• il y a 9 mois
Avec le Pr Christian Perronne, infectiologue.

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##LE_FAIT_DU_JOUR-2024-02-29##

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News
Transcription
00:00 Ici Sud Radio, les français parlent au français. Je n'aime pas la blanquette de veau.
00:14 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:18 Certes, on parle de l'inscription de l'IVG, on parle de la guerre Russie-Ukraine,
00:23 on parle de la possibilité d'envoyer éventuellement des soldats français ou européens en Ukraine.
00:32 Mais il faut aussi ne pas oublier la gestion du Covid-19 et tout ce qui s'est passé.
00:41 Quatre ans déjà, un peu plus de quatre ans.
00:44 Christian Perron, bonjour.
00:46 Bonjour André.
00:47 Vous êtes avec nous. Alors je rappelle très rapidement qui est Christian Perron,
00:50 mais on n'a pas besoin de le présenter. Il est professeur en maladies infectieuses et tropicales
00:55 à Faculté Paris-Ile-de-France-Ouest.
00:58 Il a été, de 2014 en 2020, je cite une partie de ce qu'il a fait bien sûr,
01:04 chef du département de médecine de l'hôpital Raymond Poincaré à Garches,
01:08 assistant à PHP bien sûr.
01:10 Il a été début de ses fonctions en décembre 2020 pour ses prises de position.
01:15 Il a été directeur adjoint du centre national de référence sur la tuberculose et le mycobactéries
01:22 de l'Institut Pasteur de Paris jusqu'en 1998.
01:25 Il a été notamment, je le rappelle, président de la sélection maladie transmissible
01:29 du Conseil supérieur d'hygiène publique de France de 2001 à 2007,
01:33 commission maladie transmissible du Haut conseil de la santé publique,
01:38 membre du conseil scientifique de l'Institut de recherche de l'Inserm,
01:42 et je rappelle aussi, très important, ancien membre vice-président du groupe ETAGE,
01:47 groupe d'experts concernant la politique vaccinale dans la région Europe,
01:52 de l'OMS, de l'organisation Modèle de la santé.
01:54 Tout ça pour dire que tous ceux qui ont traité le professeur Perron de tous les noms,
02:00 en disant "mais comment, il n'y connaît rien",
02:02 c'est intéressant de voir d'ailleurs des gens qui ont passé 20 ans, 30 ans de leur vie,
02:07 dans telle ou telle spécialité, notamment à l'infectiologie,
02:12 traité de tous les noms parce qu'ils ne rentrent pas dans l'anoxa.
02:14 Mais, Christian Perron, là vous rentrez, vous, de Washington.
02:18 Vous avez assisté à une réunion qui a duré deux jours,
02:22 et cette réunion était passionnante, m'avez-vous dit.
02:26 Expliquez, qu'est-ce qui s'est passé à Washington ?
02:28 - C'était passionnant, c'est l'International Crisis Summit, ICS,
02:32 qui est à... ça fait la cinquième édition de ce rassemblement mondial,
02:36 et là il y avait une énergie que je n'avais pas vue auparavant,
02:41 parce que... alors ça a duré deux jours, et puis après on en reparlera,
02:44 il y avait une table ronde organisée au Sénat américain le troisième jour.
02:47 - Dans la salle Kennedy du Sénat américain.
02:49 - Voilà, la salle Kennedy, c'était un endroit magnifique.
02:52 Pour le Congrès lui-même, c'était un défilé non-stop,
02:56 du matin au soir, de témoignages venant du monde entier,
03:00 où tous les gens sortaient berlués de quatre ans de ténèbres,
03:03 où tous les peuples ont souffert, ont été mis sous cloche,
03:07 avec plein de suppressions de liberté, etc.
03:11 Et là, j'avais l'impression de voir la lumière revenir,
03:14 que les gens commencent...
03:16 Tous ces témoignages montraient que les gens étaient éveillés,
03:18 ne se laisseraient plus jamais manipuler,
03:20 parce que beaucoup au début ont été passifs,
03:22 ont cru à ce qu'on leur racontait, les techniques de manipulation.
03:26 D'ailleurs, c'était intéressant, parce qu'il y avait des experts
03:29 qui nous ont exposé en détail toutes les techniques de manipulation,
03:32 aussi bien dans la fraude, dans les publications scientifiques,
03:35 que dans la manipulation de la population.
03:37 Et donc voilà, c'était très riche, avec des gens venant d'horizons très différents.
03:41 - Alors justement, quels témoignages vous ont le plus frappés ?
03:44 Parce qu'il y a des témoignages dont vous parlez, effectivement,
03:47 qui vous ont frappés, notamment des Canadiens,
03:49 notamment des Roumains, notamment d'autres...
03:52 - Oui, alors, il y avait des choses assez scientifiques,
03:55 mais sur le plan émotionnel,
03:57 il y avait toutes les victimes des mesures sanitaires,
04:01 mais il y avait aussi beaucoup de camionneurs canadiens
04:06 qui sont venus pour raconter ce qui leur était arrivé, c'était horrible.
04:09 Parce qu'il ne faut pas oublier qu'on les a tabassés,
04:11 on a endommagé quelques fois leur camion,
04:13 Trudeau a bloqué leur compte bancaire, ils ne pouvaient même plus manger,
04:17 ils ont vécu une mendicité à Ottawa avant de pouvoir retourner chez eux.
04:22 Il y en avait qui étaient en larmes,
04:24 mais il y avait aussi des témoignages de policiers, d'anciens militaires,
04:28 qui, pour avoir osé braver un petit peu les autorités,
04:32 ont subi des choses horribles.
04:35 Il y avait ce témoignage aussi magnifique, très émouvant,
04:38 d'un monsieur qui était d'origine roumaine,
04:41 qui est devenu chauffeur routier au Canada,
04:44 il a participé à la manifestation, mais de façon totalement pacifique.
04:47 - Sur le pass sanitaire, je crois que c'était...
04:49 - Oui, le pass vaccinal obligatoire pour les routiers.
04:52 Il a dit "quand j'ai quitté la Roumanie de Ceausescu",
04:56 il avait vu tout ce qui se passait, qui était horrible,
04:59 il a dit "jamais plus je verrai ça dans ma vie, dans une démocratie",
05:02 et au Canada, on l'a tabassé, mais de façon très violente,
05:05 il a été blessé, et il en pleurait en racontant son témoignage.
05:08 C'est aujourd'hui dans une soi-disant grande démocratie mondiale,
05:12 et c'était un petit peu partout pareil.
05:15 - Et alors, est-ce que l'impression que vous avez eue,
05:17 parce qu'on a maintenant un recul de 4 ans, comme on peut dire,
05:22 vous avez l'impression qu'il y a une espèce de prise de conscience,
05:24 c'était international, il y avait des gens de beaucoup de pays...
05:28 - Il y avait des gens de beaucoup de pays.
05:30 Ce qui est intéressant à voir, c'est que les pays qui ont le plus souffert,
05:32 c'était les pays dits riches ou développés,
05:34 sous contrôle un petit peu de l'industrie pharmaceutique, de l'OTAN, etc.
05:39 Alors que les pays en voie de développement, finalement, ont échappé à la crise,
05:42 parce qu'ils n'ont pas suivi tout ce qu'on leur disait.
05:45 Donc c'était très intéressant.
05:46 - Est-ce que les chiffres parlent là-dessus ?
05:47 On peut vraiment dire que les plus atteints ont été les pays riches ?
05:52 - Oui, déjà je l'avais dit, en 2020, si vous vous souvenez,
05:56 qu'il y avait autant de morts en France que dans l'ensemble du continent africain,
06:00 et qu'en Afrique, la moitié des morts étaient juste dans le pays de l'Afrique du Sud.
06:03 Ce qui était assez emblématique.
06:05 Et puis après, ça a été démontré par la suite encore plus.
06:10 - Et alors justement, cette rencontre de Washington,
06:14 en fait, c'était pour montrer...
06:16 Il y avait aussi le côté scientifique, les avancées, etc.
06:20 Et par rapport aux effets secondaires,
06:26 ou aux effets indésirables,
06:29 par rapport à la situation sanitaire aujourd'hui,
06:34 vous avez l'impression, Christian Perrol,
06:38 qu'il y a aujourd'hui une vraie prise de conscience ?
06:40 - Il y a une vraie prise de conscience.
06:41 Il y avait déjà les témoignages des familles qui avaient eu des victimes dans leur entourage.
06:45 Ce qui était en pleurs, c'était terrible.
06:47 Et puis il y avait des experts qui ont analysé toutes les bases de données sur ces effets secondaires.
06:52 Donc là, les choses, maintenant, sont carrées, on le sait.
06:55 Ils essayent de cacher tout ça,
06:57 mais on ne peut pas cacher éternellement des données aussi effrayantes.
07:01 Et là, maintenant, je vois bien qu'ils sont un petit peu aux abois,
07:06 les autorités de tous ces pays, parce qu'on voit...
07:08 Moi, j'ai fait surtout mon topo,
07:10 je l'avais axé sur les fausses données dans les publications scientifiques,
07:14 même sur les articles scientifiques totalement frauduleux.
07:17 Et d'ailleurs, Emmanuel Darl et Vincent Pavan, qui représentent la France,
07:20 ont fait une très belle présentation sur comment on pouvait manipuler les chiffres dans les articles médicaux.
07:26 Donc voilà.
07:27 Et là, qu'est-ce qu'on voit depuis quelques mois ?
07:29 On voit fleurir sur tout un tas de publications médicales,
07:34 dont le contenu est faux, on a pu le démontrer pour plusieurs.
07:38 - Ne rappelons même pas le Lancet et compagnie.
07:41 - Je ne citerai pas de nom, parce qu'après, c'est des gros mots dans les médias.
07:46 Mais tout le monde sait que le Lancet était le premier scandale,
07:51 où il y avait vraiment des données totalement fabriquées sur ordinateur.
07:55 Et là, ça continue, on le voit.
07:57 - Et ça continue ?
07:59 - Sur les traitements précoces, sur les produits expérimentaux.
08:02 Et oui, parce qu'en ce moment, on voit bien qu'ils essaient de se justifier à tout prix.
08:07 Je crois même que l'agence du médicament européen, enfin je n'ai pas totalement vérifié,
08:11 est en train de se dire "ce n'est pas de notre faute, c'est les gouvernements qui ont pris les décisions".
08:16 Je ne vais pas encore aller dans le détail de ce qu'ils ont dit,
08:19 mais on commence à voir que chacun...
08:21 - Il y a un rétro-pédalage là.
08:23 - Il se renvoie la patate chaude.
08:25 - Et alors justement, ça amène à quoi ?
08:27 Est-ce que vous avez l'impression que,
08:29 au-delà du colloque, entre spécialistes et puis évidemment des témoins,
08:34 ça va amener ou ça peut amener à que les politiques,
08:40 les juristes, etc. s'emparent de la chose et commencent à porter plainte ?
08:47 Parce qu'il y a eu des plaintes déposées contre tel ou tel...
08:51 Est-ce que c'est quelque chose à votre avis ?
08:53 - Oui, je crois qu'aux Etats-Unis, c'est surtout au Texas, il y en a peut-être d'autres,
08:56 il y a des hommes politiques de haut niveau qui commencent à porter plainte contre certaines mesures des autorités.
09:02 Et là, il n'y avait pas que des gens de la santé, il y avait des financiers,
09:05 il y avait une femme qui était une repentine de l'industrie pharmaceutique.
09:09 C'était amusant, il y avait à la table ronde au Sénat,
09:12 un financier qui avait été à Wall Street,
09:17 et qui gérait des portefeuilles de milliards de dollars chez BlackRock.
09:21 Ce que là, ils nous racontaient toutes les magouilles derrière.
09:24 Donc c'était vraiment sympa de voir tous ces gens qui...
09:28 Moi aussi, on peut dire que j'étais dans le système,
09:30 j'ai travaillé pour le gouvernement français, j'en étais fier à l'époque, j'étais dans la vaccination,
09:34 mais justement le fait d'avoir été dans le système
09:37 permet d'avoir un oeil critique beaucoup plus crédible,
09:40 parce que si je n'avais rien fait dans le domaine,
09:42 on aurait dit à juste titre que je n'y connaissais rien, mais là, ce n'est pas le cas.
09:46 Et là, c'était très intéressant de voir ces gens venant de disciplines très très différentes.
09:51 - Alors, ces gens de discipline, que ce soit quelqu'un de Big Pharma,
09:55 enfin qui n'y est plus, ou quelqu'un de Wall Street, effectivement,
09:59 ce qu'ils vous disent, c'est quoi ?
10:00 C'est que ça a été entièrement monté,
10:03 je ne parle pas du tout de complot ou quoi que ce soit,
10:05 mais qu'il y a eu une espèce de management par la peur,
10:09 au service d'un certain nombre d'intérêts, c'est un peu ça.
10:12 - Oui, et c'est comment, au profit d'un terrain financier gigantesque,
10:17 on est capable de magouiller la vérité,
10:19 alors je ne peux pas rentrer dans le détail de tout ça,
10:22 mais c'est impressionnant de voir la manipulation.
10:25 Il y avait beaucoup de topos sur les techniques de manipulation,
10:29 c'était très intéressant.
10:30 - Alors, ces techniques de manipulation, on les voit dans tous les domaines,
10:33 pas seulement sur le domaine de la santé.
10:36 Christian Perron, au fond, aujourd'hui,
10:39 vous avez été, on le sait, attaqué, mis au banc, etc.
10:45 Vous vous sentez comment, vous, aujourd'hui,
10:46 par rapport à tout ce qui s'est passé,
10:48 où vraiment on a essayé de vous diaboliser,
10:53 de vous marginaliser, de considérer que vous et d'autres,
10:56 d'ailleurs il y en a eu d'autres aussi,
10:58 de considérer comme "non, non, non, vous êtes nuls et non avenus".
11:02 Aujourd'hui, vous vous sentez comment ?
11:04 - Je me sens de plus en plus fort, parce que j'ai un soutien énorme.
11:06 J'étais étonné de voir qu'aux Etats-Unis,
11:08 beaucoup me connaissaient très bien,
11:10 même le sénateur qui a organisé,
11:12 il savait que j'avais été radié de ma fonction de chef de service,
11:15 que j'avais été blanchi par le Conseil de l'Ordre.
11:17 Ce qui m'a fait très chaud au cœur dans les couloirs du Sénat,
11:21 c'est qu'après la réunion officielle,
11:23 il y a plein d'experts des Etats-Unis, du Canada, d'Australie, d'Europe,
11:29 et d'ailleurs qui sont venus me voir,
11:33 même du Mexique, en disant "bravo les résistants français,
11:37 vous avez été des pionniers".
11:39 - Oui.
11:39 - Oui, parce que Didier Raoult a aussi été suivi là-bas.
11:42 J'étais étonné de voir qu'on nous considérait là-bas comme des pionniers,
11:46 et en disant "continuez,
11:49 et la France doit retrouver sa place de pays des Lumières".
11:53 J'ai trouvé ça magnifique, parce que ce sont des étrangers,
11:56 des Américains et d'autres qui me l'ont dit,
11:58 et ça m'a touché.
11:59 - Oui, "la France doit retrouver sa place de pays des Lumières",
12:01 c'est bien qu'on le dise en tout cas,
12:04 alors qu'effectivement aujourd'hui,
12:06 on se pose beaucoup de questions là-dessus.
12:08 Une dernière question, Christian Perron,
12:12 vous comptez évidemment continuer le combat ?
12:15 - Bien sûr, mais juste un petit mot,
12:18 parce que c'était très important dans les débats,
12:20 le fameux projet de traité de l'OMS,
12:22 il faut bien que les Français soient au courant de ça.
12:24 - Alors c'est quoi ce traité de l'OMS ?
12:26 - Le traité de l'OMS, c'est que M. Tedros,
12:28 le directeur de l'OMS,
12:30 et puis je pense les gens qui sont derrière,
12:32 c'est Bill Gates qui finance beaucoup l'OMS actuellement,
12:34 ils veulent que l'OMS soit au-dessus des nations.
12:36 Maintenant on peut décréter une pandémie,
12:38 même s'il n'y a pas un seul mort,
12:40 donc M. Tedros, si ce traité passe,
12:42 il pourra dire "ben voilà,
12:44 il y a un virus très dangereux,
12:46 le virus du lézard vert qui va tuer tout le monde",
12:48 et il pourra en donner des confinements,
12:50 des injections obligatoires,
12:52 sans que les États puissent dire quoi que ce soit.
12:54 - Ah oui.
12:56 - Et comme ça ne s'était pas passé à l'OMS l'année dernière,
12:58 ils ont changé le mode de vote
13:00 pour que ce soit maintenant la majorité simple,
13:02 ça va passer au mois de mai,
13:04 et ce traité est extrêmement dangereux,
13:06 il faut vraiment que tous les hommes politiques,
13:08 les citoyens se mobilisent,
13:10 pour qu'on ne nous impose pas
13:12 une espèce de...
13:14 - Oui,
13:16 un diktat international,
13:18 l'OMS décident
13:20 au-dessus des États ce qu'on doit faire.
13:22 - Et les États ne seront même plus consultés,
13:24 ni les parlements, ni les gouvernants,
13:26 ils seront obligés, soi-disant,
13:28 d'obéir, mais je pense qu'il faut résister.
13:30 J'espère que ça ne passera pas,
13:32 mais c'est très important, parce qu'on voit
13:34 jusqu'où ils vont aller pour supprimer les libertés.
13:36 - Merci Christian Perron,
13:38 et on continuera évidemment
13:40 à bénéficier de vos avis.
13:42 - Merci.
13:44 - Merci Professeur Perron d'avoir été avec nous.
13:46 On marque une courte pause sur Sud Radio,
13:48 on se retrouve dans quelques instants pour parler
13:50 de l'IVG qui va être inscrit dans la Constitution.
13:52 A tout de suite sur Sud Radio.
13:54 Sud Radio Bercov,
13:56 dans tous ses États.
13:58 Appelez maintenant pour réagir.
14:00 0 826 300 300

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