• il y a 7 mois
Chez les policiers, l'heure est au choc et à la stupeur. Jeudi soir, un individu s’est emparé de l’arme d’un policier et a blessé deux fonctionnaires au sein d'un commissariat du 13e arrondissement de Paris. Le pronostic vital de l'un d'entre eux est toujours engagé et l'enquête est en cours. Mais pour le journaliste Jonathan Siksou, «la France insoumise ne cesse d’accrocher une cible dans le dos de chaque policier».

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Transcription
00:00que ça aussi, c'est nouveau, une volonté de tuer des policiers
00:03quand on attaque au tir de mortier des commissariats,
00:06comme on l'a vu ces dernières semaines, c'est gravissime.
00:10J'y vois deux choses, deux facteurs qui peuvent expliquer ce phénomène grandissant.
00:16Les chiffres qui montrent l'augmentation sont considérables.
00:19Il y a d'un côté la quasi impunité des personnes qui se livrent à ce type d'action,
00:24impunité parce que bien souvent, on n'arrive même pas à mettre la main dessus.
00:27Ils partent, ils s'évanouissent dans la nature après avoir commis leurs méfaits
00:31et ils sont parfois mineurs avec les circonstances minorantes que l'on connaît en la matière.
00:37Et puis, vous avez de l'autre côté aussi un discours politique de l'extrême gauche.
00:41Quand je dis l'extrême gauche, je pense surtout et avant tout à la France insoumise
00:46qui ne cesse discours après discours, tweet après tweet,
00:49à accrocher une cible dans le dos de chaque policier.
00:52Et ça ne fait qu'aggraver le climat ambiant.
00:57Sous-titrage Société Radio-Canada

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