• il y a 8 mois

Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd’hui, Pascal Praud et toute son équipe reviennent sur l'anniversaire de la disparition de Mike Brant, décédé le 25 avril 1975.
Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d’Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Retrouvez "Pascal Praud et vous" sur : http://www.europe1.fr/emissions/pascal-praud-et-vous

Category

🗞
News
Transcription
00:00Europe 1, 11h, 13h, Pascal Praud et vous.
00:31Mike Brown, magnifique, formidable.
00:34On fait un sujet Mike Brown, ça ?
00:36Oui, alors pourquoi du Mike Brown déjà, Pascal ?
00:38Bon, c'est une chronique en fait.
00:40Puisque Mike Brown nous quittait le vendredi 25 avril 1975.
00:44Il y a 49 ans, l'année prochaine ça fera 50.
00:46C'est ça, et il avait été découvert en mai 69 dans un club d'un hôtel
00:50par Sylvie Vartan et son fidèle secrétaire particulier Carlos.
00:55Et c'est Sylvie Vartan qui lui a donné l'envie de venir nous rejoindre en France.
01:00La victoire la plus grande de tous les voyages
01:08Laisse-moi, laisse-moi t'aimer
01:16Et vous avez remarqué son français impeccable alors qu'il a chanté phonétiquement
01:19puisqu'à l'époque il ne parlait pas un seul mot de français.
01:21Fabrice, Fabrice, il ne vous écoute plus.
01:25C'est une voix incroyable.
01:28Essayez de chanter ça au karaoké, ça c'est plus facile.
01:33Mais l'autre...
01:35Depuis tout à l'heure vous faites du playback en studio.
01:39Non mais c'est vrai !
01:41Oula, je vais sortir.
01:43C'est fini là.
01:45Mon aventure Europe 1 se termine ici.
01:47Mais il était tout jeune en plus quand il est mort.
01:49Oui, il avait 28 ans.
01:53Alors qu'il a commencé à chanter à partir de 22 ans dans sa carrière.
01:56Et sa carrière était très très courte.
01:58Et moi j'ai très bien connu le président du fan club de Mike Brown du 14e arrondissement.
02:06Parce qu'il y a plusieurs fan clubs et c'était Christian Olivier
02:09qui était président du fan club Mike Brown du 14e arrondissement.
02:13Il l'est toujours ?
02:14Il l'est toujours, vous pouvez lui envoyer d'ailleurs des mails, des lettres et des posters.
02:19On rappelle son adresse ?
02:22Qui saura ?
02:26Qui saura me faire oublier ?
02:29Dites-moi.
02:32Ma seule raison de vivre.
02:35Essayez de me le dire.
02:38Et ça c'était Ombline ce matin.
02:40Je vous assure, j'étais dans ma...
02:42Je ne sais pas si elle m'entend.
02:43Ombline Hédor à ce temps-là peut-être ?
02:45On pourrait l'appeler Ombline d'ailleurs.
02:47On va la réveiller.
02:49J'étais dans ma salle de bain, je vous jure que c'est vrai ce matin.
02:52Il était 6h25 et j'ai levé mon petit poste.
02:59Parce que j'écoute des rappels maintenant.
03:01J'ai levé, j'ai levé, j'ai...
03:03Oh c'est le son !
03:05Le son, levé, je ne l'ai pas levé.
03:07Il dort pas avec mon poste.
03:10Il ne se lève pas.
03:12Et j'ai levé dans la salle de bain et je chantais tout seul.
03:15Et vous savez que cette chanson avait été refusée par Claude François.
03:17Heureusement qu'on m'a ébranlé.
03:19Incroyable la mélodie.
03:21Et quand il arrivait, vous savez, on entendait les filles crier.
03:25Ça on vient de l'entendre déjà.
03:27Vous l'avez vu deux fois.
03:29Ça c'était lui.
03:41Le format de l'émission a changé non ?
03:43Non mais lorsqu'il est mort,
03:47celui qui s'occupait de lui
03:49était chez un couple d'amis
03:51qui ne le lâchait pas d'une seconde,
03:53d'une minute.
03:55Parce qu'il était dépressif,
03:57il prenait pas ses médicaments
03:59et c'est une des raisons pour lesquelles il s'est suicidé.
04:01Dans cette rue, qui est une des rues maudites de Paris,
04:03qui est la rue Erlanger,
04:05où il y a des fantômes.
04:07C'est là qu'il y a eu ce fameux incendie.
04:09Il y a des rues de Paris dans lesquelles,
04:11il y a plein de gens qui habitent rue Erlanger,
04:13mais elle est maudite cette rue.
04:15Comme la rue de Friedland.
04:19Tapu m'avait dit ça.
04:21C'est une rue maudite.
04:23Quand il était à la rue Friedland,
04:25il avait eu plein d'ennuis.
04:27Il faut faire très attention,
04:29il y a des fantômes.
04:33Il y a des rues maudites.
04:35Evidemment, il y a des fantômes.
04:37Tout le monde sait qu'il y a des fantômes.
04:39Je vais y penser, je ne vais pas dormir.
04:41Arrêtez.
04:43Surtout du côté de Boulogne.
04:45M. Jérôme Bégré qui vient d'entrer dans notre studio.
04:47Et qui chante.
04:49Vaut mieux pas.
04:51Et surtout, vous connaissez M. Boubouc ?
04:53Oui, je ne suis pas dans ma meilleure tenue.
04:55Très bien habillé.
04:59On a les mêmes couleurs.
05:01Je suis d'accord avec vous.
05:03On va marquer une pause peut-être.
05:05On n'a pas d'intervenant.
05:07D'auditeur.
05:09Je n'ai pas le temps de me déguiser.
05:11Vous ne pouvez pas tout faire.
05:13On aurait pu appeler Christian-Olivier.
05:15Pour parler de Mike Bronte.
05:17Celui que je préfère,
05:19c'est la chanson que je préfère.
05:21On pourrait la réécouter et la chanter ensemble.
05:23C'est Qui Sera.
05:25Elle est vraiment géniale.
05:37Chante-moi
05:39Ma seule raison de vivre
05:41Essayez de me le dire
05:43Qui sera
05:45Qui sera
05:47Qui sera
05:49Qui sera
05:51Oui mes amis
05:53Le soleil
05:55Vous inonderez
05:57Vous dites
05:59Que bientôt
06:01Je sortirai de l'ombre
06:03On a ri.
06:05Ce que j'ai perdu
06:07Je sais qu'elle ne reviendra pas
06:11Alors si vous pouvez
06:13Dites-le moi
06:15Qui sera
06:17Qui sera
06:19Qui sera
06:21Qui sera
06:23Qui sera
06:25Qui sera
06:27Qui sera
06:29Qui sera
06:31Qui sera
06:33Je vais appeler
06:35notre ami Elie Semoun si vous m'ennuyez.
06:37Non.
06:39Je pense qu'il aura le même avis que moi.
06:41Bon allez, on marque une pause
06:43et on revient. Alors vous m'avez apporté
06:45quoi cher ami ?
06:47Le numéro 1 de Paris Match.
06:49Le premier exemplaire paru en mars 1942.
06:51Et vous me le donnez ?
06:53Je vous le montre.
06:55Mais pourquoi vous me le donnez pas ?
06:57Vous ne le méritez pas.
06:59C'est pour vous montrer qu'il y a une certaine permanence.
07:01Il y a une certaine permanence.
07:03Il y a une certaine permanence dans le journal
07:05depuis 75 ans.
07:07Je reconnais Winston Churchill.
07:09D'abord c'est le 12 mars 1949.
07:11On est le 24 avril.
07:13On ne le fait pas exactement le jour J mais ça fait 75 ans.
07:15Ah bah oui. Pourquoi vous ne l'avez pas souhaité
07:17le 25 mars 1949 ?
07:19Parce que c'était les vacances mon cher Pascal.
07:25Paris Match en fait à 75 ans.
07:27Mais ça ne va pas du tout.
07:33Donc on voit Winston Churchill.
07:35Quelle est la jeune femme qui est là ?
07:37Je ne sais pas.
07:39Je ne sais pas qui c'est non plus.
07:41Il y a plein de milliers d'Américains
07:43en quête d'auteurs français.
07:45Manifestement.
07:49C'est un reportage à Berlin.
07:51On va en parler alors.
07:53A tout de suite.
07:55Vous avez 13 heures sur Europe 1 et vous réagissez à ce numéro.

Recommandations