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En ouverture de ce journal, une question : la campagne de Russie de Zelensky va-t-elle se terminer en Bérézina ?

Pour échapper à la poudrière politique française qu’il a lui-même déclenché, Emmanuel Macron a effectué une visite de deux jours en Serbie. Pour Belgrade, cette visite permet de poursuivre sa politique de diversification diplomatique.

Et enfin, nous reviendrons sur la guerre en Palestine avec des pourparlers à l’arrêt et une contagion régionale qui semble s’éloigner.

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00:00♫ Générique de fin ♫
00:14Monsieur, bonsoir, en ouverture de ce journal, une question.
00:17La campagne de Russie, de Zelensky, va-t-elle se terminer en Bérezina ?
00:22Direction la Serbie ensuite, avec le déplacement d'Emmanuel Macron dans les Balkans.
00:26Et enfin, nous ferons le point sur la situation en Palestine.
00:29L'Ukraine a réalisé une percée impressionnante sur le sol russe au début du mois d'août.
00:38Trois semaines plus tard, les troupes de Kiev pourraient devoir rebrousser chemin avec des gains très limités.
00:43Battre en retraite pour échapper à l'encerclement russe,
00:47c'est ce qu'envisagent nombre d'observateurs du conflit russo-ukrainien.
00:51Alors que Volodymyr Zelensky revendique une avancée sur près de 1300 km²,
00:56l'objectif des troupes entrées en fédération de Russie semble toujours nous échapper.
01:00Spécialiste du conflit Clément Molin, qui publie régulièrement des cartes sur cette guerre sur les réseaux sociaux,
01:06estime que l'Ukraine devrait être contrainte à battre en retraite pour éviter l'encerclement.
01:11Éprouvée par des frappes massives de missiles balistiques et de drones sur l'ensemble de son territoire,
01:16lundi, l'Ukraine compte de nombreuses pertes sur le front russe,
01:19où sa percée impliquait naturellement des sacrifices matériels et en hommes.
01:24En faisant des centaines de prisonniers et en avançant rapidement,
01:27Kiev a su remobiliser ses troupes et l'opinion, l'éclaircie pourrait cependant être de courte durée.
01:32Ainsi, pendant que les troupes ukrainiennes tentent de s'implanter en Russie,
01:36les forces russes, elles, poursuivent le lent grignotage du Donbass avec un rapport de force à leur avantage
01:42face à des effectifs réduits par l'offensive surprise sur le territoire russe
01:45et contre des brigades parfois pas relevées depuis deux ans.
01:49Dans l'oblaste de Donetsk, les russes commencent à occuper une partie de Chassifyar,
01:54à une dizaine de kilomètres à l'ouest de Bakhmout.
01:57La prise de la ville laisserait aux forces russes le choix de descendre vers le sud-ouest
02:01en menaçant la ligne de défense ukrainienne sur ses arrières
02:04ou d'avancer en direction de Kramatorsk, une agglomération de 150 000 habitants.
02:09Les forces russes sont par ailleurs prêtes à reprendre la ville de Pokrovsk,
02:13à une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest de la capitale de Donetsk.
02:17Pokrovsk est un carrefour ferroviaire essentiel pour l'approvisionnement du front en munitions
02:21et pour le déplacement des troupes ukrainiennes.
02:23Outre le réseau ferré, la prise de Pokrovsk permet le blocage des routes
02:27et pourrait permettre à Moscou de prendre plusieurs villes.
02:30Alors qu'il apparaît désormais assez clair que l'objectif de Vladimir Poutine
02:33est de libérer ou conquérir selon le point de vue la totalité du Donbass
02:37avec les oblastes de Donetsk et Lugansk,
02:39une progression accélérée pourrait même permettre aux troupes russes d'aller plus loin.
02:44L'objectif ukrainien, en faisant sa percée en territoire russe,
02:47était probablement de pouvoir négocier, ce qui réussit à la marge,
02:51à considérer les prisonniers qui ont été faits.
02:53Mais si des troupes présentes en Russie venaient à être encerclées,
02:57on pourrait alors parler d'échecs retentissants.
02:59Un départ précipité ne serait pas glorieux non plus,
03:01mais pourrait permettre d'éviter une catastrophe.
03:05Censé remobiliser l'opinion et le moral des troupes,
03:07l'opération Incursion pourrait produire l'effet inverse.
03:11Et s'il est indéniable que Kiev a réussi le début de son opération surprise,
03:14il aurait atteint jusqu'à 1300 km² et 92 localités contrôlées,
03:19la suite semble assez mal engagée.
03:21Mardi 27 août, Volodymyr Zelensky a présenté devant un parterre de journalistes
03:26l'offensive à Kursk comme un plan pour la victoire
03:29et a estimé que cette incursion allait pousser Moscou à négocier.
03:33Un discours qui peut laisser penser que le chef d'État a une autre carte dans sa manche,
03:37à moins qu'il ne bluffe ce qui paraît aujourd'hui plus probable
03:40au vu de l'avancée des Russes dans le Donbass.
03:42Entre propagande étatique et médiatique et parti pris des observateurs,
03:46il demeure très complexe de tirer des conclusions.
03:49Reste que pour l'heure, même les analystes pro-ukrainiens
03:52semblent estimer que la partie est mal engagée pour Kiev.
03:55Quant à Vladimir Poutine, il ne semble pas très inquiet
03:58puisqu'il a annoncé se rendre en Mongolie,
04:00pays censé appliquer le mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale contre lui,
04:03le 3 septembre.
04:08Pour échapper à la poudrière politique française
04:11qu'il a lui-même déclenchée,
04:12Emmanuel Macron a effectué une visite de deux jours en Serbie, dans les Balkans.
04:16Nicolas Delamberterie revient sur les enjeux de ce voyage.
04:20Alors que la France est empêtrée dans une crise politique inédite
04:23depuis les années 1950 et la 4ème République,
04:27Emmanuel Macron a échappé pendant deux jours au climat politique français difficile,
04:32où 50 jours après la tenue d'élections législatives anticipées,
04:36il n'y a toujours pas de gouvernement.
04:38En raison de l'élection d'une assemblée nationale
04:40qui n'a donné de majorité absolue à aucun camp politique.
04:44La visite du président français est d'autant plus notable
04:47qu'Emmanuel Macron ne s'est pas contenté d'un rapide aller-retour à Belgrade,
04:51la capitale serbe,
04:53mais qu'il s'est également rendu aujourd'hui vendredi à Novi Sad,
04:56la deuxième ville du pays,
04:57et rendu visite au centre culturel serbe Matisasorska,
05:01accompagné du président de la République de Serbie,
05:03Aleksandar Vucic.
05:05L'enjeu principal de cette visite d'État
05:07était la signature d'un contrat d'armement très important,
05:10puisque la Serbie a passé commande d'une douzaine d'avions de combat Rafale,
05:13qui remplaceront à l'horizon 2030
05:15les MIG vieillissants de fabrication russe
05:18dont dispose actuellement l'armée serbe.
05:20D'autres accords économiques ont été signés,
05:22notamment dans le domaine de la coopération énergétique,
05:25dans le domaine des transports,
05:26avec l'implication d'entreprises françaises
05:28dans la modernisation de l'aéroport Nikola Tesla,
05:31ou la construction du futur métro de Belgrade,
05:34mais aussi le traitement des eaux usées.
05:35Du point de vue géopolitique,
05:37cette visite d'Emmanuel Macron en Serbie,
05:39réputée proche de la Russie,
05:41s'inscrit dans les habitudes de l'en même temps macronien.
05:44Du point de vue serbe,
05:45la politique extérieure déquilibriste du président Vucic
05:49se poursuit et se voit renforcée par ses accords avec la France.
05:52La Serbie est tout d'abord confrontée
05:54à une problématique démographique catastrophique,
05:57avec une émigration importante,
05:59une natalité en berne,
06:01notamment en raison des problèmes de fertilité d'une partie de la population,
06:05conséquence des guerres de Yougoslavie.
06:06Par ailleurs, les guerres des années 90
06:09ont totalement ravagé le potentiel économique du pays.
06:12Aux alentours de 2010,
06:13une étude estimait que la Serbie
06:15ne retrouverait son potentiel industriel de 1990
06:19qu'aux alentours de 2050.
06:21Pour essayer de remonter la pente,
06:23la Serbie a déroulé le tapis rouge
06:25aux investissements chinois,
06:26omniprésents dans le pays,
06:28aussi bien d'un point de vue des investissements industriels
06:30que des infrastructures,
06:32avec notamment la ligne de chemin de fer rapide Belgrade-Budapest.
06:36Enfin, la Serbie est désormais presque totalement enclavée,
06:40entourée de pays membres de l'OTAN,
06:42ou de l'Union Européenne,
06:43ou de la zone euro.
06:45Si l'adhésion à l'OTAN semble inenvisageable pour la Serbie
06:48en raison des bombardements de 1999,
06:51l'adhésion à l'Union Européenne est également très difficile,
06:53car Bruxelles exige une quasi reconnaissance
06:56de l'indépendance du Kosovo par Belgrade,
06:58mais aussi un alignement sur la politique extérieure de l'Union Européenne,
07:02à commencer par les sanctions contre la Russie.
07:04Des compromis tout à fait excessifs pour la Serbie,
07:06qui ne peut toutefois pas se permettre
07:08d'être en trop mauvaise relation avec Bruxelles,
07:11qui menace régulièrement de réintroduire un régime de visa
07:14pour les citoyens serbes se rendant dans l'Union Européenne,
07:17si Belgrade ne fait aucune concession.
07:19Pour échapper aux menaces de Bruxelles,
07:21la Serbie essaye de s'appuyer sur quelques états membres de l'Union,
07:24à commencer par la Hongrie,
07:26mais aussi dans une certaine mesure, la France.
07:29Raison pour laquelle Belgrade a vu d'un très bon oeil
07:31la venue du président Macron,
07:33accueilli en grande pompe à Belgrade et à Novi Sad,
07:36et ouvre le pays aux investissements français.
07:38Emmanuel Macron a ainsi pu s'offrir une bien agréable parenthèse
07:42en visitant l'un des rares pays où la France compte encore un peu,
07:45prolongeant d'encore quelques heures la parenthèse estivale,
07:48avant une rentrée explosive,
07:50où il lui faudra nommer un Premier ministre,
07:53susceptible de constituer un gouvernement,
07:55approuvé par l'Assemblée Nationale.
07:57En Palestine, la situation se dégrade toujours la trêve,
08:04et les négociations ne sont plus à l'ordre du jour,
08:06mais l'embrasement régional semble moins à craindre,
08:09le point avec Renaud de Bourleuf.
08:11La paix n'est pas pour tout de suite au Proche-Orient.
08:13Après l'échec des négociations entre Israël et le Hamas dimanche,
08:16la guerre continue de faire rage.
08:17Mardi, à Gaza, un véhicule de l'ONU,
08:19faisant partie d'un convoi humanitaire,
08:20a été touché dix fois par des tirs israéliens.
08:23Conséquence, le programme alimentaire mondial de l'ONU,
08:25le PAM, a dès lors annoncé la suspension,
08:28jusqu'à nouvel ordre, des mouvements de son personnel à Gaza.
08:31Au bout de presque un an, la situation humanitaire en Palestine
08:33est de plus en plus préoccupante.
08:35Depuis le 7 octobre, les attaques israéliennes dans la bande de Gaza
08:38ont provoqué plus de 40.000 morts, dont 14.100 enfants.
08:41Un chiffre auquel il faut ajouter environ 10.000 personnes disparues.
08:45Sur le territoire palestinien,
08:4682% des infrastructures de santé ont été endommagées ou détruites,
08:50tandis que la production d'eau à Deir el-Bala, au sud,
08:53a été réduite d'environ 85%.
08:55Les civils vivent aujourd'hui dans moins de 11% de la surface de Gaza,
08:58avec les difficultés inhérentes pour trouver un abri
09:00et des produits de première nécessité.
09:02Dans la nuit de mercredi à jeudi,
09:04Tel Aviv va accepter des pauses humanitaires localisées
09:06pour permettre la vaccination contre la poliomyélite.
09:09La campagne de trois jours commencera le 1er septembre dans le centre de Gaza.
09:12Le dispositif sera ensuite appliqué au nord et au sud du territoire.
09:16Une pause humanitaire réclamée depuis plusieurs semaines.
09:18Mais pour le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou,
09:21hors de question de parler de cesser le feu,
09:23il s'agit, selon ses mots, de « mise à disposition de certains lieux ».
09:26Mais Tel Aviv est de plus en plus critiqué, même par ses alliés.
09:28Jeudi, les États-Unis ont appelé Israël à prendre des mesures concrètes
09:31pour ne plus tirer sur le personnel de l'ONU.
09:33L'ambassadeur américain auprès de l'ONU a affirmé
09:35que ce type d'événement était trop fréquent au cours des 11 derniers mois.
09:38De plus, jeudi, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres,
09:41a affirmé que les opérations menées par Israël en Cisjordanie étaient préoccupantes
09:46et il a appelé Tel Aviv à y mettre fin.
09:48Le Bureau des affaires humanitaires des Nations Unies
09:50a signalé la poursuite d'opérations militaires à proximité des hôpitaux
09:53et pointé les graves dommages infligés aux infrastructures,
09:55coupant par endroits électricité et télécommunications.
09:58Le conflit s'est en effet déplacé au nord d'Israël,
10:00sur le territoire cisjordanien où il a provoqué 300 morts, dont 34 enfants.
10:04La question d'un embrasement régional demeure en suspens.
10:06Pour l'instant, Israël se limite au sud du Liban
10:08et l'attaque dimanche d'une base de renseignement militaire israélien
10:10par le Hezbollah à les Libanais du Hamas n'a pas entraîné de représailles massives.
10:15Ce vendredi, l'ancien directeur de la Sûreté Générale Libanaise,
10:18a affirmé qu'Israël n'avait pas les moyens d'ouvrir un nouveau front vers le nord
10:21et a déjà mobilisé toutes ses unités au point de devoir faire appel
10:24aux ultra-religieux qui rechignent à s'engager.
10:26L'embrasement n'est probablement pas pour tout de suite,
10:28mais la fin du conflit non plus.
10:33Et passons à présent à l'actualité en bref.
10:38Castaix sans tête, obstinément convaincue qu'elle a sa place à Matignon,
10:44la figure de pro du nouveau front populaire
10:47a annoncé jeudi qu'elle quittait ses fonctions de directrice des finances à la mairie de Paris.
10:53Ne vous inquiétez pas pour elle, la dame de la compta,
10:56comme ses adversaires la désignent désormais,
10:58se retire de son poste sans en démissionner.
11:01Ce qui signifie qu'elle pourrait le réintégrer dès la semaine prochaine
11:05quand Emmanuel Macron aura officiellement mis fin
11:09au doux rêve du NFP de former un gouvernement.
11:12Jeudi, c'est l'ancienne candidate ségolène royale qui s'est proposée pour le poste
11:17alors que le nom de Bernard Cazeneuve revient aussi avec insistance.
11:22Jean-Michel balance sur Emmanuel Macron.
11:26Il est bien entendu question de Jean-Michel Blanquer,
11:28l'ancien ministre de l'éducation pendant toute la durée du premier quinquennat du président,
11:33de 2017 à 2022.
11:36Dans un livre appelé « La Citadelle » paru cette semaine,
11:39celui qui s'était ridiculisé dans une cour de récréation
11:42règle ses comptes avec son ancien patron.
11:45Il affirme ainsi, je cite, qu'il ne déteste pas non plus les coups tordus
11:50et n'est pas un président qui se crée à lui-même des problèmes évitables.
11:54En toute humilité, il estime que si Emmanuel Macron avait suivi sa ligne politique à lui,
11:59il aurait gagné les élections législatives.
12:02Il a aussi un peu chargé le secrétaire général de l'Elysée, Alexis Collère,
12:07qui considérerait en privé les enseignants comme des gauchistes paresseux.
12:12Après les sorties peu courtoises de son premier ministre, Gabriel Attal,
12:16il semblerait qu'il règne une odeur de fin de règne autour de l'Elysée.
12:2120% de catholiques en plus en 10 ans, selon le site d'information Aletheia.
12:27La Suède connaît une croissance exceptionnelle du nombre de personnes
12:30rejoignant les rangs de l'église romaine.
12:33Il s'agit d'environ 20 000 âmes supplémentaires
12:36et de la religion qui connaît la croissance la plus rapide dans le pays.
12:40Dans cet état scandinave de tradition luthérienne, c'est en partie l'immigration
12:44qui serait à l'origine de ce changement, mais pas seulement.
12:47Des natifs aussi se convertissent à l'image du pasteur Ulf Ekman,
12:52très célèbre dans le pays.
12:54Ces Suédois nouvellement catholiques seraient majoritairement des personnes instruites,
12:57des médecins, des enseignants et d'anciens pasteurs.
13:00Alors que le protestantisme est devenu très libéral dans les pays nordiques,
13:04la recherche de sacrés et le positionnement cohérent du catholicisme
13:08sur des questions comme l'homosexualité séduirait les nouveaux venus,
13:11à en croire la presse suédoise.
13:15Une carte postale qui arrive à destination avec 121 ans de retard,
13:19le 16 août, à Svansea, au Royaume-Uni.
13:22Le personnel de l'entreprise Svansea Building Society a eu une drôle de surprise
13:27en ouvrant le courrier.
13:28Une carte de Noël, écrite en 1903 et adressée à une jeune fille de 16 ans,
13:33au début du XXe siècle, sur l'emplacement de l'entreprise,
13:36était située une maison d'habitation.
13:38C'est là qu'une lettre écrite par un garçon de 13 ans à sa sœur de 16 ans
13:42aurait dû être déposée.
13:43Difficile de comprendre comment cette lettre a pu se perdre dans le courrier
13:47avant d'être retrouvée plusieurs décennies plus tard.
13:50Toujours est-il que les descendants de l'émetteur et de la destinataire
13:54ont été retrouvés, ce qui a permis une réunion de famille inattendue.
13:59Les aventures d'un bébé morse fascinent les Alaskains.
14:03À Seward, aux Etats-Unis, l'Alaska Sea Life Center
14:07publie régulièrement les images d'une femelle morse âgée de quelques semaines,
14:11retrouvée seule sur une plage du Pacifique.
14:13Visiblement abandonnée par son troupeau, elle était maigre, déshydratée et couverte de plaies.
14:19Les bébés morses sont très proches de leur mère pendant un an.
14:22Et pour compenser cette perte, toute l'équipe de l'aquarium est aux petits soins.
14:26Les vidéos diffusées par l'Alaska Sea Life Center génèrent plusieurs milliers de vues.
14:32Lumière sur les trous noirs, grâce à une coopération avec différents observatoires du monde,
14:37l'European Southern Observatory est parvenu à photographier, en couleurs,
14:42le gigantesque M87, trou noir autour duquel se déploie notre galaxie, la Voie Lactée.
14:47Une première dans l'histoire de l'astrophysique qui devrait permettre d'en savoir plus
14:51sur le fonctionnement de ces corps célestes, dont la masse est telle qu'ils aspirent jusqu'aux ondes lumineuses.
14:56– Sous-titrage Société Radio-Canada
15:00– Ce soir, tête à clash et les idées à l'endroit.
15:03Dimanche à la française et terre de mission, c'est la fin de cette édition.
15:06Merci de votre fidélité, à lundi, bonsoir.
15:10– Sous-titrage Société Radio-Canada

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