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Sur le plateau de l'Heure des Pros ce mercredi 1er mai, Georges Fenech qualifie de «cosmétique», la mesure «d’intérêt éducatif» pour les adolescents délinquants.

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Transcription
00:00Moi, je m'interroge sur la légalité de cette circulaire.
00:04Parce qu'on vient de créer par circulaire une forme de peine de substitution qu'on a
00:10appelée mesure d'intérêt éducatif, en fait des travaux d'intérêt général qui
00:14ne disent pas leur nom.
00:15On n'a jamais créé une nouvelle peine par circulaire, la peine ne peut être créée
00:19que par la loi, on ne peut pas créer une peine comme ça par circulaire.
00:22Donc j'attends de voir les réactions et les saisines qui ne manqueront pas d'avoir
00:26lieu avec les avocats.
00:28Mais au fond, ce que je disais à l'instant dans votre reportage, pardon de me répéter.
00:32Ah, ce n'était pas vous ?
00:33C'est moi.
00:34Ah oui, vous êtes deux.
00:35C'était votre frère.
00:36C'était mon frère, oui.
00:37Voilà, qui intervenait.
00:38Bien sûr.
00:39Et la preuve qu'il y a bien deux Fenech.
00:40Non, ce sont des mesures cosmétiques, pardon, le sujet est grave, oui, ce sont des mesures
00:45cosmétiques.
00:46Vous allez faire un stage de citoyenneté, mais ça existait déjà.
00:49Un stage de citoyenneté.
00:50Voilà, bon, avec des associations.
00:52L'autre jour, il y avait un policier, il a eu un travail d'intérêt général.
00:57Et tout cela intervient après la mort de Matisse, vous voyez bien que ce n'est pas la réponse.

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