler que tout au long
00:43:36 de cette grande semaine basket, on a remis des prix,
00:43:39 que ce soit des chandails officiels de Lougans d'or
00:43:42 de Bénédicte Maturin, ainsi que des T-shirts spéciaux
00:43:45 NBA Canada à l'effigie de Lougans de Shea Gildress Alexander.
00:43:48 Vous voyez les gagnants à l'écran, Laura Bolivard
00:43:51 et Alexandre Brunette. Et il y avait également
00:43:54 un excellent prix plus local, un forfait VIP offert
00:43:57 gracieusement par l'Alliance de Montréal,
00:44:00 qui a été remporté par Frédéric Parot.
00:44:03 On vous retrouve parfaitement à notre prochaine entrevue.
00:44:06 Elle a eu la gentillesse de se déplacer vers nos studios
00:44:09 aujourd'hui, nommée présidente de l'Alliance en août 2023.
00:44:12 Toujours un plaisir de l'accueillir. Annie Larouche,
00:44:15 merci beaucoup d'être là. - Merci de l'invitation.
00:44:18 - Merci premièrement pour ce forfait VIP. Je pense que
00:44:21 Frédéric Parot va apprécier toute une expérience. Je vais
00:44:24 commencer en te disant un peu ce que je réponds aux gens
00:44:27 qui me demandent, l'Alliance, c'est comment, est-ce que
00:44:30 c'est un bon projet? Non seulement c'est vraiment
00:44:33 une superbe expérience, mais moi j'ai été impressionné.
00:44:36 Parce que je les ai vécues un peu comme Peter, les années
00:44:39 de toutes sortes de tentatives de basket professionnelle
00:44:42 à Montréal, peu concluantes, à l'aréna Pierre-Charbonneau,
00:44:45 avec pas beaucoup d'ambiance et pas beaucoup de structures.
00:44:48 Et là, ce que vous avez réussi d'abord à mettre en place
00:44:51 et ensuite à soutenir au cours des deux premières années,
00:44:54 bien si j'avais un chapeau, je le lèverais ici présentement.
00:44:57 - C'est un des plus beaux projets que vous avez reçu.
00:45:00 - Oui. - C'est un des plus beaux projets
00:45:03 que vous avez reçu. - Oui.
00:45:06 - C'est un des plus beaux projets que vous avez reçu.
00:45:09 - Oui. - C'est un des plus beaux projets
00:45:12 que vous avez reçu. - Oui.
00:45:15 - C'est un des plus beaux projets que vous avez reçu.
00:45:18 - Oui. - C'est un des plus beaux projets
00:45:21 que vous avez reçu. - Oui.
00:45:24 - Tout au long de l'année 1 et encore à l'année 2,
00:45:27 la croissance continue de tôt rendez-vous.
00:45:30 Peter, les attentes pour l'année 3 sont encore plus élevées.
00:45:33 - Bien, c'est ça, Annie. Félicitations. Je pense que l'Alliance
00:45:36 est ici pour rester. Après deux années, on est arrivés
00:45:39 à la troisième année. Pour toi, comme présidente,
00:45:42 c'est quoi les prochaines étapes? C'est quoi tes attentes
00:45:45 pour la franchise, pour l'équipe cette année?
00:45:48 - Bien, c'est sûr que c'est d'accumuler des victoires.
00:45:51 On veut continuer le travail qui est déjà entamé.
00:45:54 Donc, on veut s'assurer, puis on prend rien pour acquis,
00:45:57 c'est important de le dire, mais on veut s'assurer
00:46:00 que l'expérience est toujours bonifiée d'année en année,
00:46:03 peu importe ce qui se passe sur le court. Donc, ça,
00:46:06 c'est la base même à tous les niveaux. Maintenant,
00:46:09 on veut accumuler aussi les victoires sur le court
00:46:12 et on veut... Les gens de Montréal, les environs
00:46:15 nous connaissent, on veut aller au-delà de ça.
00:46:18 On connaît ça un peu partout. Donc, on veut grandir.
00:46:21 - Donc, on en parlait un peu avant de commencer l'entrevue.
00:46:24 Il y a des éléments que vous contrôlez, il y a des éléments
00:46:27 que vous contrôlez moins. Évidemment, l'auditorium de
00:46:30 Verdun, vous en êtes pas les propriétaires, vous travaillez
00:46:33 avec la Ville, mais on dirait qu'il y a eu des améliorations
00:46:36 entre années 1 et 2. J'imagine qu'il y en a d'autres qui se
00:46:39 préparent pour l'année 3. Sur quoi est-ce que ton équipe
00:46:42 travaille activement présentement?
00:46:45 - On travaille pas 100 % encore, mais on identifie les points
00:46:48 à améliorer. On travaille de concert avec l'arrondissement
00:46:51 de Verdun, avec la Ville, pour améliorer les installations.
00:46:54 Il faut se souvenir que la première saison en 2022,
00:46:57 on est sortis de confinement, si je me trompe pas,
00:47:00 en mars ou avril, on commençait au mois de mai.
00:47:03 Donc, tout le monde a couru... - Jusqu'à rajouter des petits
00:47:06 défis amusants. - Tant qu'à faire. Tout le monde
00:47:09 a travaillé fort, puis évidemment, on peut pas tout
00:47:12 faire pour le lendemain. Donc, la collaboration est là,
00:47:15 les améliorations sont là, lentement, mais sûrement.
00:47:18 - Bon, on voit des images en ce moment de certains matchs
00:47:21 locaux, notamment des victoires. Évidemment, là, vous commencez
00:47:24 à bâtir l'effectif de 2024. On peut pas vraiment trop parler
00:47:27 de nouveaux joueurs. Vous avez beaucoup de pain sur la planche
00:47:30 au cours des prochaines semaines. Est-ce que l'organisation
00:47:33 s'est fixée des facettes à améliorer sur le terrain avec
00:47:36 Joël Anthony et toute ton équipe? Je sais que tu t'en mêles
00:47:39 peut-être pas tant, mais veut-veut pas, vous voulez
00:47:42 continuer à accumuler encore plus de victoires comme ça.
00:47:45 - Oui, effectivement. C'est sûr que c'est pas moi qui va aller
00:47:48 dire à Joël, t'sais, on devrait mettre un peu plus d'effectif
00:47:51 de ce côté-là. J'y vais plus globalement, mais t'sais,
00:47:54 on se parle pratiquement quotidiennement, puis on essaie
00:47:57 de faire tout ce qu'on peut. Parce que oui, des fois,
00:48:00 attirer les joueurs, puis les joueurs veulent venir jouer
00:48:03 à Montréal, mais on veut s'assurer de leur offrir
00:48:06 un environnement où ils n'auront uniquement qu'à se concentrer
00:48:09 sur le basketball. On prend en charge tout le reste.
00:48:12 Viens jouer chez nous, on va s'occuper de toi.
00:48:15 Ça, ça vient un peu plus de mon côté. Donc, Joël, assure-toi
00:48:18 d'aller recruter des bons joueurs, puis moi, je vais
00:48:21 m'assurer qu'on en prenne soin. - Chacun ses forces.
00:48:24 - Exactement. - Annie, je suis sur place
00:48:27 à Verdun comme analyste, mais je suis aussi sur place
00:48:30 comme un partisan. Et j'ai vu que l'expérience client
00:48:33 était hallucinante. Parle-nous, c'est quoi, pour les personnes
00:48:36 qui n'ont pas vraiment eu le possibilité de voir un match
00:48:39 de basketball professionnel, c'est quoi vraiment
00:48:42 l'Alliance de Montréal comme expérience client?
00:48:45 - C'est 2 heures de basketball non-stop, intensif,
00:48:48 c'est sans arrêt. Le fait qu'on joue aussi avec le pointage
00:48:51 cible à la fin, ça rend le jeu encore plus excitant.
00:48:54 Il n'y a aucun temps mort au basket.
00:48:57 Puis l'auditorium de Verdun, c'est un autre endroit
00:49:00 où on peut jouer au basket. Puis l'auditorium de Verdun
00:49:03 fait en sorte qu'on a cette proximité-là,
00:49:06 on est très, très près du terrain. Les gens me demandent,
00:49:09 je sais pas si c'est le toit en bois ou...
00:49:12 Les gens me demandent si je mets des micros
00:49:15 pour amplifier le son. La réponse est non.
00:49:18 - C'est naturel. - C'est juste incroyable.
00:49:21 On fait sauter le plafond. - Je pense que l'expérience
00:49:24 est intéressante pour les gens parce que c'est très familial
00:49:27 et les prix sont accessibles et tout ça.
00:49:30 Et les gens, je pense qu'on pense souvent au hockey
00:49:33 parce qu'ils n'ont pas vu beaucoup de baskets de haut niveau
00:49:36 en personne avant et de faire hockey, c'est vraiment pas
00:49:39 le même pacing, le même niveau d'athlétisme auquel
00:49:42 on est habitué. Ça, ça doit être des commentaires
00:49:45 qui reviennent souvent, je imagine.
00:49:48 - Oui, oui, oui. Puis je vais ramener ça à mon expérience
00:49:51 personnelle. Le premier match, j'ai été nommée en 2021.
00:49:54 Puis moi, je m'étais installée à la table des marqueurs
00:49:57 avec mon ordinateur dans le but de prendre des notes
00:50:00 et j'avais oublié, c'est sûr qu'on sortait de deux ans
00:50:03 de pandémie, j'avais oublié à quel point c'était rapide.
00:50:06 J'ai fermé mon ordinateur, je prenais des notes sans regarder.
00:50:09 J'ai fait oui, OK. Fait que c'est ça, on reste en haleine
00:50:12 tout le long du match. Puis tu sais, qu'on gagne
00:50:15 ou qu'on perde, les partisans sont là puis ils nous soutiennent
00:50:18 jusqu'au bout, jusqu'à la dernière seconde.
00:50:21 - Bon, je veux qu'on parle de l'autre événement spécial 2024,
00:50:24 celui que vous contrôlez comme hôte, pas nécessairement
00:50:27 comme participant, le tournoi de fin de saison, donc les demi-finales
00:50:30 et la grande finale de la CBL saison 2024 au mois d'août.
00:50:33 Qu'est-ce que tu peux nous dire sur cet événement?
00:50:36 Parce que je pense que vous planchez déjà là-dessus aussi.
00:50:39 - Oui, beaucoup. On est super excités. Il y aura les finales
00:50:42 de conférence le vendredi, deux matchs, un à la suite de l'autre
00:50:45 et le championnat qui aura lieu le dimanche 11 août.
00:50:48 Mais mis à part ça, c'est une semaine de festivité,
00:50:51 on l'appelle le week-end de championnat, mais qui commence
00:50:54 le mercredi avec le gala des joueurs.
00:50:57 Il y a plusieurs activités, il va y avoir des concerts,
00:51:00 il va y avoir des tournois aussi, on va annoncer tout ça sous peu.
00:51:03 Donc, mis à part ces trois matchs super intéressants,
00:51:07 on va être en finale de division, évidemment, fait que techniquement,
00:51:10 on est à deux victoires de gagner le championnat cette année.
00:51:13 - Voilà. - C'est ça comme ça.
00:51:15 Mais il va y avoir plein de festivités et on veut que Montréal
00:51:19 vibre en mode basket pendant cette semaine-là.
00:51:22 Ce sera les Olympiques aussi.
00:51:24 - Annie, on voit qu'il y a un contenu québécois dans l'équipe,
00:51:28 dans les entraîneurs, aux joueurs. Je pense à un joueur
00:51:31 comme Nathan Keio, un joueur qui est développé, cultivé ici
00:51:34 au Québec, cégep, Jean-Debrébeuf, et là, il a une chance d'aller
00:51:38 dans la NBA, dans la G-League. Parle-nous un peu du processus
00:51:41 de développement pour nos joueurs d'ici et nos entraîneurs québécois.
00:51:44 - C'est extraordinaire. Puis on le sait, on l'utilise encore
00:51:47 plus que moi, puis tu sais à quel point on a du talent ici.
00:51:50 Puis enfin, on peut... tu sais, les gars comme Ben, comme Lou,
00:51:54 comme Chris, ils font rayonner le basket.
00:51:57 Ils inspirent nos jeunes.
00:51:59 Puis de pouvoir... tu sais, de pouvoir permettre à ces gars-là
00:52:04 de venir jouer devant chez eux.
00:52:07 On parle de Nathan, on parle d'Alain, etc., Elijah.
00:52:10 Pour nous, c'est super important.
00:52:12 Et tout le repêchage, en fait, oui, le repêchage de la LECB
00:52:16 se fait via les universités.
00:52:19 Alors, on peut avoir un joueur en développement avec nous,
00:52:22 ce qui fait qu'il peut venir jouer une année avec nous
00:52:25 sans être pénalisé, peut retourner à l'école et continuer
00:52:28 à être repêché plus tard. Donc, on veut vraiment aller chercher
00:52:31 le grassroot puis inspirer tout le monde.
00:52:34 - Avant de terminer, je veux qu'on prenne quelques secondes
00:52:37 pour regarder votre calendrier 2024 en rappelant aux gens
00:52:40 que ça débute à la fin mai, donc dans 4 mois à peine.
00:52:43 Il y a encore d'excellents billets de disponibles,
00:52:46 10 matchs à l'Auditorium de Verdun, 10 matchs à l'étranger.
00:52:49 On commence à bâtir quelques petites rivalités, là, hein?
00:52:52 - Absolument, absolument.
00:52:54 - On n'a pas encore l'équipe de Québec pour créer la rivalité
00:52:57 de l'autoroute 20, ça s'en vient peut-être, mais je pense
00:53:00 que c'est excitant pour toute ton équipe parce que c'est un beau
00:53:03 calendrier condensé tout au long de l'été.
00:53:06 - Absolument. Ça dure 10 semaines, la saison régulière,
00:53:09 c'est un sprint. - Un championnat à Nice cette année.
00:53:12 - Championnat! - J'aime ça, c'est l'optimisme éternel,
00:53:15 Peter. Définitivement, on vous souhaite une superbe saison
00:53:18 à l'extérieur du terrain, sur le terrain. Merci beaucoup
00:53:21 d'être passée nous voir à Nélage. - Merci à vous deux.
00:53:24 (vrombissement de l'avion)
00:53:27 - Excuse-moi, petit bonhomme, si je comprends bien, là,
00:53:30 vous voulez nous amener sur votre planète où tout est amour
00:53:33 et joie de vivre? - Hum-hum.
00:53:35 - OK, puis comment votre 5G, là-bas, me tombe?
00:53:38 - Super.
00:53:40 - Une fois qu'on a la 5G de belle, on ne peut plus s'en passer.
00:53:43 (bip-bip-bip) - Puis, je peux-tu revoir mon sel, là?
00:53:46 - Non. - C'est pas grave.
00:53:49 (vrombissement de l'avion)
00:53:52 - Bonjour, Bolle oué bouchée! Créée par des chefs avec du steak
00:53:56 assaisonné canadien à pied d'une sauce sucrée et épicée à la jerk.
00:54:00 - Un nabat assuré. - T'es pas le fameux gars des bols?
00:54:03 - Du basket, du bowling et des bols.
00:54:05 - Bolle de riz, steak épicé à la jerk, seulement chez Subway.
00:54:08 - Vos petits kits, j'imagine que t'es bien assuré?
00:54:11 - Oui, madame. Avec ce net, super facile.
00:54:14 5 minutes, 2 tours de piste, puis j'étais assuré.
00:54:17 - Regarde ce que je peux te battre.
00:54:20 - OK, attache-toi dessus.
00:54:23 (vrombissement de l'avion)
00:54:26 (vrombissement de l'avion)
00:54:29 - Puis... (vrombissement de l'avion)
00:54:32 - Déjà assuré. - Chance qu'il y ait pas de trafic.
00:54:35 - Ça va me prendre mon petit kit salé, moi aussi.
00:54:38 - Votre soirée hockey à RDS, c'est beaucoup plus qu'un match.
00:54:41 C'est de commencer en prenant le pouls de ce qui se passe
00:54:44 à travers la Ligue avec Hockey 360, pour ensuite faire place
00:54:47 au match des Canadiens avec la meilleure équipe d'analystes
00:54:50 et de commentateurs qui soient. Finalement, on fait un retour
00:54:53 complet sur le match avec nos experts de l'Antichambre.
00:54:56 Hockey 360, le hockey des Canadiens et de l'Antichambre,
00:54:59 c'est votre alignement gagnant.
00:55:02 Vos soirées hockey en semaine dès 18h15 sur RDS.
00:55:07 - À quoi ressemble une sensation Disney?
00:55:10 C'est comme... et comme...
00:55:13 ♪ ♪ ♪
00:55:15 Et aussi comme...
00:55:18 ♪ ♪ ♪
00:55:20 Et c'est encore mieux ensemble.
00:55:23 Et maintenant, ne manquez pas les sensations fortes
00:55:26 offertes avec des économies spéciales sur les billets
00:55:29 juste pour vous. Visitez disneyworld.ca/billets
00:55:32 pour plus de détails.
00:55:34 Être à Disney, c'est...
00:55:36 (cris et applaudissements)
00:55:38 ♪ ♪ ♪
00:55:40 ♪ You're just too good to be true ♪
00:55:44 ♪ Can't take my eyes off you ♪
00:55:47 ♪ ♪ ♪
00:55:51 - On tenait à vous parler un peu de la scène universitaire
00:55:54 québécoise avant de terminer cette émission.
00:55:57 Voici ce qui se passe du côté masculin en ce moment.
00:56:00 Lucas met en tête Peter, mais Concordia l'étalonne.
00:56:03 - Oui, mais cette année, c'est les Citadins
00:56:05 avec l'entraîneur-chef Mario Joseph.
00:56:07 Beaucoup d'expérience avec Kevin Civil.
00:56:09 Ben, Heidi Didera qui joue pour l'Alliance aussi.
00:56:12 Je pense qu'il vise un championnat national.
00:56:15 - Et du côté féminin, bien là, c'est une course
00:56:17 un petit peu assassinée. Quel début de saison pour Laval?
00:56:20 - Oui, le Rouge et Or, beaucoup de succès côté football.
00:56:23 Mais mon grand ami Guillaume Géroux,
00:56:25 l'entraîneur-chef pour les femmes,
00:56:27 écoute, 10 victoires, 0 défaite.
00:56:29 - On vise la perfection.
00:56:31 - C'est l'équipe de l'heure au Québec.
00:56:33 - Et on voulait aussi vous parler de l'autre équipe
00:56:35 professionnelle de Montréal. Oui, il y a l'Alliance,
00:56:37 mais il y a également le Toundra qui mérite votre attention.
00:56:40 Peter, la saison est en cours en ce moment.
00:56:42 L'endépart, mais ça va un petit peu mieux récemment.
00:56:44 - Oui, deux victoires consécutives.
00:56:46 C'est une équipe qui, encore une fois,
00:56:48 veut créer une identité ici à Montréal.
00:56:50 Trois Québécois dans l'équipe.
00:56:52 Lévi Londole, Mambi Diawara et certainement Samuel Chapout aussi.
00:56:56 Je pense que c'est une équipe qui veut créer un engouement
00:57:00 où l'expérience client sur le terrain,
00:57:03 on va apporter des victoires.
00:57:05 Allez voir le Toundra au centre de Pierre Charbonneau.
00:57:08 - Oui, la scène locale a jamais été aussi florissante
00:57:11 qu'elle l'est présente.
00:57:13 Ça, c'est tout à l'honneur du basket au Québec.
00:57:15 Ça nous amène justement à notre bout de la fin.
00:57:17 Et je voulais te demander, pour toi,
00:57:19 qui est dans le milieu depuis près de 30 ans,
00:57:21 à tous les niveaux, qui parle à des gens de partout,
00:57:24 qu'est-ce qui fait qu'en ce moment, ça va si bien
00:57:26 avec le basket au Québec, les talents qui sortent du Québec?
00:57:30 - Bien, je te dirais, Mathieu, il y avait toujours du talent ici,
00:57:33 des joueurs qui ont joué au cégep, qui ont joué dans la NCA,
00:57:36 les dépisteurs collégiales venaient voir.
00:57:39 Mais présentement, ces joueurs, ces anciens joueurs,
00:57:41 sont devenus des entraîneurs,
00:57:44 qui ont aidé les jeunes qui sont présentement ici.
00:57:47 Et là, c'est pas la NCA qu'on vise, on vise la NBA.
00:57:50 Et nos joueurs ont du succès dans la NBA.
00:57:53 C'est vraiment un sentiment de fierté pour moi,
00:57:56 pour nous ici, RDS, le basketball en croissance au Québec.
00:57:59 - Peter Saiter, merci beaucoup.
00:58:01 Ça a été un plaisir.
00:58:03 Ça a passé trop vite, cette heure.
00:58:05 Merci beaucoup. On se retrouve très bientôt.
00:58:08 Notre prochain rendez-vous NBA, 8 février, 19h30.
00:58:12 Un duel au max.
00:58:14 Luca Doncic chez les Mavericks, face à Oji Anunobi et les Knicks.
00:58:17 Alors, au nom de toute notre équipe de production,
00:58:20 merci d'avoir passé cette grande semaine de basket,
00:58:22 cette première grande semaine de basket dans notre compagnie.
00:58:24 Ça fut très agréable. On se revoit très bientôt.
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01:00:05 - L'amour, c'est la seule valeur universelle.
01:00:08 - En février, tomber en amour avec les meilleurs films.
01:00:12 - C'est vrai, il est très concret, hein?
01:00:15 - "Les Chambres rouges".
01:00:17 - Ces théâtres de l'horreur ont longtemps été un mythe.
01:00:19 - Tu peux pas être complice de ça, c'est dégueulasse,
01:00:21 la façon dont t'es très...
01:00:22 - Avec des documentaires captivants.
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01:00:26 - Ce monde garde les jeunes hors de la rue.
01:00:29 - Et des séries à succès.
01:00:30 - Je pense être le porte-parole de ma génération.
01:00:33 - Succombrez-vous à "Crave".
01:00:37 - Cette émission est disponible en vidéo description.
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