• il y a 6 mois

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00:00Il est 8h15, est-ce que vous avez déjà une idée du bulletin que vous allez mettre dans l'urne la semaine prochaine,
00:06enfin dans dix jours, pour les élections législatives ? C'est déjà le premier tour.
00:09On vous attend au 05 59 59 17 17. Votre choix est fait ou au contraire vous allez peut-être vous laisser séduire jusqu'au dernier moment.
00:18En tout cas ce matin on reçoit la députée sortante de la cinquième circonscription des Pyrénées-Atlantiques.
00:23Bonjour Florence Lasserre.
00:24Bonjour.
00:25Députée sortante, donc candidate de la majorité présidentielle Modem-Renaissance.
00:28Écoutez on va laisser d'abord peut-être la parole aux auditeurs qui vous interpellent ce matin.
00:32Avec plaisir.
00:33Bonjour Isabelle.
00:34Oui bonjour.
00:36Vous êtes à Bayonne, vous avez une question pour Florence Lasserre.
00:39Oui bonjour madame la députée.
00:42Je voulais avoir votre sentiment par rapport à la décision des Républicains et de Max Brisson
00:49de présenter dans le département et dans toutes les circonscriptions des candidats.
00:56Je trouve ça pour ma part particulièrement scandaleux et irresponsable compte tenu de la situation.
01:03Merci de votre réponse.
01:05Vous regrettez en fait qu'il n'y ait pas une alliance entre ces deux parties, entre le LR et la majorité présidentielle ?
01:11J'en suis étonnée d'autant qu'au département il me semble qu'ils gouvernent ensemble.
01:19Enfin il y a une alliance et ça se passe très bien.
01:22Donc je suis très étonnée que dans le département, effectivement au niveau des circonscriptions,
01:28il n'ait pas décidé de faire un accord.
01:31Merci Isabelle.
01:32Merci Isabelle.
01:33A vous Florence Lasserre de répondre effectivement à Isabelle ?
01:36Écoutez cette décision leur appartient évidemment.
01:39Et Isabelle je vous remercie de votre question.
01:42Vous avez rappelé qu'au département tout le monde travaille ensemble.
01:44Moi je voudrais dire qu'à la mairie d'Angleterre on travaille tous ensemble aussi.
01:47Et effectivement en politique on ne choisit pas ses adversaires.
01:52Donc c'est comme ça, ils se sont présentés, maintenant il faut y aller.
01:54Mais vous auriez voulu un accord avec eux ?
01:56Écoutez la question ne s'est même pas posée.
01:59Je sais que tout ça s'impose à nous.
02:01Les candidats viennent ou ne viennent pas.
02:03Et à partir de ça il faut agir et il faut continuer sa campagne.
02:07Moi je n'en ai eu aucune et je n'ai pas cherché à en avoir.
02:12Ce n'est pas le sujet si vous voulez.
02:14Moi le sujet c'est qu'il y aura un lendemain du deuxième tour.
02:18Et au lendemain du deuxième tour, moi je sais que je travaillerai avec tout le monde.
02:21Je travaillerai avec tout le monde dans ma mairie, dans cette circonscription.
02:24Et je travaillerai surtout avec tout le monde au niveau national.
02:28Parce qu'on nous explique...
02:30Tout le monde c'est qui ? C'est le RN ?
02:32Justement, je voudrais développer.
02:35On nous explique qu'il y aura deux blocs.
02:37Un bloc d'extrême gauche, un bloc d'extrême droite.
02:41Entre ces deux blocs il y aura aussi un courant central.
02:44Il y aura aussi d'autres parties qui ne sont pas extrémistes.
02:47Et moi demain je suis convaincue qu'on pourra travailler tous ensemble.
02:50C'est ce que les Français nous avaient demandé de faire en 2022.
02:53J'en suis convaincue.
02:55En envoyant cette majorité relative à l'Assemblée Nationale.
02:58Sauf que nous n'y sommes pas parvenus.
03:00Nous n'avons pas su le faire pour maintes et maintes raisons.
03:03Nous n'y sommes pas parvenus.
03:05Maintenant nous n'avons plus le choix.
03:07Donc demain, moi je souhaite et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir
03:11pour que nous y parvenions.
03:13J'y mettrai toute ma bonne volonté.
03:15C'est ce que nous ont demandé les Français.
03:17Ils ne nous ont jamais demandé cette bordélisation qu'on voit dans l'hémicycle.
03:22Ils ne nous ont jamais demandé de nous déchirer.
03:24Ils nous ont demandé de travailler ensemble.
03:26Et je pense qu'ils vont le refaire à l'opposé du premier et du deuxième tour.
03:30Et donc là vous êtes prête par exemple à travailler avec les membres du RN ?
03:33Ce n'est pas du tout ce que je vous ai dit.
03:35Je vous ai parlé de cette force centrale.
03:37Je vous ai dit qu'entre ces deux extrêmes qui sont en train de se présenter à nous.
03:40Ce bloc de gauche qui est piloté par la France Insoumise.
03:43Et ce bloc de droite, d'extrême droite, sous la bannière du RN et avec Monsieur Ciotti.
03:48Il y aura d'autres forces et j'en suis convaincue.
03:50Qui sont ces autres forces ?
03:52C'est qui le bloc centriste ?
03:54C'est nous !
03:56Le mouvement démocrate auquel j'appartiens.
04:00C'est aussi les Républicains qui ne sont pas rattachés au Rassemblement National.
04:04Je pense aussi qu'il y aura des gens du Parti Socialiste qui seront déçus.
04:08Parce que toutes ces personnes qui se sont jetées dans la campagne du Monsieur Glucksmann
04:12avec envie et qui ont vu ce résultat extrêmement satisfaisant et extrêmement positif.
04:18Je ne vois pas comment durablement ils vont pouvoir rester avec Monsieur Mélenchon.
04:23On a peut-être d'autres questions d'auditeurs qui vous interpellent encore ce matin.
04:26Absolument. Valérie, bonjour Valérie.
04:28Oui bonjour, bonjour à tous, bonjour Madame la députée.
04:32Une question un peu plus locale pour vous Valérie.
04:34Oui bonjour, je suis Navayonne d'Interbasque d'une mère gascole.
04:38Alors je suis très attachée à mes deux cultures, à leur préservation.
04:41Madame Lasserre, Madame la députée, je voulais savoir quelle était votre ambition
04:45par rapport à la préservation des langues régionales.
04:47Notamment par rapport à l'enseignement de la Ouskara, du Gascon
04:51et à la reconnaissance au niveau des preuves lycées, collèges et preuves.
04:58Merci Valérie pour votre question. Florence Lasserre, votre réponse à Valérie.
05:02Merci Valérie. Sur les langues régionales, ma position est inchangée.
05:08J'avais mis dans le programme que j'ai envoyé dans toutes les boîtes au latron 2022
05:12que mon travail serait de progressivement arriver à ce que les épreuves du brevet
05:16soient dans les langues de France.
05:18Puisqu'on parle du Basque, on parle du Gascon, on parle du Corse,
05:20on parle du Breton et de toutes ces langues de France.
05:22Et que progressivement, on y arrive pour le BAC.
05:26Moi je ne comprends pas qu'aujourd'hui nos jeunes, avec beaucoup de bonne volonté
05:33et beaucoup de détermination, passent leur scolarité dans ces langues de France
05:37et ne puissent pas passer les épreuves finales.
05:39Donc moi j'y suis extrêmement favorable.
05:41Je voudrais revenir aussi sur un point.
05:43Sur 2021, c'était le premier mandat, il y a la loi Molla qui s'est présentée
05:47à l'Assemblée Nationale, que j'ai voté contre l'avis du gouvernement,
05:51contre l'avis de pas mal de personnes de la majorité.
05:57C'est une très belle avancée dans l'affirmation de nos langues régionales en France.
06:02Et depuis, qu'est-ce qui s'est passé ?
06:04Et je voudrais dire que, ce jour-là, la France insoumise, ils ont tous voté contre.
06:10D'accord ?
06:12Et aujourd'hui, quand on voit ce bloc de gauche qui se constitue
06:15et qui sera présent ici au Pays Basque, je ne comprends pas
06:19comment ils travaillent encore demain sur les langues régionales,
06:22comment ils travaillent demain sur le Basque,
06:24comment ils travaillent demain sur le Gascon,
06:26avec toute cette France insoumise qui est totalement opposée.
06:29Et je ne comprends pas non plus, quand j'entends Mme Le Pen
06:32l'an dernier sur un journal breton,
06:35dire que l'apprentissage de la langue doit sortir des écoles,
06:40ça n'est pas possible.
06:42Pour sauver nos langues, parce que nous en sommes là,
06:44pour sauver nos langues de France, pour sauver le Basque,
06:46pour sauver le Gascon, il faut créer des locuteurs.
06:49Pour les créer, il faut de l'apprentissage,
06:51cet apprentissage doit passer par l'école.
06:53Donc on doit mettre tous nos moyens là-dessus.
06:56Donc depuis 2021, il s'est passé trois ans,
06:58et depuis, vous avez fait quoi justement en faveur de l'euskala
07:02et des langues régionales ?
07:05Alors, le brevet se passe maintenant en Basque.
07:08Allez-y !
07:10Donc ça c'est une chose faite.
07:12Nous avons eu un souci cet hiver avec les intitulés
07:17qui auraient dû être en français, qui étaient annoncés en français.
07:20Et nous avons considérablement travaillé avec le ministre
07:24et avec la ministre ensuite, pour que ça ne soit pas le cas.
07:27Il y aura une réforme du brevet l'an prochain
07:29et j'espère que tout ça pourra perdurer.
07:31Est-ce qu'il y a un projet de loi, une proposition de loi
07:33en faveur des langues régionales ?
07:35Est-ce qu'il y a des choses qui pourraient se faire
07:37à votre niveau en tant que parlementaire ?
07:39Écoutez, oui, bien évidemment, mais déjà,
07:41maintenons ce que nous avons et continuons d'accompagner.
07:44Il manque beaucoup d'argent aujourd'hui pour tenir ces langues régionales
07:47et pour continuer de les faire avancer,
07:49de les maintenir sur nos territoires.
07:51C'est extrêmement important et je continuerai
07:53avec toutes les personnes de bonne volonté
07:56d'aller solliciter les ministères
07:58et de porter ces langues que nous avons,
08:01qui sont notre patrimoine.
08:038h23, sur France Bleu Pays Basque et France 3
08:05et Woosh Gallery, notre invitée ce matin, Florence Lasserre.
08:07Députée sortante et candidate de la majorité présidentielle
08:10Modem Renaissance dans la cinquième circonscription
08:12des Pyrénées-Atlantiques.
08:14Florence Lasserre, à qui vous pouvez poser vos questions,
08:16au 0559x17x.
08:18Bonjour Léa.
08:19Oui, bonjour.
08:20Vous êtes à Anglette.
08:22Vous voulez revenir sur le projet de loi sur la fin de vie.
08:24Oui, tout à fait.
08:26En fait, moi je suis infirmière libérale
08:28et bonjour madame la députée.
08:29Je sais que vous avez travaillé sur le projet de loi
08:31sur la fin de vie,
08:33mais j'ai eu un peu de mal à comprendre
08:35votre positionnement sur les directives anticipées.
08:37Donc je voulais en savoir un petit peu plus.
08:39On pourrait appeler les directives anticipées,
08:41est-ce que c'est en quelques secondes juste ?
08:43Les directives anticipées qui existent depuis très longtemps
08:45et qui sont très très mal connues
08:47dans notre pays,
08:49ce sont les directives que vous prenez vous.
08:52Donc vous êtes aujourd'hui bien portant
08:54ou un peu moins et vous dites
08:56quand mes derniers jours arriveront,
08:58voilà ce que je voudrais que nous fassions.
09:00Et quelle est votre position justement là-dessus ?
09:02C'est la question de Léa ce matin.
09:04Si j'ai bien compris la question de Léa sur les directives anticipées,
09:06j'y suis totalement favorable.
09:08Je pense que la question de Léa,
09:10elle vient sur la fin de vie que nous étions en train de travailler.
09:12On aurait dû voter ce texte le 18.
09:14On aurait dû le voter mardi.
09:16Mais la dissolution de l'Assemblée nationale est arrivée.
09:18Exactement.
09:20Donc nous ne sommes pas arrivés
09:22au terme
09:24de cette loi.
09:26Sur ce sujet des directives anticipées,
09:28on a énormément discuté dans l'hémicycle
09:30d'un sujet précis qui était
09:32oui, moi je suis favorable
09:34pour mon cas, je mets dans mes directives anticipées
09:36l'euthanasie
09:38et ma fin de vie choisie et déterminée.
09:40Nous, nous avons souhaité l'enlever
09:42pour que ce sujet
09:44de l'euthanasie
09:46et de l'aide active à mourir
09:48puissent tenir
09:50pour que ce texte soit
09:52cohérent et que ce texte soit robuste.
09:54Nous avons exprimé le souhait
09:56qu'on ne puisse pas
09:58mettre dans les directives anticipées
10:00l'aide active
10:02à mourir dans la mesure où
10:04il faut impérativement le discernement
10:06jusqu'à la dernière minute pour décider
10:08de ça. Or, nous pensions
10:10que de le mettre dans des directives
10:12anticipées qui interviennent plusieurs mois,
10:14parfois plusieurs années à l'avance,
10:16ça ne correspondait pas au texte
10:18et à l'équilibre du texte que nous avions.
10:20Je ne sais pas si j'ai répondu
10:22à votre question, mais je voudrais aussi
10:24revenir quand même sur ce texte, sur la fin de vie
10:26puisque moi je l'ai
10:28porté sur le territoire, j'ai commencé
10:30ça l'an dernier en septembre,
10:32j'ai fait une soirée de regards croisés sur le sujet
10:34avec des patients, avec
10:36des services de l'hôpital,
10:38avec des services de l'hôpital, avec des services de soins palliatifs
10:40parce que j'avais besoin sur ce sujet-là
10:42de comprendre comment
10:44mon territoire
10:46se l'approprie, qu'est-ce qu'il en pense.
10:48Et ce qui nous a manqué pendant ces deux ans,
10:50c'est ce temps pour revenir sur nos territoires
10:52et de comprendre les gens, de comprendre les citoyens
10:54et de comprendre ce qu'ils voulaient faire
10:56des sujets de société, de tous
10:58les sujets qui se présentaient à nous.
11:00Et si je serais élue
11:02et quand je serais réélue, je souhaite que nous
11:04travaillions de cette façon-là et je souhaite que nous ayons
11:06beaucoup plus de temps.
11:08Justement je rebondis sur cette loi qui n'a pas pu
11:10être discutée parce qu'il y a eu la dissolution
11:12de l'Assemblée nationale. Travail
11:14complètement interrompu, travail parlementaire
11:16qui a été long à mettre en place. Est-ce que c'était une chose
11:18à faire cette dissolution ?
11:20Alors la dissolution ce n'est pas faite par rapport au texte, bien évidemment.
11:22Et je suis
11:24catastrophée qu'elle l'ait été
11:26parce que c'était peut-être le premier texte depuis deux ans
11:28sur lequel on arrivait à peu près tous à se
11:30parler. Donc cette dissolution,
11:32je pense qu'il n'y a jamais de bon moment pour faire la dissolution.
11:34Moi j'étais extrêmement en colère
11:36le soir même, pour ne rien vous cacher.
11:38Mais, avec un peu de recul,
11:40on ne pouvait plus durer comme ça.
11:42C'est insupportable ce qui se passait dans l'hémicycle.
11:44Et voir ces deux camps s'affronter
11:46en permanence, c'était insupportable.
11:48Voir cette bordélisation de l'hémicycle
11:50qui rejaillit,
11:52et qui infuse dans la société.
11:54Comment voulez-vous que les gens, qu'on leur
11:56dise, ne bougez pas, je vote vos textes
11:58et je fais votre loi, mais nous on n'est pas capables de se
12:00comporter correctement et de respecter notre
12:02propre règlement ? Ça n'était plus possible.
12:04Florence Lasserre, il nous reste
12:06une question, celle de Clément.
12:08Bonjour Clément.
12:10Bonjour madame Lasserre, bonjour madame
12:12la députée.
12:14On va juste préciser
12:16que vous n'avez pas voté aux européennes,
12:18que vous ne savez pas encore pour qui vous allez voter
12:20aux législatives, et je pense que vous représentez
12:22plein de monde ici au Pays basque.
12:24Il y a un sujet, c'est un sujet quotidien
12:26sur lequel je vais voter, c'est les transports
12:28en commun. J'en peux plus de prendre la voiture
12:30et je crois que je vais dire quelque chose que
12:32beaucoup parmi nous pensent. On en a ras-le-bol
12:34des bouchons. Alors je sais que ça demande de
12:36l'argent, je sais que ça demande du temps, mais je voulais
12:38savoir ce que vous avez prévu et si c'est
12:40le rôle du député de s'occuper
12:42de ce problème-là.
12:44Merci à vous Clément pour votre question.
12:46Florence Lasserre. Alors je vais commencer d'abord par
12:48un petit clin d'oeil au syndicat
12:50des mobilités et à tout le travail qu'on a fait sur
12:52ce territoire et qui a considérablement avancé
12:54avec Tchic-Tchac et tout ce que
12:56les auditeurs connaissent et tout ce que nous connaissons tous.
12:58Maintenant, ce que nous avons fait sur ce deuxième
13:00mandat, je vais passer très rapidement mais je veux
13:02le dire, nous avons voté une loi qui s'appelle CERM
13:04des services express régionaux métropolitains.
13:06Et l'application
13:08directe de cette loi, c'est le
13:10RER Basque-Hollandais qu'on est en train de mettre en place
13:12et qui est encore en discussion.
13:14Qui est encore en discussion, bien sûr,
13:16mais qui est permis, y compris
13:18par cette loi-là. Je regrette que
13:20cette dissolution soit intervenue parce que la
13:22conférence de financement qui prévoyait
13:24de le financer n'a pas eu lieu.
13:26Si on revient au local et à
13:28ce que vous dites monsieur, moi, j'en peux plus
13:30de voir tous les matins des voitures qui
13:32sont bloquées dans les bouchons, qui suivent les voies ferrées.
13:34Donc, il faut impérativement
13:36qu'on mette de la mobilité du quotidien
13:38sur nos voies ferrées existantes.
13:40On a une chance inouïe, c'est qu'on a déjà
13:42un maillage ferré sur ce
13:44territoire et sur le Pays Basque.
13:46Utilisons-le. Utilisons-le
13:48pour le transport des quotidiens. Utilisons-le
13:50avec du matériel innovant
13:52qui sera plus agile et qui permettra de répondre
13:54aux citoyens. Et j'espère monsieur
13:56qu'on trouvera des solutions
13:58par ce biais-là en accolant
14:00un service express régional métropolitain
14:02auquel on accolera
14:04toutes les autres mobilités
14:06qui existent aujourd'hui sur notre territoire et qui fonctionnent
14:08déjà très bien.
14:09Merci Florence Lasserre, merci aux auditeurs
14:11qui sont intervenus sur France Bleu
14:13Pays Basque pour interroger la députée sortante
14:15députée de la majorité
14:17présidentielle Modem Renaissance
14:19sur la 5ème circonscription des Pyrénées Atlantiques.
14:21Et on vous retrouve sur francebleu.fr
14:23et sur l'application ICI.

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