TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
TPMP sur les réseaux sociaux :
Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV
Twitter : https://twitter.com/TPMP
Instagram : https://instagram.com/tpmptv/
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
TPMP sur les réseaux sociaux :
Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV
Twitter : https://twitter.com/TPMP
Instagram : https://instagram.com/tpmptv/
Category
📺
TVTranscription
00:00 Et si je vous dis Max Le Suisse, est-ce que vous connaissez Max Le Suisse ?
00:03 Max Le Suisse, c'est une histoire incroyable.
00:05 C'est un auto-stoppeur de plus de 80 ans qui escroque tout le monde et qui sévit sur les routes de France.
00:09 Il emprunte de l'oseille à plein de personnes sans jamais leur donner de nouvelles ensuite.
00:12 L'histoire est complètement folle.
00:14 Et une de ses victimes a accepté de témoigner ce soir dans TPMP.
00:17 Et cette personne, c'est vraiment la maman de Gilles Verdez.
00:22 - Ouais.
00:23 - C'est pas pour de vrai.
00:24 - Elle a vrai.
00:24 - C'est pas une vanne.
00:25 - Non, non.
00:25 - C'est pas une vanne.
00:26 - C'est pas le bébé de Guillaume.
00:27 - Quoi ?
00:28 - C'est pas comme le bébé de Guillaume.
00:29 C'est la vraie maman de Gilles Verdez.
00:31 - C'est la vraie maman de Gilles Verdez.
00:32 Donc, je vais vous demander de... Voilà.
00:33 - Le respect.
00:34 - Molo Lastico, c'est la maman de Gilles.
00:35 Voilà, on est très content de la recevoir.
00:37 En plus, Gilles est mon préféré chroniqueur aujourd'hui.
00:40 Non, mais c'est vrai.
00:41 Regardez d'abord la vidéo d'M6 sur l'os de stoppeur.
00:45 Regardez.
00:46 - Quand maman aussi...
00:48 - Elle est belle.
00:50 - Gilles, je comprends pourquoi tu es aussi beau.
00:53 - Mais, mais, laissez-moi.
00:54 - Ah non, mais vous êtes magnifique.
00:55 Sans rigoler.
00:56 - 87 ans.
00:57 - 87 ans.
00:58 - Bravo !
00:59 - 87.
01:00 - Bravo !
01:01 - Elle a une classe.
01:07 - Incroyable.
01:08 - Mais pourquoi tu n'as pas pris la classe ?
01:10 - Non, non, mais franchement.
01:12 - C'est pas gentil.
01:13 - Non, mais je...
01:14 Non, non, mais elle est incroyable.
01:16 - Ah oui ?
01:17 - Mais vous avez le même âge, en fait.
01:19 - Non, mais sérieux.
01:20 - Même caractère.
01:21 - Non, non, mais c'est incroyable.
01:23 Vraiment, je suis...
01:24 Je suis saisi.
01:25 - Vous faites quand même 40 ans de moins que Daniel.
01:28 C'est fou.
01:29 C'est incroyable.
01:30 Merci en tout cas d'être avec nous.
01:32 Ça va, ça se passe bien ?
01:33 Vous regardez Gilles à la télé quand même un peu ?
01:35 - Comment ?
01:36 - Vous le regardez un peu à la télé ?
01:37 - Parfois.
01:38 - Parfois.
01:39 - Avec distance.
01:40 - Avec distance.
01:41 Eh bien, comme moi.
01:42 Comme moi, comme moi, comme moi.
01:43 Ça va, ça va.
01:44 Ça fait longtemps que tu ne l'as pas vue ?
01:46 - Je la vois assez souvent.
01:48 Je lui téléphone tous les jours.
01:49 Je suis fils unique, donc je m'occupe d'elle aussi.
01:52 Mais elle n'est pas toujours fan de mes interventions.
01:56 - Elle est comme moi.
01:57 - Eh bien, exactement.
01:58 Normal.
01:59 - En fait, elle est un peu comme moi, ta maman.
02:01 - Non, elle n'est pas fan de vous sur les interventions.
02:03 - Ah, très bien.
02:04 D'accord.
02:05 D'accord.
02:06 Ah, c'est ça.
02:07 Moi, je suis fan de Gilles,
02:08 mais je ne suis pas fan de ses interventions.
02:09 Vous, vous êtes fan de ses interventions ?
02:11 - Il n'a pas été élevé exactement dans ce sens-là.
02:15 - On n'a pas rentré là-dedans.
02:17 On ne va pas faire d'histoire de famille.
02:19 - Vous pouvez.
02:20 - Je ne vais pas faire d'histoire de famille ce soir.
02:21 - Vous pouvez.
02:22 On s'engueule souvent.
02:23 - Ah, c'est vrai ?
02:24 - Oui, oui, oui.
02:25 Elle n'est pas du tout d'accord avec ce que je dis.
02:26 - Moi, je suis du côté de votre mère.
02:27 - Oui, oui.
02:28 - Yolande, merci d'être là, en tout cas.
02:30 - Avec plaisir.
02:31 - Alors, il est comme ça, votre fils, en vrai ?
02:34 Votre fils, il est toujours comme ça ?
02:36 - Vous posez une question délicate, là.
02:37 C'est un très bon fils.
02:38 - Ah, mais c'est sûr.
02:39 Mais c'est comme moi.
02:40 - Il est adorable.
02:41 - C'est un très bon ami.
02:42 Et c'est quelqu'un sur qui on peut compter.
02:43 - Ça ne se sent pas toujours, mais...
02:45 - Ah, si, si.
02:46 Ça sent.
02:47 Ça sent.
02:48 T'inquiète pas.
02:49 T'inquiète pas.
02:50 Alors, on va revenir sur votre affaire,
02:53 parce que votre affaire est folle.
02:55 Ce qui est fou, c'est que vous avez été victime
02:57 de ce monsieur, Max, le Suisse.
03:00 C'est en quelle année ?
03:02 - Pas de souvenir précis, mais 1989 ou 10.
03:06 - Oui, d'accord.
03:07 Je crois que c'est une histoire qui vous a beaucoup marquée.
03:10 Vous conduisiez votre voiture tranquillement.
03:12 Il y a du brouillard.
03:13 Et là, vous voyez un homme au bord de la route.
03:15 - Sur le bord de la route, dans un endroit...
03:19 Route nationale sans maison, pleine de chacoté,
03:23 un monsieur marche dans le brouillard.
03:26 Je le double.
03:28 Je passe quelques temps après.
03:30 Je me dis que c'est pas très sympathique.
03:32 Donc je m'arrête.
03:33 J'attends qu'il revienne.
03:35 Il était très élégant, très classe.
03:38 Je me dis que je ne vais pas le laisser sur la route comme ça.
03:41 Il avait au moins 10 km à pied pour la prochaine ville.
03:45 Donc je m'arrête et je baisse ma vitre.
03:48 Un monsieur, monsieur très élégant,
03:51 je lui demande ce qu'il faisait là.
03:53 Il me dit une histoire folle.
03:56 Tout était fou.
03:57 Je vais voir ma sœur qui vient d'accoucher.
04:00 Je me suis fait voler tout.
04:03 Je n'ai plus rien, effectivement.
04:04 Il était avec son par-dessus et rien.
04:07 Évidemment, ça saisit.
04:10 On ne laisse pas quelqu'un comme ça sur le bord de la route.
04:13 Donc je lui dis, "Montez.
04:16 "Je peux vous faire une quinzaine de kilomètres.
04:18 "Je vais vous avancer."
04:20 Et là, il me raconte qu'en effet, il s'est fait voler.
04:24 Il n'a plus rien.
04:25 Il veut absolument aller voir sa sœur
04:28 avec un discours très élaboré, très cultivé, très classe.
04:33 Vraiment aucune agressivité, aucune demande, rien du tout.
04:37 On avance.
04:38 Il me raconte que sa mère est propriétaire
04:40 d'un laboratoire d'analyse médicale dans le sud de la France.
04:44 Et on avance et on avance.
04:46 Il ne m'a rien demandé.
04:48 Il ne m'a dit que des choses aimables, jamais trop.
04:51 Jamais au-delà de ce qui est convenable.
04:54 Un monsieur, comme on aimerait en voir souvent, si je dis bien.
04:59 Le vrai escroc dans toute sa splendeur.
05:03 Rien de trop, tout bien cadré.
05:06 - C'est souvent comme ça.
05:08 - C'est la définition de l'escroc.
05:10 - Regardez Jean-Michel Maire à côté de vous.
05:12 - Il n'a pas l'air d'un escroc non plus.
05:14 - C'est le même.
05:15 Et donc là, vous faites les 15 km avec lui.
05:18 - Je lui dis que je peux vous avancer,
05:20 mais après, je pars, je vous laisse sur la Nationale.
05:23 Et il me dit que ma mère vous sera très reconnaissante.
05:26 Je vais vous envoyer un mandat télégraphique.
05:29 Donc je lui donne mon adresse.
05:31 Voilà, tout naturellement.
05:34 Je le laisse.
05:36 Je quitte la Nationale.
05:38 J'arrive chez mon frère.
05:40 Je lui raconte.
05:41 Il me dit que je lui ai donné 200 francs à l'époque.
05:45 C'était beaucoup.
05:47 C'est tout ce que j'avais.
05:49 - Tu aurais donné plus si tu avais eu plus.
05:51 - J'aurais donné tout ce que j'avais.
05:54 Je suis allée chez mon frère.
05:56 Il me dit que je l'avais fait voler.
05:58 J'étais furieuse.
06:00 Je rentre le soir chez moi.
06:02 Mon mari me dit que je l'avais fait voler.
06:04 Qu'est-ce qu'ils ont tous ?
06:06 Pourquoi ?
06:08 Parce que je racontais qu'il était bien, classieux, élégant.
06:11 Ils sont tous jaloux.
06:13 - Il était petit à l'époque ?
06:15 - J'étais petit.
06:16 - Je vous avais dit que je l'avais fait voler.
06:18 - Il disait qu'il se prénommait Claude.
06:21 C'était le prénom de mon père.
06:23 - C'est vrai qu'il a plein de prénoms.
06:25 - Il avait l'allure et la classe de mon mari.
06:28 - Tu t'es bien fait avoir.
06:30 - J'étais furieuse contre moi.
06:32 J'attendais tous les jours mon mandat de télégraphie.
06:35 Petit à petit, j'ai bien eu l'idée que ça ne viendrait jamais.
06:40 - Vous lui avez prêté 2 sons.
06:42 - J'étais tellement furieuse
06:44 que j'ai tous les détails gravés dans ma mémoire.
06:47 - Ça vous a vraiment marqué, cette histoire ?
06:49 - Oui.
06:50 - On part en le corps de lui plus de 30 ans après.
06:52 - Il a été arrêté une première fois en 2009.
06:55 Il a été arrêté parce qu'il y a eu plein de victimes.
06:58 Il sévit dans le sud-ouest de la France.
07:00 Il est très malin. Il change de région.
07:02 Quand il a été jugé une fois en 2009,
07:04 relaxé parce que, comme disait ma mère,
07:06 il n'a jamais demandé à quiconque le moindre argent.
07:09 C'est ça, le secret absolu.
07:11 Son avocat a dit que ce sont des dons volontaires.
07:14 C'est totalement vrai.
07:16 Il échappe à toute sanction judiciaire.
07:18 Il aurait plusieurs dizaines ou centaines de victimes.
07:21 Il a passé sa vie à ça.
07:23 Il s'appelle Mateao. Il vient de Suisse.
07:25 - Il change de prénom à chaque fois.
07:27 - Il a passé sa vie à arnaquer des gens.
07:29 - Il a failli se faire avoir tout de même
07:31 parce que quelques temps après mon affaire,
07:33 j'ai vu, nous habitions en Lessonne à l'époque,
07:35 dans un journal de Lessonne,
07:37 j'ai vu quelqu'un sur la route,
07:39 qui s'est fait arrêter.
07:41 Il avait pris dans sa voiture la femme d'un policier.
07:44 Il l'avait emmené devant le commissariat de police.
07:47 Là, bon, on n'a pas les détails.
07:49 Mais en réalité, il n'y a rien.
07:51 - La justice est embêtée.
07:53 - Oui, c'est ça.
07:55 Il raconte juste un mytho.
07:57 Les gens lui donnent de l'argent.
07:59 - Un mytho.
08:01 Très souvent, dans ces mythos,
08:03 il y a une affaire de santé.
08:05 C'est un laboratoire.
08:07 Parfois, il dit que son femme est très malade.
08:09 Parfois, il dit qu'il est médecin.
08:11 Il doit avoir un lien avec la santé.
08:13 Il raconte des histoires.
08:15 - Il a raconté qu'il s'appelait Isaac Roven.
08:17 Il avait eu une situation à l'hôpital à cause du Covid.
08:19 Il s'était fait voler ses affaires.
08:21 Il devait rentrer chez lui à Strasbourg.
08:23 Mais c'est Daniel.
08:25 Vous avez dit qu'elle ne passerait pas l'été.
08:27 (Rires)
08:29 Ah ben, j'ai le pic pour ça.
08:31 Non, c'est bien que ce soit arrivé pendant l'émission.
08:33 On va intervenir assez vite.
08:35 Merci.
08:37 Daniel.
08:39 - Non, non, je ne veux rien.
08:41 (Rires)
08:43 - On te regarde.
08:45 - Tu vas nous regarder de là-haut, ma chérie.
08:47 Il a dit qu'il était juif, que sa femme souffrait d'un cancer
08:49 et que sa fille était en Israël.
08:51 Il m'a montré des photos.
08:53 On a discuté un bon moment.
08:55 Je n'ai pas remis en cause son histoire.
08:57 Un jour, il s'appelle Marcus.
08:59 Il a plein d'histoires.
09:01 Ça fait 20 ans que ça dure.
09:03 - Plus.
09:05 Au moins 35 ans.
09:07 - Il ne vit que 200.
09:09 - Il ne vit que 200.
09:11 - Ce n'est pas illégal.
09:13 - Je ne sais pas.
09:15 - C'est bien parce que ma mère est extrêmement suspicieuse.
09:17 Elle est vigilante sur tout.
09:19 Il a réussi à l'embobiner totalement.
09:21 - Je suis furieuse de m'être fait avoir par ce monsieur.
09:23 - Il m'en a parlé toute ma vie.
09:25 Cette escroc, elle ne s'en est jamais remise.
09:27 Pas pour le montant, mais pour l'idée de se faire niquer.
09:29 - Il a été furieux.
09:31 - Vous êtes très gentil.
09:33 Contrairement à moi, je ne m'arrête jamais quand il y a un autostop.
09:35 - Je ne m'arrête plus jamais.
09:37 - On voit la gentillesse de la famille.
09:39 C'est Gilles aussi.
09:41 - Je ne m'arrête pas.
09:43 - Je ne m'arrête pas.
09:45 - Je m'arrête.
09:47 Je me dis où il va.
09:49 Je me dis que ce n'est pas à côté.
09:51 Je referme la fenêtre.
09:53 - Ce n'est pas beaucoup mieux.
09:55 - J'adore faire ça.
09:57 Je m'arrête.
09:59 Je me dis où il va.
10:01 Je me dis que ce n'est pas à côté.
10:03 - Je m'arrête jamais.
10:05 - J'étais avec un copain.
10:07 C'était avec Frédéric Belle.
10:09 On était à une soirée.
10:11 Frédéric Belle me dit que je peux me ramener.
10:13 Je lui dis que j'y peux me ramener.
10:15 Elle me dit où elle habite.
10:17 - Elle habite loin.
10:19 - Elle me dit où elle habite.
10:21 Je suis avec un pote.
10:23 Je me dis qu'il va me ramener.
10:25 C'est pareil.
10:27 Votre maman, on voit, c'est du Verdet.
10:29 C'est vrai.
10:31 Qui s'est déjà fait arnaquer ?
10:33 Gilles, tu as dû te faire arnaquer.
10:35 - Je me suis fait arnaquer sur le terrain.
10:37 - Tu as dû te faire arnaquer.
10:39 - Je me suis fait arnaquer sur des billets d'avion
10:41 que je n'avais payés.
10:43 Je fais plus rien à distance.
10:45 J'avais commandé des billets.
10:47 Je m'étais fait arnaquer.
10:49 C'était un faux site.
10:51 J'avais acheté des billets des Jeux olympiques
10:53 à Londres 2012 pour aller voir Usain Bolt.
10:55 J'ai payé les billets.
10:57 Je n'ai jamais eu les billets.
10:59 Je me suis fait rembourser 75 %.
11:01 - Est-ce que vous avez des questions
11:03 à poser à la maman de Gilles
11:05 autour de la table ?
11:07 Ou sur l'arnaque ?
11:09 Allez-y.
11:11 - Sur l'arnaque, il a été jugé une seule fois ?
11:13 - Oui, en 2009.
11:15 Je crois qu'il est relaxé.
11:17 - Il est insaisissable.
11:19 - C'est impossible.
11:21 - Elle a ressuscité !
11:23 (Rires)
11:25 (Applaudissements)
11:27 - C'est fou.
11:29 - C'est incroyable.
11:31 - La lumière.
11:33 - J'ai tout fou.
11:35 - Vous avez des questions à poser à Yolande ?
11:37 - J'aimerais savoir comment il est
11:39 s'il vient un après-midi avec vous
11:41 boire le café, boire le thé.
11:43 C'est quoi les sujets de conversation ?
11:45 - Les sujets de conversation sont nombreux.
11:47 Innombrables.
11:49 Souvent pas d'accord.
11:51 - Tu m'engueules beaucoup.
11:53 - C'est un excellent fils.
11:55 - Je me fais engueuler beaucoup
11:57 sur les prises d'opposition politique.
11:59 Ma mère est en total désaccord avec moi.
12:01 - C'est vrai.
12:03 - Je ne suis pas le fils de votre mère.
12:05 (Rires)
12:07 - C'est ça.
12:09 Oui, c'est tout.
12:11 - Est-ce que vous êtes fière de lui ?
12:13 - Je suis très fière de lui, depuis toujours.
12:15 - Moi aussi.
12:17 - Comment vivez-vous sa notoriété ?
12:19 Il est journaliste depuis très longtemps.
12:21 Il est très médiatisé depuis 12-13 ans.
12:23 Comment le vivez-vous ?
12:25 - Il a été très médiatisé avant
12:27 quand il s'occupait de l'équipe de France
12:29 et de l'équipe de Lyon.
12:31 Il a été très médiatisé.
12:33 Maintenant, il l'est plus.
12:35 Je suis contente de le vivre.
12:37 - Il travaillait bien à l'école ?
12:39 - C'était un excellent élève.
12:41 Il faisait une fois qu'il avait eu 18 ans
12:43 à son épreuve de philo.
12:45 - Il avait une vanne.
12:47 - Non.
12:49 - Il travaillait très bien.
12:51 - Il travaillait tous les soirs.
12:53 - Sauf dans les matières
12:55 où il choisissait de mal travailler.
12:57 - Il ne voulait pas être une élite.
12:59 - Oui.
13:01 - C'est réussi.
13:03 - Il a réussi.
13:05 - Je ne travaillais que les maths.
13:07 - C'est fou.
13:09 - On l'est.
13:11 - Vous êtes complémentaire.
13:13 - Oui.
13:15 - Est-ce que vous avez peur
13:17 pour votre fils ?
13:19 - Oui.
13:21 - Vous lui dites "molo".
13:23 - Oui.
13:25 - Je l'ai tenté aussi.
13:27 - Vous lui dites...
13:29 - Je lui dis tout.
13:31 - Ça ne rigole pas.
13:33 - Non, je ne rigole pas du tout.
13:35 - A quel moment il a basculé ?
13:37 A-t-il toujours eu ces idées ?
13:39 Ou vous avez senti
13:41 qu'il a commencé à briller ?
13:43 - Je vous retrouve bien.
13:45 Je le connais.
13:47 Il y a eu un cheminement.
13:49 - D'accord.
13:51 - Un basculement et un cheminement.
13:53 - Plus de...
13:55 - Il a extorqué à Cyril
13:57 une bague de fiançailles.
13:59 Croyez-vous toujours au mariage ?
14:01 - C'est son affaire privée.
14:03 Je ne m'en suis jamais occupée.
14:05 Je n'en dirai jamais un mot.
14:07 - Vous avez beaucoup de petites copines ?
14:09 - Oui.
14:11 - C'est un séducteur ?
14:13 - Beaucoup, énormément.
14:15 - Ah là là !
14:17 - C'est terrible.
14:19 - Vous avez l'air étonné.
14:21 - Quand il nous dit aux Etats-Unis
14:23 que c'était Brad Pitt Bisse,
14:25 c'est vrai ?
14:27 - Peut-être, pas jusque-là.
14:29 - C'était Brave Pitt.
14:31 En tout cas,
14:33 je voulais vous dire,
14:35 Gilles, franchement,
14:37 on l'adore ici.
14:39 C'est un garçon exceptionnel.
14:41 On comprend maintenant
14:43 pourquoi il est aussi exceptionnel
14:45 en vous rencontrant ce soir.
14:47 Les chiens ne font pas des chats.
14:49 - Gilles Bardot.
14:51 - Il est incroyable.
14:53 On l'aime tous ici.
14:55 C'est le préféré.
14:57 - Dans les couloirs,
14:59 j'ai rencontré plein de gens.
15:01 Tout le monde me dit qu'il est gentil.
15:03 - Il est exceptionnel.
15:05 Gilles, c'est une crème.
15:07 Si j'ai un énorme problème,
15:09 le premier que j'appellerai,
15:11 ce sera Gilles.
15:13 - Il sera là pour vous.
15:15 - Je sais.
15:17 - C'est un grand cadeau.
15:19 En tout cas, merci.
15:21 Ce Max Suisse continue.
15:23 - Il a été identifié.
15:25 Je suis sûr qu'il va continuer.
15:27 Il va quitter le sud-ouest.
15:29 Il est trop fort.
15:31 Il reste devant une gare
15:33 avec sa petite valise.
15:35 Les gens lui disent au bout de 10 heures
15:37 "Vous faites quoi là?"
15:39 - Il risque urner.
15:41 - Jamais.
15:43 - Il a un bon avocat.
15:45 - Il n'est pas déçu.
15:47 - Il est beau.
15:49 - Il a l'air beau.
15:51 - Tu l'avais trouvé beau.
15:53 - Il était déçu par son physique,
15:55 par son allure
15:57 et par le fait de ne jamais
15:59 rien demander.
16:01 - J'espère qu'il ne va pas tomber
16:03 sur Daniel Mond.
16:05 - Je lui donne tout ce qu'il veut.
16:07 - Il ne va pas repartir avec
16:09 beaucoup d'argent mais avec sa culotte.
16:11 Merci d'avoir été avec nous.
16:13 - Merci.
16:15 - Chérie.
16:17 ...
16:19 Vous pouvez rester avec nous.
16:21 - Je veux dire un mot
16:23 à la personne que je préfère
16:25 sur votre plateau.
16:27 - C'est qui?
16:29 - La dame là.
16:31 - C'est vrai que tout le monde
16:33 l'appelle la dame mais personne
16:35 ne le connaissait.
16:37 - Je lis votre livre actuellement.
16:39 Le sujet me passionne.
16:41 - J'ai l'impression que vous
16:43 êtes un peu plus...
16:45 - J'ai l'impression que vous êtes
16:47 un peu plus...
16:49 - J'ai l'impression que vous êtes
16:51 un peu plus...
16:53 - J'ai l'impression que vous êtes
16:55 un peu plus...
16:57 - J'ai l'impression que vous êtes
16:59 un peu plus...
17:01 - J'ai l'impression que vous êtes
17:03 un peu plus...
17:05 - J'ai l'impression que vous êtes
17:07 un peu plus...
17:09 - Vous ne connaissez pas.
17:11 - Celui que vous aimez le moins,
17:13 c'est qui?
17:15 - Je ne peux pas dire ça.
17:17 - Elle n'est pas comme Céline.
17:19 - C'est Gilles.
17:21 - C'est Gilles.
17:23 - C'est Gilles.
17:25 - C'est Gilles.
17:27 - Comme chroniqueur, c'est moi
17:29 que tu aimes le moins.
17:31 - Elle n'aime pas du tout.
17:33 - Vous savez que c'est mon préféré.
17:35 - J'ai lu ce que vous aviez dit.
17:37 - Oui, mais oui.
17:39 - Vous n'avez pas votre préféré.
17:41 - Tout dépend du sujet.
17:43 - Tout dépend du sujet.
17:45 - Tout dépend du sujet.
17:47 - C'est lui que je préfère.
17:49 - Moi aussi.
17:51 - En général, c'est lui qu'on préfère.
17:53 - Pour tout le travail qu'il accomplit.
17:55 - C'est celui qui travaille le plus.
17:57 - Si j'avais été Jean-Michel Meyer,
17:59 je fermerais ma boutique.
18:01 - Il dit n'importe quoi.
18:03 - Il travaille pas beaucoup,
18:05 mais il est sympa.
18:07 - C'est ça.
18:09 - C'est vraiment le glandeur à l'école.
18:11 - Il est sympa, mais on sait
18:13 qu'il a que des 2 et des 3.
18:15 - Daniel, ça vous fait plaisir
18:17 de la rencontrer ?
18:19 - Je l'ai vue entrer ce matin
18:21 à la porte au Portillon.
18:23 - Ça me fait toujours plaisir de la voir.
18:25 - On se dit que ce sera peut-être
18:27 la dernière fois.
18:29 - C'est fou.
18:31 - On est toujours pas contents
18:33 de se voir.
18:35 - C'est drôle.
18:37 - Qu'est-ce qui se passe ?
18:39 - Vous êtes enceinte ?
18:41 - Vous êtes vraiment des chiens.
18:43 - On est premier degré.
18:45 - Géraldine, on l'adore.
18:47 - Elle est belle aussi.
18:49 - Elle est souvent en guerre
18:51 avec Gilles.
18:53 - Vous l'avez bien choisie.
18:55 - Vous êtes plus pour les idées
18:57 de Géraldine.
18:59 - On s'entend très bien avec Gilles.
19:01 - Vous avez des histoires ?
19:03 - Elle connaît depuis les émissions
19:05 de foot que je faisais avec lui.
19:07 - Oui.
19:09 - On se connaît depuis 10 ans.
19:11 - 10 ou 15 ans au moins.
19:13 - Vous savez qu'il a eu un enfant ?
19:15 - Oui, je lis les gazettes.
19:17 - Ah oui.
19:19 (rires)
19:21 (applaudissements)
19:23 (...)
19:25 - Vous aviez présenté
19:27 un petit bébé.
19:29 - Oui, oui, oui.
19:31 - Bizarre.
19:33 (rires)
19:35 - Il est très mignon.
19:37 - Je ne le regarde pas.
19:39 - Cet enfant est magnifique.
19:41 - Au suicide à chien.
19:43 - Merci d'avoir été avec nous.
19:45 d'avoir été avec nous Yolande.
19:46 [Musique]