• il y a 7 mois
Samedi, près de Turin, l'équipe Tudor Pro Cycling Team va prendre le départ du premier Grand Tour de son histoire ! Montée au niveau ProTeam en 2023, la formation suisse possédée par Fabian Cancellara a très vite gravi les échelons, et c'est donc sur le Tour d'Italie qu'elle va faire ses grands débuts sur une course de trois semaines. "Arriver ici a déjà nécessité un énorme effort de la part de notre staff, de nos partenaires et des coureurs. Nous sommes prêts et disposés à faire un effort supplémentaire pour réaliser le Giro le plus réussi possible", explique le directeur général Raphael Meyer dans un communiqué de presse.

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Transcription
00:00 Le rêve c'est vraiment de gagner une scène et si je peux, de récupérer des points de montée, ce serait super.
00:13 Ce serait un deuxième objectif. Je ne suis pas vraiment intéressé par la classification générale.
00:20 C'est mieux de tenter de gagner une scène plutôt que de lutter pour le Grand Tour. Peut-être un jour je vais tenter de gagner le Grand Tour, mais pas à ce moment-là.
00:34 Une question de UB Mall pour le directeur sportif Matteo Tosatto. La première participation dans un Grand Tour, ça fait trois semaines. Avec quels résultats pourrais-tu dire que la Tudor a passé ce premier examen ?
00:49 Je répète la réponse de Matteo, nous sommes conscients de nos forces et nous voulons mettre notre philosophie en jeu.
01:04 Notre objectif, comme nous l'avons dit depuis l'année, c'est de tenter de gagner une étape. Si on y arrive deux ou trois fois, c'est mieux.
01:17 Si on n'y arrive pas une fois, c'est mieux. L'important c'est de faire tout pour tenter de gagner. Les gars se sont bien préparés.
01:28 Nous devons arriver à Rome avec la conscience de nous avoir fait tout. Après nous ferons nos évaluations.
01:35 Mais, comme je l'ai dit plusieurs fois, nous ne devons pas subir la course. Il y a des équipes qui sont plus fortes que nous sur certains terrains, mais nous devons imposer nos idées, notre force et ne pas avoir peur de personne.
01:54 Et puis, à Rome, nous verrons le final.
01:58 Encore un question pour Alberto De Ines. Comment te sens-tu après le tour de Romandie ? Est-ce que tu es confiant pour les prochaines volées ?
02:10 Oui, Romandie a été un des premiers pas pour me préparer au tournoi. J'étais bien pendant la course. Malheureusement, l'autre jour, j'ai pris un boulot et je n'ai pas réussi à faire la volée.
02:23 Mais cela n'a pas expliqué la condition que j'ai pu mettre. Je suis assez confiant pour le tournoi.
02:30 Encore une question pour Alberto de Benedikt Van Kloster. Comment vois-tu la hiérarchie entre les plus rapides du tournoi ? Et où te places-tu ?
02:48 Les meilleurs rapides du monde sont bien sûr, avec Chamberlain, Olaf, Fabio et d'autres.
02:58 Il y a des rapides et la compétition est élevée. Mais je sais qu'il faut avoir une équipe qui m'aide. C'est la première grande course avec un train.
03:10 Je suis le principal sprinter. J'ai beaucoup de confiance en l'équipe. Je sais qu'elle m'a vraiment aidé. J'espère pouvoir donner le meilleur de mon possible.
03:23 Une question pour Matteo Tosatto. En plus d'Alberto De Nese, il y a deux autres rapides dans l'équipe.
03:34 Mathéo Trentin et Marius Meyroffer. Penses-tu que les hiérarchies peuvent changer au cours du tournoi ?
03:42 Ou que De Nese sera toujours à lutter pour les sprints ?
03:46 Notre rapide est Alberto. Pour les vols de la Dupuis, il est notre leader.
03:54 Avec tout respect pour Mathéo Trentin et Marius, mais le train est imposé sur Alberto.
04:00 On verra sur les stages si il n'est pas avant ou si il sera en mi-stage.
04:07 On verra sur les stages si il n'est pas avant ou si il sera en mi-stage.
04:17 On verra sur les stages si il n'est pas avant ou si il sera en mi-stage.
04:29 [Musique]

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