Le JT Bilingue des Regions du 20 Mars 2024 sur la CRTV
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00:21 de la région. Bonsoir.
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00:25 Bonsoir. Bonsoir. Vous avez les
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00:31 régions sur la tuberculose.
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00:34 tuberculose. Le Cameroun a
00:37 Le Cameroun a
00:37 Le Cameroun a éradiqué la maladie d'ici
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00:38 éradiqué la maladie d'ici deux-mille-trente-cinq. Le
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00:39 deux-mille-trente-cinq. Le ministre de la santé publique
00:40 ministre de la santé publique
00:40 ministre de la santé publique était face à la presse ce
00:41 était face à la presse ce
00:41 était face à la presse ce soir.
00:47 soir.
00:47 soir. Le Parc national de Mouzogo
00:50 Le Parc national de Mouzogo
00:50 Le Parc national de Mouzogo est dans le département du
00:51 est dans le département du
00:51 est dans le département du Mayot-Chadaga est une vaste
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00:53 Mayot-Chadaga est une vaste réserve biosphère de
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00:55 réserve biosphère de mille-quatre-cent hectares.
00:56 mille-quatre-cent hectares.
00:56 mille-quatre-cent hectares. Nous vous emmenons à la
00:57 Nous vous emmenons à la
00:57 Nous vous emmenons à la découverte de cette vaste zone
00:59 découverte de cette vaste zone
01:00 découverte de cette vaste zone de
01:13 de la région. Et on parle de l'actualité au ministère des
01:40 Les lisons, les réponses aux rapports sur l'exécution des projets en Cameroun, accueillis par le ministre des Affaires publiques, Emmanuel Nganu Njumesi.
01:48 Le comité a aussi donné un délai de 10 jours pour les contrats qui ont été accordés pour l'exécution des projets à commencer.
01:56 Nous vous apporterons des détails dans la suite de nos éditions de nouvelles. La suite c'est avec vous Etienne.
02:02 Et nous nous disions à l'instant l'Élysée Poter, on parle de la 38e, 31e édition de la journée mondiale de la lutte contre la tuberculose.
02:09 Qui se célèbre ce mercredi sous le thème "Oui, nous pouvons mettre fin à la tuberculose".
02:16 Au Cameroun, ce jour marque l'apothéose d'une semaine d'activité réalisée dans le cadre de cette célébration dont le but recherché est de mettre fin à la maladie d'ici 2035.
02:27 Pour l'occasion, le ministre de la Santé publique a fait une déclaration à la presse dans laquelle un accent est mis sur les nouvelles stratégies pour éradiquer cette maladie.
02:37 Je vous propose à présent d'écouter le ministre de la Santé publique, Manaoda Malachi, dans cet extrait d'interview sélectionné par Caroline Ouéthée.
02:46 La tuberculose, cette maladie qui reste et demeure une préoccupation majeure de santé publique au Cameroun, mérite toute notre attention.
03:00 En dépit des résultats encourageants, l'objectif qui vise à mettre fin à la tuberculose d'ici 2035 n'est pas encore atteint.
03:10 C'est pourquoi nous devons non seulement continuer la recherche intensive et le traitement de toutes les personnes atteintes de tuberculose pharmacosensibles ou pharmacoresistantes,
03:22 mais aussi accélérer la réduction des nouvelles infections.
03:27 Nous vous prenons maintenant à nos régions et à l'East Region qui partage ses frontières avec deux pays membres du CEMAC.
03:38 Pouvez-vous aujourd'hui attester les nombreux avantages partagés entre les pays membres dans les secteurs de la mine, de la transporte et de l'importation, ainsi que de l'exportation des produits?
03:48 Le 30e anniversaire du CEMAC, l'East Region qui reste l'une des frontières du CEMAC, a rejoint les autres pays membres et les nations en ce moment.
04:00 Voici les détails avec Célestine Sombelé de CRTV East.
04:03 L'amour pour les precieux pierres d'or dans l'East Region a réussi à attirer plusieurs entreprises de partout au monde,
04:12 mais surtout ceux des pays CEMAC qui partagent leurs frontières avec la région.
04:17 Naturellement, nous notons qu'il y a des clients venant d'extérieurs et intérieurs,
04:26 reconnus par les autorités de la mine.
04:28 L'exploitation se passe aussi en Centrale-Afrique et au Congo, où l'exploitation en fer sera également en cours.
04:37 La position géographique de la région, comme une zone de jointe entre Douala Bangui et Douala Jamena,
04:42 a aussi favorisé le secteur de transport,
04:45 car des tonnes de produits passent par l'Est de l'Amigdala à ces pays,
04:49 et d'autres pays ne peuvent pas être trop emphasisés,
04:52 surtout lorsque la région rejoint les autres pays.
04:56 Nous allons maintenant parler de la région littorale,
05:00 où les commandants des régions militaires 1e et 2e sont en train d'attaquer pour se protéger du Maréchal Cameroon,
05:06 qui a été attaqué par de nombreux thèmes.
05:10 Ils ont mis en place une mission pour trouver des approches adéquates
05:14 pour gérer la situation en essayant d'assurer une bonne couverture de ce secteur riche en recherches stratégiques.
05:21 La mission de travail consultative a été dirigée par le brigadier général Simon Ezua Mbondo
05:27 et le commandant d'aire, le brigadier général Benoit Eba Bidi.
05:32 Cynthia Etim nous en parle de Douala.
05:36 Le brigadier général Simon Ezua Mbondo, qui commande la région militaire 1e,
05:41 et le brigadier général Benoit Eba, le commandant de la région militaire 2e,
05:48 sont arrivés à la 11e frontière de la autorité de Douala.
05:53 Ils sont accueillis par le capitaine Jean-Michel Mfeghe, le commandant de la base d'aire de Douala.
05:58 Tout cela a été suivi par la réunion des troupes.
06:01 Les officiels sont ensuite allés à la mairie du commandant de la région militaire 2e.
06:07 La côte maritime camérounaise, qui couvre une zone d'environ 405 km,
06:13 attire les pirates et les autres meurtriers.
06:16 Il s'agit de conduire ces criminels hors de l'espace maritime
06:20 pour que la mission de travail inter-théâtre et de consultation soit organisée par les régions militaires 1e et 2e.
06:28 La réunion de consultation a été également utilisée pour évaluer les stratégies
06:32 pour la bonne couverture de la ligne côtière camérounaise grâce au recrutement des ressources.
06:37 C'est Cynthia Itim, de Douala.
06:41 Le prix de vente d'un kilogramme de coco en Cameroune a atteint 5 100 CFE France depuis mars 17 2024,
06:49 un améliorement qui a de plus en plus élevé l'appétit des jeunes à penser à entrer dans le business.
06:58 Avec le soutien du gouvernement, beaucoup ont choisi d'investir plus dans le secteur de l'Abolova.
07:04 Clarence Azay nous en parle plus de cette partie de la région.
07:07 Jacques Obam, 40, et Joseph Zendongo, 21, deux jeunes agriculteurs de coco à Biwam Bulu,
07:16 ont fait le meilleur de leur croissance de cash en suivant un récord de hausse des prix.
07:21 Un a dû abandonner sa carrière d'enseignement pour investir dans la farmation de coco.
07:25 J'ai environ 3 hectares qui me donnent 300 000 FF par an.
07:32 Avec l'aide du gouvernement, via la table des producteurs et les coopératives,
07:36 les producteurs de coco au sud ont commencé à recevoir des informations
07:39 et s'intentent de booster la production cette saison.
07:42 Ils espèrent atteindre un objectif de 60 000 tonnes, en plus de 45 000 l'année dernière.
07:48 Ce que le gouvernement a fait pour nous cette année, c'est motivant.
07:53 Les habitants, les fertilisateurs et d'autres ont amélioré leurs yields.
07:58 Grâce au récord de hausse des prix de coco, Jacques Obam et Joseph Zendongo,
08:02 comme d'autres jeunes dans la région du sud,
08:04 ont galvanisé pour investir leur temps et leur énergie dans la croissance de cash.
08:11 La suite du journal des régions dans le littoral où des travaux de cantonnage
08:15 sont menés depuis lundi dernier.
08:17 Le temps a été donné sur la route nationale numéro 3.
08:21 L'opération placée sous la supervision du délégué régional des travaux publics du littoral
08:26 intervient au lendemain de la communication du ministère des travaux publics
08:30 relative à l'engagement de certains axes, à l'aménagement de certains axes du réseau national
08:35 qui visent à améliorer la visibilité sur la route.
08:39 D'autres détails avec Mélanie Bilor du CRTV littoral.
08:43 Du désherbage des abords des routes au décapage et nettoyage des accoutements
08:48 en passant par le curage des ouvrages hydrauliques,
08:51 sans oublier la restauration des panneaux de signalisation et de sécurisation.
08:55 Tout cela participe de l'opération de cantonnage.
08:58 Mais il y a aussi le dégagement des emprises.
09:01 Cela s'est matérialisé sur la nationale numéro 3 de Békoko-Lieu-Di-Échangeur
09:07 jusqu'au pont sur le Mongo.
09:08 Ces travaux vont consister à exécuter le cantonnage
09:11 qui va durer 7 mois de travaux à exécuter sur cette tronçonne de route.
09:14 Cela va améliorer la visibilité et limiter au maximum les accidents de circulation.
09:19 Les responsables des travaux se veulent rassurants.
09:23 Des dispositions sont prises pour assurer non seulement la fluidité du trafic,
09:27 mais aussi la sécurité des personnes et des biens pendant et même après la période des travaux.
09:33 Le délégué régional des travaux publics a invité les riverains
09:37 à collaborer avec les équipes présentes sur le terrain pour accélérer le processus.
09:42 Le professeur Raoul Domingo Aïssi,
09:46 directeur de l'École nationale supérieure polytechnique de Yaoundé,
09:50 a reçu le prix d'excellence managériale.
09:52 Ce prix lui a été décerné par le collectif des journalistes d'investigation
09:57 au cours d'une cérémonie tenue dans l'enceinte de la dite école à Yaoundé.
10:01 Michel Renaud Oanja.
10:03 Grâce au programme adapté aux défis du développement,
10:06 l'École nationale supérieure polytechnique de l'université de Yaoundé 1
10:10 entend démarrer une institution d'élite.
10:13 Le prix décerné au professeur Raoul Domingo Aïssi,
10:16 directeur de cette école, par le collectif des journalistes d'investigation,
10:21 est une marque de reconnaissance pour les actions menées au quotidien.
10:24 Le prix reçu par le professeur Aïssi honore l'université tout entière
10:31 et par ricochet tout le système d'enseignement supérieur du Cameroun.
10:36 Selon le collectif des journalistes d'investigation,
10:39 ce prix obéit à nombreux critères.
10:41 Je ne vous apprends rien, si vous essayez d'investiguer,
10:44 là vous allez voir que ses collaborateurs sont très fiers de lui
10:47 depuis qu'il a la tête de cette institution.
10:49 Les efforts menés en faveur de l'innovation dans cette école
10:53 entendent davantage se poursuivre.
10:58 Nous repartons dans la région du littoral
11:00 pour parler du syndicat national des médecins privés du Cameroun
11:03 qui a un nouveau président.
11:05 Le docteur Philippe Ndande a été élu pendant l'assemblée générale
11:08 tenue à Douala le week-end dernier.
11:11 C'était en présence des responsables de l'ordre national des médecins du Cameroun
11:15 et des membres de la commission électorale.
11:18 Retrouvons une fois de plus Ménaly Bilor pour d'autres détails.
11:23 C'est une nouvelle page qui s'ouvre avec l'élection du docteur Philippe Ndande
11:27 à la tête du syndicat national des médecins privés du Cameroun.
11:31 La commission électorale se réjouit de le reaboutissement
11:35 des travaux de l'assemblée générale du SINAMEC.
11:37 Nous avons pu mettre en place un bureau qui va travailler pendant une année
11:41 pour pouvoir permettre de nouvelles élections.
11:44 Moi particulièrement je suis très heureuse d'avoir pu obtenir cela
11:49 parce que ce n'était pas gagné d'avance.
11:51 La nouvelle équipe entend redonner ses lettres de noblesse à la profession médicale.
11:56 Au sortir de ses assises, le président de l'ordre national des médecins du Cameroun
12:00 a rappelé que le SINAMEC est le bras séculier de l'ordre.
12:03 Dr Rodolphe Fonkoa a donc invité le nouvel exécutif de ce syndicat
12:09 à ratisser très large en attendant l'assemblée générale extraordinaire d'avril prochain.
12:14 Encore une fois dans la région du sud-ouest,
12:18 des étudiants de certaines écoles primaires à Boya ont été enseignés
12:21 à manger de la nourriture saine et à s'exercer de manière fréquente
12:24 afin de gérer les disorders liés au cerveau.
12:27 Les étudiants ont été sensitisés pendant la semaine de la conscience du cerveau de Boya 2024
12:31 et ont célébré sur le thème des défis du cerveau âgé,
12:35 une question de réflexion.
12:37 Voici Annabelle Ndike Enon Ayang avec les détails.
12:41 La semaine de la conscience du cerveau de Boya 2024
12:47 a focusé sur l'éducation des jeunes enfants
12:49 sur la nécessité de pratiquer des habitudes saines pour s'occuper du cerveau.
12:53 Nous avons choisi de faire la semaine de la conscience du cerveau
12:57 avec les enfants parce que l'éducation est un processus graduel.
13:02 Il est mieux pour nous de les sensitiser, de les parler
13:07 pour qu'ils savent comment s'occuper de leur cerveau
13:12 et de réduire le burdeau des disorders de cerveau liés au cerveau âgé.
13:16 Des étudiants de certaines écoles primaires à Boya
13:19 ont été enseignés à prévenir les disorders de l'âge de cerveau âgé.
13:23 Avec cette conscience du cerveau donnée aux jeunes enfants,
13:27 Kamane est fière que l'âge du cerveau âgé
13:31 ainsi que les disorders liés au cerveau ne seront pas un problème
13:35 pour ces jeunes générations qui seront les leaders du futur.
13:40 La population de Lactate II à Bouddha,
13:45 la division de Bambouto au sud de la région,
13:47 est encore choquée après un jeune homme a bouché son père à la mort.
13:51 L'incident s'est déroulé lundi dernier à 1h du matin dans la maison.
13:55 Chancelier Nanzé raconte l'incident de la police dans ce rapport.
14:00 26 ans, Anol Ismael Kenne,
14:05 a transformé sa maison en boucherie,
14:09 pas pour les animaux, mais pour les humains.
14:12 Et son père de 70 ans, Lucas Sapewo, était sa première victime.
14:17 Selon sa mère, Elise Mayemju,
14:20 le suspect a, à plusieurs reprises,
14:23 menacé de faire sa vie à partir d'eux.
14:26 Ils étaient des amis les meilleurs,
14:31 mais à cause des drogues, il a tué son père.
14:34 Le rôleur traditionnel de Lactate II à Bouddha,
14:39 la division de Bambouto, dit que
14:41 Ismael Kenne a été un threat constant à sa famille et à ses voisins.
14:46 Le suspect est actuellement derrière les barres
14:49 de la brigade territoriale de Bouddha,
14:51 qui attend un trial,
14:52 alors que les restes mortels de la victime
14:55 ont été déposés dans la boucherie.
14:57 C'est vrai, des nouvelles tristes dans la région Ouest.
15:02 Etienne, prenons notre regard à la région Ouest du Sud,
15:06 où un nouveau centre multimédia a été inauguré.
15:10 Exactement, les lycéens porteurs, il faut dire que l'objectif
15:14 est de faire de ce centre multimédia high-tech
15:17 rénové de l'Université de Boya
15:18 un véritable instrument pour la recherche
15:21 et profiter des opportunités de formation,
15:23 d'emploi qu'il va offrir.
15:25 C'est le message délivré jeudi dernier
15:27 aux étudiants de cette université
15:29 par le Vice-Chancellor,
15:30 professeur Horace Ngumomanga.
15:32 C'était au cours de l'inauguration
15:34 de ce centre réhabilité
15:36 qui offre des formations certifiantes
15:39 en matière de cybersécurité et de cloud informatique.
15:44 Salvatore Mbecha de CRTV Boya.
15:46 22 ans après sa création
15:51 et sous le regard tout sourire de la pionnière,
15:54 le professeur Dorothin Djeema,
15:56 le UBIT Senta présente
15:59 un visage digitalisé
16:00 grâce aux équipements technologiques ultramodernes
16:03 mis à la disposition des étudiants
16:06 pour un son qualitatif vers le numérique.
16:08 Cette métamorphose digitale
16:10 est le fruit d'un partenariat
16:12 avec la firme de Brotec
16:15 déterminée à faire éclore de ce laboratoire
16:18 des génies du numérique
16:20 qui pourront avoir un accès facile à l'emploi
16:23 au travers des modules de formation
16:25 qui épousent l'ère du temps.
16:27 On est focalisé sur cloud,
16:29 computing et cybersécurité.
16:32 Et le cours est actuellement six mois
16:35 et c'est aussi intégré avec le programme de certification.
16:38 Donner l'emploi à l'individu
16:40 qui va passer à travers ce programme.
16:42 Avec la réouverture de ce centre multimédia,
16:45 l'Université de Boya continue sa marche progressive
16:48 vers la numérisation de ses enseignements.
16:51 La plateforme Mongabay a réuni autour d'un café-science
16:58 l'Association des journalistes et communicateurs scientifiques
17:01 et le Réseau des médias africains
17:03 pour la promotion de la santé et l'environnement.
17:05 C'était hier à Yaoundé.
17:07 L'objectif étant de faire connaître la plateforme
17:10 et les opportunités de production qu'elle offre
17:12 aux journalistes camerounais des questions environnementales.
17:16 Les détails avec Caroline Ouéthée.
17:18 Les questions environnementales préoccupent le monde.
17:22 Et l'accès aux sources des problèmes liés à l'environnement
17:25 n'est pas aisé pour les journalistes du dit secteur.
17:28 Les journalistes s'intéressent à ces questions de science,
17:30 que ce soit la santé, l'environnement,
17:32 ont beaucoup de difficultés.
17:34 Il n'y a pas toujours les moyens financiers
17:36 et matériels nécessaires pour pouvoir aider les journalistes
17:39 à aller produire des enquêtes de terrain.
17:41 Ça, ça nous manque.
17:42 Et du coup, un journaliste scientifique
17:44 qui veut vraiment faire son travail,
17:46 aller par exemple au fin fond de la forêt du bassin du Congo,
17:50 il n'y a pas assez de moyens.
17:52 Pour l'occasion, la plateforme Mongabay,
17:54 qui traite des questions de la conservation et de l'environnement,
17:57 offre des opportunités aux journalistes scientifiques
18:00 pour la production des informations
18:01 et des documentaires liés à l'environnement.
18:04 Le Réseau des médias africains
18:06 pour la promotion de la santé et de l'environnement
18:08 est né en 2018 et existe dans 32 pays.
18:12 Sur plus de nouvelles liées à l'environnement,
18:15 la qualité de l'air et ses nuages
18:18 persistent dans la région du Nord
18:20 lorsque les météorologues demandent à la population
18:23 de prendre des mesures de sécurité appropriées
18:25 pour se protéger des infections respiratoires.
18:28 L'atmosphère brûlante a commencé hier matin
18:31 dans certaines villes de la région du Nord
18:33 car les autorités ont également alerté la population.
18:36 Tanjung Levisagwa a des rapports de Garwa.
18:40 Dans la plupart des villes du Nord,
18:42 en particulier à Garwa,
18:43 il y a une atmosphère inévitable
18:45 avec de la poussière qui s'écoule
18:47 sur les voies libres et les villes.
18:49 Les météorologues disent que cette condition climatique
18:52 est commune dans cette partie du pays.
18:54 Ce matin, le 19 mars 2024,
18:58 ce dimanche matin, la ville de Garwa
19:00 a commencé à voir une atmosphère poussière.
19:02 Cela vient généralement des jours
19:04 qui sont en charge au Nord,
19:06 puis au Nord, puis au Sud.
19:08 C'est la poussière qui a pénéissance
19:10 depuis le désert du Tchad.
19:13 Les habitants sont conseillés
19:15 de mettre des masques de visage
19:17 et de prendre d'autres mesures
19:19 pour se protéger des maladies.
19:21 Comme la poussière inonde la ville de Garwa
19:23 et les villes de la région,
19:25 les experts de santé conseillent également
19:27 aux habitants de limiter l'exposition
19:29 à cette atmosphère brûlante.
19:31 L'Association des Jeunes Islamiques caméronien
19:35 a doné des produits basiques
19:37 et d'autres nécessités aux musulmans
19:39 de la région de Nyaoundé pour les aider
19:41 pendant cette période de Ramadan.
19:43 Le geste s'est aligné avec le plan d'action
19:45 de l'Association pour l'année 2024.
19:47 Maïmouna Njoya a un rapport
19:49 de CRTV Center.
19:51 Au-delà du fasting,
19:54 qui est un acte obligatoire de la prière
19:56 pendant le Ramadan,
19:58 les musulmans sont appelés
20:00 à être plus que jamais charitables.
20:02 En lien avec cette recommandation,
20:04 les jeunes islamiques caméroniens
20:06 sont appelés à être plus que jamais charitables.
20:08 L'Association des Jeunes Islamiques,
20:10 connue par son acronyme français,
20:12 a donné une main-d'oeuvre
20:14 à plus de 200 familles.
20:16 La première stop-over
20:18 était à la région de Ngousso.
20:20 Nous vous remercions pour tout ce que vous avez fait pour nous.
20:22 Nous prions à Dieu pour vous donner le pouvoir,
20:24 le changement et l'énergie pour continuer
20:26 à faire tout ce que vous avez fait jusqu'à présent.
20:28 Certains étudiants universitaires
20:30 n'étaient pas laissés derrière
20:32 dans cette action religieuse.
20:34 Nous remercions tous ceux
20:36 qui ont participé
20:38 ou qui ont collecté.
20:40 Les jeunes islamiques caméroniens
20:42 veulent perpétuer
20:44 ces gestes humanitaires
20:46 même après le mois de Ramadan
20:48 en contribuant
20:50 à l'empowerment et au bien-être
20:52 de la communauté musulmane.
20:54 Parlons de certains spots
20:58 dans ce journal,
21:00 un tournoi de tennis de semaine
21:02 qui a invité des membres
21:04 de Club 58 Bamenda
21:06 a été fermé, avec des participants
21:08 qui ont prouvé qu'ils étaient prêts
21:10 à faire face à d'autres clubs
21:12 dans et hors de la région du Nord-Ouest.
21:14 L'activité a été organisée
21:16 par une plateforme de marketing
21:18 connue comme Emomat
21:20 avec l'objectif d'offrir
21:22 une opportunité aux membres
21:24 de Club 58
21:26 et aux fans de flexer leurs muscles
21:28 et de tester leur aptitude
21:30 à la table tennis.
21:32 Un journaliste de Bamenda
21:34 a déclaré que 14 personnes
21:36 ont participé à la compétition
21:38 de tennis de Club 58
21:40 dans les singles et les doubles.
21:42 Le promoteur parle
21:44 de construire un équipe
21:46 de fans de tennis de long terme
21:48 qui partagera d'autres jeux
21:50 de compétition
21:52 à l'intérieur et à l'extérieur
21:54 de la région.
21:56 Les joueurs ont mentionné
21:58 qu'ils ont hâte de faire face
22:00 aux fans de tennis dans d'autres villes.
22:02 Les gagnants du championnat
22:20 de long terme de Bamenda
22:22 ont été récoltés des médailles,
22:24 des trophées et des prix de cash.
22:26 La prochaine édition
22:28 de la compétition a été annoncée
22:30 pour décembre de cette année.
22:32 Nous parlons toujours de sport
22:34 dans le sillage des activités
22:36 liées à la célébration
22:38 de la journée internationale
22:40 des droits de la femme.
22:42 Une marche sportive en relais
22:44 par équipe appelée Equidel
22:46 était rendue à sa quatrième édition
22:48 il y a quelques jours
22:50 dans la cité économique Douala.
22:52 Plus de 250 participants
22:54 ont pris part à ce moment
22:56 de récréation mettant en scène
22:58 des travailleurs des entreprises
23:00 et des entreprises.
23:02 Robert Bajek faisait partie des marcheurs.
23:04 Nous l'écoutons.
23:06 Plus de 250 participants
23:08 ont battu le macadam
23:10 en l'honneur des femmes.
23:12 Du départ de la place de la Besséquée
23:14 à Douala, passant par les rues
23:16 de la capitale économique,
23:18 la marche sportive en relais
23:20 par équipe baptisée Equidel
23:22 a permis de célébrer les femmes
23:24 issues d'entreprises publiques
23:26 et privées de la ville.
23:28 C'est très bien de voir les hommes
23:30 des entreprises qui sont là
23:32 aujourd'hui avec leur personnel.
23:34 Quand on voit l'agent et l'émotion
23:36 qui transparaît lorsqu'on remettait les prix.
23:38 Une femme parmi les gagnantes
23:40 fait partie du podium.
23:42 C'est très valorisant.
23:44 On remercie beaucoup Tarasport
23:46 pour l'organisation.
23:48 On s'est rendu compte que les femmes
23:50 ont beaucoup de potentiel.
23:52 Les femmes ce n'est pas que du bureau
23:54 c'est également du terrain.
23:56 C'est des pays privilégiés qui en plus
23:58 font du bien au corps et au moral.
24:00 On parle de religion dans l'extrême nord
24:04 pour parler du centenaire
24:06 de l'église fraternelle utérienne du Cameroun.
24:08 Les activités d'action de grâce
24:10 se sont poursuivies lundi dernier
24:12 par la visite des sites historiques.
24:14 Notamment Bous Goyer dans l'arrondissement
24:16 de Vina où les premiers fidèles
24:18 ont reçu le sacrement de baptême en 1930.
24:20 Et le site de Didoma
24:22 par Kailé dans le Mayokani
24:24 qui a vu l'ordination
24:26 des premiers pasteurs.
24:28 Alain Roger Gounadjou de Scientil Extreme Nord.
24:30 C'est ici au quartier
24:32 Dinamassa de Yagoua
24:34 que les pionniers de la mission
24:36 fraternelle utérienne constituée
24:38 du couple Révenet et Cardal
24:40 d'origine américaine ont débuté
24:42 leur mission d'évangélisation.
24:44 Une mission holistique au service de l'homme
24:46 qui cent ans après a fait des heureux.
24:48 L'avantage qu'on a eu
24:50 avec le travail fait par cette mission
24:52 c'est que nous on est allé à l'école
24:54 on savait déjà lire parce qu'ils avaient développé
24:56 le système d'apprentissage de la langue
24:58 de l'écriture dans les églises.
25:00 La célébration de ce centenaire
25:02 témoigne ici la reconnaissance
25:04 au tout puissant pour ses bénédictions
25:06 et sa présence au sein de l'église
25:08 fraternelle utérienne du Cameroun
25:10 qui compte de nos jours
25:12 plus d'un demi million de fidèles.
25:14 Cent ans c'est pas un jour
25:16 et nous avons
25:18 l'espoir
25:20 de nous célébrer
25:22 ce cent ans.
25:24 Une cérémonie très courue qui a vu la présence
25:26 des membres du gouvernement
25:28 à l'instar de Mounouna Foutchou, Gabriel Baroubé
25:30 Zachary Pérevette et le secrétaire
25:32 général des services du gouverneur
25:34 de l'Extrême-Nord à Tanganazoa.
25:36 Nous restons à l'Extrême-Nord
25:40 il s'étend sur 1400 hectares
25:42 le parc national
25:44 de Muzogo-Goroko
25:46 est une réserve biosphère
25:48 créée en 1968
25:50 il est une biodiversité
25:52 riche située au pied des monts Mandara
25:54 dans le département du Mayot-Chandaga
25:56 je vous propose à présent
25:58 d'aller à la découverte de ce haut lieu
26:00 touristique avec l'un de nos correspondants
26:02 de CRTV-Extrême-Nord
26:04 Sur une superficie de 1400 hectares
26:08 une réserve de biosphère
26:10 riche d'une faune naturelle
26:12 traverse la localité
26:14 de Muzogo
26:16 Nous sommes au parc national
26:18 de Muzogo-Gokoro
26:20 dans le département du Mayot-Chandaga
26:22 depuis 1968
26:24 ce milieu naturel
26:26 situé au niveau des pieds des monts Mandara
26:28 constitue une biodiversité
26:30 avec des attraits touristiques
26:32 captivants.
26:34 La densité en termes de
26:36 la végétation est extraordinaire
26:38 nous avons recensé
26:40 200 pieds
26:42 à l'hectare
26:44 ce qui fait une différence
26:46 avec les autres parcs
26:48 et sur le plan
26:50 de la faune
26:52 tous les primates
26:54 de la zone septentrionale sont représentés
26:56 nous avons les babouins
26:58 les patasses et les vervettes
27:00 Le parc national
27:02 de Muzogo-Gokoro
27:04 est un concentré d'une nature
27:06 exceptionnelle hors du temps
27:08 il offre à qui le veut
27:10 un voyage au coeur du Cameroun profond
27:12 dans un décor digne
27:14 de ses photos qu'on ne voit que dans
27:16 des magazines de voyage
27:18 c'est comme le soleil oyozénique
27:20 c'est sombre, ça veut dire que
27:22 la forêt a eu le temps d'atteindre
27:24 son apogée
27:26 c'est pourquoi vous allez voir le sous-voie
27:28 il y a de l'espace, c'est vide
27:30 les graminées ne peuvent pas grandir
27:32 parce que la lumière du soleil n'arrive pas
27:34 à...
27:36 pour la photo synthèse
27:38 des graminées ça n'arrive pas
27:40 les graminées viennent en état naturel
27:42 le site porte
27:46 les marques des décennies d'histoire
27:48 avec un baoba mythique
27:50 les botanistes
27:52 lors de leurs études ont observé
27:54 que c'est l'un
27:56 des plus gros baoba
27:58 qu'ils ont trouvé dans la grande salle patrimoniale
28:00 nous supposons que
28:02 il y a de cela
28:04 100 ans
28:06 l'homme serait installé ici
28:08 des pistes bien tracées
28:10 permettent aux touristes
28:12 de faire le tour du parc
28:14 et le parc
28:16 et ce rapport nous amène à la fin de cette émission
28:20 merci d'avoir regardé et on se revoit demain
28:22 pour une autre édition de la Nouvelle
28:24 Bonne nuit Etienne
28:26 et c'est pour ça mesdames et messieurs
28:28 merci d'avoir honoré une fois de plus
28:30 au rendez-vous de l'actualité dans les régions
28:32 le prochain rendez-vous c'est demain à 18h
28:34 merci, restez sur ASIATV
28:36 nos programmes se poursuivent, à demain
28:38 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
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28:46 *Musique*