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Revue de Presse du 16 Fevrier 2024 avec Mouhamed Alimou Ba

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00:00 Bonjour à la une, bien sûr, l'arrêt du Conseil constitutionnel rendu hier soir et qui casse le décret de Macky Sall qui abrogait l'autre décret qu'il avait pris en novembre et qui convoquait le corps électoral pour la présidentielle du 25 février.
00:18 En effet, oui, pieds donnés des sages présidentiales, il vient d'annuler son décret portant le port de la présidentielle, invitant par la même occasion les autorités du pays à trouver une nouvelle date dans les meilleurs délais.
00:32 Walphadrie enquête suite quotidien, réunis quotidien, comme s'il s'était passé le mot, partage le même titre. Les sept sages cassent tout, le témoin va plus loin pour le confrère, le Conseil constitutionnel désavoue Macky Sall et l'Assemblée nationale.
00:45 Dilek Nuz parle de revanche du Conseil dont deux de ses membres ont été accusés, vous le savez, de corruption.
00:52 Selon l'observateur, le Conseil a été droit dans les ténèbres. En ne choisissant pas une nouvelle date, les juges du Conseil ont voulu laisser une brèche au dialogue qui s'ouvre.
01:02 Le quotidien fait la même remarque. Macky est là face à deux sages décisions. Selon le journal Karim Wad et le PDS ont été les grands perdants dans cette affaire.
01:12 Tout le monde à l'écoute du chef de l'État donc, il doit fixer une nouvelle date dans son éditorial du jour.
01:18 Suite quotidienne, note que la décision du Conseil constitutionnel est une jurisprudence qui entre de fait dans les annales.
01:25 Elle redonne le blason de la démocratie sénégalaise ternie par des appétits carnassiers de n'exécutif qui se permet tout.
01:33 Ce bilan jour, note pour sa part que le juge Jérémie Ndiaye a des accusés de corruption n'a pas siégé hier.
01:41 Le journal pointe aussi l'équation Rosevard-Denis retenue, vous le savez, dans la liste des 20 candidats.
01:46 Alors même qu'elle est sous le coup de la loi, pour pas de jure, elle n'aurait pas que la nationalité sénégalaise comme le stipule la loi.
01:57 Le journal a donné la parole au président du groupe parlementaire Benobo Kiakar Abdoumboou, qui a affirmé qu'on ne peut pas penser,
02:07 plutôt qu'on ne peut pas penser, on peut penser que c'est le bras de fer avec l'Assemblée nationale qui a motivé la décision du Conseil constitutionnel.
02:16 Le témoin lui, mettrait ce matin des lauriers au juge constitutionnel qui devienne de fait le dernier rempart.
02:24 Le juge a donc dicté sa loi suprême et c'est une bombe de désamorcer une démocratie sauvée aussi.
02:34 C'est un camouflet pour le président selon le politologue Jean-Charles Lebiagui.
02:39 Le conseil n'a fait qu'appliquer le droit soutien de son côté, Ndiogou Sarr.
02:44 Tous les droits, vous le savez, enseignent à l'université Cheikh Anta Diop de Dakar.
02:48 Le président Sall doit fixer une nouvelle date en tenant compte de la durée des 21 jours de campagne.
02:59 Makisal étant le seul à avoir la prérogative de convoquer, le corps électoral doit prendre en compte la remise du fichier électoral au candidat à 15 jours de l'élection.
03:09 Mais selon le conflit, malgré le report de l'administration, dont continuent d'acheminer le matériel électoral dans les régions et avaient déjà imprimé les bulletins de vote.
03:18 Les autorités pourraient envisager d'organiser le premier tour de la présidentielle le 3 ou le 10 mars prochain.
03:25 Le conflit, tout comme bien sûr le corps électoral, pourrait réduire de deux à trois semaines la campagne électorale.
03:32 La campagne du premier tour est de deux à une semaine, celle du second tour, le cas échéant bien sûr.
03:38 Le président Sall, le frère du chef de l'État, se félicite de la décision de cette salle.
03:45 Un commentaire de sucre et salé du quotidien de le conseil.
03:52 Le président Sall se demande le journal va-t-il quitter la scène présidentielle le 2 avril prochain, plutôt après la décision des sages, en convoquant à nouveau le corps électoral avant la fin de son mandat en cours.
04:06 En tout cas, tout le pays est à l'écoute du chef de l'État qui a annoncé une dialogue politique inclusif avec la libération des détenus pour déclisper le climat politique.
04:16 Les prochaines heures seront décisives, tout le monde est à l'écoute du président de la République.
04:22 Justement, les détenus du politique, ils ont commencé à sortir de prison depuis hier dans le cadre de la décrispation politique entamée par le président.
04:30 Une première vague de libération hier parmi ceux qui ont été élargis, écrit Vox Populi, Cheikh Omar Gagne, Karim Khouroum Rah, Papa Abdelaye Touré, Alus Sane, Ustaz Hassan Seck, Nidof, Fadilou Keïta, etc.
04:45 Selon Attepa Agoudiabi qui mène la médiation, Ousmane Sonko, l'option de la libération du leader de PASSEF, Ousmane Sonko, est sur la table.
04:54 Selon toujours Attepa Agoudiabi, personne n'est d'accord pour la date du 15 décembre, date retenue, vous le savez, par Makissa, la cassée par le conseil, mais pourrait être raisonnable.
05:05 Seidi Gassama, président d'Amnesty International Sénégal, d'accord pour la libération des détenus, mais contre une amnistie.
05:13 Le président, plutôt, le premier ministre, rappelle la nécessité de Sunu Ramadouba.
05:18 En tout cas, l'acton du protocole du cap manuel a été posé entre Macky et Ousmane Sonko, remarque Tribune.
05:25 Un vent de liberté désormais souffle sur le Sénégal. Note libération, Libé qui note que certains parmi les détenus étaient sous le coup de deux mandats de dépôt depuis plusieurs mois.
05:35 Une deuxième vague de libération est attendue aujourd'hui, donc vendredi.
05:39 Dans Soussa, cette réaction d'Abdoulaesso, responsable à pair de Kermassar, il fait feu sur les déchets et autres ministres.
05:46 Il ne supporte pas le silence assourdissant des ténors de Benobo Kiakar depuis le début de la crise politique au Sénégal.
05:54 Le Sénégal qui gagne quelques places, 17ème rang mondial, historique écrit, estade de quotidien, 17ème mondial, mais deuxième en Afrique dernière.
06:04 Le Maroc, premier, estade quotidienne toujours, c'est toute première, donc euh, qu'en 2023, l'équipe type sans le Sénégal, sans un seul jour, donc Sénégalais, une première là aussi depuis 2017, nous le regretterons vivement, bien sûr.

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