Corinne LALO

  • il y a 7 mois

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00:00 Donc ça fait à peu près plus de 30 ans que je suis journaliste, je suis travaillée,
00:07 maintenant je suis journaliste indépendante, mais avant j'étais dans les médias mainstream,
00:11 FR France 3, TF1 beaucoup, TV5, TV5 Monde et je travaillais aussi dans la presse écrite.
00:19 Donc en plus de 30 ans j'ai observé une régression de la liberté de l'information
00:25 et cette régression a touché le fond avec cette affaire Covid.
00:31 Donc maintenant j'écris des livres, j'ai écrit un premier livre en 2009-2010
00:38 après l'affaire Mediator et après la grippe H1N1 qui était déjà une fausse pandémie
00:43 qui s'appelle "Le livre noir du médicament" qui était publié chez Plur.
00:48 Ensuite j'ai écrit un livre il n'y a pas très longtemps qui est sorti en 2021, c'est celui-ci
00:55 qui est sur les perturbateurs endocriniens, tout ce qui nous empoisonne à notre dessus
00:59 et entre autres comment justement ça détruit tout le système hormonal.
01:06 Donc je parle de tous les produits chimiques et donc ça me permet d'enquiller sur ce qui se passe maintenant.
01:13 On nous a parlé donc du Covid, or il faut savoir que les maladies infectieuses
01:19 sont moins de 5% de la mortalité en général dans le monde, c'est moins de 5.
01:26 Et le Covid c'est, par rapport à ces 5%, c'est encore moins de 1%.
01:32 Mais sinon les 95% ou 95% de la mortalité, des causes de mortalité,
01:38 ce sont les cancers, les maladies cardiovasculaires qui sont en général dues aux produits chimiques
01:47 et à la nourriture industrielle et aussi aux traitements médicamentaux.
01:52 Donc ce qui s'est passé en 2020, c'est une extrapolation et une exagération.
02:01 Là, moi je vais vous parler seulement du mécanisme de ces pseudo vaccins,
02:08 mais moi qu'on les appelle vaccins ou pas, ça ne me dérange pas.
02:12 C'est aussi le même mécanisme que de la thérapie génique, faites clair.
02:16 Mais les vaccins dit classiques sont aussi des médicaments qui n'ont pas été testés contre placebo.
02:25 Donc ils sont moins toxiques que ceux qui sont nouveaux de cette nouvelle plateforme,
02:31 c'est ce que je vais vous montrer, mais ça ne veut pas dire qu'ils n'étaient pas toxiques.
02:36 Donc ce qui s'est passé, l'intervenant précédent à montrer vous a dit que c'était une nouvelle plateforme.
02:44 Donc je vais vous expliquer le mécanisme de cette plateforme
02:48 et je le fais à partir des articles scientifiques et des chercheurs avec qui j'ai discuté.
02:53 Moi je journalise, donc je vais lire les articles, je vais voir les experts,
02:58 les chercheurs indépendants plutôt, et ils m'expliquent.
03:01 Et après moi j'essaye de le faire d'une façon assez pédagogique pour un grand public.
03:07 Donc dès février 2020, l'Institut Pasteur avait déjà dit que c'était un virus bénin,
03:19 avec 0,1% de mortalité par infection.
03:23 Donc c'était en gros l'équivalent du griffe et les articles avaient déjà été publiés.
03:28 Donc on savait déjà à l'époque que c'était bénin,
03:31 ça n'a pas empêché de faire une crise internationale et de déclarer une pandémie,
03:38 que l'OMS déclare une pandémie.
03:40 Elle avait déjà menti l'OMS en 2009-2010 au moment de la grippe H1N1, j'étais ATF à l'époque,
03:46 j'avais fait à l'époque un reportage pour dénoncer les mensonges de l'OMS,
03:50 et ce reportage était passé.
03:52 Je ne crois pas que ce serait encore possible.
03:55 Non mais c'est tous les médias qui sont confondus, il y a une dégradation de la presse,
04:00 et donc tous les médias ont eu une régression de la liberté qui est phénoménale en 30 ans.
04:07 Il n'y a pas un média en particulier, ni un pays en particulier.
04:10 Donc on a su aussi que ce vaccin était inutile pour un virus mutant,
04:17 parce que le coronavirus par définition c'est un virus qui mute très très rapidement.
04:23 Donc le temps qu'un vaccin vienne sur le marché, ce vaccin est obsolète.
04:28 Donc décider que pour lutter contre un coronavirus il fallait un vaccin, c'était à la base absurde.
04:36 Et non seulement c'était absurde à la base de faire un vaccin pour un virus qui mute très rapidement,
04:43 mais ça le professeur Raoult l'avait dit, il avait dit dès le départ,
04:48 faire un vaccin pour un virus qui n'est pas immunogène, du tout qu'un virus qui mute,
04:56 est un défi idiot. Il avait qualifié lui-même de défi idiot.
05:00 Donc maintenant voilà la différence entre les différents vaccins.
05:08 Vous voyez ?
05:10 Non, il faut que je reste sur le micro.
05:14 À gauche, vous avez les vaccins classiques.
05:19 Et à droite, vous avez les vaccins à nanoparticules et ARN modifiés.
05:25 Quelle est la différence ?
05:27 Les vaccins classiques, la plus grosse différence, c'est que les vaccins classiques qui sont à gauche,
05:36 ils ne rentrent pas dans les cellules.
05:39 Quand vous faites injecter un vaccin, le vaccin, les particules, qui sont aussi des particules chimiques
05:46 et aussi des particules toxiques, quand c'est de l'aluminium, parce que l'aluminium c'est un toxique et un neurotoxique,
05:52 la différence c'est que ces vaccins classiques ne rentrent pas dans la cellule.
05:57 Vous voyez ? Ils restent en dehors de la cellule. Ce sont des vaccins extracellulaires.
06:02 Et la grosse différence avec les vaccins à nanoparticules lipidiques et ARN modifiés,
06:10 c'est que ce sont des nanoparticules, donc sans un mille fois plus petit qu'une cellule,
06:17 et qu'eux, ils vont rentrer dans la cellule. Et ce sont des vaccins intracellulaires.
06:23 Parce que c'est la définition même du principe de ces vaccins à nanoparticules.
06:30 Or, il faut savoir que des nanoparticules, c'est toxique en soi.
06:35 Et maintenant, il y a de plus en plus d'études qui sortent, qui montrent que les nanoparticules,
06:39 même sans ARN modifié à l'intérieur, sont toxiques.
06:43 Donc, vous voyez à droite, les nanoparticules sont beaucoup plus petites.
06:49 On a mis de l'ARN dedans, je vais vous le détailler tout à l'heure.
06:53 Et surtout, ces nanoparticules rentrent dans la cellule.
06:57 Et c'est la grosse différence. Parce qu'une fois qu'elles sont dans la cellule,
07:01 le système immunitaire n'a pas accès à l'intérieur de la cellule.
07:05 Le système immunitaire est à l'extérieur.
07:08 Et quand le toxique, parce que là, c'est un toxique, est à l'intérieur de la cellule,
07:13 il n'y a plus qu'une seule molécule qui peut aller le détoxifier.
07:19 Ça, c'est le professeur Serralini qui m'a expliqué.
07:22 C'est le glutathione. C'est une molécule naturelle qui est fabriquée par le foie.
07:29 Et c'est les seules qui puissent rentrer dans la cellule pour les détoxiquer.
07:35 Donc ça, c'est la grosse différence.
07:39 Alors, quel est le principe de ces nanoparticules lipidiques des vaccins ?
07:45 L'idée, c'est que c'est leur mécanisme tel que eux ont dit que ça marchait.
07:50 Bon, alors je vous décris le mécanisme qui est décrit par les fabricants eux-mêmes, Pfizer et Moderna.
07:57 Donc, en 1, ils injectent la nanoparticule.
08:02 En 2, la nanoparticule rentre dans la cellule comme on vient de le voir.
08:08 En 3, la nanoparticule relâche l'ARN génétiquement modifiée qui se trouve à l'intérieur
08:17 et qui va coder pour une partie du virus qui est la partie extérieure,
08:22 c'est la spike, ce sont les pointes qui sont à l'extérieur des virus.
08:27 Donc, l'ARN va coder pour une spike et là, la cellule va avec ses ribosomes en 4,
08:37 prendre cet ARN et le transformer en protéine spike qu'elle va relâcher dans son milieu.
08:46 Bon, ou elle va le garder à sa surface ou elle va le relâcher dans son milieu.
08:52 Qu'est-ce qui se passe ? C'est que la protéine spike, c'est une protéine qui est étrangère.
08:58 Donc, ce principe même de vaccination ou de thérapie hygiénique, peu importe, d'injection,
09:06 quel est son principe ? C'est de dire au corps, tu vas fabriquer une toxine étrangère
09:13 et comme il va fabriquer une toxine étrangère, qu'est-ce qui va se passer ?
09:18 Évidemment, le système immunitaire va attaquer cette toxine étrangère.
09:24 Et si c'est une cellule qui porte cette toxine étrangère de votre propre corps,
09:29 le système immunitaire va l'attaquer et il va détruire vos propres cellules.
09:34 Et donc là, on va voir comment le système immunitaire va détruire vos propres cellules.
09:39 C'est de l'autodestruction.
09:43 Alors, on part du haut. En haut, vous voyez, on retrouve la cellule.
09:48 En numéro 1, on retrouve la cellule avec dedans ses nanoparticules.
09:53 Les nanoparticules lipidiques toxiques du vaccin ou de l'injection, on va dire,
09:59 arrivent dans la cellule, fabriquent des spikes.
10:03 Donc les spikes, c'est les petites... vous les voyez, les petites...
10:08 les petites... voilà, rouges, voilà.
10:11 Les petites spicules rouges qui se trouvent à l'extérieur des cellules
10:15 et qui sont soit sur la membrane de la cellule, soit dans l'huile.
10:20 Alors, qu'est-ce qui se passe ? En numéro 2, vous voyez ici, à droite, en haut,
10:28 voilà, là, ça c'est le système immunitaire, c'est les macrophages.
10:33 Il y a d'autres parties du système immunitaire.
10:38 Les lymphocytes T et les cellules B.
10:42 Alors, vous voyez, macrophages, lymphocytes T, cellules B.
10:46 Les cellules B vont fabriquer les anticorps qui vont aussi aller attaquer la spike.
10:53 Donc, les macrophages, ils vont s'attaquer à tout ce qui est étranger.
11:00 Comme on a dit à nos cellules de fabriquer des protéines étrangères,
11:05 évidemment, les macrophages vont arriver, et vous voyez en 2,
11:10 ils vont essayer de détruire et de neutraliser cette toxine étrangère.
11:16 Là, ils y arrivent, ils sont aidés par d'autres molécules,
11:20 d'autres globules blancs du système immunitaire,
11:23 et ils détruisent, y compris la cellule saine qui a produit cette toxine.
11:32 Et en 4, ça se retrouve dans l'organisme,
11:37 et il s'agit ensuite pour l'organisme d'évacuer ces déchets.
11:41 Et c'est là où il a beaucoup de mal.
11:43 Parce qu'entre temps, le macrophage lui-même, il va être attaqué par ces nanoparticules lipidiques.
11:52 Donc le macrophage lui-même, qui est le système immunitaire,
11:56 va se retrouver avec des nanoparticules à l'intérieur de lui-même,
12:01 et lui-même va se mettre à fabriquer de la spike, d'autres toxines étrangères.
12:08 Donc lui-même, le macrophage, va se retrouver à être la cible d'autres globules blancs,
12:14 donc du système immunitaire.
12:17 Et c'est ainsi que le système immunitaire s'effondre.
12:21 Et on assiste à une espèce d'effondrement du système immunitaire
12:26 qui est à peu près l'équivalent de ce qu'on appelle un syndrome d'immunodeficience acquise,
12:33 à savoir SIDA.
12:34 Et c'est pour ça qu'on observe que le système immunitaire est complètement effondré
12:39 avec ces effets secondaires de ces injections.
12:44 On arrive ici au 4, où il y a les protéines spike.
12:48 Et là, vous voyez les protéines spike, une fois qu'elles sont dans l'organisme,
12:54 et qu'elles sont libérées, et qu'elles ne sont pas sur la cellule,
12:57 elles vont aussi être attaquées par le système immunitaire qui va essayer de les neutraliser.
13:02 Et là, ce sont les anticorps fabriqués par les cellules B qui vont arriver là
13:08 et neutraliser la cellule spike.
13:12 Mais comme la cellule spike, elle n'est pas attachée à son virus,
13:19 les anticorps vont la prendre, si je puis dire, par devant et par derrière.
13:26 Donc, ils vont essayer de la prendre par devant et ici par l'arrière.
13:31 Et ça va former des complexes auto-humains qui vont être très très difficiles à éliminer.
13:37 Ça, c'est des études qui ont été produites, je vous les donnerai si vous voulez les liens.
13:44 Et donc, c'est ainsi qu'on assiste à un système d'auto-destruction
13:50 qui va être généralisé à tout l'organisme.
13:54 Parce que les nanoparticules lipidiques vont se retrouver dans tout l'organisme
14:01 et aussi bien, on verra, dans le cerveau que dans la rate, que dans le foie,
14:07 que dans les ovaires, que dans les testicules,
14:11 il n'y a pas un seul organe du corps qui pourra y échapper
14:16 parce que ces nanoparticules lipidiques sont faites de gras.
14:21 Elles sont faites en grais, c'est ce qu'on va voir maintenant
14:24 et elles peuvent pénétrer dans toutes les cellules.
14:27 Alors que le virus, lui, qui avait ses spikes à la surface,
14:32 lui, il ne pouvait rentrer que dans les cellules qui avaient le récepteur de la spike,
14:37 qui était le récepteur à CO2 pour les humains.
14:40 C'est-à-dire que les cellules du vaccin, entre guillemets,
14:44 vont entrer dans toutes les autres cellules, les nanoparticules du vaccin.
14:50 Alors ces nanoparticules présentent un triple risque.
14:56 On n'insiste jamais assez, mais il n'y a jamais eu d'essai clinique
15:01 pour tester les nanoparticules.
15:04 Jusqu'à présent, les nanoparticules, si on en trouvait dans des vaccins,
15:08 c'était considéré comme des impuretés.
15:11 Or là, ils ont conçu un vaccin où le principe même du vaccin, c'est l'impureté.
15:19 Donc, ils ont conçu un vaccin qui est composé d'impuretés.
15:23 Et ces impuretés, ce sont les nanoparticules.
15:26 Donc pourquoi un triple risque ?
15:29 D'abord, la nanoparticule elle-même, sans l'ARN.
15:33 Ensuite, l'ARN modifiée génétiquement, qui est à l'intérieur de la nanoparticule.
15:39 Et troisièmement, la spike, une fois qu'elle sera rentrée dans la cellule.
15:45 Voilà.
15:47 Voilà.
15:53 Donc l'ARN rentre dans la cellule,
15:57 et il ressort sous forme de spike. C'est la première fois.
16:01 Maintenant, ces nanoparticules, pourquoi elles sont particulièrement dangereuses ?
16:07 Parce qu'elles sont composées d'éléments chimiques qui n'ont jamais été testés sur les humains.
16:16 Et même sur les animaux.
16:18 Mais quand ça a été testé sur des animaux, on a vu qu'il y avait des effets extrêmement délétères,
16:24 parce qu'effectivement, ça rentre dans toutes les cellules.
16:28 Et surtout, ces nanoparticules lipides, elles sont composées de quatre lipides.
16:33 Et le premier lipide, qui est du polyéthylène glycol, complètement chimique, et qui est très très allergique.
16:42 Donc ça peut provoquer, et effectivement ça a provoqué des chocs anaphylactiques.
16:48 Ensuite, le deuxième aminolipide, c'est un aminolipide qui va changer la charge électrique de l'ARN,
16:58 une fois qu'il sera dans la cellule.
17:00 Et ces deux éléments-là sont des éléments chimiques qui n'existent pas dans la nature,
17:07 et qui sont devenus des propriétés industrielles.
17:10 Donc ça appartient à Pfizer et Moderna.
17:13 Et ces deux éléments qui composent les nanoparticules lipides n'ont jamais été testés sur les humains,
17:21 et n'existent pas dans la nature.
17:24 Et ils sont faits pour permettre l'entrée dans les cellules.
17:29 Ensuite, vous avez deux autres lipides, les pseudo-phospholipides et le cholestérol.
17:36 Ça c'est des lipides qu'on trouve dans la nature, qu'on trouve même dans le corps humain.
17:41 Mais le problème, c'est que justement, comme vous le présentez au système immunitaire,
17:47 en même temps et à côté des deux autres, qui sont extrêmement toxiques et extrêmement allergisants,
17:54 le corps peut être amené à ne plus faire la différence,
17:59 et à aussi attaquer les pseudo-phospholipides naturels de l'humain,
18:04 et le cholestérol naturel de l'humain.
18:07 Or les pseudo-phospholipides, c'est très très important pour mener à bien une grossesse, par exemple.
18:12 Donc là vous avez les quatre lipides des nanoparticules lipidiques.
18:18 Ensuite, le danger de la RN.
18:21 On vient de voir le danger des nanoparticules lipidiques, maintenant le danger de la RN.
18:25 Qu'est-ce qui se passe avec la RN modifiée ?
18:28 Là, par exemple, ça c'est l'ADN, il est dans le noyau.
18:37 Pour sortir du noyau, il devient de la RN.
18:44 Et c'est la RN messager qui sort du noyau et qui va aller se transformer en protéine.
18:51 C'est comme ça le système.
18:53 Alors la RN messager, le voilà.
18:56 Sauf que la RN messager qu'ils ont mis dans les vaccins, c'est pas de la RN messager.
19:01 C'est de la RN modifiée, qui n'est pas de la RN messager.
19:05 Parce qu'il arrive directement dans la cellule.
19:09 Et vous voyez, la RN messager, normalement, il fabrique un petit collier de perles.
19:14 C'est la protéine qui va sortir de la cellule.
19:18 Et qu'est-ce qu'ils ont fait, eux, avec la RN ?
19:23 La RN a quatre bases.
19:32 La RN a quatre bases.
19:35 Donc, ces quatre bases sont traduites en protéines.
19:39 Vous voyez à gauche.
19:41 Mais là, qu'est-ce qui s'est passé ?
19:44 On va les ressembler ici.
19:46 Ils ont pris tous les U de la RN et ils les ont changés en un pseudo-uridine, pseudo-U.
19:57 Et ils ont fait un ARN modifié, qui n'est pas la RN messager naturelle.
20:02 Et qui est totalement artificiel et qui n'existe pas dans la nature.
20:08 Or, cet ARN messager modifié, est-ce qu'il va être bien lu par les cellules ?
20:16 Et là, ce n'est pas évident.
20:17 Et au contraire, on est en train de s'apercevoir qu'il ne lit pas.
20:20 Il n'est pas bien lu par les cellules et qu'il va produire des protéines complètement adhérentes.
20:25 Or, cette transformation de l'ARN naturel en ARN modifié, génétiquement modifié,
20:34 c'est pour cette raison que la personne qui l'a inventé, ou mis au point,
20:39 a obtenu le prix Nobel de Messines l'année dernière.
20:45 Donc, vous voyez, on n'obtient un ARN avec que, à la place du U, du pseudo-U.
20:53 Et qu'est-ce qui se passe ?
20:55 Pourquoi ils ont fait ça ?
20:57 Ils ont fait ça parce qu'ils ont dit que, comme ça,
20:59 normalement, l'ARN, le corps a décidé qu'il fallait qu'il soit détruit immédiatement qu'il sortait.
21:04 Pour ne pas patiner et produire, comme un disque rayé, des protéines en permanence.
21:10 Donc, il faut que l'ARN soit biodégradable très rapidement.
21:14 Donc, ils ont fait ça pour empêcher que l'ARN soit biodégradable.
21:19 Donc, on se retrouve avec un ARN qui met beaucoup de temps à se dégrader.
21:24 Et donc, au début, on dit "non, non, mais ça part dans les minutes qui suivent, dans les heures qui suivent".
21:28 En réalité, on s'aperçoit que, quelques fois, des mois après,
21:31 on retrouve encore de l'ARN modifié dans l'organisme.
21:34 Et donc, qu'est-ce qui se passe ?
21:37 Maintenant, on regarde à gauche.
21:40 Là, c'est le processus naturel, à gauche.
21:44 L'ARN messager naturel est traduit et fabrique des protéines.
21:50 Mais avec l'ARN modifié, à droite,
21:55 eh bien, ça bug.
21:57 Et les ribosomes, quelques fois, quand ils tombent sur un pseudo U,
22:02 au lieu de le prendre pour un U, quand ils tombent sur un pseudo U,
22:06 ils bug et, quelques fois, ils peuvent créer des protéines aberrantes
22:12 qui n'existent pas non plus dans le corps humain.
22:15 Et là, on est à un niveau où c'est le principe même de base
22:20 de cette technologie ARN modifiée qui est mise en cause
22:26 parce que les ribosomes bug et ne lisent pas exactement l'ARN
22:32 comme si c'était de l'ARN naturel et fabriquent des protéines aberrantes.
22:36 Et ça peut être déprimant.
22:38 Et ça peut expliquer des maladies de Crossfade-Jacobs
22:42 qu'on a vu se développer très très rapidement et de façon totalement anormale.
22:47 Donc ça, c'est en partie dû à ces nouvelles...
22:50 Ça, c'est des études très très récentes.
22:52 Personne n'en a parlé à la télévision, vous n'avez pas entendu,
22:56 mais ça fabrique des protéines folles.
23:02 Et on a trouvé également que non seulement l'ARN fabriquait des protéines folles,
23:08 et ça c'est le principe même de cette injection,
23:11 mais il y a autre chose encore, c'est que dans les vaccins,
23:15 entre guillemets, ils ont plusieurs modes de fabrication.
23:20 Et le mode de fabrication industriel n'a pas été testé dans les essais cliniques.
23:25 Ils ont testé un premier mode de fabrication dans les essais cliniques
23:31 et ensuite, pour passer à la vaccination de masse,
23:35 ils ont utilisé un autre procédé de fabrication.
23:38 Et l'autre procédé de fabrication utilise de l'ADN comme moyen transitoire
23:45 pour fabriquer l'ARN modifié qu'on a vu à l'instant.
23:50 Et cet ADN, donc ils fabriquent des ADN en cercle, des plasmides,
23:56 et dedans ils mettent quoi ? Donc ils mettent l'ADN de la spike, qu'on a vu,
24:03 et puis ils mettent aussi, et c'est là où il y a un chercheur qui s'appelle Kevin McKernan
24:09 qui a découvert ce qu'il mettait dedans, parce qu'il a retrouvé ces ADN dans les vaccins,
24:16 dans les fioles de vaccins, alors que ce n'était pas indiqué.
24:20 Et donc il a pu avoir en gros la matrice de fabrication de l'ARN.
24:25 Et il s'est aperçu qu'il y avait dedans des gènes qui n'étaient pas indiqués
24:31 dans la notice de fabrication des vaccins. Donc il s'est aperçu de quoi ?
24:35 Qu'il y avait donc effectivement la séquence d'ADN de la spike, donc ça c'est normal,
24:39 même si elle est artificielle elle aussi, mais ça c'est un autre débat.
24:43 Ensuite il s'est aperçu qu'il y avait des séquences de SV40.
24:47 SV40 c'est un virus de singe qui est un promoteur,
24:52 et là il y a le morceau de promotion, qui est un promoteur de cancer.
24:57 Et donc le mettre dans la matrice du vaccin, c'est mettre dans l'organisme un promoteur du cancer.
25:05 Et le SV40 qu'est-ce qu'il fait ? Il facilite la pénétration de l'ARN dans,
25:12 de l'ADN et de l'ARN, dans le noyau.
25:15 Alors vous vous souvenez qu'on nous a dit, c'est de l'ARN, ça ne va pas rentrer dans le noyau
25:21 et donc ça ne va pas s'inscrire dans votre patrimoine génétique.
25:26 Or cette découverte de Kevin McCarnal montre que les vaccins,
25:30 tous ceux qu'il a testés, Pfizer et Moderna, étaient contaminés avec cet ADN,
25:36 qui lui contenait ces morceaux de virus de singe, qui facilitent l'entrée dans le noyau.
25:44 Alors si ça rentre dans le noyau, après ça peut s'intégrer dans l'ADN.
25:49 Et si ça s'intègre dans l'ADN, là ça se transmet également aux générations futures.
25:57 Donc c'est très inquiétant, il y a des vaccins spécialistes justement du cancer
26:02 qui sont intervenus et qui ont dit "Oh là là, attention, il faut absolument revoir le mode de fabrication
26:10 et éliminer cette pollution parce que là c'est de la contamination".
26:14 Là que c'est considéré comme de la contamination, il y en avait jusqu'à 30%.
26:18 Donc c'est bien au-dessus de ce qui est normalement tolérable.
26:22 Et il n'y a pas de "normalement" parce que de toute façon ça n'a jamais été fait.
26:25 Donc pourquoi les agences de régulation vont tolérer tel pourcentage et tel pourcentage ?
26:29 Mais elles n'en savent rien. Elles-mêmes n'en savent rien du tout.
26:33 Et en plus de ça, qu'est-ce qu'il a découvert Kevin McCarnal ?
26:36 Qu'il y avait encore plusieurs autres gènes qui étaient dans cette matrice d'ADN
26:42 qui va servir de modèle à l'ARN.
26:44 Et dans cette matrice, il y avait également des gènes de résistance aux antibiotiques
26:50 qui vont rentrer dans les cellules.
26:52 Donc si en plus c'est transcrit dans l'ADN, ça veut dire qu'on va insérer des gènes de résistance aux antibiotiques
26:59 dans les noyaux des cellules et dans l'ADN.
27:02 Et après, il a trouvé deux autres séquences qu'il a appelées des séquences mystères.
27:08 Mais chaque fois qu'il a essayé, comme c'est des séquences génétiques, il les a mesurées avec un instrument qui s'appelle BLAST.
27:17 Et il a trouvé que ça ressemblait beaucoup à des séquences génétiques animales, en particulier le fil,
27:27 les séquences génétiques qui aident les vers à soie à fabriquer du fil, du fil et du fil de soie.
27:35 Et également les araignées, quand elles fabriquent leurs toiles d'araignées, ce fil est fabriqué grâce à un gène.
27:43 Et le gène qu'il a retrouvé, bon maintenant ça, pour l'instant ça reste à vérifier,
27:48 mais le gène qu'il a retrouvé ressemblait beaucoup au gène des araignées et des vers à soie.
27:54 Donc ça n'a rien à voir et ça n'a rien à faire dans le corps humain.
27:58 Donc ça c'est une contamination, c'est pas le principe de base du vaccin.
28:02 C'est l'ARN, on l'a vu, et l'ARN modifié qui n'existe pas dans la nature.
28:07 Et de faire fabriquer une toxine étrangère.
28:10 Donc voilà, on les retrouve partout, ces nanoparticules, j'allais assez vite parce que là je suis un peu en retard.
28:18 Et évidemment ça provoque des troubles systémiques, c'est-à-dire qu'il n'y a pas une maladie qui va correspondre.
28:25 D'ailleurs le médecin vous l'a dit juste avant.
28:27 Il va y avoir plein de troubles systémiques, donc je n'insiste pas là-dessus.
28:32 Mais ensuite on s'est aperçu en Angleterre, de quoi ?
28:36 Qu'eux ils ont des statuts, ils ont été les plus transparents par rapport aux français.
28:44 Les français, l'agence du médicament n'a absolument pas été transparente.
28:49 Et donc elle n'a pas donné les différences entre les gens selon qu'ils sont à la base.
28:55 Entre les gens selon qu'ils ont un statut vaccinal ou non vaccinal.
28:59 Est-ce qu'ils sont plus malades ou moins malades ?
29:01 Bon, ça en France, interdit de le savoir.
29:05 Il y a Laurent Dubiana qui a demandé à avoir des données clairement transparentes
29:11 sur quelle est la mortalité en fonction du statut vaccinal.
29:16 Et l'agence du médicament a refusé de les donner.
29:20 Donc ça c'est la transparence à la française.
29:23 Les anglais sont un peu plus transparents, donc ils ont laissé les chiffres sur leur site.
29:29 Et sur leur site officiel, on a pu voir que chez les jeunes entre 18 et 39 ans,
29:36 les personnes qui étaient vaccinées avaient beaucoup plus de risque de mourir
29:41 que les personnes qui n'étaient pas vaccinées.
29:43 Et donc par exemple, si vous avez 65% de vaccinés en Grande-Bretagne, au Royaume-Uni,
29:51 et bien par contre, ils sont 78,4% dans les morts.
29:57 Ça veut dire que si vous êtes vaccinés, vous avez plus de risque de mourir que si vous n'êtes pas.
30:03 Parce que si vous regardez en bas, les non vaccinés qui sont 30% de cette tranche d'âge,
30:08 et bien par contre, ils ne représentent que 17% des morts de la même tranche d'âge.
30:14 Et ça c'est très très inquiétant. Parce que ce sont des jeunes qui mourent.
30:18 Donc si on compte en nombre d'années de vie supprimée, c'est énorme.
30:25 Alors, voilà pour terminer. En 1976, il y avait eu une campagne vaccinale aux Etats-Unis.
30:37 Après 25 morts, la presse avait fait son boulot, avait dénoncé les effets secondaires,
30:45 et la campagne avait été arrêtée. 25 morts.
30:49 En 2023, on est à plus de 36 000 officiellement, et jusqu'à 17 millions selon certains calculs,
31:00 et selon certaines études, comme celle de demi-rencours au Canada.
31:04 Pourquoi une telle différence ? Pourquoi le principe de précaution était-il appliqué en 1976 ?
31:14 Et pourquoi maintenant, en 2023, on n'est même plus dans le principe de précaution,
31:20 là on est dans la constatation de la catastrophe ?
31:23 Et ils continuent de laisser ce produit sur le marché.
31:28 Non seulement ça, mais ils vaccinent les enfants,
31:32 sachant que les enfants n'ont aucun risque d'attraper le Covid.
31:36 Donc pourquoi un tel acharnement ?
31:39 Et ça c'est une question qui est cruciale, et malheureusement,
31:44 après, quelle est l'explication de cet acharnement ?
31:48 Et bien là, c'est plus difficile à affirmer parce qu'il faut les preuves.
31:52 Mais on peut constater qu'ils s'acharnent à donner un produit toxique,
31:57 expérimental, à des enfants qui n'en ont pas besoin,
32:01 et qui vont mettre en danger leur fertilité future.
32:06 Donc, quel est leur objectif ?
32:10 Voilà, c'est fini.
32:12 Comme l'a dit le médecin juste avant, il ne peut pas dire.
32:15 Moi j'ai écrit mon livre "Le grand désordre ordonnal" en 2021.
32:20 Je parle de tous les produits toxiques qui attaquent le système hormonal,
32:25 et la fertilité en particulier.
32:27 Et dedans, il y a un chapitre sur ces injections Covid à nanoparticules lipidiques,
32:34 et ARN génétiquement modifié.
32:38 Donc, c'est déjà expliqué dans ce livre qui est de 2021.
32:43 Voilà, merci.