Comment cultiver la joie - À Votre Écoute

Sud Radio

il y a 7 mois

Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##A_VOTRE_ECOUTE-2024-02-28##

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00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente

00:07 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane

00:13 Bonjour à tous, ravi de vous retrouver jusqu'à 17h et d'être au rendez-vous dans votre émission "À votre écoute".

00:28 Comme tous les jours, je réponds à toutes vos interrogations au 0826 300 300.

00:34 Et d'ailleurs, je vais vous poser cette question du jour, comment faites-vous pour cultiver la joie ?

00:40 Eh bien oui, c'est notre sujet du jour, vous avez des conseils à nous faire partager, venez en parler à l'antenne,

00:46 mais aussi pour poser toutes vos questions concernant votre devenir, je rappelle le numéro 0826 300 300.

00:54 Vous pouvez nous suivre en direct depuis notre site internet sudradio.fr et nous sommes aussi en direct live sur Youtube

01:01 à la réalisation de l'émission "C'est Marie" au standard Aude et Jordane.

01:07 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane.

01:12 Eh oui, la joie de vivre en psychologie, elle se définit comme un sentiment de bien-être, une émotion,

01:18 mais aussi le sentiment de satisfaction face à son existence et en se sentant bien dans sa peau.

01:25 En philosophie, la joie est perçue comme l'acceptation de soi et du monde tel qu'il se présente à nous,

01:31 sans un sentiment de refus, de mécontentement ou de culpabilité,

01:36 et à ne pas aussi identifier la joie au bien matériel ou à un degré d'accomplissement.

01:42 Et si c'était seulement un sentiment intérieur et de partage avec soi tout en le diffusant aux autres comme une énergie,

01:50 un état émotionnel tout simplement de bien-être, puisque la joie est si profonde qu'elle touche l'esprit, le corps et le cœur

01:59 et qu'elle peut aussi nous faire danser, chanter et rire.

02:03 Alors faisons-le ensemble et notamment avec ma première auditrice que j'accueille. Bonjour Delphine.

02:11 Bonjour Alexandre.

02:13 Bienvenue sur Sud Radio.

02:15 Merci.

02:16 Alors Delphine, est-ce que je peux vous inviter à danser, à rire, pour créer tout simplement la joie

02:21 et pour bien démarrer cette émission dans la bonne humeur ?

02:24 Oui, avec grand plaisir, avec grand plaisir.

02:26 Bon, il faut que j'ai le bras long pour arriver jusqu'à vous parce que vous êtes à Toulouse, vous avez 49 ans

02:32 et vous êtes accompagnante, coach de vie, c'est bien ça ?

02:36 C'est bien ça.

02:37 Delphine, est-ce que vous, vous cultivez la joie au quotidien ?

02:41 Oui, je la cultive au quotidien et je permets aux personnes que j'accompagne de la cultiver également au quotidien.

02:47 Et comment vous faites, vous, pour le faire ?

02:50 Alors justement, c'est la connexion à la nature principalement, à ma respiration, à la nature et à l'émerveillement en fait.

02:59 Voilà, c'est vraiment ça, c'est me reconnecter à la possibilité de m'émerveiller de ce que m'offre la nature.

03:05 Exactement, je rappelle que la joie est une émotion et un sentiment qui permet de vivre son moment présent

03:12 et la joie est un peu au même titre que la tristesse ou les autres émotions

03:19 et donc c'est important de se connecter et de la développer, de la créer au quotidien.

03:24 Et donc, vous avez raison, il faut mettre en place soit des activités ou des petits rituels tous les jours

03:31 pour justement arriver à cultiver cette joie-là.

03:35 Vous savez qu'en 2012, 82% étaient heureux selon un sondage et en 2016, 77%.

03:44 Alors j'espère qu'aujourd'hui, on dépasse quand même les 70% même si la période n'est pas la même qu'en 2012 ou en 2016.

03:52 Et pour vous Delphine, si vous deviez donner un pourcentage, à combien vous sentez dans la joie aujourd'hui en termes de pourcentage ?

04:03 Alors je dirais dans la moyenne générale de mes journées, je dirais que je suis largement au-dessus des 90%.

04:10 Ah super, super !

04:12 Largement au-dessus, après forcément il y a des événements dans la vie qui nous font vivre en fait des petites vagues

04:20 mais malgré les vagues, j'ai appris à rester, à cultiver cette joie intérieure tout de même.

04:26 C'est important, d'autant plus avec le métier que vous faites et pour la transmission comme vous dites,

04:31 c'est important non pas seulement de transmettre aux autres mais de véhiculer cette énergie de joie

04:37 et bravo si vous êtes dans cet état d'esprit-là.

04:41 Alors, vous avez une relation plutôt difficile ?

04:45 Alors perturbée je dirais puisque c'est une belle relation qui s'est mis en place il y a un an.

04:52 Justement à une période de ma vie où j'ai atteint en fait cette joie et cette complitude intérieure

05:03 avec un homme qui lui n'a pas atteint cet état-là.

05:09 Et aujourd'hui il vit des grands tumultes ce qui génère un éloignement dans notre relation

05:15 et son comportement peut me faire penser à un comportement un petit peu manipulateur,

05:22 ce que je ne pense pas qu'il soit.

05:25 Mais aujourd'hui justement je ne veux pas non plus prendre le rôle du sauveur

05:31 et je voudrais justement voir votre regard Alexandre pour savoir si je dois quelque part,

05:41 quelle posture, quelle position avoir car moi-même étant là actuellement un peu dans les émotions,

05:48 je manque un peu de recul par rapport à d'habitude.

05:52 D'accord. Alors qu'est-ce que vous lui reprochez aujourd'hui ?

05:56 Déjà vous avez des sentiments envers cet homme.

05:59 Très forts.

06:00 Très forts, exactement.

06:01 Donc aujourd'hui vous souhaitez que cette relation puisse se sauver, puisse évoluer, avancer.

06:08 Et qu'est-ce que vous pouvez lui reprocher, tout au moins par rapport à ses traits de caractère,

06:14 ce qui vous fragilise le plus et ce qui vous déstabilise par rapport au quotidien ?

06:20 Pardon, c'est moi. Disons que ce qui va me déstabiliser, c'est ces moments de colère

06:28 qui vont se venir et qui vont être un moment donc rare mais très très fort, très très puissant.

06:34 D'accord. Qu'il n'arrive pas à contrôler lui-même ?

06:37 Qu'il n'arrive pas à contrôler et derrière il va porter une grande culpabilité sur ces instants de colère.

06:44 D'accord. Et est-ce qu'il essaye justement de travailler sur ses colères et de faire en sorte de s'améliorer dans le temps ?

06:52 En tout cas aujourd'hui, en mon contact, ça ne lui convient plus de pouvoir avoir ce comportement

06:59 qu'il a eu a priori dans les années précédentes dans notre relation, beaucoup plus fortement et plus régulièrement.

07:07 Alors j'imagine que votre question est de savoir comment va évoluer votre histoire

07:10 et s'il y a du potentiel, s'il y a une possibilité de belles réalisations ensemble, c'est ça ?

07:15 Voilà, c'est exactement ça.

07:17 Eh bien écoutez, pour moi Delphine, oui, je sens qu'il y a des possibilités,

07:20 je sens que cet homme a envie de faire des efforts, il a envie de s'améliorer,

07:24 il a conscience de ses erreurs, il n'est pas du tout dans le déni et bien au contraire,

07:29 il essaye d'enlever en lui tous ses petits démons.

07:32 Mais pourquoi il est dans cet état de colère ?

07:35 Eh bien de ce que je ressens et de ce que je peux percevoir vis-à-vis de cet homme,

07:38 c'est qu'il y a des frustrations chez lui, des frustrations qui ont été sur plusieurs aspects,

07:45 que ce soit d'un point de vue matériel, que ce soit d'un point de vue affectif familial,

07:50 que ce soit d'un point de vue aussi de sa propre réalisation personnelle et professionnelle.

07:55 Et donc c'est un mix de tout ça et je dirais tous ces éléments qui l'amènent à être parfois dans des états de,

08:04 je dirais d'agacement, de colère et ça se répercute sur votre quotidien.

08:09 Mais pour moi, il y a un projet d'habitation ou de rapprochement tous les deux

08:14 et qui va vous permettre justement d'être moins dans cette notion de contrôle

08:20 comme il essaye d'avoir ou d'être aujourd'hui vis-à-vis de vous

08:24 et permettre aussi de beaucoup plus équilibrer, de beaucoup plus stabiliser la relation

08:30 pour vous permettre d'avancer ensemble, main dans la main

08:34 et non pas d'avancer avec des différences qui vous amèneraient à vous éloigner plus tard.

08:39 Donc je sens quelque chose d'assez optimiste, d'assez positif, d'assez confiant

08:44 parce que même si vous éprouvez beaucoup de sentiments pour lui, lui aussi en éprouve.

08:49 Et vous verrez qu'à la suite d'un changement de lieu d'habitation, d'un projet autour de ça,

08:54 les choses vont se mettre en place et courant de cet été, on parle d'un véritable changement à cette période-là.

09:02 Vous êtes toujours là Delphine ?

09:05 Oui, je suis là.

09:06 Vous n'êtes pas convaincue ?

09:07 Si, si, mais justement par rapport au blocage de ce changement,

09:11 il cherche à déménager son entreprise près de chez moi pour pouvoir habiter ici

09:19 et ça bloque, en fait tout bloque.

09:21 Effectivement, c'est pour ça que je vous parlais du côté professionnel, matériel et tous ces aspects-là.

09:27 Vous verrez qu'à l'été ça va se débloquer et là il y a du potentiel,

09:31 il y a des possibilités pour que vous puissiez aller dans une belle réalisation Delphine.

09:35 Moi je vous invite à nous rappeler, on va dire fin juin, on va se donner rendez-vous,

09:39 vous allez rester à l'antenne et le standard va vous reprendre,

09:43 Jordan Austandard va vous reprendre et on se donne rendez-vous pour fin mai, début juin ?

09:49 Pour faire un point ?

09:50 Très bien, je vous remercie Alexandra.

09:52 Merci à vous Delphine, prenez soin de vous.

09:55 Très bien, je vous en aboue.

09:56 Merci.

09:57 Allez, on se retrouve dans quelques minutes avec Magali.

10:01 Magali s'est séparée depuis trois ans, elle était auparavant avec un homme,

10:06 il avait un caractère plutôt difficile avec beaucoup d'agressivité.

10:10 Alors va-t-elle à nouveau rencontrer un homme ?

10:13 La réponse est juste après le temps d'une pause.

10:16 Sud Radio, votre attention est notre plus belle récompense.

10:20 Vous êtes vraiment une radio exceptionnelle et merci à vous de donner la parole aux auditeurs

10:24 puisqu'on en a vraiment, vraiment, vraiment besoin.

10:27 Sud Radio, parlons vrai.

10:29 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

10:34 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission au programme

10:39 "Comment cultiver la joie"

10:41 Comment vous faites pour la cultiver ?

10:44 Eh bien, venez en parler ou poser tout simplement des questions concernant votre devenir.

10:49 Je suis à votre écoute au 0800 26 300 300.

10:53 Jordan, au standard, vous attend.

10:55 Vous pouvez aussi réagir sur le groupe à votre écoute sur Facebook.

10:58 Et c'est le moment du "Saviez-vous ?".

11:01 Le "Saviez-vous ?" selon une expérience sur la joie faite sur la mémoire de l'eau

11:06 par le docteur Masaru Emoto.

11:09 Le but de cette expérience est de déterminer la portée de nos paroles sur notre vie.

11:14 Alors, notre corps étant constitué à 70% d'eau,

11:18 eh bien, l'expérience a été très simple à faire.

11:21 Elle a consisté à porter une première source d'eau aux vibrations positives

11:27 avec des mots bienveillants et des mots de joie aussi.

11:30 Et une autre source d'eau, tout simplement dans un verre d'eau,

11:34 avec des vibrations négatives, avec des mots plutôt immondes,

11:38 des mots un peu durs.

11:40 Eh bien, il a été constaté, après quelques heures, voire quelques jours,

11:44 que la source portée à la positivité était dans un état de beauté et de brillance.

11:50 Alors que la puissance de la joie se serait manifestée dans cette source d'eau,

11:57 alors que la deuxième source d'eau était dans un état de termissement

12:02 avec des formes asymétriques.

12:04 De cette expérience, on retiendra que la joie est donc bel et bien un sentiment intérieur

12:10 et que ce sentiment intérieur, eh bien, il faut le travailler au quotidien

12:14 et c'est ce qui va pouvoir manifester cette joie.

12:17 La parole, à présent, est à Magali. Bonjour Magali.

12:21 Bonjour et merci de m'accueillir.

12:24 Merci à vous d'être fidèle à Sud Radio et d'être aussi aujourd'hui à l'antenne Magali.

12:31 Alors Magali, vous avez 65 ans, vous êtes de Nîmes dans le Gard et vous travaillez dans le secrétariat.

12:38 J'ai travaillé.

12:40 Vous avez travaillé, pardonnez-moi.

12:42 Et la joie pour vous, ça exprime quoi ? Est-ce que vous arrivez à cultiver cette joie au quotidien ?

12:50 Oui, parce que je randonne beaucoup et ça m'aide à éliminer tous les papilles qui sont dans la tête

12:58 et à réaliser beaucoup de choses, à méditer, à se ressourcer et à vivre un petit peu autrement.

13:04 D'accord.

13:05 Et puis je suis bénévole dans une grosse association et ça me permet d'entretenir la bienveillance auprès de personnes qui en ont besoin.

13:15 D'accord, un sentiment de satisfaction aussi, d'apporter aux autres, d'être là, d'être utile et puis de pouvoir aussi donner, c'est important.

13:24 Et est-ce que quand vous avez un rituel particulier, mis à part les activités extérieures,

13:30 mais est-ce que vous avez un rituel particulier pour justement entretenir cette joie ?

13:34 Ou peut-être à quelqu'un proche de vous qui ne semble pas être très en forme, lui donner un conseil ?

13:43 J'avoue que je suis croyante et la prière m'apporte beaucoup, donc on essaie sans convaincre les autres, au moins de faire réfléchir sur l'évolution de la vie.

13:57 Bien sûr. Je vais vous donner un petit exemple à faire. Par exemple, là on est dans une période de printemps, c'est important de faire de la semence.

14:05 C'est peut-être le moment de créer cette joie au travers d'une semence, quelle que soit la semence, et que ça se fasse dans un pot de fleurs ou dans un jardin.

14:14 N'hésitez pas à le faire et attendez que justement ça pousse et à chaque jour où ça pousse, créez cette joie en vous.

14:22 Et vous verrez que c'est un exercice qui est très thérapeutique et qui permet justement de cultiver et de prendre conscience de notre propre joie.

14:31 Ah oui, c'est intéressant.

14:32 Oui, et si vous le faites, vous penserez à moi aussi. J'espère vous créer de la joie.

14:37 Alors Magali, là on va parler d'un sujet un peu plus difficile, parce que vous avez été auparavant dans une histoire avec un homme durant 13 ans.

14:49 Oui.

14:50 Et cet homme a été difficile avec vous ?

14:53 Les 5 premières années, on croit que tout est parfait et puis au fur et à mesure, on découvre les gens, les gens qui se révèlent.

15:01 Et le résultat, c'est qu'on se retrouve dans une espèce de soumission et de tristesse, parce qu'on est déçu et que les choses ne s'arrangent pas.

15:14 Est-ce qu'il y avait un manque de motivation ? Est-ce que vous l'avez ramené un petit peu à sa vérité et donc ça a été difficile, ça s'est compliqué ?

15:26 Ou tout simplement, est-ce qu'il y avait un problème de compatibilité ? Parce que c'est ce qui peut arriver aussi entre deux caractères.

15:32 Oui, c'est ça. Compatibilité et puis de sa part, un manque de volonté de s'améliorer tout simplement.

15:40 Parce qu'on a chacun nos caractères, nos défauts, nos qualités et ce n'est pas facile de faire entendre raison à l'entourage.

15:48 Et comment vous avez fait pour vous défaire de cette histoire ?

15:52 J'ai parti.

15:53 Vous êtes partie ? Du jour au demain ?

15:55 Oui.

15:56 D'accord. Vous avez été chercher une boîte d'allumettes ?

16:01 Et puis voilà. Comment ?

16:02 Vous avez été chercher une boîte d'allumettes, c'est ça ?

16:05 J'avais oublié, cigarette, c'est vrai.

16:08 Et donc ça fait trois ans maintenant ?

16:13 Oui.

16:14 Et pas de rencontres particulières ? Pas de coups de cœur depuis ?

16:19 Non, pas de coups de cœur pas du tout. Je suis sur une suite de rencontres et ça n'aboutit à pas grand chose.

16:26 D'accord.

16:27 Parce qu'il y a eu un avant Covid, un après Covid et ça a fait changer beaucoup de mentalités.

16:32 C'est sûr, ça je vous l'accorde. Quelle est votre question ?

16:37 Savoir si ma situation personnelle va évoluer.

16:41 D'accord. Vous êtes prêt à entendre les bonnes, mauvaises réponses ?

16:45 Absolument.

16:46 Eh bien, oui, je vous sens avoir une nouvelle situation affective, se mettre en place.

16:53 Alors il est vrai qu'auparavant vous avez pu même avoir des échanges, je ne dis pas forcément des relations,

17:00 mais avec des hommes qui ne tenaient pas forcément promesse ou n'allaient pas jusqu'au bout des choses.

17:06 Donc ça pouvait démarrer et puis après, pouf, il partait dans la nature et ce n'était pas très, on va dire, fiable comme rencontre.

17:13 Et cette période-là est en train de s'effacer de vous, elle s'éloigne progressivement pour aller vers des choses beaucoup plus concrètes.

17:20 Et cette année, je vous sens, alors quand je parle de cette année, vous, par rapport à votre date d'anniversaire, c'est le mois d'avril, hein, votre anniversaire.

17:28 Oui.

17:29 C'est bien ça. Là, je ne l'ai pas deviné, j'ai eu l'information, ne vous inquiétez pas, je préviens les auditeurs quand même, parce qu'ils vont dire "Waouh".

17:35 Et donc, à partir de ce mois d'avril, vous rentrez dans cette période justement où les choses vont se stabiliser, vont se structurer, vont se construire à tout niveau.

17:47 Que ce soit sur le plan personnel, que ce soit sur le plan professionnel, matériel, associatif ou autre, ça va se structurer et vous allez lâcher avec les superflux.

18:01 Et d'un point de vue sentimental, vous avez une jolie rencontre, j'aurais tendance à dire que l'automne est pas mal.

18:07 L'automne est pas mal parce que je vois une arrière-saison, je vois une saison qui est en fin d'une saison plutôt chaude, donc pour moi c'est l'automne.

18:15 Et vous risquez de rencontrer quelqu'un qui a eu, alors n'ayez aucune crainte, et je ne veux pas vous effrayer, mais c'est quelqu'un qui a pu avoir eu une fragilité de santé.

18:25 Mais vous n'êtes pas là pour faire l'infirmière, vous n'êtes pas là pour faire la garde malade, mais vous serez là pour justement lui donner encore plus d'énergie et plus de ressources.

18:35 Et vous verrez que votre histoire sera extrêmement bien vécue et avec une très jolie réalisation dans l'avenir.

18:43 Donc restez confiantes, restez curieuses et donnez-vous la possibilité de rencontrer du monde, même si c'est par le biais de sites internet ou d'autres choses.

18:53 Faites-le et vous verrez qu'à un moment donné, vous n'y attendez pas, un moment qui arrivera et là ce sera pour vous une jolie histoire.

19:02 Alors au début vous allez peut-être être un peu méfiante, avoir un peu peur parce qu'il aura des fragilités,

19:08 mais progressivement vous allez voir que c'est quelqu'un qui montre beaucoup de courage, beaucoup de force et qui va vouloir faire en sorte de vous apporter et de vous donner beaucoup d'amour.

19:18 D'accord. C'est pas mal Magali, ce qui ressort pour vous. Alors n'hésitez pas à nous tenir au courant de votre évolution Magali.

19:28 D'accord, très bien, je n'y manquerai pas. En attendant, cultivez cette joie, profitez de vos activités, rencontrez et soyez heureuse.

19:37 Merci beaucoup. Merci à vous, prenez soin de vous. Au revoir.

19:41 Et à présent c'est à vous pour poser toutes vos questions, qu'elles soient d'ordre sentimental, professionnel ou bien sur d'autres sujets.

19:49 Un seul numéro, le 0826 300 300. Nous, on se retrouve dans un instant avec Laurence pour un retour de témoignage.

19:58 Et oui, on a souvent des retours de témoignages, ça fait plaisir. Elle nous avait appelé auparavant concernant une demande de mutation de son compagnon.

20:07 Cette mutation concernait la Nouvelle-Calédonie et pour elle, c'était difficile de pouvoir le suivre.

20:13 Alors que puis-je lui avoir dit ? Est-ce que cette mutation a bien eu lieu ? Eh bien, on en parle dans quelques minutes. Ne bougez pas.

20:21 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

20:28 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

20:33 Bonjour, de retour sur Sud Radio. Mais bonjour à ceux qui viennent nous rejoindre sur Sud Radio, bien entendu.

20:45 Alors, le sujet du jour c'est comment faites-vous pour cultiver la joie ? Est-ce que vous avez des conseils à nous donner ?

20:52 N'hésitez pas à venir en parler au 0826 300 300.

20:57 Vous pouvez nous suivre aussi en direct depuis notre site internet sudradio.fr et sur le live de YouTube.

21:04 Aussi, nous sommes en direct live, vous pouvez télécharger notre application.

21:09 Et si à présent vous voulez témoigner ou réagir dans l'émission de demain, le sujet sera sur la constellation familiale.

21:17 Venez en parler à l'antenne, Aude Austandard vous répond au 0826 300 300.

21:23 Et avant de retrouver Laurence, je reviens sur notre sujet du jour, celle de la joie de vivre.

21:29 Alors, vous savez que la joie de vivre est une puissance naturelle avec laquelle nous naissons.

21:34 Il arrive d'observer des nouveaux-nés sourire sans vraiment savoir pourquoi.

21:39 Et en réalité, il s'agit tout simplement de la manifestation de leur joie de vivre.

21:44 Mais dès lors que nous commençons à réfléchir, nous la perdons progressivement.

21:50 Et à force de nous soucier, nous perdons toute la puissance de la joie en nous.

21:55 Parce que la joie se nourrit de nos plus belles expériences et de nos réactions.

21:59 C'est pour ça qu'il est important de la cultiver au quotidien.

22:04 Et à présent, j'accueille Laurence. Bonjour Laurence.

22:07 Bonjour Alexandre. Merci beaucoup de me recevoir.

22:11 Oui, merci à vous. J'ai un peu anticipé parce que dès que j'ai repris l'antenne, je pensais vous avoir directement.

22:16 J'allais vous dire bonjour, mais il fallait patienter un petit peu.

22:20 Alors, bienvenue Laurence à l'antenne de Sud Radio.

22:23 Vous avez 55 ans et vous êtes enseignante dans l'Haute-et-Garonne.

22:28 C'est bien ça.

22:29 Et c'est pour un retour de témoignage.

22:31 Mais avant d'aller sur ce retour de témoignage, je vais vous demander, vous, est-ce que vous cultivez la joie au quotidien ?

22:38 J'essaye Alexandre, même si la vie n'est pas assez facile depuis 2012 pour moi.

22:44 J'essaie, j'essaie.

22:46 Oui, oui, oui, oui.

22:47 La marche, j'adore marcher avec mon chien.

22:51 Et puis, la chose qui me fait vraiment, vraiment beaucoup de joie quand ça ne va pas, je mets la radio, je mets la musique, je mets mes lignes et je danse.

22:59 Parfait.

23:00 Vous dansez toute seule ou vous dansez accompagnée ?

23:03 Je danse toute seule. Quand je suis toute seule, je danse toute seule.

23:05 Et si mon compagnon est là, c'est vrai que j'adore danser.

23:09 Donc, je l'entraîne à danser un peu.

23:11 Je peux me passer de télévision, mais de radio, de musique, je ne peux pas.

23:15 Donc, quand ça ne va pas, je mets de la musique forte et puis je danse.

23:19 Mais c'est important d'avoir ces moments à soi, un peu son grain de folie.

23:23 Oui, oui.

23:24 Et d'avoir des petits moments comme ça où on peut s'extérioriser, où on peut s'exprimer, que ce soit au travers de la danse, au travers du chant, au travers de plein de choses.

23:34 Et ça, il faut l'entretenir.

23:36 Alors, vraiment, Laurence, vous nous avez appelé il n'y a pas très longtemps.

23:42 C'était à quelle période ?

23:44 C'était en début d'année, ou fin d'année dernière, ou tout début de cette année.

23:49 D'accord.

23:50 Concernant votre compagnon qui a fait une demande de mutation, et aujourd'hui, où c'est que vous en êtes ?

24:01 La Nouvelle-Calédonie, pour lui, le premier route, il est vraiment muté là-bas.

24:07 Donc, tout est en route pour cette mutation.

24:09 Et donc, moi, j'avais mis aussi en route ma demande de mutation avec le ministère de l'Éducation nationale.

24:16 Et donc, le ministère m'a répondu que ce n'était pas possible, parce que je n'étais ni mariée, ni paxée, pas dans son... avec mon compagnon.

24:25 Donc, pour le suivre, ça ne sera pas un rapprochement de conjoint.

24:31 Donc, je me demandais si je pouvais faire moi-même ma demande, comme s'il n'existait pas.

24:37 Et ça, ça se fait au mois d'avril-mai, pour pouvoir rentrer en Nouvelle-Calédonie,

24:41 parce que l'Éducation nationale en Nouvelle-Calédonie, la rentrée, c'est en février.

24:45 D'accord.

24:46 Donc, pour février 2025.

24:48 D'accord.

24:49 Laurence, pardonnez-moi, quand vous nous avez appelé en fin d'année dernière, où en étiez-vous ?

24:57 Est-ce que la réponse de la mutation était déjà donnée ?

25:01 Qu'est-ce que j'ai pu vous dire à ce moment-là ?

25:04 Oui, oui, oui.

25:06 Je vous ai dit que pour le 1er août, c'était ça.

25:09 De toute façon, il avait dit OK, donc pour lui, il partait, sans moi, même.

25:14 Mais vous m'aviez dit que je partinais avec lui, et qu'il ne serait certainement pas divorcé,

25:21 parce que je vous l'avais dit, je ne pars pas avec encore une fois un homme marié,

25:24 il a quand même arrêté de divorce.

25:26 Donc, ça fait plus de 4 ans qu'il est séparé, ça fait plus de 3 ans qu'on se connaît.

25:32 Et là, d'après ce qu'il nous dit, l'avocat aurait dit que le divorce aurait lieu en juin.

25:40 Et au mois d'août, je pars avec lui, mais simplement pour le mois de vacances, pas pour la mutation.

25:46 Donc, est-ce que c'est ça que vous avez voulu dire, que je pars avec lui ?

25:50 Ou est-ce que vraiment je vais avoir un avis favorable de l'éducation nationale,

25:56 mais ça, ce n'est pas avant novembre ?

25:58 D'accord. Alors, lui, son divorce a été prononcé ?

26:02 Non, d'après ce que l'avocat dit, il sera prononcé en juin.

26:06 C'est en juin, son divorce.

26:08 Et vous, vous êtes dans quelle situation aujourd'hui ?

26:12 Je ne sais pas si je dois le suivre ou pas.

26:16 Je ne sais pas.

26:18 Je n'ai pas tout à fait confiance.

26:22 Après, j'abandonne mon travail que j'aime beaucoup ici, dans l'Haute-Garonne, et j'ai trois enfants aussi.

26:28 Je ne leur ai même pas encore dit qu'il y avait cette mutation,

26:32 parce que je ne sais toujours pas quoi faire de faire cette demande par moi-même, en avril-mai.

26:36 Donc, de faire le dossier comme quoi je ne partirai seule, là-bas, en Nouvelle-Calédonie,

26:40 sans faire de rapprochement conjoint, parce que de toute façon, il est trop tard.

26:44 Alors, il semble un peu, parce qu'évidemment, s'il serait divorcé,

26:48 ce ne serait évidemment pas du tout la même chose.

26:50 On pourrait faire un rapprochement conjoint, ce serait plus facile.

26:54 Votre statut, vous êtes célibataire, vous êtes seule ?

26:58 Ah oui.

27:00 D'accord, donc il n'y a pas d'empêchement de votre côté.

27:02 Pour moi, j'entends très bien ce que vous dites,

27:06 et je me sens plus être prise par des peurs, par des craintes,

27:12 et pas forcément d'être à l'écoute de vous-même,

27:16 et de ce qui pourrait vous arriver dans l'avenir.

27:18 Et je maintiens à dire que vous allez pouvoir partir.

27:22 Alors, bien sûr, là, vous êtes en train de dire, oui, j'y vais courant de l'été au mois d'août,

27:26 mais seulement pour un mois.

27:28 Eh bien, je ne suis pas si certain que ça.

27:30 C'est-à-dire que oui, il sera possible que vous puissiez partir dans un premier temps

27:36 pour une durée déterminée,

27:38 parce que forcément, si son divorce est prononcé en juin,

27:44 et le temps que tout se mette en place,

27:46 et que tous puissent s'acter,

27:48 et que vous, vous puissiez aussi vous mettre à jour

27:52 votre identité ou votre statut à tous les deux,

27:54 eh bien, ça me semble un peu difficile pour arriver

27:58 à commencer en septembre

28:02 avec, de votre côté, une mutation possible.

28:06 Donc, je pense qu'effectivement,

28:08 cette crainte et cette peur que vous avez concernant le temps,

28:12 eh bien, ça, ça peut se justifier.

28:14 Et dans le temps, ça peut se valider qu'il y aura une fragilité, une difficulté à ce niveau-là.

28:21 Mais, dans ce que je ressens, et dans ce que je peux percevoir,

28:25 c'est que pour moi, eh bien, ce divorce va être prononcé,

28:29 votre compagnon, lui, va partir,

28:31 vous allez le rejoindre pour une période à durée déterminée,

28:35 et à la suite de ça, eh bien, vous serez amené à pouvoir faire une démarche administrative,

28:41 tous les deux, soit pour un mariage ou un paxe,

28:44 je pense que c'est plus dans un premier temps un paxe

28:46 pour aller plus à la facilité et à la rapidité,

28:50 et vous demander la possibilité d'une mutation pour vous, pour pouvoir le rejoindre.

28:54 Alors, il va, durant cette période, il va se passer sûrement une petite période

28:59 où ça va être un peu compliqué, il va falloir vivre éloigné de l'un et de l'autre,

29:04 mais cette période, elle est moins d'un an,

29:06 elle est peut-être juste le temps d'une année scolaire,

29:10 mais encore, je pense que ça peut être écourté d'ici cette année,

29:15 parce que vous pouvez même bénéficier d'une mutation anticipée.

29:19 Donc, il y a de l'espoir, ne restez pas dans cette notion de peur,

29:26 ne vous enfermez pas dans vos émotions qui vous fragilisent

29:30 ou qui, en tous les cas, vous empêchent d'avoir une visibilité sur l'avenir,

29:33 soyez consciente et vous êtes consciente de la difficulté,

29:37 cette difficulté, elle est là, effectivement,

29:40 mais pour moi, le ciel va pouvoir se dégager,

29:44 et tout ce qui est, je dirais, ou semble un peu obscur aujourd'hui,

29:49 eh bien, ça va partir et ça va progressivement s'éliminer de vous

29:55 et vous permettre d'avancer avec, je dirais, un climat beaucoup plus serein.

30:00 - Ah, ce sont des bonnes nouvelles alors !

30:03 - Effectivement, ce sont des bonnes nouvelles.

30:05 - Oui, ce sont des bonnes nouvelles, oui,

30:07 parce que ça, j'ai craint toujours de l'annoncer aux enfants, parce que...

30:10 - Non, je ne vois pas, même si vous avez peut-être peur d'aller aussi en Nouvelle-Calédonie,

30:16 de vivre là-bas, parce que forcément, vous avez ici créé des liens d'habitude,

30:21 de repères au niveau du travail, tout ça,

30:24 mais vous verrez que les choses vont se mettre en place

30:27 et l'amour, eh bien, va vous unir et sera beaucoup plus fort face à tous les obstacles.

30:34 - Non, ça c'est beau, merci beaucoup à l'enfant, vraiment, merci beaucoup.

30:38 Vous nous avez appelé aujourd'hui pour un retour de témoignage

30:41 et je vais vous demander de nous rappeler plus tard quand votre évolution va évoluer,

30:46 parce qu'on va continuer à vous suivre.

30:48 - Oui, oui, c'est gentil, c'est très gentil.

30:50 Merci beaucoup à vous et à toute votre équipe, merci.

30:53 - Merci, prenez soin de vous.

30:55 - Merci beaucoup, au revoir.

30:57 - Et avant de retrouver notre prochaine auditrice Valérie,

31:00 je vais vous donner les conseils pour cultiver la joie.

31:03 Alors, dans un premier temps, vous pouvez savourer les bons moments

31:06 et être présent à ce que vous faites,

31:09 faire aussi ce que vous aimez et ce qui vous fait vibrer, c'est très important,

31:15 être positif et ne pas alimenter le négatif,

31:19 s'émerveiller et prendre le temps d'admirer ceux qui vous entourent,

31:24 cultiver la gratitude et remercier pour ceux que vous avez.

31:28 Et comme je vous disais, n'hésitez pas à faire votre propre rituel

31:32 qui va permettre de cristalliser cette joie et la faire cultiver au quotidien.

31:37 Et en cultivant certaines attitudes au quotidien,

31:40 on peut y accéder et nous offrir une qualité entièrement nouvelle à tout notre être.

31:47 Savourez l'instant présent et méditez, c'est très très important.

31:51 La parole est à Valérie. Bonjour Valérie.

31:54 - Bonjour Alexandre.

31:56 - Bienvenue sur Sud Radio.

31:58 - Merci.

31:59 - Valérie, vous avez 55 ans, vous êtes des Pyrénées-Orientales.

32:04 - Oui, c'est ça.

32:05 - Et actuellement, vous êtes dans une recherche d'emploi

32:08 ou peut-être dans une idée de reconversion.

32:11 - Oui, c'est ça.

32:12 - Mais je vais quand même vous poser la question sur cette joie.

32:16 Est-ce que vous avez la joie en vous ? Est-ce que vous la cultivez ?

32:19 Comment vous faites vibrer cette joie ?

32:22 - Alors moi, j'aime beaucoup randonner.

32:25 Je fais régulièrement des randonnées, tous les dimanches ou même en semaine quand je peux avec des amis.

32:33 Donc ça déjà, ça me fait beaucoup de bien.

32:37 Ça me permet d'être positive et je fais partie aussi d'une chorale.

32:45 Tous les lendemains d'histoire aussi je chante et je suis dans une petite équipe très sympathique.

32:52 Et ça aussi, ça me permet d'être en joie.

32:57 Après, comme vous avez dit, gratitude, c'est-à-dire se dire que je suis contente d'être en bonne santé.

33:11 C'est déjà pas mal, c'est déjà énorme.

33:15 Gratitude tous les jours pour me dire que j'ai de la chance d'être en bonne santé.

33:20 Même si actuellement je n'ai pas de travail, je me dis que je suis vivante et bien vivante.

33:28 Et puis, j'ai des petits rituels le matin ou quand je prends un petit café.

33:34 Et j'essaie toujours d'écouter ma petite voix à l'intérieur.

33:39 Des fois, j'étends des fois en tavance comme tout le monde à me juger et j'essaie d'être sympa avec moi-même.

33:47 Parce que souvent on se jugeait et on a tendance à se critiquer.

33:53 Exactement, il ne faut pas ruminer le négatif.

33:56 Mais vous voyez, par rapport à tous les auditeurs qu'on a eu aujourd'hui, la majorité disent de se balader, de faire de la randonnée, de faire des choses comme ça.

34:04 Et c'est vrai que quand on est dans la joie, c'est tout l'univers qui prend les couleurs.

34:10 Et on voit la nature avec beaucoup plus de couleurs.

34:13 Et c'est ce qui est important et on se nourrit de ça. C'est une vibration, c'est une énergie.

34:17 Et forcément, ça nous rend encore plus joyeux dans notre existence.

34:22 Alors Valérie, vous, vous traversez une période un petit peu difficile professionnellement.

34:28 Mais c'est bien, justement, vous essayez d'être optimiste et positive.

34:33 Quelle période pour vous est difficile sur le plan professionnel et comment souhaitez-vous, que puis-je pour vous par rapport à ça ?

34:44 J'arrive pas à savoir vers où aller.

34:53 C'est-à-dire que j'ai fait des études comptables au départ.

34:57 J'ai fait des études d'économie.

35:00 Et puis bon, après j'ai jamais fait... j'ai exercé un petit peu quand j'ai...

35:05 Au tout début, quand j'ai fait ces études, j'ai exercé dans la comptabilité.

35:08 Mais après, comme ça fonctionnait pas très bien, j'ai fait une croix dessus.

35:12 Et puis j'ai été opportuniste.

35:15 C'est-à-dire que j'ai pris un premier travail qu'on m'a proposé dans une mairie pendant six ans.

35:22 Après, j'ai retravaillé dans une autre mairie, mais pour travailler dans un musée d'art moderne.

35:27 Et puis j'ai toujours fait des contrats, comment dire, des contrats aidés en fait.

35:34 Donc c'était... je suis passée par tous les contrats qui existent, l'étuque, les SIVP, voilà.

35:42 Et dernièrement, enfin je parle de dernièrement, il y a sept ans en arrière, j'ai eu...

35:48 j'ai pu rentrer dans l'éducation nationale en fait, pour faire professeur documentaliste contractuel

35:56 dans des collèges et j'ai exercé dans les collèges et dans les lycées.

36:00 Et là, j'arrivais à la sixième année. En sixième année, en fait, vous pouvez être cdisé.

36:06 Et en fait, on ne m'a pas rappelé.

36:09 Donc ça m'est arrivé souvent de me retrouver dans des périodes comme ça où on ne vous rappelle pas.

36:15 Mais après, on vous rappelle finalement.

36:18 Donc à chaque fois, ça me faisait... comment dire...

36:21 j'étais pas bien parce que je me disais "ça y est, on va plus me rappeler".

36:25 Donc à chaque fois, on me rappelle.

36:27 Mais là, cette fois, je me dis qu'il faut que je décroche parce que de toute façon, ça ne me mène pas...

36:33 De toute façon, à 55 ans, je ne me vois plus travailler avec des enfants des collégiés en fait.

36:38 - Oui. Alors, pardonnez-moi parce qu'on est un peu pris par le temps, Valérie.

36:44 Je veux répondre à votre question parce que j'imagine que vous voulez savoir

36:48 comment va évoluer votre réalisation professionnelle à l'avenir.

36:52 Et je sens qu'il y a encore cette période un peu de flottement.

36:56 Mais pour moi, je vous sens aller dans le privé.

36:59 Je vous sens aller dans le privé, avoir la possibilité d'être dans une structure

37:03 où effectivement, on peut parler de gestion, de comptabilité, un peu de secrétariat.

37:08 Vous voyez, comme si vous aviez un peu plusieurs aspects au niveau du profil

37:14 et de la possibilité de pouvoir exercer votre poste.

37:20 Et je vous sens avoir une grande place au sein de cette structure-là

37:25 et permettre aussi de pouvoir du perdurer dans le temps

37:30 et avoir et obtenir un contrat en CDI.

37:34 Donc, ça va demander un petit peu de temps.

37:36 Vous allez être peut-être... Ce travail va venir par le biais de relations, de relations proches.

37:44 Ça vient par le biais d'un homme qui parle d'un autre homme qui est dans cette structure

37:51 et qui serait éventuellement intéressé par votre candidature.

37:56 Et ceci, pour moi, il faut patienter encore un petit peu.

37:59 C'est pour ça que je vous parlais de flottement.

38:01 Mais j'ai l'impression que même dans la période de 4 mois,

38:05 eh bien là, il y a quelque chose qui se débloque et qui permet justement

38:09 d'aller vers quelque chose de beaucoup plus optimiste

38:12 et d'arriver à cet objectif-là.

38:15 D'accord.

38:16 D'accord ?

38:17 Oui.

38:18 N'hésitez pas à nous tenir au courant Valérie.

38:20 D'accord.

38:21 Merci à vous.

38:22 Merci.

38:23 Merci.

38:24 Allez, nous on se retrouve dans quelques minutes avec Cathy.

38:27 Cathy est dans une activité depuis 5 ans et ils lui font des avenants consécutifs.

38:33 Elle n'est pas du tout d'accord avec ça.

38:35 Va-t-elle nous parler de reconversion ou d'une bonne nouvelle dans son travail ?

38:39 Ne bougez pas, on revient.

38:42 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.

38:46 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

38:51 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie

38:55 avant de retrouver les vrais voix, présentées par Cécile Dominibus et Philippe David.

38:59 Mais il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne et à l'émission à votre écoute.

39:04 La parole est à Cathy. Bonjour Cathy.

39:07 Bonjour, vous m'entendez ?

39:09 Oui, je vous entends très très bien. Tout le monde vous entend Cathy.

39:12 Bonjour Alexandre. Merci de m'inviter.

39:14 Merci à vous et bienvenue sur Sud Radio.

39:16 Cathy, vous avez 55 ans, vous habitez Sète dans les Roses et vous travaillez dans la logistique agroalimentaire.

39:24 Avant de répondre à votre question et à votre préoccupation, Cathy, je vais vous poser cette petite question.

39:32 Est-ce que pour vous la joie est importante et qu'est-ce que vous faites pour pouvoir la cultiver au quotidien ?

39:37 Elle est importante et primordiale. Ce que je fais au quotidien, je chante beaucoup, je danse, je taquine mon compagnon et mes collègues de travail.

39:47 Vous avez une petite âme d'enfant qui revient dans votre quotidien ?

39:53 Oui, souvent, très souvent.

39:55 Exactement. Et c'est ce qui nourrit justement cette joie et qui vous permet de vous déstresser j'imagine

40:02 et d'oublier parfois les journées qui ont été difficiles.

40:06 Oui, tout à fait. Surtout que je suis une personne très anxieuse de nature.

40:12 Très bien, Cathy. Vous êtes dans une activité depuis 5 ans, dans le métier agroalimentaire

40:21 et on vous fait des avenants consécutifs et vous commencez à fatiguer avec ces avenants.

40:28 Racontez-nous un petit peu.

40:30 En fait, j'ai été embauchée dans une société particulière qui a ouvert un autre bureau.

40:38 Je me suis portée volontaire parce que c'était un challenge et que j'aime bien ça.

40:43 C'était des amenants sur amenants.

40:46 Et là, notamment, dernièrement, ils nous ont fait un dernier amenant pour retourner sur le bureau initial.

40:52 Du coup, je perds de l'argent parce que ce ne sont pas les mêmes conditions.

40:59 Et ma question est, est-ce que je vais rester dans cette société ? Est-ce que je vais le trouver ailleurs ?

41:06 Je suis un peu dans l'inconnu.

41:08 Oui, et quand vous parlez des avenants, c'est pour une durée de combien généralement ces avenants ?

41:13 Alors là, le dernier, c'est pour retourner sur la maison mère. Donc c'est à l'infini, on va dire.

41:18 Et je ne sais pas, en fait. Je ne sais pas l'avenir de cette société.

41:24 Est-ce que vous vous sentez reconnue dans cette société ? Est-ce que vous sentez avoir votre place ?

41:29 Non.

41:30 Est-ce qu'eux-mêmes apportent un peu de satisfaction au-delà des contrats, au-delà de cette projection que vous pouvez avoir dans la société ?

41:43 Mais est-ce qu'eux-mêmes apportent une certaine forme de satisfaction et de reconnaissance par rapport à votre travail ?

41:50 Je n'en ai pas l'impression, en fait.

41:52 Je n'en ai pas l'impression. Et au niveau de la hiérarchie, est-ce qu'il y a un lien ? Est-ce que c'est bien coordonné ?

42:01 Il y a une communication dans la hiérarchie qui permet de pouvoir communiquer ?

42:06 Elle est défaillante, en fait, cette hiérarchie.

42:09 Effectivement. Alors, je ne veux pas porter de jugement, mais je sens qu'ils sont un peu dans une fragilité.

42:16 Parfois, j'ai l'impression, et pardonnez-moi si je me trompe, mais j'ai l'impression qu'il y a certaines personnes qui ont peur aussi de leur futur.

42:23 Ils sont assis sur leur siège et ne bougent pas et ne prennent pas beaucoup de risques par rapport à ça.

42:28 Et c'est ce qui, malheureusement, donne comme conséquence pour des personnes comme vous qui, aujourd'hui, vivent leur travail un peu avec incertitude et avec de l'inconfort aussi.

42:42 Alors, aujourd'hui, vous songez à aller dans une autre entreprise ou dans une recherche professionnelle ?

42:50 Ah, recherche, oui. J'ai déjà entrepris des recherches, oui.

42:53 Vous allez avoir une réponse. Vous allez avoir une réponse, oui, effectivement, parce que je ne vous sens pas rester dans l'avenir dans cette entreprise.

43:01 Parce que j'ai l'impression que le climat général de cette entreprise est amené à ne pas beaucoup bouger, à rester comme ça avec pas mal d'incertitudes.

43:11 Et puis aussi à essayer d'intégrer une certaine forme de mentalité ou d'état d'esprit qui font qu'on doit s'adapter au jour le jour.

43:22 Et je vous sens, vous, arriver à un moment donné à lâcher. Pourquoi ?

43:26 Parce qu'il y a cette possibilité, cette opportunité qui va se présenter sur un nouveau job, dans une nouvelle entreprise.

43:34 Et cette nouvelle entreprise, elle n'est pas très loin de là où vous êtes et peut-être dans un secteur d'activité assez similaire à celui dans lequel vous êtes aujourd'hui aussi.

43:45 Alors, ça peut toucher l'agroalimentaire. C'est peut-être un peu différent, mais sûrement différent déjà par rapport à des techniques de travail, des méthodologies aussi, où ça sera différent.

43:56 Mais qui s'adapteront beaucoup plus à ce que vous attendez de l'entreprise et vous permettent de trouver aussi une forme de stabilité.

44:05 Et puis, à la suite de ça, ça permettra aussi d'avoir ou de finaliser un projet, notamment par rapport à votre habitation actuelle.

44:13 Oui.

44:15 C'est dans l'idée ?

44:16 Oui.

44:17 Bon, vous allez y arriver. Il ne faut pas avoir peur et surtout, continuez dans vos recherches parce que pour moi, d'ici la fin de l'année, vous serez amené à avoir un très bon changement. D'accord, Cathy ?

44:29 Très bien. Merci Alexandre.

44:31 Merci à vous. Prenez soin de vous. N'hésitez pas à venir.

44:33 Merci. Au revoir.

44:35 Merci. Et pour conclure, je dirais la joie ne se commande pas, mais on peut l'inviter, la provoquer et la créer. A vous de faire avec.

44:43 Allez, nous on se redonne rendez-vous demain. On parlera de Constellation Familiale. Si vous avez déjà vécu cette expérience-là, venez en parler à l'antenne.

44:52 Prenez soin de vous. Je vous souhaite une bonne fin de journée et je vais laisser la parole aux vrais voix qui sont en direct depuis le Salon de l'Agriculture.

45:01 Bonsoir Philippe David. Bonsoir Cécile Minimius.

45:03 Bonsoir Alexandre Delovane. Nous sommes en direct du stand Lidl dans le hall 1 du Parc des Expositions de la Porte de Versailles au Salon de l'Agriculture.

45:11 Et vraiment, c'est fabuleux. Il y a les bruits, il y a les odeurs de la campagne, de la nature, du bétail. Ce n'est que du bonheur.

45:18 À 17h30, notre grand débat. Le circuit court est devenu un enjeu majeur dans la restauration collective.

45:24 Et poussé par la loi EGalim de 2018, il suscite des attentes et des interrogations.

45:29 Et on se pose cette question. Faut-il imposer aux cantines et restaurations collectives des circuits courts pour la qualité alimentaire ?

45:35 Vous pensez que oui ? Vous pensez que non ? On attend vos appels au 0826 300 300.

45:41 On aura Catherine Vautrin, ministre de la Santé et du Travail en notre compagnie, ainsi que Michel Biraud, président de Lidl France.

45:47 À 18h30, Emmanuel Macron a évoqué samedi l'instauration d'un prix plancher dans chaque filière agricole.

45:54 Une annonce qui divise. Et on vous pose cette question. Les prix planchers sont-ils une illusion ?

45:59 Pour vous c'est une bonne chose ? Pour vous c'est une illusion ?

46:01 Aude, attend toujours vos appels puisque le standard fonctionne. Même quand nous sommes en délocalisation.

46:06 Au 0826 300 300, nos trois vraies voix du jour. Philippe Bilger, Jean-Baptiste Moreau et Olivier Dartyvol.

46:13 Bonne émission.