• il y a 5 mois
Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##A_VOTRE_ECOUTE-2024-05-03##
Transcription
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:06 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane
00:11 Bonjour à tous, alors je suis heureux de vous retrouver, de vous accompagner durant 7h dans
00:24 votre émission à votre écoute, le week-end approche et oui vous avez sûrement besoin de
00:30 détente et de sourire à la vie, connaissez-vous la thérapie par le rire ? On en parle aujourd'hui
00:36 et on va en parler aussi avec le sourire. Est-ce que vos projets vous sourient, votre compagne ou
00:42 votre compagnon vous sourit aussi ? Pour poser toutes vos questions sur votre devenir, c'est le
00:48 0 826 300 300 mais aussi depuis notre adresse de contact à votre écoute @sudradio.fr
00:56 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane
01:01 Et oui le rire, le rire est vital à notre équilibre mental et physique et même psychologique lorsque
01:08 nous rions différents processus chimiques se déroulent dans notre corps et d'une part ce
01:15 sont les endorphines et la dopamine qui ont des effets positifs sur notre humeur, sur notre
01:20 comportement et aussi sur notre cognition mais sur notre sommeil et nos mouvements avec bien
01:27 entendu notre mémoire. Mais le rire peut nous aider à nous connecter avec les autres, ça vous arrive
01:34 parfois d'avoir des approches avec les uns avec les autres par le biais du rire, le rire peut être
01:40 communicatif et la thérapie par le rire peut vous éloigner de la solitude. Est-ce que c'est le cas
01:46 pour notre prochaine auditrice et notre première d'ailleurs auditrice ? Eh bien je vais lui demander
01:51 bonjour Thérèse. Bonjour Alexandre. Bienvenue sur Sud Radio. Merci beaucoup. Alors je vois que
02:00 vous souriez, vous avez le rire aussi prononcé donc c'est très bien. Et justement est-ce que
02:07 c'est une méthode, une technique ou est-ce que vous avez facilement le sourire et vous aimez rire ?
02:14 Ah oui voilà malgré les aléas de la vie, les hauts les bas, je reste toujours positive avec le
02:20 sourire et quand j'ai des copines qui sont pas bien, eh bien justement on parle de ces petits
02:26 soucis puis après j'essaie délicatement de partir sur l'humour et après voilà de partir sur des
02:32 petits rires et voilà c'est pareil avec ma soeur, c'est avec les gens qui sont autour de moi. Vous
02:39 avez le sentiment pour vous que le rire est une thérapie qui justement déstresse et enlève toute
02:46 anxiété ? Ah oui tout à fait, tout à fait. Quand je vais pas bien, juste après j'essaie de voir si
02:52 par exemple il y a une petite émission sur le rire et tout ça et voilà aussitôt ça rebooste et ça
02:59 fait du bien. Est-ce que vous même vous avez un rire communicatif ? Parfois il y a des personnes
03:05 qui ont des rires qui sont assez exceptionnels et même les gens du théâtre invitent souvent
03:13 des personnes justement pour chauffer une salle avec le rire. Est-ce que vous vous en faites partie ?
03:18 Eh bien justement je fais du théâtre amateur et c'est vrai que quand on fait les répétitions,
03:26 tout ça on a beaucoup de faux rires et ça fait du bien. On a quand même le stress avant de monter
03:34 sur les planches mais après on pense à ces faux rires, à ces rires et ça fait beaucoup de bien.
03:41 Bon super, en tout cas continuez et n'hésitez pas à véhiculer le rire parce que c'est l'humour et
03:51 le rire je crois que c'est ce qu'il y a de mieux et de ce qui peut aussi être transmis pour avoir
03:58 la bonne humeur. Quand je travaillais à l'époque je laissais les soucis à l'extérieur et quand
04:04 j'arrivais personne ne soupçonnait ce qui se passait parce que j'ai toujours le sourire,
04:09 je reste positive. Magnifique Thérèse. Alors aujourd'hui vous avez des interrogations
04:18 concernant votre fille. Vous avez une fille qui est en études et vous vous inquiétez un petit
04:25 peu de son avenir mais je crois que votre fille a quand même la tête sur les épaules non ?
04:30 Oui quand même, elle est à la fois femme-enfant, elle a 20 ans, elle est un peu comme moi,
04:39 elle est motive mais en même temps elle a son caractère et c'est un peu partagé et c'est
04:45 vrai qu'elle s'est débrouillée pour faire ses demandes sur Parcoursup ce qui est une galère
04:51 pour les personnes qui connaissent ça, elles l'ont vécu ou elles le connaissent. C'est à dire que
04:58 normalement c'est une question mais en fait c'est trois questions en une aujourd'hui,
05:03 c'est pour savoir dans quelle région elle va être, le logement et si elle va trouver l'entreprise
05:10 parce que c'est lié en fait. Donc là elle est en Parcoursup ? Oui, là elle a eu son CAP de vente,
05:18 là elle est en terminale, elle passe le bac, son BAPRO en accueil et après elle part sur un BTS
05:28 sur Devant et c'est très galère. Malgré les démarches qu'elle fait, je l'accompagne mais
05:36 c'est elle qui parle bien sûr. Et voilà on ne sait pas trop. Et question région,
05:42 elle a demandé Bordeaux, Dax, Lille, Arcachon, Nantes, Toulouse. Est-ce qu'elle va trouver
05:52 une entreprise et dans quelle région elle va être ? Le lycée. Elle est où actuellement ? Actuellement
05:59 nous sommes dans la Gironde. Et pour faire une petite parenthèse, pour revenir sur votre ressenti,
06:09 je vous avais appelé ultérieurement et évidemment ça se dégrade et nous devons déménager donc est-ce
06:17 que ça va être lié, est-ce que ça va pas être lié, est-ce qu'elle va trouver quelque chose à
06:20 part ou est-ce que ça va être ensemble ? Qu'est-ce qui se dégrade ? Le couple, au niveau de mon
06:27 couple. Et donc vous nous avez appelé il y a combien de temps ? Il y a quasiment trois semaines.
06:37 Et donc qu'est-ce que je vous avais dit sur votre couple ? Et bien que de toute façon que ça allait
06:46 se dégrader et qu'il fallait que je commence à chercher pour déménager parce que ça ne durerait
06:53 pas et que ce serait avant l'été. Mais c'est rapide parce que si vous nous avez contacté il y a
06:58 trois semaines et déjà que les choses sont en train de se mettre en place, est-ce que ça n'a
07:01 pas influencé aussi cette situation et cet événement par rapport à ce que je vous ai dit ? Et bien
07:08 déjà de toute façon ça se dégradait et puis il faut que ma fille trouve quelque chose. Et comme
07:13 cette personne-là en fait m'a posé un ultimatum, elle m'a dit tu choisis entre ta fille et moi,
07:20 donc la réponse ne se pose pas. D'accord, mais oui je peux comprendre aussi après bon le choix
07:27 vous appartient évidemment et je ne connais pas votre existence. Mais un enfant ça reste un enfant
07:33 et je peux comprendre votre prise de décision. Et surtout qu'on ne comporte pas l'amour entre deux
07:40 êtres et celui de l'enfant. Bon ça c'est mon point de vue personnel. Sauf si après effectivement
07:46 l'enfant est vraiment nocif mais je crois pas que ce soit le cas de votre fille. Alors pour moi
07:53 déjà votre fille est persévérante parce que déjà elle redémarre avec je dirais, enfin elle démarre
08:01 justement avec un niveau, pas le plus bas mais elle commence par un CAP, ensuite un bac pro,
08:08 ensuite elle veut aller plus loin vers un BTS. Donc c'est très courageux. Voilà pour la prochaine
08:16 rentrée de septembre. Bien sûr. Alors pourquoi est-ce que la location va dépendre de est-ce
08:21 qu'elle va se situer ou est-ce que ça sera deux choses à part, est-ce que je vais trouver quelque
08:25 chose à côté ? Alors moi ça m'est difficile de vous dire Thérèse où exactement mais par contre
08:31 ce qui me semble apparaître et par rapport à mes ressentis c'est qu'on part plus vers l'est et je
08:38 dirais que ça s'annonce plus soit dans la direction vers Toulouse, vers Montpellier, c'est dans ces
08:44 directions là sur lesquelles je penserais ou en tous les cas j'aurais ce sentiment et ce ressenti
08:49 pour votre fille où elle pourrait avoir la possibilité de faire ses études et d'accéder
08:56 à un lieu, à un endroit. Alors peut-être plus Montpellier que Toulouse mais ces deux endroits
09:01 lui seront peut-être favorables à elle de décider peut-être en dernière minute mais il y a
09:08 quelque chose de nouveau qui semble s'annoncer par rapport à ces endroits là. Et là en ce qui
09:15 concerne le choix de votre fille et par rapport à vous aussi et bien vous serez amené effectivement
09:22 à partir, vous serez amené à vous rapprocher d'elle pour pouvoir aussi l'aider, pour pouvoir
09:28 aussi l'accompagner parce que vous êtes assez fusionnel entre vous deux et c'est ce qui peut
09:33 déranger aussi votre compagnon. Alors je ne parle pas de jalousie mais tout au moins ça peut.
09:38 Non mais on peut, oui on peut. Exactement, et c'est pour ça qu'aujourd'hui vous allez privilégier ce choix là et ça vous
09:46 permettra de pouvoir changer les choses, de redémarrer, de repartir sur autre chose et surtout
09:52 ayez confiance en l'avenir de votre fille parce qu'elle est amenée à réussir, elle sait ce qu'elle
09:58 veut et elle va aller jusqu'au bout des choses. Voilà parce que là la rentrée c'est pour septembre donc
10:04 elle trouvera et le lycée et le logement et l'entreprise. Tout, c'est un package. D'accord.
10:12 N'hésitez pas à nous tenir au courant. D'accord parce qu'en plus c'est un tout entre le bac, entre les recherches.
10:22 J'ai bien compris, j'ai bien entendu, j'ai bien compris. Enlevez toute inquiétude Thérèse, n'hésitez pas à l'encourager, à l'accompagner et surtout faites-lui confiance.
10:34 Oui, oui, tout à fait. Merci à vous Thérèse, prenez soin de vous, passez un bon week-end. Merci.
10:41 Thérèse, je suis désolé, on est pris par le temps, il faudra peut-être nous recontacter plus tard mais là on est un peu pris par le temps.
10:50 Je suis désolé Thérèse. Je vous en prie. Merci beaucoup, merci à vous.
10:55 Je sais que de nombreuses personnes veulent passer mais tout est une question de temps aussi.
11:02 On se retrouve nous dans quelques minutes avec Marie. Marie est en couple depuis un an avec son compagnon.
11:09 Ça fait depuis cette période-là qu'ils ont aménagé ensemble et apparemment il y aurait un blocage entre eux.
11:18 Ce sentiment de malaise et de blocage est-il temporaire ? On en parle juste après. Ne bougez pas.
11:24 Sud Radio à votre écoute, 16h-17h, Alexandre Delovane.
11:30 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de votre émission.
11:34 Vous avez peut-être une question à me poser sur votre devenir, sur le plan professionnel, sentimental ou bien d'autres questions.
11:42 N'hésitez pas à le faire, le 0826 300 300 ODE AU STANDARD vous attend.
11:47 Et puis c'est le moment du "Saviez-vous" et après on retrouvera bien sûr Marie.
11:53 Le "Saviez-vous", la rigologie inspirée de la sophologie et du yoga du rire est une forme de thérapie par le rire.
12:02 Les exercices de rire volontaires sont réalisés en groupe et accompagnés de techniques de respiration de yoga
12:08 puisqu'il existe le yoga du rire et elle diminue la douleur, le stress, l'anxiété et améliore la qualité du sommeil.
12:16 Et d'ailleurs, pour souvent les personnes qui partent en retraite, on leur propose ce genre de choses, de thérapie par le yoga du rire
12:25 pour justement évacuer tous les doutes, tout le stress et toute l'anxiété qu'ils pourraient avoir durant leur retraite.
12:33 La thérapie de rire est une technique de bien-être pour tout le monde
12:38 et si vous, vous avez déjà eu affaire à ce genre de technique ou de méthode
12:43 ou si tout simplement pour vous le rire est une facilité, n'hésitez pas à venir témoigner sur notre groupe à votre écoute sur Facebook.
12:51 Et j'accueille à présent Marie comme le prénom de notre chère et tendre réalisatrice.
12:57 Bonjour Marie.
12:58 Bonjour Alexandre.
13:00 Bienvenue sur Sud Radio.
13:01 Merci, merci de m'accueillir.
13:03 Bon, déjà je sais que vous avez le sourire.
13:05 Oui, ça va.
13:07 Voilà, et maintenant je vous fais rire donc c'est super.
13:09 Alors pour vous, est-ce que justement le rire est important dans votre quotidien ?
13:15 Oui, c'est important.
13:17 Justement je ne ris plus trop beaucoup à ce moment alors bon...
13:21 Parce que c'est l'univers dans lequel vous êtes qui ne vous donne plus cette possibilité au rire ?
13:28 Un peu, oui un peu.
13:30 D'accord.
13:32 Alors justement, on va y venir tout de suite sur votre sujet.
13:36 Ça concerne votre vie sentimentale.
13:41 Vous êtes en couple depuis quelque temps et notamment vous avez aménagé avec votre compagnon depuis un an.
13:49 Et apparemment son comportement et son attitude a changé ou s'est modifiée ?
13:55 En fait, je suis rentrée un peu dans son quotidien puisque c'est moi qui suis venue chez lui.
14:03 Sa maison était déjà là et c'est moi qui ai déménagé.
14:07 J'ai dû donc trouver un autre emploi et donc je suis laissée un peu de côté ce que j'avais un peu construit auparavant.
14:17 Donc des collègues, des copines, etc.
14:21 Donc je suis arrivée dans son quotidien à lui avec ses habitudes à lui et avec son entourage à lui.
14:29 Et là je suis, j'ai l'impression que je dois m'adapter à tout ça sans trop de choix finalement.
14:37 Ce qui est un peu difficile pour moi, j'aimerais construire quelque chose à moi à l'extérieur.
14:47 Et j'aimerais surtout pouvoir avoir le choix d'aimer ou non ses amis parce que je suis pas obligée de les aimer.
14:55 En fait, c'est lui qui les connait depuis longtemps, je peux comprendre.
14:59 Je ne sais pas s'il a envie de renouveler son entourage, pas changer, mais renouveler, c'est-à-dire avoir un autre entourage, d'autres amis à l'extérieur différents de ce qu'il a déjà.
15:12 Mais qu'est-ce qui vous dérange avec ses amis ?
15:15 Ils sont un peu intrusifs et ils sont un peu...
15:19 Ils s'imposent ? Ils s'imposent trop dans votre vie ?
15:23 Ils s'imposent trop, ils donnent trop leur avis et je trouve que lui en tient beaucoup rigueur.
15:28 Il est resté longtemps seul auparavant, avant de vous rencontrer ?
15:32 Un an.
15:34 Et pour quelle raison, si ce n'est pas une question trop indiscrète, il s'est séparé de son ancienne compagne ?
15:41 Son ancienne compagne avait un caractère beaucoup plus explosif que le mien.
15:46 Et ça a vite clashé avec ses amis et une en particulier.
15:51 C'est ses entourages qu'il a fait partie, je suis sûre et certaine.
15:55 Exactement. Je vous pose cette question parce que j'ai vraiment le sentiment que...
16:00 C'est inconscient, mais il vous fait payer ce qu'il a subi auparavant avec son ancienne compagne.
16:07 Lui-même, après chacun a son caractère, sa personnalité, je ne jugerai pas qui est cet homme ou son ancienne compagne,
16:16 parce que, s'il voulait, il y a eu tellement de clash auparavant entre ses amis et son ancienne compagne,
16:22 que votre compagnon aujourd'hui, il est resté, je dirais, un peu, pas traumatisé,
16:28 mais il est resté sur quelque chose qui lui a été difficile et qui lui a été amer.
16:33 Et aujourd'hui, il réinstalle un schéma de vie un peu similaire à ce qu'il a vécu auparavant,
16:41 en pensant que ça y est, c'est une nouvelle personne, donc vous, et les choses vont passer,
16:48 avec vous, ça ne sera pas la même chose. Eh bien si ! Il répète le même schéma.
16:53 Oui, on dirait qu'il veut même poser, même si ça a clashé, son entourage et les choses,
17:02 sans se soucier de ce qui va se renouveler, de ce qui va lui faire du mal, de ce qui va recommencer.
17:10 Bien sûr. Alors, évidemment, il a un besoin peut-être d'éclaircir la situation,
17:16 il a besoin peut-être de prendre du recul pour se rendre compte du danger dans lequel il mène son couple,
17:22 et pour éviter justement le clash, mais cet homme, en fait, a peur de la solitude.
17:27 Et en agissant de cette manière-là, il souffre de la notion de la solitude,
17:31 donc peut-être que dans son parcours familial, il a vécu, je ne veux pas dire forcément de l'abandon,
17:37 mais peut-être qu'il a eu ce sentiment-là, ou il y a eu quelque chose qui lui a été difficile,
17:41 ou tout simplement, auparavant, il n'a pas su assumer des responsabilités sur lesquelles on lui a reproché,
17:47 et effectivement, lui, il s'est senti victime de quelque chose de pas juste.
17:58 Et pour moi, eh bien, c'est un homme qui a fui la solitude, qui a peur de la solitude,
18:06 mais en faisant ça, il se l'attire.
18:08 C'est-à-dire qu'il nourrit en permanence cette peur du manque d'être aimé, d'aimer,
18:18 donc il se nourrit à travers des amis, et en agissant de cette manière-là,
18:22 il divise certaines personnes, et ça crée vraiment des fragilités, des difficultés,
18:29 surtout pour construire sa relation sentimentale, et pour moi, ça va être compliqué.
18:35 - Oui, ça va être compliqué.
18:37 - J'ai l'impression aussi, oui.
18:39 - Bon, maintenant, je ne veux pas vous influencer sur la prise de décision,
18:42 mais je pense que vous risquez de taper du poing sur la table,
18:45 et je pense que vous risquez de décider de vous détacher dans un premier temps de lui.
18:49 - D'accord.
18:51 - Mais sans pour autant de parler de séparation.
18:53 Et à partir de là, peut-être que lui va se remettre en question,
18:56 et peut-être que les choses peuvent redémarrer.
18:58 Donc, pour répondre à votre question, je ne sens pas de rupture,
19:01 mais je sens plus une notion de détachement, et avec un état de crise,
19:08 et justement pour que lui puisse entendre et comprendre
19:13 que ce qu'il est en train de faire nuit à votre vie, et à tous les deux.
19:18 - Ah bon ? Mais je vais pouvoir me détacher sans partir ?
19:22 - Ça peut être... Alors, quand je parle de détachement,
19:26 ça peut être d'une séparation provisoire.
19:29 Le temps d'aller réfléchir, peut-être héberger chez des amis,
19:33 mais le temps de réfléchir à une situation.
19:36 - Oui, d'accord, je vois. Peut-être que je lui dis "écoute, pendant un certain temps,
19:39 toi tu vas faire ça, moi je vais partir de mon côté, on va réfléchir."
19:42 - On va réfléchir, exactement.
19:44 - Peut-être rien que ça...
19:46 - Voilà, exactement, il va réagir un petit peu.
19:48 Mais il faut persévérer.
19:50 - Il faut persévérer, oui.
19:52 - Il faut vous imposer aussi.
19:54 - Oui, je sais bien, mais j'ai l'impression que je dois m'imposer par des cris, par des...
19:58 - Il vous a perdu.
20:00 - Bon, c'est les aléas du direct.
20:02 Marie, écoutez, en tous les cas,
20:05 Marie, ne perdez pas espoir,
20:08 imposez-vous et affirmez-vous,
20:11 c'est ce qu'il y a de plus important.
20:13 Allez, à présent, vous avez peut-être un doute, une question, une confidence,
20:18 un seul numéro, c'est le 0826 300 300.
20:22 On se retrouve dans quelques minutes avec notre prochaine auditrice Juliette.
20:27 Alors, Juliette est divorcée depuis 2018,
20:31 elle a eu un mariage assez houleux,
20:34 elle a eu aussi une belle famille qui ne l'a jamais acceptée
20:38 et rejetée, elle a été rejetée par ses trois enfants.
20:42 Alors, quel comportement doit-elle adopter ?
20:44 Retrouvera-t-elle le dialogue avec ses enfants ?
20:47 Ne bougez pas, on en parle juste après.
20:49 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
20:55 Et de retour sur Sud Radio, alors bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent.
20:59 Nous sommes bien sûr en direct et si vous souhaitez poser vous-même une question sur votre devenir,
21:06 profitez-en, il reste encore une bonne demi-heure pour passer à l'antenne de Sud Radio,
21:11 c'est le 0826 300 300.
21:14 Et avant d'accueillir Juliette, je vais vous donner quelques conseils sur les bienfaits du rire,
21:19 parce que je recommande à tout le monde de rire
21:22 et justement, plus on rit et plus ça donne la possibilité d'éliminer le stress
21:27 avec des effets positifs même sur la dépression,
21:31 pour ceux qui sont malheureusement fragilisés par ça.
21:35 Ça améliore aussi le système des défenses humanitaires,
21:40 ça donne aussi un bon effet sur le système cardiovasculaire.
21:44 Un exercice d'entraînement et de détente permet aux muscles en particulier
21:49 et aux abdominaux d'avoir une meilleure respiration.
21:54 Et d'ailleurs souvent on dit, quand on rigole trop, on a mal au ventre et ça nous fait travailler nos abdos.
22:00 La respiration est favorable, vraiment pour le rire,
22:06 et aussi le rire permet et augmente le seuil de tolérance de la douleur.
22:12 Et à présent, je vais accueillir Juliette. Bonjour Juliette.
22:17 Bonjour Alexandre.
22:18 Bienvenue sur Sud Radio.
22:20 Merci.
22:21 Juliette, est-ce que vous, vous aimez rire ?
22:25 Est-ce que vous avez déjà eu affaire à ce genre de thérapie par le rire ?
22:30 Non, non, je n'ai pas fait de thérapie par le rire, non, mais je me rire effectivement.
22:37 Ce qui m'amène à rire, c'est par exemple d'aller au théâtre.
22:43 Je ris beaucoup quand je vais au théâtre, quand je vais voir des films, des comédies, des bonnes comédies.
22:50 Sinon en matière de blague, je suis plutôt assez compliqué.
22:55 On ne me fait pas rire avec une blague.
22:59 Je suis souvent la dernière à rire, on va dire.
23:02 Il faut que ce soit vraiment marrant.
23:05 L'humour signé que vous fait rire ?
23:09 Ça dépend.
23:11 Je ne sais pas si je vous ferai souvent rire.
23:14 On dit que j'ai un humour cynique.
23:16 Qu'est-ce que ça va être par exemple un humour cynique ?
23:20 Là, je ne peux pas vous dire, c'est spontané.
23:23 Mais parfois, on peut penser que c'est du sérieux sans être sérieux.
23:29 Ah oui, c'est ce que j'appelle l'humour froid, ça j'adore.
23:32 Oui, un peu.
23:33 J'appelle ça l'humour froid, c'est ce que je préfère et c'est ce que je fais souvent.
23:37 Et ça me fait rire parce qu'en fait, on ne me comprend pas.
23:41 Des fois, je fais de l'humour froid et il n'y a personne qui le comprend, à part les gens qui me connaissent.
23:46 Ce n'est pas que j'adore, mais ça me fait rire.
23:50 J'adore les gens qui font de l'humour froid.
23:52 Les gens autour ne savent pas s'il s'agit de l'art ou du cochon.
23:55 Ils sont là, ils se demandent.
23:57 J'adore ça.
23:59 En tous les cas, on vous entend parler.
24:02 On entend aussi votre accent de Toulouse.
24:05 Oui, c'est ça.
24:06 Juliette, vous avez 53 ans.
24:08 Vous avez une histoire un peu particulière, un peu compliquée.
24:13 Vous avez été mariée auparavant, divorcée depuis 2018,
24:18 avec une belle famille qui apparemment ne vous a jamais trop acceptée et intégrée.
24:24 C'est ça.
24:25 Et des enfants qui aujourd'hui se retournent contre vous.
24:28 Les enfants, ce n'est pas qu'ils se retournent contre moi.
24:32 C'est qu'il n'y a plus de dialogue.
24:35 Je me suis séparée de leur père il y a maintenant 6 ans.
24:38 Petit à petit, le dialogue est parti.
24:41 Je ne sais pas si c'est parce que le père a la belle famille.
24:44 Tout le monde a toujours dit du mal de moi.
24:46 J'ai toujours été rejetée dans la belle famille.
24:49 Leur père, après la séparation, a trouvé le moyen de...
24:54 Ah oui, j'ai oublié, c'est un pervers narcissique.
24:56 Il m'a isolée de ma famille, de certains amis.
25:01 Pardonnez-moi Juliette, parce qu'on emploie souvent ce mot,
25:05 "PN", le pervers narcissique.
25:07 Est-ce que ça a été diagnostiqué par un médecin ou c'est vous qui l'avez diagnostiqué ?
25:12 Oui, non, j'ai vu des psys.
25:15 Chaque fois que je raconte l'histoire, on me dit que c'est un pervers narcissique.
25:20 Du coup, il a fait le vide.
25:22 Après la séparation, 2 ans après, il a réussi à mettre plusieurs personnes de ma famille
25:28 et quelques amis contre moi.
25:30 Maintenant, ma peur, c'est que c'est difficile d'avoir un dialogue avec mes enfants.
25:35 C'est devenu difficile, parce que c'était très bien, c'était formidable à l'origine, au départ, et avec les années.
25:41 Je me demande si ce n'est pas leur père qui leur fait un...
25:45 Un aval de cerveau ?
25:46 Un trait de sape, indirect.
25:49 Lui ou la belle-mère, parce que la belle-mère, on le déteste au plus haut point depuis toujours,
25:54 elle ne m'a jamais aimé, parce qu'il y a trop de différences entre nous
25:57 et ça, elle n'accepte pas les différences.
25:59 Il y a beaucoup d'histoires avec les belles-mères, souvent.
26:02 C'est triste, parce qu'en fait, moi je n'étais pas contre elle, son fils restera toujours son fils.
26:09 Mais, eux, ils sont du Nord, moi je suis du Sud, ils sont petits, je suis grande.
26:13 Il y a toutes les différences, mais il ne peut pas y avoir plus de différences entre nous.
26:18 Mais vous savez, souvent, je ne pense pas que ça soit lié à toutes ces différences-là,
26:22 parce que je pense que, enfin, moi, c'est mon point de vue,
26:25 je crois qu'on peut avoir tous des différences, mais on est tous pareils.
26:29 Et ça, je pense que, parfois, autour d'une table, on peut avoir tous des différences,
26:35 mais avoir un même sens ou une même opinion de la vie.
26:41 La seule chose qui, souvent, contrarie dans des familles, c'est qu'il y a un mauvais départ.
26:47 Et il y a un mauvais départ, pourquoi ?
26:49 Parce que, peut-être que votre ex-mari n'a pas su vous imposer,
26:54 n'a pas su, dès le départ, mettre les formes et les points pour que les choses s'installent correctement, avec respect.
27:01 Et le problème est là, souvent. Il est souvent lié à ça.
27:05 Il ne m'a pas imposé, c'est-à-dire que la mère me mettait des tacles dans la figure et ne me disait rien.
27:10 Exactement.
27:11 Il était frère.
27:12 Exactement. Et aujourd'hui, la difficulté dans laquelle vous vous retrouvez,
27:15 puisque vous dites qu'avec vos enfants, il y a des problèmes de communication,
27:19 on est dans la même situation qu'avec votre belle-famille.
27:24 Ah bon ?
27:25 Oui, puisque vos enfants ne sont pas dans un même dialogue que vous,
27:30 ne sont pas dans une même entente que vous, ce qui n'est pas normal, vous êtes la maman.
27:35 Oui, c'est ça.
27:36 Vous êtes la maman.
27:38 Donc, effectivement, peut-être que votre ex-mari a une forte influence sur les enfants,
27:44 mais dites-moi, vos enfants sont quand même en âge de majorité, non ?
27:49 J'en ai une qui est majeure et deux autres qui ne le sont pas.
27:52 Ils ont quel âge ?
27:53 18, 15 et 12 ans.
27:56 C'est encore jeune. Pour avoir peut-être un a priori ou un jugement sur eux,
28:02 il faut laisser le temps faire, il faut partager des moments avec eux,
28:07 qui parfois, c'est difficile de partager, parce que souvent l'adolescent n'a pas forcément envie de tout partager.
28:16 Mais je crois qu'il ne faut pas essayer de trop les responsabiliser sur des histoires familiales.
28:24 Son père, c'est son père, vous, vous êtes la maman.
28:27 C'est ce que je suis.
28:28 De bien départager tout ça pour ne pas qu'il y ait des histoires de famille qui se controversent
28:33 et qui créent une grosse difficulté entre vous.
28:36 Et puis, laisser faire un peu le temps, essayer justement de profiter de ces moments ensemble,
28:45 des peu de moments que vous avez ensemble, de profiter pour partager certaines choses,
28:50 même si c'est des petites choses infines, mais qui vont permettre de créer un peu de joie.
28:55 Et justement, on parle aujourd'hui de rire, de sourire et d'apporter ça,
29:00 pour qu'au fur et à mesure et au fil du temps, vos enfants aient un regard différent sur leurs cellules familiales
29:09 et ensuite qu'ils ne soient pas trop influencés sur des idées qui vous seraient justement difficiles à accepter et à vivre au quotidien.
29:21 Pour moi, de ce que je ressens, Juliette, c'est que vos enfants, même si aujourd'hui c'est compliqué,
29:28 je ne les sens pas vraiment couper totalement le dialogue avec vous et couper la relation avec vous.
29:36 Il faut juste encore un peu de temps et n'ayez pas peur d'être face à eux avec certaines réactions,
29:43 mais vous verrez que ça va s'arranger avec le temps.
29:46 D'accord. Vous situez ça dans quelle échéance à peu près ça va s'arranger ?
29:51 Pour moi, comme vous avez des enfants qui ont des âges très différents, ça va par vagues.
29:58 Donc il faut laisser un peu de temps, mais sous les 5-6 ans, je sens que les choses s'améliorent très très bien.
30:07 Donc laisser passer l'adolescence. C'est l'adolescence qui fait le mal et après,
30:12 ils verront clair dans le jeu de la belle famille et du père peut-être.
30:17 Bien sûr, bien sûr. Et en attendant, essayez de partager des moments importants et précieux surtout.
30:24 Parce qu'il n'y a rien de plus beau que de partager un repas et de se dire qu'on s'aime.
30:29 Exactement, mais j'ai mon moyen qui n'accepte pas qu'on lui dise qu'on l'aime.
30:34 C'est-à-dire que celui qui est au milieu, quand son frère ou sa soeur lui disent qu'il l'aime,
30:39 et bien lui ne le croit pas et il tape. Vous voyez ? Il le prend mal, c'est bizarre.
30:44 Oui, il a peur justement de ne pas être aimé.
30:49 Donc ça renvoie chez lui une image. Il a peur de l'abandon de plein de choses.
30:53 Mais là, on serait plus sur une analyse psychologique. Mais ne vous inquiétez pas. D'accord ?
31:00 Bon, c'est très bien. Merci beaucoup.
31:02 Merci Juliette. Prenez soin de vous et continuez à sourire. Merci.
31:05 Allez, bon week-end. Merci.
31:07 Merci.
31:08 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.
31:13 Et la parole est à Marianne. Bonjour Marianne.
31:16 Bonjour.
31:17 Vous êtes bien là Marianne ?
31:19 Oui, je suis là. Vous m'entendez ?
31:21 Oui, très très bien Marianne. Vous allez bien ?
31:25 Oui.
31:28 Oui, c'est un petit oui. Vous avez 44 ans, vous êtes du Val-de-Marne.
31:35 Oui, et vous êtes aujourd'hui en recherche d'emploi.
31:40 Je suis un peu... Oui, on va dire ça, oui.
31:44 En fait, j'étais professeure et je suis en demande de reclassement.
31:52 Mais je me demande si j'ai fait une bonne chose.
31:55 D'accord. Vous êtes face à un choix, c'est ça ?
31:58 C'est ça.
31:59 D'accord. Un choix de reclassement professionnel ou d'une formation ?
32:05 Exactement.
32:06 D'accord. OK.
32:08 Dans quoi ? La formation dans quoi ?
32:12 Dans l'administration culturelle.
32:15 OK. Et le reclassement professionnel ?
32:18 Dans l'administration, mais plus...
32:22 Enfin, c'est pas forcément...
32:24 J'ai peur que ça ne me convienne pas, quoi. Voilà.
32:28 OK. Il n'y a pas de souci.
32:31 Mais auparavant, c'est dans cette administration-là que vous travailliez, auparavant ?
32:35 Oui, avant...
32:37 Oui. Même s'il y a un reclassement, mais...
32:40 C'était pas du tout sur les mêmes fonctions.
32:42 C'est pas les mêmes fonctions, d'accord. Mais ça reste toujours la même entité.
32:45 Voilà. Bon.
32:47 Et aujourd'hui, vous en êtes où ?
32:49 Est-ce que vous avez une décision à prendre ?
32:51 Comment ça se passe pour vous ?
32:53 C'est-à-dire que je me pose la question de me former pour faire une reconversion.
33:01 Mais je ne suis pas sûre d'avoir, on va dire, la capacité à tout mener de front et être sûre de la réussite.
33:15 En fait, j'ai un petit peu peur d'échouer dans ce projet. Je ne sais pas si ça va me mener quelque part.
33:19 Ou est-ce que j'accepte simplement ce que me propose mon employeur d'un poste ?
33:28 Est-ce que ça va évoluer positivement ?
33:31 Ou est-ce que c'est plutôt une mauvaise solution ? Parce que j'ai un peu des doutes, en fait.
33:35 Oui, je comprends. Et la reconversion professionnelle, est-ce que c'est lié à cette formation ou c'est autre chose encore ?
33:41 Oui. Ce serait mieux, oui.
33:43 Ce serait mieux que ça passe par la formation.
33:45 Par la formation, oui. Moi, c'est ce que je ressens.
33:47 C'est ce que je ressens. Il faut défendre vos idées.
33:50 C'est-à-dire qu'aujourd'hui, le problème, c'est que vous ne défendez pas assez vos idées
33:55 et que vous n'apportez pas assez de convictions. C'est ce que je ressens.
33:58 Attention, ce n'est pas un jugement, mais je ressens ça.
34:01 Il faut porter plus votre envie de changer, votre envie d'accéder à cette formation-là
34:11 et dans tout ce qui touche au système culturel. C'est ça ?
34:16 Oui. Je voudrais bien travailler.
34:19 Vous pouvez. Vous pouvez accéder.
34:21 Ça sera plus dur qu'à la limite le reclassement, parce que le reclassement, j'ai l'impression qu'il est déjà peut-être acté.
34:27 À la limite, si vous ne réagissez pas, on va par facilité vous mettre sur un reclassement.
34:33 Mais pour moi, il faut vraiment montrer un peu comme si vous étiez en train de défendre une position,
34:41 aussi de débattre sur votre CV.
34:45 Il faut montrer beaucoup plus de convictions, de confiance en vous
34:50 et vous verrez que vous allez y arriver à atteindre ce secteur de la formation et au niveau culturel.
34:55 Parce que l'année dernière, ça m'a été refusé.
34:58 Oui, mais c'est pour ça.
35:00 Oui, mais parce que vous ne donnez pas... Pardonnez-moi.
35:04 Et on m'a dit là que c'était carrément incompatible avec ma situation.
35:08 Si il y a la possibilité de faire cette demande de formation, c'est qu'il y a peut-être encore un peu d'espoir, non ?
35:19 Pour cette année, je ne peux plus faire la demande, mais si je choisis de m'y inscrire quand même,
35:26 je ferai ça, pas par seule.
35:31 En tous les cas, pour moi, je sens qu'il faut persévérer et opter peut-être pour cette solution-là.
35:37 Mais comme je vous dis, défendez votre opinion et votre position. D'accord ?
35:43 D'accord. Parce qu'en fait, j'avais été prise dans une université assez prestigieuse, à Dauphine,
35:52 pour un master professionnel.
35:54 Et du coup, comme j'avais une vie un peu compliquée, je n'y suis pas allée en septembre.
35:59 Mais je suis en train de me demander est-ce que j'y vais ou j'y vais pas.
36:04 Donc là, c'est pour le reclassement, c'est ça ?
36:07 Non, non, non. C'est l'information dont j'ai parlé.
36:13 Je ne veux pas me laisser influencer par tout ce que vous me dites,
36:16 mais pour moi, c'est plus l'histoire de la formation qui me parle.
36:20 Maintenant, par rapport à des questions de priorité, aussi de besoin,
36:25 répondez à ce qui va plus vous correspondre et surtout en fonction de vos besoins,
36:31 que ce soit des besoins matériels, des besoins pratiques et de commodité,
36:35 et aussi intellectuels et physiques et tout.
36:38 Si c'est Dauphine, il faut aller à Dauphine.
36:41 Mais moi, je sens que c'est la formation.
36:43 N'hésitez pas à nous tenir au courant, Marianne.
36:46 Merci. Merci à vous. Prenez soin de vous. Merci.
36:51 Et c'est peut-être maintenant votre tour pour passer à l'antenne de Sud Radio.
36:56 Essayez en appelant le 0826 311 300. J'en suis sûr que vous allez arriver à nous avoir.
37:02 Et nous, on se retrouve dans quelques minutes avec Cathy pour un retour de Prédiction.
37:07 Elle nous avait appelé en janvier dernier car elle souhaitait faire justement une formation
37:12 dans les métiers du secrétariat et de l'accueil.
37:14 Et elle se demandait à ce moment-là si elle était prête physiquement ou mentalement.
37:19 Que puis-je lui avoir dit et quelle décision a-t-elle prise aujourd'hui ?
37:23 On revient juste le temps d'une pause. Et avec Cathy.
37:26 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
37:32 Et de retour sur Sud Radio, merci de votre fidélité.
37:36 Alors si vous, vous souhaitez passer à l'antenne, pour passer aussi dans l'émission à votre écoute,
37:42 ce numéro, le 0826 300 300.
37:46 Et à présent, j'accueille ma dernière auditrice pour cette émission, c'est Cathy. Bonjour, Cathy.
37:51 Oui, bonjour. Bonjour, bonjour.
37:54 Bienvenue sur Sud Radio. Alors merci de votre fidélité, Cathy,
37:58 parce que vous nous avez appelé il y a quelques temps concernant votre situation professionnelle.
38:04 Et notamment, vous étiez dans un doute pour entreprendre une formation. C'est bien ça ?
38:10 Alors c'est ça, oui. Je vous avais donc contactée pour vous demander ce que vous pensiez par rapport à cette formation.
38:16 Vous m'aviez dit que pour vous, ça serait positif. Et actuellement, c'est vrai que je suis en pleine formation.
38:23 Bon, très bien. Donc vous avez activé les choses.
38:27 Et vous avez pris la décision de la faire. Parce que vous nous avez appelé à quelle période ?
38:32 Alors je vous avais appelée, c'était en janvier.
38:34 En janvier. Donc là, il n'y avait pas eu de prise de décision à ce moment-là ?
38:38 Pas du tout. Pas encore.
38:40 Et donc c'est une formation en tant que secrétariat, dans le secrétariat et l'accueil, c'est ça ?
38:47 Secrétariat et formatique accueil, oui. C'est ça.
38:49 Exactement. Je vous rappelle, vous avez 56 ans. Donc je ne veux pas dire que vous n'avez pas la capacité,
38:54 mais c'est vrai que quand on vieillit, il faut s'y remettre dans le bain de la formation. Donc ce n'est pas évident.
39:00 C'est carrément ça.
39:02 Et je vous ai dit que vous allez réussir. Mais est-ce que ça va être facile ou pas ?
39:07 Alors c'est justement pour ça que je vous appelle, parce que je trouve ça très très compliqué.
39:11 Il y a une très très mauvaise organisation au niveau de la formation.
39:15 C'est très dur. Donc je me demande si je vais arriver jusqu'au bout, si pour moi ça va être positif,
39:22 si je vais arriver à avoir cette formation.
39:24 La fin de la formation, c'est pour quelle date ?
39:28 Octobre.
39:29 C'est pour octobre. D'accord. Et vous sentez, vous, avoir vraiment de grandes difficultés ?
39:34 Carrément, oui. Carrément.
39:36 Et est-ce qu'il y a moyen de vous faire aider ?
39:39 Oui, oui, je me fais aider.
39:40 Parce que pour moi, il y a une aide. Il y a une aide qui est là. Il y a même deux aides.
39:45 C'est-à-dire qu'il y a un homme qui peut apporter un véritable accompagnement,
39:50 et puis vous avez aussi une femme qui est en exercice ou qui est déjà dans le domaine professionnel
39:56 et qui aussi apporte des éléments supplémentaires et des conseils.
40:01 Sincèrement, Cathy, je crois que la dernière fois que vous nous avez appelé, c'était pour être encouragée.
40:08 Vous l'avez fait et vous avez réussi à le faire.
40:11 Alors aujourd'hui, vous nous appelez aussi, c'est pour être à nouveau encouragée.
40:15 Et qu'est-ce que je vais vous dire ? Je vais vous dire d'arrêter, mais sûrement pas.
40:19 Je ne vais pas vous le dire pour faire de la complaisance.
40:22 Je vais vous le dire tout simplement de ne pas arrêter parce que je sais que vous avez cette capacité d'y arriver jusqu'au bout.
40:29 Après, vous mettez trop la pression.
40:33 Je pense que vous avez un côté un peu perfectionniste.
40:36 Il y a peut-être un complexe en vous aussi qui est là et qui est marqué,
40:40 qui fait que ça donne le sentiment que vous n'allez pas y arriver.
40:43 Mais ne vous laissez pas submerger par vos peurs, par vos émotions,
40:47 mais au contraire, restez sur votre ligne directive.
40:51 Parce que pour moi, il y a un but et ce but, vous allez l'atteindre et avec succès.
40:57 Merci beaucoup, ça me réconforte parce que là actuellement, c'est compliqué.
41:01 Oui, j'entends, c'est compliqué et ça va être compliqué peut-être jusqu'au bout.
41:05 Mais ce qui est compliqué ne veut pas dire que vous allez vers un échec. Pas du tout, au contraire.
41:10 D'après vous, je devrais avoir cette formation quand même ?
41:13 D'après vous, qu'est-ce que je vous ai répondu ?
41:16 Oui, oui, oui.
41:18 Et voilà, je crois vraiment en vous. Je suis sûr que vous avez toutes les chances pour y arriver,
41:23 même si c'est compliqué. Mais foncez, foncez, concentrez-vous sur des choses simples
41:31 et ne compliquez pas les choses. D'accord ?
41:34 D'accord. Est-ce qu'il y a des personnes qui sont plus ou moins négatives dans cette formation ?
41:38 Parce que je sens des personnes un peu négatives.
41:41 Ne vous préoccupez pas de ça. Ne vous préoccupez pas de ça.
41:44 Concentrez-vous sur vous. Des personnes négatives, il y en a partout.
41:47 Et effectivement, il y a peut-être des petites influences négatives,
41:50 mais pas d'impact sur vous directement. D'accord ?
41:53 Merci Cathy, tenez-nous au courant.
41:55 Merci beaucoup, c'est gentil. Je vous souhaite beaucoup de continuité.
41:59 Merci. Un bon week-end à vous.
42:02 Et pour conclure, je dirais une vie sans humour, c'est une prairie sans fleurs.
42:07 Et celui qui sait faire de l'humour, c'est bien Philippe David.
42:10 Oh, merci, merci, cher Alexandre Delovane.
42:12 Ça me touche énormément. Au venu des vrais voix,
42:16 à 17h30, le grand débat. Qui pour vous est le grand vainqueur du débat ?
42:20 Bardella, Ayer, c'était hier sur BFM TV.
42:23 Alors on est à un tout petit peu plus d'un mois du scrutin,
42:26 qui sera le 9 juin. Ils se sont affrontés hier soir.
42:28 Pour vous, y a-t-il un vainqueur ? Ou vous avez fait un match nul ?
42:31 Un mauvais match nul à 0-0 ou un bon match nul à 3 partout ?
42:34 Venez témoigner et nous donner votre avis au 0 826 300 300.
42:38 L'organisation Reporters sans frontières a dévoilé aujourd'hui
42:41 son classement annuel de la liberté de la presse,
42:43 puisque c'est la journée mondiale de la liberté de la presse.
42:45 Et on vous pose cette question, la presse française est-elle libre ?
42:48 Vous pensez qu'elle est libre ou vous pensez que, comme une bonne partie
42:51 est subventionnée par l'État, elle ne l'est pas tant que ça ?
42:54 Venez nous le dire au 0 826 300 300.
42:56 Nos trois vrais voix du jour, Philippe Bilger et deux patrons de presse,
42:59 René Chiche et Joseph Touvenel.
43:01 Un sacré débat, bonne émission.

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