Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui, il revient en compagnie de Claude François Junior, sur la croisière sur le thème « Claude François » qui aura lieu dès cet automne.
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00:00 Europe 1, Pascal Praud
00:03 Ça s'en va et ça revient, c'est fait de tout petit rien, ça se chante et ça se fait de tout petit rien
00:10 Dans cette actualité très lourde, on a besoin c'est vrai d'un peu de légèreté, on va être en ligne dans une seconde avec Claude François Junior.
00:16 Figurez-vous qu'une croisière Claude François est prévue du 6 au 13 octobre, c'est la toute première.
00:21 Une semaine à bord d'un paquebot pour partager la passion de Claude François.
00:24 Au programme Soirée Disco, Clo-Clo Night Forever, des conférences, karaoké en compagnie d'André Torant, un concert live Clo-Clo Experience.
00:34 Est-ce qu'on pourrait appeler s'il vous plaît Donna Vidal-Revel pour que je lui dise qu'entre le 6 et le 13 octobre, je ne serai pas là.
00:43 On peut faire l'émission d'ici ?
00:45 Je vais monter sur ce paquebot. Il est avec nous Claude François Junior ?
00:50 Oui, je suis avec vous, je rigole bien de vous entendre.
00:53 Bonjour Claude François, je disais que j'ai l'impression d'être déjà en croisière permanente.
00:59 Mais c'est vrai que le succès de Claude François à chaque fois que vous venez, et j'ai envie de dire, tout le monde vous dit la même chose.
01:05 Parce que c'est tellement incroyable, 35 millions d'albums vendus depuis sa disparition en 1978, soit autant que durant sa carrière.
01:12 Il y a eu deux longs métrages, il y a des albums de reprise, il y a des titres comme Alexandrie, Alexandra, qui sont chantés par tous les jeunes.
01:18 Il y a 10 000 visiteurs qui ont passé la porte du Moulin, qui était la maison de campagne, etc.
01:23 C'est incroyable combien votre père est présent, parce qu'on en est maintenant à la troisième ou quatrième génération, peut-être après sa mort, de gens qui ont 15 ans, 20 ans.
01:35 Et moi quand je vais en boîte de nuit chercher mes enfants à la grange, je peux le dire, à la boule, je rentre là-dedans et j'entends Alexandrie, Alexandra, Claude François Junior.
01:47 Et je me mets à danser !
01:50 C'est incroyable, je ne sais pas si un succès de ce type à l'étranger, en Allemagne, en Espagne, en Italie, un chanteur décédé, je ne sais pas si un chanteur est aussi présent.
02:02 Jusqu'à Michael Jackson, le seul comparable c'était Elvis Presley, mais il n'est pas dansant Elvis Presley.
02:08 Donc on ne le retrouve pas en boîte, on ne le retrouve pas dans les fêtes de famille.
02:11 Et du coup il y a moins de transmission comme il peut y avoir avec le répertoire de mon père.
02:15 C'est vrai que c'est un phénomène de longévité qui est assez unique au monde, en tout cas unique en francophonie.
02:22 Et ça ne s'arrête pas ?
02:24 Non, mais parce que ça se transmet, comme vous dites, de génération en génération grâce aux parents.
02:29 Et puis je pense qu'il y a une magie dans le répertoire, il y a une vérité absolue dans la qualité des productions, dans l'interprétation.
02:37 Et moi je crois à ça, à l'idée que quand on fixe une énergie dans un enregistrement,
02:42 elle est capable de produire des moments présents à infini, tant qu'il y a des gens pour les écouter et ressentir l'intention, l'énergie de l'interprète et des musiciens.
02:51 Est-ce qu'il y a encore des documents qu'on ne connaît pas ? Un document visuel ou un document sonore sur lequel vous seriez tombé récemment et que vous ne connaissiez pas ?
03:01 Oui, ça fait quelques années qu'on travaille sur un documentaire où on veut mettre en avant l'homme de scène.
03:08 Et on a retrouvé, l'équipe avec qui je travaille a retrouvé en temps de recherche dans certains laboratoires spécialisés, des films sur lesquels on le voit sur scène.
03:17 Alors il n'y a pas beaucoup d'images, mais il y a encore quelques images inédites, mais elles ont surtout l'avantage de montrer un artiste transpirant, habité,
03:25 qui n'a rien à voir avec celui qu'on peut voir sur les plateaux télé, où ses costumes, mèches impeccables, c'est plus aseptisé.
03:32 Alors ça reste beau et efficace, mais il manque la dimension trans, animale qu'on peut retrouver sur scène et qui faisait partie de sa personnalité.
03:41 Et il y a une image assez célèbre, je crois, lorsqu'il était tombé ou dans le public, ou même il avait eu... où il lance sa chemise.
03:49 Ça c'est une image qu'on a vu de nombreuses fois, parce que c'est peut-être toujours le même concert d'ailleurs.
03:55 Non, parce qu'il lançait la chemise à chaque concert. En revanche, il est effectivement tombé une fois dans le public, dans la fosse de Forêt Nationale à Bruxelles.
04:05 Et je ne sais plus lequel des "To Be Free", il y a quelques années, j'étais allé voir un concert et à la sortie j'avais vu une animalité,
04:14 et ce soir j'ai fait "clo-clo" parce qu'il s'était jeté dans le public.
04:17 - Alors cette actualité, vous êtes venu pour nous parler de cette croisière du 6 au 13 octobre.
04:24 C'est une croisière où on pourra découvrir Ibiza, Rome, en profitant des derniers rayons de soleil de l'été,
04:31 puisque c'est entre le 6 et le 13 octobre, donc c'est même au début de l'automne.
04:35 Ça sera combien de personnes vont embarquer sur ce paquebot ?
04:40 - Alors, comme on a des espaces qui sont réservés pour nos soirées, nos animations, on est assez limités.
04:47 Du coup, on sera autour de 500 personnes.
04:49 - Mais ça sera entièrement une croisière "clo-clo" ou il y aura d'autres touristes ?
04:56 Le touriste qui n'aime pas du tout "clo-clo", celui qui est complètement allergique, vous voyez,
05:03 parce que ça doit exister, qui était un fan d'un autre chanteur...
05:07 - Bah il n'a pas le choix !
05:10 - Il a le choix parce que les animations sont uniquement accessibles à nos croisiéristes.
05:17 On a des espaces réservés sur le bateau et on a des espaces de restauration.
05:22 En réalité, tous nos croisiéristes, la petite communauté qu'on va créer,
05:25 va se retrouver ensemble pendant une semaine.
05:27 Après, toute la journée, ils font ce qu'ils veulent sur les escales, évidemment.
05:30 - Bien évidemment. Alors c'est des jeunes, c'est des vieux...
05:33 Parce que j'imagine que vous devez connaître, vous, des fans absolus depuis tant d'années,
05:37 qui vous suivent et qui seront, j'imagine, présents.
05:40 - Bah oui, que je vois depuis que je suis enfant, d'ailleurs.
05:43 Que j'ai vu grandir, vivir...
05:47 Oui, oui, certains d'entre eux seront là, évidemment.
05:50 Mais ça se destine, pour le coup, vraiment à un public plus large,
05:54 parce qu'on ne veut pas avoir que...
05:57 Enfin, c'est parce qu'il y a des ultras, mais en fait, il y a plein de fans invisibles,
06:01 comme dans toutes les fans d'artistes.
06:04 Quand on est dans une grande salle, il y a ceux qui crient devant,
06:08 qui sont les ultras. Ce sera sympa, les ultras, quand même.
06:11 Et puis derrière, il y a des hommes, des femmes, des jeunes,
06:15 le grand public. Donc c'est eux qu'on vit, parce qu'on est en réalité,
06:18 à la fois sur mon père, mais sur son répertoire et sur l'époque.
06:22 On va jouer sur tous ces codes.
06:24 - Ah oui, il faudrait être amis, ça serait pas mal qu'on soit...
06:27 - On serait vraiment obligés, ou en tout cas, il y aura une tenue habillée en 75.
06:33 - Non, non, non. - Des pattes d'oeufs ?
06:35 - Ah oui, c'est ça ? - Des pattes d'oeufs, oui, oui.
06:37 En brillant, aussi.
06:39 - On n'impose rien, mais sur la soirée disco, notamment,
06:42 on suggère, on recommande aux gens de venir avec une petite touche de paillettes.
06:46 - Oui, c'est mieux. - Ah oui, c'est sympa.
06:48 Et puis des confures.
06:50 Et vous, vous serez présent sur ce paquebot pendant les huit jours ?
06:53 - Pendant toute la semaine, oui.
06:55 - Donc les gens, c'est important, parce que les gens, vous êtes une...
06:59 J'ai envie de dire, pardonnez-moi, peut-être que ça va vous choquer,
07:01 mais vous êtes un morceau de la croix pour tous ces gens-là.
07:03 Mais oui, ils vous touchent, bien sûr, et qu'ils ont un rapport avec vous, j'imagine, particulier.
07:09 Vous vivez avec ça depuis toujours, c'est évident,
07:12 mais forcément, les fans et ceux qui ont connu votre père,
07:16 d'ailleurs, il doit en rester quelques-uns,
07:19 ils doivent avoir un rapport avec vous qui doit même...
07:22 ça peut faire peur, peut-être.
07:25 - Je finis par m'habituer, mais finalement, il y a quelque chose de religieux.
07:29 - Bien sûr, c'est pour ça que je...
07:31 - Il faut avoir un peu de recul.
07:33 - Oui, mais je crois que vous en avez beaucoup, j'ai l'impression, Claude,
07:36 parce qu'on a fait plusieurs interviews ensemble,
07:38 et vous êtes maintenant, effectivement,
07:40 vous avez pris la mesure de tout ça.
07:43 Alors, est-ce qu'on peut parler de prix, peut-être, pour cette croisière ?
07:46 - Oui, on est à peine plus cher que sur le tarif de Costa,
07:51 puisque c'est une croisière Costa aujourd'hui,
07:53 et on est entre 1 500 et 1 900 et quelques euros,
07:57 et c'est tout inclus.
07:59 Tout, de l'apéritif au digestif, pour les boissons,
08:03 les repas, évidemment, les taxes de séjour, tout est inclus.
08:07 - Donc, départ de Marseille, nous sommes d'accord.
08:09 Marseille, j'ai dit Ibiza, c'est sympa à faire.
08:12 - Franchement, on pourrait pas y aller, nous ?
08:14 - Mais si !
08:15 - On ferait toutes nos émissions directes là-bas.
08:17 - Ah bah si c'est possible, techniquement, c'est peut-être possible.
08:20 Qu'est-ce que vous en pensez ?
08:21 - Avec plaisir, oui, bien sûr.
08:23 - Moi, j'aimerais bien, on ferait nos deux émissions,
08:25 je trouve que c'est une bonne idée.
08:27 - Ce serait un petit peu compliqué, pour vous, non ? Pour la télé ?
08:29 - Non, sérieusement, c'est une bonne idée, en tout cas,
08:31 de faire au moins un reportage, et de voir ses fans,
08:33 moi, je trouve que c'est absolument formidable,
08:36 et puis les soirées karaoké...
08:38 Et toi et moi, contre le monde entier,
08:43 c'était une chanson pour vous, ou c'était une chanson pour votre frère ?
08:46 - En réalité, j'ai jamais su, mais je pense que c'est les deux.
08:49 C'est juste que pour l'écriture, c'était plus facile de faire toi et moi,
08:53 plus efficace, plus pertinent que vous et moi,
08:56 mais je vois pas pourquoi ça serait pour moi,
08:59 plus que pour mon frère.
09:00 - Et puis, il y a une autre émission où vous étiez intervenu,
09:03 c'était un jour de Noël, je crois que c'était vraiment en direct,
09:06 ce jour-là, lorsqu'on vous voit jouer tous les deux au piano,
09:09 avec votre frère, et on voit Michel Drucker avec un joli pull blanc ?
09:12 - Nous, en tout cas, on était en condition de dire,
09:15 je sais plus si c'était plus direct ou pas,
09:17 mais nous, on savait qu'il fallait pas qu'on se frappe.
09:19 - Oui, parce que j'ai l'impression qu'effectivement...
09:22 - Devant le padré, ouais.
09:24 - Oui, parce que bon, alors, c'est vrai que tout le monde connaît ces scènes
09:27 et ces images, parce qu'on les a vues tellement de fois,
09:31 et puis vous étiez tous les deux très beaux, très blonds,
09:34 et dans une vie si particulière,
09:38 qui effectivement, aujourd'hui, perdure encore.
09:42 Bon, est-ce qu'on peut écouter quelques notes, M. Digifab ?
09:45 - C'est toi et moi contre le monde entier,
09:49 Pas seul à tes côtés,
09:51 Contre l'ombre de la tristesse,
09:54 Ce qui s'éloigne...
09:56 - Le téléphone pleure !
09:58 Quand j'avais 10 ans, en fait...
10:00 - Vous aviez 10 ans, toi ?
10:01 - J'avais 10 ans, moi, je suis de 64.
10:03 Le téléphone pleure, je crois que c'est le plus gros succès, le téléphone pleure.
10:07 Claude ?
10:08 - C'est le plus gros succès de son vivant.
10:11 Ce qui est étonnant, c'est que le succès qui va dépasser le téléphone pleure,
10:15 c'est Alexandrie Alexandra,
10:17 mais qui sort en réalité le jour de ses obsèques, le 15 mars 78.
10:21 - Oui, ça c'est absolument incroyable.
10:23 C'est 75 ou 74 de téléphone pleure ?
10:26 - 74, vous avez raison.
10:28 - Toute la France, vous entendez bien, connaissait cette petite fille,
10:33 et 50 ans plus tard, puisque ce titre a 50 ans, d'ailleurs, finalement...
10:38 - Frédéric, oui, bah oui.
10:41 - C'est fou ce titre à 50 ans, il faut faire quelque chose pour le téléphone pleure.
10:45 Il est sorti fin d'année ?
10:47 - Oui, mais vous me donnez une bonne idée.
10:50 - Ah oui, il faut faire quelque chose pour les 50 ans.
10:53 Si en plus c'est le titre...
10:55 Mais je ne touche rien, parfois je donne des idées, mais je ne touche rien du tout.
10:59 - On va mettre un petit copyright dans le cadre.
11:02 - Mais je pense qu'il faut ressortir le 40 ceintures.
11:05 Mais ça existe encore le 40 ceintures ?
11:07 - Oui, bien sûr.
11:08 - C'est un titre découvert par Gérard Louvain à l'époque,
11:10 c'était une phase B d'un 40 ceintures.
11:12 - Ah oui ? Américain.
11:13 - Et puis cette jeune fille, le Kirak Frédéric.
11:17 - Et c'était parce qu'en fait, il y a aussi une dimension un peu sociétale.
11:23 C'est le début du divorce, dans les années 74.
11:26 Il y avait la chanson de Delpech, c'était divorcé.
11:31 Par exemple, dans ma classe, en 74, t'as pas de divorcés.
11:35 On est 30 petits garçons, ça n'existe pas.
11:37 - Oui, ils sont très peu.
11:38 - 30 petits garçons, 30 garçons et filles, et ça existait très peu.
11:40 Et quand on voyait l'un de nous divorcé, on se disait "pourvu que ça n'arrive pas chez moi".
11:46 C'était ça la réalité.
11:47 Aujourd'hui, dans les classes, tous les enfants sont divorcés,
11:49 donc leur rapport est divorcé.
11:51 Donc tu ne souffres pas que tes parents soient divorcés, puisque tout le monde l'est.
11:54 À l'époque, c'était un peu différent.
11:56 Donc il y a cette dimension également dans cette chanson,
12:01 qui est un peu mélancolique et qui est très belle, disons-le.
12:05 - C'est toujours un plaisir, Claude François.
12:08 - Un plaisir partagé, parce que merci d'avoir salué mon père le 1er février, ça m'a touché.
12:13 - C'est vrai qu'il y a une affection particulière pour les gens de ma génération, forcément.
12:21 - Et pas que !
12:22 - Et pas que, mais elle est particulière, parce que je les fais souvent sourire,
12:27 parce que je raconte la même anecdote.
12:29 - Du bus ?
12:31 - Non, j'ai appris.
12:33 Non mais je ris, mais ce n'est pas drôle pour vous,
12:35 parce qu'on parle quand même de votre père qui est décédé.
12:37 Et c'est vrai que j'entre dans un bus, on est en 78,
12:40 j'habitais à l'extérieur de Nantes, je monte dans le bus pour aller dans le centre-ville de Nantes,
12:46 c'est un samedi, et quelqu'un monte dans le bus et dit "Claude François est mort".
12:49 Alors nous, on raconte ça, bien sûr, avec plus de légèreté aujourd'hui.
12:55 - Une personne sur trois, quand elle me rencontre, me parle des conditions dans lesquelles elle a appris la mort de mon père, encore aujourd'hui.
13:03 C'est fou, ça a marqué mes gens et comme je les souviens, ils m'ont attaqué.
13:06 - Mais c'est incroyable ! Je me souviens très bien de ce soir-là, c'est incroyable !
13:10 La France s'est arrêtée, les obsèques ont eu lieu le mercredi,
13:14 pendant les 3-4 jours, c'était... oui, vraiment ça.
13:18 - Il y a de moins que ça devienne formelle choc,
13:20 il disait "le 11 mars 78, c'est toute la France qui s'électrochoque".
13:25 - Ben oui. - Et c'est un peu ça.
13:27 - Merci en tout cas, Claude François, c'est toujours un plaisir.
13:30 - Merci à vous. - Vraiment, c'est un plaisir.
13:33 - Et elle est pour vous, Pascal, cette troisième.
13:35 - Mais nous, on prend des vacances, 6-13 octobre, on ira.
13:41 - Mais qui part alors, dans l'équipe ?
13:43 - Qui part ? Ben tous. - Ah tous ?
13:45 - Si on nous donne l'autorisation. - Ah oui, d'accord.
13:48 - Il faudrait être en patte d'eff ? - J'ai un peu mal de l'air.
13:52 - Exactement. - Vous mettiez des pattes d'eff à l'époque ?
13:56 - Je mettais des pattes d'eff, oui, mais moi j'avais même pas le droit de porter des jeans,
14:00 donc c'était encore autre chose. - Mais pourquoi ?
14:02 - Parce que ma mère voulait pas, j'allais à l'école avec des pantalons,
14:06 on se fichait de moi, et j'avais pas le droit de la skate non plus,
14:10 j'allais soulier, alors je peux te dire que c'était quand même...
14:13 - Depuis ça a duré quand même, mais ils avaient gardé la souliers.
14:16 - Il est 11h46, on marque une pause et on va évoquer peut-être un autre sujet,
14:24 tout à fait différent celui-là, puisqu'on va parler des fast-foods.
14:27 Souhaitez-vous moins de fast-foods dans votre ville,
14:29 et puis je précise aux auditeurs qui viennent d'arriver que j'ai un triple décimètre.
14:35 - C'est pour une seule raison, pourquoi ?
14:37 - Je vous dirai peut-être pourquoi avant la fin de l'émission. A tout de suite.
14:40 - 11h13h, vous écoutez Pascal Fraussure et Repin,
14:43 et vous réagissez en composant ce numéro qui est non surtaxé. A tout de suite.
14:47 Appelez Pascal Pro au 01 80 20 39 21.