Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd’hui, Pascal Praud reçoit Frédéric François, chanteur, pour parler de sa carrière longue de cinquante années et sur son 39e album, "On a tous besoin d'aimer".
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00:00 *Musique*
00:05 - 2h35 bien sûr sur Europe, je mélange parfois les maisons et nous sommes avec Frédéric François.
00:14 Marc Meunier, on va rester quelques secondes dans ce studio puisque c'est vrai que Marc, d'abord on va vous remercier,
00:18 mais vous avez animé quelques émissions avec Frédéric François.
00:23 - Et alors ce qui est extraordinaire, parce qu'on parlait des femmes, les femmes se jetaient sur Frédéric.
00:28 - Mais oui, mais non mais on en revient, mais oui !
00:31 - Allez, allez, allez, allez, vous voulez s'épargner M. François ?
00:34 - Et ça continue ! Et ça continue !
00:37 - D'abord Frédéric François, très heureux que vous soyez là.
00:39 - Merci.
00:39 - Je vois simplement que vous êtes arrivé avec le bras en écharpe, un peu comme un célèbre footballeur dans une finale,
00:46 une demi-finale de Coups du Monde.
00:48 - Oui, malheureusement, oui, mais voilà.
00:48 - Bon, qu'est-ce qui vous est arrivé au bras droit ?
00:51 - Voilà, je me promenais avec ma femme, gentiment, après un bon repas le soir,
00:57 et puis voilà, j'ai trébuché, voilà, en rencontrant des conneries, sûrement comme d'habitude,
01:01 et voilà, j'ai cogné contre un mur et deux petites fractures à l'épaule,
01:07 et je peux vous dire que depuis, je n'ai jamais été autant dorlotté de ma vie !
01:13 De ma vie !
01:14 On s'occupe de moi, de A à Z, qu'est-ce que tu veux mon chéri, est-ce que tu as mal ?
01:19 Tu veux un petit coussin ? Qu'est-ce qui te ferait plaisir ?
01:21 C'est extraordinaire !
01:22 - On va tous se casser l'épaule comme ça !
01:24 - Tous les hommes vont se casser l'épaule !
01:26 - Cela dit, c'est douloureux l'épaule !
01:28 - Oui, parce qu'on ne peut pas opérer, parce qu'on ne peut pas plâtrer,
01:32 et donc, voilà, il faut prendre des médicaments très forts pour justement,
01:37 cette douleur un peu, mais pire qu'un mal de dents, c'est quelque chose de horrible,
01:42 mais bon, les médicaments vous mettent dans un état un peu second,
01:45 mais je reste très positif dans tout ça, parce que, voilà,
01:49 j'ai entendu qu'il y a des gens qui ont des choses plus graves que moi !
01:52 - Est-ce que vous êtes quand même monté sur scène pour chanter ?
01:55 Est-ce que vous pouvez chanter avec ce bras en écharpe ?
01:59 - Alors oui, avec la main gauche, je prends le micro,
02:01 et j'ai fait deux spectacles cette semaine, j'étais à Valenciennes et j'étais à Lille,
02:05 deux spectacles complets avec un public en délire,
02:08 parce qu'ils étaient tellement heureux que, voilà, que je vienne.
02:13 Normalement, le médecin m'avait interdit d'aller en spectacle,
02:18 parce qu'il faut au moins six semaines pour que ça se ressoude, minimum,
02:22 mais moi, je souffrais.
02:24 Je me dis, non, le public qui est là, qui attend depuis longtemps,
02:27 qui a pris des places, qui s'est préparé pour venir nous voir,
02:31 venir retrouver leur point de repère, leur chanson préférée,
02:34 et moi, je reporte, non, j'y vais quand même.
02:37 Et je suis allé, et c'était formidable.
02:39 - Frédéric François était avec nous, et vous êtes à l'écoute sur Europe 1,
02:43 c'est vrai que 50 ans de carrière,
02:46 vous avez dans votre génération parfois un lien avec le public
02:50 qu'aura peut-être du mal à retrouver la jeune génération.
02:53 Je vois parfois des chanteurs ou chanteuses, à 35-40 ans, c'est fini.
02:57 C'est fini, ils ont fait un album, ils ont eu du succès,
03:00 et c'est terminé, ça s'arrête.
03:02 Et vous, vous êtes là, toujours présent depuis autant d'années.
03:05 - Moi, je remercie le ciel, bien sûr,
03:09 j'adore écrire des mélodies.
03:11 En fait, toutes ces émotions, c'est ma vie.
03:14 Mon père qui chantait, il était ouvrier mineur,
03:17 il chantait le dimanche avec sa guitare à la maison, c'était la fête.
03:21 Donc pour moi, chanter, c'était ma passion, vraiment,
03:25 et écrire de la musique.
03:26 Et donc voilà, j'écris toutes mes musiques,
03:28 contrairement peut-être à des autres,
03:30 et donc j'essaie d'évoluer, d'épouser l'air du temps,
03:32 et de comprendre, vu que je suis musicien, où va la musique.
03:35 Et donc je me retrouve maintenant devant des ordinateurs,
03:38 devant des plugins, comme ils s'appellent,
03:41 et j'essaie d'emmener le public dans cette évolution.
03:48 Bien sûr, je ne peux pas aller trop loin,
03:50 parce qu'après je me dénature, et le public n'est pas content.
03:54 - Parce qu'il aime qu'on lui fasse du Frédéric François, le public.
03:57 - Oui, exactement, mais j'évolue dans les sons de basse,
04:00 dans les sons de batterie, dans les mélodies, dans les harmonies,
04:03 dans tout ça, tu vois.
04:04 Et donc, en fait, qu'est-ce que je leur apporte ?
04:07 Je leur apporte du bonheur, les gens qui le matin
04:09 écoutent une chanson, et qui peuvent la fredonner toute la journée.
04:12 Des chansons qui se transmettent de génération en génération.
04:15 Voilà, c'est quelque chose de beau.
04:18 Dernièrement, j'ai vu une petite fille de 10 ans avec sa mère,
04:21 et sa mère me disait, vous savez, ma fille,
04:23 elle l'adore, je t'aime à l'italienne.
04:25 Vous voyez ce que je veux dire ?
04:27 Une chanson qui a été écrite il y a quelques décennies.
04:30 - Quelle année, "Je t'aime à l'italienne" ?
04:32 - Alors, "Je t'aime à l'italienne", 85.
04:34 - Oh, oh, oh, oh, je t'aime à l'italienne.
04:37 - D'ailleurs, le Top 50 existait déjà en 85.
04:40 - Depuis un an, oui.
04:41 - Ça doit être de 1984.
04:43 - Moi, j'étais content que le Top 50 existait,
04:45 parce qu'enfin, c'était le vrai hit parade des ventes.
04:49 Alors, je me dis, wow, maintenant, il n'y a plus de tricherie,
04:53 on va être dans les hits parades.
04:54 Et c'est vrai que Michel Truquer était sur Europe 1, d'ailleurs,
04:57 et annonçait le hit parade ce jour-là,
05:02 avec mon entrée, je crois, en numéro 2 ou numéro 3.
05:05 Il animait une émission formidable, Truquer, à cette époque-là,
05:09 qui était très nouvelle, d'ailleurs, qui s'appelle "Studio 1",
05:12 "Le matin avec Maryse", qui nous écoute, je l'espère,
05:15 de temps en temps, et qu'on peut saluer.
05:17 - Alors, visiblement, là, il y a le 39e album solo
05:20 qui vient de sortir.
05:22 - Oui, c'est ça.
05:23 - "On a tous besoin d'aimer", ce qui est une évidence.
05:25 - Oui, c'est une évidence.
05:26 - Donc là, toutes les mélodies, c'est vous ?
05:28 - Oui, depuis toujours.
05:30 - Et des paroles ?
05:32 - Alors, là, c'est Lionel Florence.
05:35 Habituellement, cet album a été écrit avec deux paroliers,
05:40 Frédéric Zetoun, qui est mon complice depuis deux décennies,
05:45 et Lionel Florence est venu nous rejoindre pour cet album.
05:49 - Et effectivement, le cœur de vos chansons,
05:52 c'est de parler d'amour, d'une forme de légèreté
05:55 qui se met en place, de bonheur aussi, de tendresse.
05:59 Quand je dis votre public, c'est ça qui est difficile aussi,
06:02 quand on est Frédéric François.
06:03 Peut-être aimeriez-vous faire autre de temps en temps,
06:06 aller sur d'autres chemins, mais que votre public,
06:09 il vous est très fidèle pour...
06:11 Il y a une marque de fabrique, Frédéric.
06:13 - Non, parce que l'amour, c'est quand même l'émotion la plus forte
06:15 chez l'être humain, et il y a mille façons de parler d'amour.
06:18 On a tous besoin d'aimer.
06:21 Lionel Florence a écrit une chanson d'amour
06:23 qui est différente des autres.
06:25 Les mots ne sont pas les mêmes.
06:28 Pour un couple, ou pour une maman avec sa fille,
06:32 ou pour deux amis, ou deux amies,
06:34 ou vous et moi avec notre petit animal de compagnie,
06:38 le soir qui vient nous caresser,
06:40 et on dit "Viens mon petit bébé, je t'aime".
06:42 Tout ça, c'est de l'amour, tout le temps de l'amour.
06:45 Quand je chante une chanson sur ma mère,
06:47 et sur notre vie, c'est une grande chanson d'amour.
06:50 Quand je fais une chanson sur ma fille, Foudel,
06:52 c'est une grande chanson d'amour pour moi.
06:54 Tout ça, ça reste de l'amour, la famille,
06:57 les choses de la vie.
06:59 En fait, ce sont des chansons de la vie de tous les jours.
07:01 C'est pour ça que les gens se les approprient,
07:05 et les paroles leur parlent,
07:08 comme si je leur chuchotais à l'oreille
07:10 ce qu'elles veulent entendre.
07:12 - On va peut-être échanger d'ailleurs
07:14 avec vos admiratrices ou vos fans.
07:16 J'ai dit admiratrices naturellement,
07:18 mais peut-être quelques admirateurs.
07:20 C'est vrai que vous avez un public féminin,
07:23 beaucoup.
07:25 Et puis on rappellera que vous êtes le 10 février à Dôle,
07:29 donc c'est après-demain quasiment.
07:32 Vous allez être à Annecy le 11 février,
07:34 vous allez être à Bordeaux le 18 février,
07:37 à Clermont-Ferrand, à Toulouse, à Lyon,
07:39 à Dunkerque, à Charleroi.
07:42 C'est extraordinaire parce que je vois,
07:44 j'ai toutes vos dates jusqu'au 19 mai,
07:46 parce que c'est fatigant quand même, les tournées.
07:48 C'est fatigant d'être sur scène, j'imagine.
07:50 En tout cas, c'est une débauche d'énergie.
07:52 Mais alors là, vous, votre calendrier...
07:54 - C'est un spectacle, c'est comme un match de boxe,
07:56 mais si vous saviez le bonheur que c'est de chanter...
08:00 - Il n'y a pas de lassitude ?
08:02 - Non, jamais.
08:03 - Même sur une chanson que vous connaissez par cœur,
08:05 que vous avez chantée ?
08:06 - Je les ai chantées mille fois, les chansons.
08:08 A chaque fois, c'est...
08:10 - C'est différent à chaque fois, vous l'interprétez autrement.
08:12 - C'est une nouvelle émotion.
08:14 Et moi, ce que je demande aux techniciens,
08:16 c'est d'essayer, à un moment donné,
08:18 de mettre l'éclairage dans la salle,
08:21 parce que je veux les voir.
08:23 Je veux voir leur visage,
08:24 ils me font des petits cœurs,
08:25 ils me font des signes,
08:26 ils me font des bisous,
08:28 ils crient "Fredo, je t'aime !"
08:30 Enfin, peu importe ce qu'ils disent,
08:31 et je trouve ça formidable, cet échange.
08:33 - Pascal, on a une belle surprise qui arrive juste après la pause.
08:38 - Non !
08:39 - Si, si, une belle surprise.
08:40 - Vous allez chanter ?
08:41 - Non, non, encore mieux !
08:43 C'est pas Jessie Garonne, mais c'est une belle surprise.
08:45 Ne vous inquiétez pas.
08:46 - Et pour échanger avec Frédéric François,
08:48 notre invité sur Europe 1,
08:49 vous composez ce numéro.
08:50 Appelez Pascal Pro au 01 80 20 39 21.
08:54 - Europe 1.
08:57 - Pascal Pro et vous.
08:58 De 11h à 13h, vous écoutez Pascal Pro sur Europe 1.
09:00 - Pascal, une petite surprise ?
09:02 - Une surprise, alors...
09:04 - Il y a un auditeur qui m'a contacté hier en me disant
09:06 "Ma maman est fan de Frédéric François,
09:09 je sais que vous le recevez demain,
09:11 alors est-ce que vous pouvez lui faire une surprise en l'appelant en direct ?"
09:14 - Donc, on va l'appeler,
09:16 elle ne sait pas à qui elle va parler.
09:17 - Exactement, elle ne sait pas qu'elle va parler
09:19 à Frédéric François exactement, on fait sonner.
09:21 - On fait sonner.
09:22 - Et elle s'appelle ?
09:23 - Et elle s'appelle Corine.
09:24 - Corine, alors...
09:25 Mais elle sait quand même si elle décroche pas ?
09:28 - Elle va décrocher, vous n'hésitez pas.
09:29 - Vous pensez qu'elle va décrocher ?
09:30 - Oui, elle va décrocher, bien sûr.
09:31 - Oui, allô ?
09:32 - Bonjour Corine !
09:33 - Oui, bonjour !
09:34 - Bonjour, c'est Pascal Pro à Europe 1.
09:36 - Oui, bonjour Pascal Pro !
09:38 - Bon, on a une surprise pour vous.
09:41 - Oui, je le sais !
09:42 - À vous !
09:43 - Encore te dis, je voulais...
09:45 Oh là là là là là là, mon dieu !
09:48 Incroyable, incroyable !
09:50 - Corine ?
09:51 - Oh !
09:52 - Corine, est-ce que vous êtes avec nous ?
09:57 - Voilà.
09:58 - Corine, vous m'entendez ?
09:59 - Oui, je vous entends Pascal.
10:00 - Voilà.
10:01 Alors là, c'est Frédéric qui va vous parler.
10:03 - Bonjour Corine, vous allez bien ?
10:05 - Bonjour Frédéric !
10:06 Oh, je suis trop émue, trop émue !
10:08 - C'est vrai ?
10:09 Allez, je suis content de vous parler.
10:10 Vous allez bien ?
10:11 - Oui, un petit peu grippée, mais ça va, je vais bien.
10:14 - Vous allez voir, vous écoutez, mon cœur te dit "je t'aime"
10:17 et la grippe va partir directement, va passer en deux secondes.
10:21 Qu'est-ce que vous faites de bon là ?
10:23 - Là, je prépare le repas.
10:25 - Voilà.
10:26 Vous vous attendiez à cette surprise que je vous appelle ?
10:28 - Oui, c'est mon fils qui me fait la surprise.
10:31 Il est policier sur Paris et on est fan de vous depuis très longtemps.
10:36 - Allez, ça me fait très plaisir, ça me touche vraiment.
10:38 - Très très longtemps, mon dieu, mon dieu.
10:40 - Vous habitez quelle région, Corine ?
10:42 Parce que je suis en train de regarder les dates de Frédéric François.
10:46 Vous êtes dans quelle ville ?
10:47 - J'habite à Haïkour dans le 62, à côté de Béthune.
10:51 - Ah, dans le nord.
10:53 - Et par exemple, le 9 mars, c'est loin de Dunkerque ?
10:58 Est-ce que c'est loin de Dunkerque ?
11:00 - Il y a quand même une heure et demie.
11:02 - Une heure et demie.
11:03 - Et Amiens ?
11:04 - Ah oui, c'est bien aussi Amiens.
11:07 - Amiens, mais vous n'y passez pas, Amiens.
11:09 C'est ça le problème, Frédéric ?
11:11 - Ah si, si, si.
11:12 - Ah moi, j'ai pas la date Amiens.
11:13 - Il n'est pas sur la liste, mais je sais que je vais...
11:15 - Vous avez vu Frédéric François, j'imagine, sur scène plusieurs fois ?
11:19 - Oui, mais j'ai même pleuré.
11:22 - Oh, mais non ! Je suis là pour apporter du bonheur.
11:25 - Pourquoi vous avez pleuré ?
11:26 - Et vous donner...
11:27 - Oui, Amiens, c'est le 16 mars.
11:28 - Voilà, Amiens, le 16 mars.
11:29 - Pourquoi vous avez pleuré, Corine ?
11:32 - Ben, très émue, très contente, très fan depuis X années.
11:37 Donc, il est très beau.
11:40 - C'est ce que disait justement.
11:43 - C'est ça, je suis même frappé de cette beauté.
11:47 Est-ce que vous avez, dans le répertoire de Frédéric François,
11:51 une ou plusieurs chansons préférées ?
11:53 - Oh, oui.
11:55 Alors, "Je voudrais dormir près de toi,
11:58 être là quand tu t'éveilles,
12:01 au premier rayon du soleil."
12:04 - Ça, c'était...
12:05 - Et vous chantez bien.
12:07 - Oui, c'était la première chanson qui a marché en France.
12:11 - Ça, c'est quelle année, celle-là ?
12:13 - 72, "Je voudrais dormir près de toi".
12:15 - Écoutez, "Je voudrais dormir près de toi",
12:17 ça va bien avec la discussion qu'on a eue avec Marc-Jean tout à l'heure.
12:21 Parce que Marc, c'est une de ses chansons préférées,
12:24 mais il la chante à toutes les filles.
12:25 Donc, dès qu'il voit une fille, il lui dit "Je voudrais dormir près de toi".
12:28 Bon, est-ce qu'il y a une autre chanson, peut-être, que vous aimez beaucoup ?
12:32 - Oui, il y a "Chicago", il y a...
12:35 - "Chicago", c'était génial.
12:40 - Ça, c'est quelle année ? 80, ça ?
12:42 - 75.
12:44 - Ah bon ?
12:45 - Non, alors là, le temps passe vite.
12:47 - C'est l'année où il chantait ça avec un chaton.
12:57 - Oh, j'adore, j'adore, j'adore.
12:59 - Ah, 73.
13:01 - Oh oui.
13:03 - Ben, Corinne, ça nous a fait plaisir d'échanger avec vous.
13:13 Vous êtes en train de préparer un repas, disiez-vous, peut-être pour votre mari ?
13:17 - Non, mon mari, je fais un petit coucou à mon mari qui est sur la route et qui vous écoute également.
13:22 - Comment il s'appelle, le mari ?
13:23 - Il s'appelle Pascal.
13:24 - Ah, il ne s'appelle pas Pascal.
13:25 - Voilà, le Pascal.
13:26 - Il est né dans les années 60.
13:28 - Je fais des gros, gros bisous à mon fils, pour la surprise,
13:31 et qui est en train de vous écouter aussi.
13:33 - À toute la famille qui nous écoute.
13:34 - Il est beau ici, sur Paris.
13:35 - Votre fils, il est né dans les années 60, j'imagine.
13:37 Votre fils, votre mari, il est né dans les années 60,
13:39 parce que les Pascals, je le dis souvent, il n'y en a pas avant, il n'y en a pas après.
13:42 Ils sont nés entre 60 et 69.
13:45 - Il a pile poids de 60 ans.
13:47 - Ah ben, il est 64.
13:49 - 63.
13:50 - Ah ben, il en a 61, il en aura 61 cette année.
13:53 Ben oui, effectivement, les Pascals.
13:55 Bon, ben, Corinne, Pascal et Corinne, vous êtes pile dans les années 60.
13:59 - Oui, c'est ça.
14:00 - On vous fait des bisous.
14:01 - Allez, je vous embrasse très fort, Corinne.
14:03 - Est-ce qu'il y a moyen d'avoir des places, Frédéric ?
14:06 - Ben évidemment.
14:07 - Oh oui, je peux vous offrir des places pour vous, oui.
14:09 - Amiens ?
14:10 - On parlait d'Amiens.
14:11 - Amiens le 16 mars.
14:12 - Qu'est-ce que vous préférez ?
14:13 - Ben, je préfère, oui, Amiens, Dunkerque, dans mon coin.
14:17 Mais même si vous passez sur Paris, mon fils habite là, donc...
14:21 - Ah ben, parfait.
14:22 - Là, on a déjà fait l'Olympia, il n'y a pas très longtemps.
14:24 - Oui, très bien.
14:25 - Mais voilà, si vous allez sur le site, frédéricfrancois.com,
14:29 vous choisissez une date, et puis voilà, vous venez avec votre mari,
14:34 avec votre fils, et je vous reçois.
14:36 - Après, Corinne ne vous voulait pas payer, là, mais...
14:38 - Non, je les invite à... Non, non, non, non, non.
14:41 - Ça va !
14:42 - Non, non, non, non, non, non.
14:44 - Ça va, allez, allez.
14:46 - Ça va.
14:47 - Chica, rigole.
14:49 - Tout le monde m'appelle Francky Borsalido.
14:52 - Moi, je m'appelle Borsalido.
14:53 - Voilà.
14:54 - Bon, eh ben, nous, on ira.
14:55 Alors, Amiens, on va prendre vos coordonnées, et on aura deux places.
14:58 - Voilà, exactement.
14:59 - On peut inviter, quand même, Corinne.
15:01 - Bien sûr.
15:02 - De parler d'argent, d'argent, d'argent.
15:03 - Non, non, surtout pas.
15:04 - Pardon, pardon.
15:05 - Non, c'est un cadeau.
15:06 Vraiment, le plaisir.
15:07 - Bon, frédéric, c'était un plaisir, en tout cas, d'être avec vous.