[Mid Morning Show] : Top Santé Thème : Low Back Pain Pamela Patten reçoit Rizwan Chumroo, Physiothérapeute ce mercredi 4 septembre à partir de 10h sur Top FM Mauritius et Top TV Mauritius. Pour vos questions, apellez au 213 7777
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ÉducationTranscription
00:00Dans Top Santé à Saudine, on a le plaisir de retrouver Rizwan Chamrou, physiothérapeute.
00:16Bonjour Rizwan.
00:17Bonjour Méla.
00:18Bonjour à tous les éditeurs de Radio-Top FM.
00:20Alors, le 8 septembre, c'est un jour spécial décrété par l'Organisation mondiale de
00:26la santé, l'OMS, puisque c'est la journée de la physiothérapie.
00:30Exactement.
00:31Et le thème ce lundi-là, c'est l'embalge, c'est ça, le back pain?
00:34Le back pain, oui.
00:35Alors, le thème justement, il est basé sur ça.
00:38Alors, peut-être avant, nous travaillons sur l'idée, le rôle d'un physiothérapeute,
00:46qui l'y fait exactement.
00:47OK.
00:48Bonjour.
00:49Alors, la physiothérapie, avec le temps, est plus célèbre à Maurice, comparée
00:56à quand on a commencé il y a 16 ans de cela.
00:58Et la physiothérapie, c'est un domaine, c'est un professionnel de santé qui guette
01:05des enfants jusqu'à sa vieille dimanche, c'est-à-dire de tout l'âge, nous-là,
01:09nous présents, qui rôle un physiothérapeute, c'est-à-dire nous fait un assessment par
01:14rapport à la structure, les jointures, les dos, les muscles, les os, alors, physiothérapeute,
01:23son rôle, c'est de guetter quels problèmes il y a, et quelles sont les solutions qu'il
01:27peut apporter par rapport à des mouvements, ou soit un traitement qui soulage cette douleur-là.
01:32Ça, c'est un petit peu par rapport à l'aspect l'orthopédique.
01:35Mais il n'est pas juste ça, il y a l'aspect neurologique aussi, par exemple, quand on
01:38est attaqué, le physiothérapeute va être là pour accompagner.
01:41Le but, c'est de guetter en global, c'est de rétravailler la fonctionnalité d'une
01:46personne, c'est-à-dire de redonner le goût, de redonner l'indépendance, de redonner
01:51l'autonomie de vivre.
01:52Ça, c'est un petit peu le rôle d'un physiothérapeute, c'est-à-dire qu'il est là pour soulager
01:55les problèmes, pour donner une solution, pour continuer cette chose d'une meilleure
02:00façon.
02:01Oui.
02:02Et là, ça fait quand même depuis quelques temps qu'il travaille en collaboration avec
02:06vos associations.
02:07Peut-être quelques mots sur l'association.
02:08L'association Physiothérapeute a existé à Maurice pendant près de 16 ans.
02:14C'est le début de l'association.
02:15C'est le début de l'association.
02:16Oui, on a commencé l'association en même temps.
02:18Et vous êtes nombreux?
02:19Oui, nous avons environ une cinquantaine.
02:21Le but qui a fait que j'ai créé l'association aussi, c'était pour promouvoir la physiothérapie
02:25parce que quand j'ai commencé, j'ai trouvé qu'à Maurice, il ne pouvait pas trop comprendre
02:30qu'est-ce qu'un physiothérapeute, qu'est-ce qu'il fait, quel est son rôle dans la société.
02:34Quand j'ai commencé, j'étais beaucoup plus épanoui.
02:39Alors, je trouvais qu'avec l'association, c'est de collaborer entre les collègues pour
02:44promouvoir sa profession-là et de le faire avec beaucoup de rigueur et de sérieux.
02:49Et j'aurais dit qu'en réalité, une bonne partie de la population comprend le rôle
02:54d'un physiothérapeute.
02:55Ça, c'est l'association.
02:56Le but aussi de l'association, c'est de conscientiser la population sur le protéger
03:02de l'enfant.
03:03C'est ça le but.
03:04C'est ça le but.
03:05C'est ça le but.
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05:46C'est ça le but.
05:47C'est ça le but.
05:48C'est ça le but.
05:49C'est ça le but.
05:51Alors, qu'est-ce qui fait que vous êtes là?
05:53Alors, si je vous dis que quand j'étais là, au commencement de mon étude, c'est là les raisons pour lesquelles j'ai avancé.
06:03Je suis beaucoup plus, je vais dire oui, par rapport à un certain mouvement, par rapport à ça.
06:07Alors, l'approche familiale s'en vient.
06:09Avec les études, les évidences que la médecine a apportées, qu'elle peut faire tous les jours,
06:16il n'y a pas un seul facteur qui contribue à des problèmes.
06:19Il y a plusieurs facteurs.
06:21Alors, ce n'est pas nécessairement l'aspect physique.
06:24C'est capable de faire, par exemple, un mouvement,
06:27mais ce n'est pas juste ce mouvement-là qui contribue.
06:30Souvent, nous faisons des erreurs là,
06:32et nous pensons que c'est ce mouvement-là qui nous donne des douleurs.
06:34Non, il y a plusieurs facteurs.
06:35Il y a la façon, comment l'état a exercé l'ON16.
06:39Comment a exercé l'ON16?
06:40Comment a exercé l'ON16?
06:41Quelle position a pris l'ON16?
06:43Combien de stress peut-on gérer par jour?
06:47Tout cela contribue à l'ON16.
06:50C'est simple, mais s'il y a plusieurs facteurs,
06:54social, psychologique, physique,
06:57le stress, tout cela,
06:59les combiner nous amène au problème,
07:02soit les petits, soit les grands.
07:03C'est-à-dire que l'ON16, c'est une cumulation de plusieurs choses qui amène à ça.
07:08Alors, si nous parlons d'un traitement traditionnel,
07:10c'est-à-dire qu'on a fait à l'époque,
07:12il n'est pas pour moi, c'est-à-dire qu'il est dans la globalité,
07:14c'est-à-dire qu'il n'y a pas de cause là.
07:16La seule cause qui nous est là,
07:18un petit peu aussi qui ne peut pas permettre,
07:19c'est-à-dire que nous vivons l'aspect anatomique,
07:22par exemple, nous connaissons, au fur et à mesure que nous perdons de l'âge,
07:25nous devons vieillir.
07:26Depuis que nous naissons, nous devons vieillir,
07:27ça nous incontra bien.
07:28Alors, nous ne nous soutenons pas pareil, pas solide.
07:31Nous commençons à affaiblir,
07:32nous gagnons de l'énergie, nous commençons à affaiblir,
07:34nous gagnons de l'énergie, nous commençons à affaiblir.
07:36Alors ça, c'est le contributing factor dans le lower back pain.
07:40Ce n'est pas le seul facteur qu'il a,
07:43mais c'est un petit peu les causes qui sont là,
07:46c'est-à-dire qu'il n'est pas obligé d'arrêter pendant ce qu'il a fait,
07:48c'est ce mouvement-là qui cause ce problème-là.
07:50Il n'a pas ce mouvement,
07:52il est dans l'aspect social,
07:54c'est-à-dire qu'au travail,
07:55de toute façon, on fait au travail,
07:56s'il y a l'impact direct,
07:58l'eau a doublé,
07:59on peut trouver qu'il n'a pas doublé,
08:01mais il n'a pas fait bien,
08:02mais de toute façon,
08:03on fait au travail aussi,
08:04tout ça a un impact.
08:05Alors quand on gagne de l'énergie,
08:06on gagne en globalité maintenant.
08:07Alors comment on gagne de l'énergie?
08:08C'est le coup de commencer?
08:09Non, c'est une accumulation,
08:11c'est-à-dire que nous prenons un exemple
08:13pour que nous comprenions mieux.
08:15Par exemple,
08:16si je prends une plume,
08:20je pose la main à droite,
08:22alors,
08:24une minute,
08:26je prends la plume,
08:2815 minutes,
08:30est-ce qu'il est possible
08:31de m'utiliser à 15 minutes?
08:32Il est possible.
08:33Alors qu'est-ce qui est arrivé?
08:34Je ne vais pas dire que mon mix est faible,
08:35c'est juste la quantité de répétitions
08:39où ça l'étend,
08:40qui nous fait rester dans une seule position,
08:42c'est ça qui fait causer ce problème-là.
08:44Alors nous trouvons que la tendance,
08:46il change,
08:47nous tous,
08:48parce que nous tous travaillons dans le bureau,
08:49devant l'ordinateur,
08:50nous l'avons,
08:51nous portables,
08:52nous avons beaucoup plus de screen.
08:54Ça contient l'étend,
08:55nous restons là-là,
08:56la posture qu'il nous a adoptée nous prolonge.
08:58Il paraît qu'à la place qu'on m'a dit
09:00qu'on pouvait traper une plume dans la main,
09:01c'est quand il y a un mauvais virage,
09:02c'est un mauvais travail dans l'ordinateur.
09:03Mais on reste là,
09:04il y a le temps.
09:05Automatiquement,
09:06les boucliers doulurent.
09:07Donc personne ne passe à l'abri,
09:08que ce soit les jeunes,
09:09les moins jeunes.
09:10Bien sûr,
09:11il y a tout le monde qui n'est pas à l'abri
09:13parce que nous tous,
09:15nous avons changé,
09:16c'est-à-dire depuis 2007,
09:19nous avons changé un petit peu
09:20l'aspect du smartphone,
09:22nous tous,
09:23avec les portables,
09:24avec l'ordinateur,
09:25nous faisons le travail même,
09:27il y a plus longtemps,
09:28nous avons grandi,
09:29c'était plus l'agriculture.
09:30C'est-à-dire,
09:31bien ranger les problèmes
09:32parce qu'ils étaient physiquement actifs,
09:34plus beaucoup.
09:35Maintenant,
09:36on n'est pas autant physiquement actifs.
09:37Alors,
09:38nous rendons certaine léthargie
09:39quand le mousse,
09:40il ne va pas réussir,
09:41alors,
09:42automatiquement,
09:43il crée un problème.
09:44Alors,
09:45quand on a commencé,
09:46nous tous,
09:47on est anti-comprimés,
09:48le paracétamol,
09:49il aide nous,
09:50mais ce vrai traitement,
09:51qu'est-ce qu'il ne peut pas faire?
09:52Alors,
09:53il faut comprendre
09:54qu'il faut
09:55calmer les symptômes.
09:56Pour nous comprendre bien
09:57qu'il ne peut pas se causer,
09:58je prends un piquant,
09:59je le pique dans mon oreille.
10:00Ok?
10:01Je laisse ce piquant là-bas,
10:02mais je prends une médecine,
10:03je le mets autour.
10:04Alors,
10:05je prends un piquant,
10:06je le pique autour.
10:07Qu'est-ce que vous faites?
10:08On a la même.
10:09Alors,
10:10on l'a calmé,
10:11mais c'est mon piquant
10:12qui l'a arrêté.
10:13C'est la même.
10:14Alors,
10:15l'effet médecine,
10:16il n'est pas arrivé.
10:17Il continue de nous.
10:18Alors,
10:19ça,
10:20il faut qu'on fasse de la bonne façon
10:21pour qu'on élimine
10:22quelque chose
10:23qui peut causer problème
10:24de l'un et de l'autre.
10:25C'est ce que je veux dire.
10:26Alors,
10:27la façon
10:28qu'il nous traite,
10:29c'est qu'on doit éduquer
10:30sa passion-là.
10:31Qui l'a gagné?
10:32On doit étudier un petit peu
10:33ce qu'il travaille,
10:34ce qu'il fait,
10:35combien de temps
10:36il passe dans l'ordinateur,
10:37sa façon de vivre,
10:38manger,
10:39comment il est,
10:40combien de temps
10:41il fait l'exercice.
10:42Donc,
10:43voilà.
10:44C'est là
10:45qu'il ne peut pas gagner.
10:46C'est là
10:47qu'il ne peut pas gagner.
10:48C'est là
10:49qu'il ne peut pas gagner.
10:50C'est là
10:51qu'il ne peut pas gagner
10:52l'aspect
10:53comment il peut le traiter.
10:54Ça, c'est une.
10:55Deuxième chose
10:56qu'il ne peut pas gagner,
10:57par exemple,
10:58est-ce qu'il y a vraiment
10:59un problème
11:00musculaire
11:01ou soit
11:02les oeufs
11:03ou soit
11:04les façons
11:05qu'il peut faire
11:06sur quelque chose.
11:07Alors,
11:08tout ça là,
11:09il dépend de
11:10le traitement.
11:11Le traitement
11:12va être simple.
11:13À la base,
11:14on va commencer
11:15par un traitement
11:16bien simple,
11:17c'est de prendre du glaçon.
11:18OK, oui.
11:19Mais une fois,
11:20elle a dit,
11:21on ne peut pas tolérer
11:22les anti-inflammatoires.
11:23Alors là,
11:24nous savons glaçon,
11:25un Ice Towerling,
11:26mais hier,
11:27nous pensions qu'un Ice Pack
11:28n'allait pas marcher.
11:29Ça, c'est un autre mythe
11:30qui est là,
11:31qui nous pensait
11:32nous prendre,
11:33juste pour ne pas faire
11:34des autres,
11:35nous prenons un Ice Pack
11:36là, nous le posons
11:37dans les deux,
11:38quinze minutes,
11:39nous le mettons
11:40pendant les trois jours,
11:41nous trouvons
11:42que de l'air
11:43n'a pas pu aller.
11:44Oui, mais on met
11:45du glaçon,
11:46mais il ne peut pas marcher.
11:47Mais de toute façon,
11:48le glaçon,
11:49c'est un effet de frais,
11:50l'eau s'abattit là,
11:51bien pour les capables.
11:52L'anesthésie,
11:53elle a diminué la douleur.
11:54Est-ce qu'il y en a
11:55plusieurs catégories douleurs?
11:56Oui, il y en a plusieurs
11:57catégories douleurs,
11:58c'est-à-dire,
11:59nous pouvons appeler
12:00l'aspect aigu et chronique.
12:01Alors, aigu,
12:02la majorité,
12:03il y en a du bon,
12:04il y en a un petit douleur,
12:05aujourd'hui,
12:06il y a un petit conflit,
12:07on va dire,
12:08il est fini,
12:09il est fini passé.
12:10Alors,
12:11parce qu'il n'est pas
12:12aussi intense.
12:13Mais si,
12:14il y a un problème,
12:15par exemple,
12:16qui est relié
12:17avec façon au travail,
12:18combien de temps
12:19on peut réserver
12:20la position là?
12:21Vous comprenez?
12:22Soit,
12:23quand on blesse
12:24ces structures-là,
12:25les structures au niveau
12:26de la région lombaire,
12:27est-ce qu'on peut
12:28faire quelque chose
12:29pour empiler les choses?
12:30Vous comprenez là?
12:31Alors,
12:32tout ça là,
12:33il y en a
12:34l'aspect,
12:35quand il y a là,
12:36il y a l'aspect chronique.
12:37Alors,
12:38là,
12:39il y en a
12:40certaines choses
12:41qui,
12:42les démarches
12:43de l'âge de chronique.
12:44Par exemple,
12:45quand il est sérieux
12:46et lower back,
12:47c'est quand on trouve
12:48qu'on peut perdre
12:49différentes sensations
12:50autour de sa région là.
12:51Soit,
12:52on peut sentir
12:53que les pieds
12:54sur la force
12:55peuvent diminuer.
12:56Là,
12:57on connaît
12:58les vraiment sérieux
12:59et les chroniques,
13:00là,
13:01nous faisons
13:02beaucoup plus
13:03cette intervention.
13:04L'autre bonne affaire
13:05aussi,
13:06nous trouvons une fois
13:07là,
13:08ça,
13:09c'est vraiment
13:10là,
13:11c'est qu'on peut
13:12avoir une
13:13égale
13:14et une chronique
13:15là,
13:16qu'on a besoin
13:17d'avoir plusieurs
13:18interventions du médecin,
13:19etc.,
13:20pour nous dire exactement
13:21qui peut passer
13:22pour nous faire les
13:23traitements qu'il faut.
13:24Et,
13:25avec toute l'expérience,
13:26comment toutes les situations
13:27sont-elles?
13:28Est-ce qu'il y a
13:29de plus en plus
13:30de cas?
13:31Ah,
13:32oui,
13:33il y en a.
13:34Ça peut augmenter.
13:35Ça peut extrêmement
13:36augmenter.
13:37Les époux de nous,
13:38à l'époque,
13:39quand on pouvait faire
13:40les internes
13:41à l'époque,
13:42c'était 30%
13:43avec l'overback pain.
13:44On peut causer
13:45ces indices-là.
13:46Ah,
13:47c'est,
13:48imagine maintenant.
13:49C'était là,
13:50il y a une plus.
13:51Même les statistiques
13:52de World Physiotherapy,
13:53on peut les identifier
13:54par une statistique
13:55à travers le monde,
13:56ils ont augmenté
13:57beaucoup.
13:58Par rapport à,
13:59on dirait,
14:00un des 13
14:01des mondes dans le monde
14:02souffrait d'un
14:03overback pain.
14:04Hum.
14:05Qui est énorme,
14:06parce que
14:07la façon
14:08qu'ils travaillent,
14:09la façon
14:10qu'ils s'engagent,
14:11automatiquement,
14:12il peut engendrer
14:13beaucoup plus
14:14de problèmes.
14:15Est-ce qu'ils sont
14:16capables d'entraîner
14:17des complications plus tard?
14:18Oui,
14:19ils sont capables
14:20d'entraîner parce que
14:21par rapport à
14:22nos façons
14:23à saisir,
14:24par exemple,
14:25nos postures,
14:26notre mouvement,
14:27ça développe
14:28une certaine courbe
14:29qui n'est pas là.
14:30Alors,
14:31là,
14:32automatiquement,
14:33il fait
14:34beaucoup plus
14:35des zones
14:36dans le long run.
14:37Les autres affaires
14:38que je disais,
14:39je comprends
14:40les autres affaires
14:41bien.
14:42La colonne vétérale,
14:43c'est une
14:44structure
14:45de l'écho
14:46qui demande
14:47locomotion,
14:48qui demande
14:49mouvement.
14:50Le problème,
14:51c'est
14:52qu'avec
14:53la modernisation,
14:54avec la technologie,
14:55nous pouvons
14:56faire
14:57des spines
14:58qui ne sont pas
14:59russes.
15:00C'est-à-dire,
15:01longtemps,
15:02il y a
15:03des gens,
15:04par exemple,
15:05qui sont là
15:06pour le bazar.
15:07Ça nous prend
15:08beaucoup de temps.
15:09Voilà.
15:10Donc,
15:11on a grandi un petit peu
15:12morts.
15:13C'est partout.
15:14Ça veut dire qu'il y a
15:15toujours un mouvement.
15:16Nous,
15:17quand on est là à la boutique
15:18des pas,
15:19on prend le ténoir.
15:20Exactement.
15:21On comprend.
15:22Ça veut dire,
15:23le but,
15:24c'est de faire
15:25la colonne
15:26avec moins
15:27de mobilité.
15:28Quand on a moins
15:29de mobilité,
15:30les papiers fonctionnent
15:31comme ils le sont
15:32automatiquement.
15:33On n'a pas de problème.
15:34Alors,
15:35on fait une pause.
15:36WhatsApp, 52 55 06 06.
15:39Top FM, mid-morning show.
15:45Téléchargez notre application Top FM Radio sur App Store, Play Store et sur aussi Huawei App Gallery.
15:53Top FM Live TV, une grande première. Vivez en temps réel, la première radio-TV de Maurice.
16:02Découvrez notre studio, nos animateurs, vos hits musiques préférées en clips et l'info complète, factuelle et crédible.
16:32Une liste de lait vert, de l'herbe et des épices.
16:35Donnez un goût qui est deux fois plus agréable.
16:37La détoxification est maintenant faite facilement.
16:39Juste déposer et boire.
16:41Sans doute qu'ils disent...
16:43Girnard, mon thé, mon temps.
17:32Le mid-morning show, on Top FM.
18:02Alors, on a plusieurs mythes et c'est un petit peu à l'occasion de le World Physiotherapy Day de cette année.
18:10Le but c'est d'expliquer à la population publique à travers le monde
18:15qu'est-ce qui se passe et quels mythes il y a autour.
18:18Alors, il y a environ douze mythes.
18:20Alors, on commence par le premier.
18:22Très bien souvent, nous pensons que le mythe c'est quand nous les deux on peut faire mal,
18:27ça veut dire qu'il y a beaucoup de dommages dans nous les deux.
18:31Alors, ce n'est pas nécessairement vrai.
18:34Le truc c'est que chaque personne a sa façon de percevoir la douleur qui est différente.
18:39Alors, le but c'est quand nous prenons l'unknown,
18:42c'est-à-dire ne pas connaître ce qui peut se passer,
18:44alors nous avons une tendance beaucoup plus stressée
18:46et la douleur quand nous regardons un à dix,
18:48nous supposons deux,
18:50automatiquement, par rapport à la frayeur, le stress, etc.,
18:53nous pensons que nous avons les huit.
18:55Alors, c'est-à-dire que si nous les deux on peut faire mal,
18:57ça ne veut pas dire qu'il est extrêmement endommagé.
19:00Souvent, nous avons ça à penser là, dans la société.
19:02Deuxième mythe.
19:04Nous dirons comme ça qu'automatiquement,
19:06quand nous commençons à lire, nous devons faire un scan,
19:08nous devons faire un extrait pour voir qui a fait quoi.
19:10Nous devons comprendre les choses, un scan, un extrait.
19:13Lisez cette picture in a frame.
19:17Alors, quand nous prenons une photo, par exemple,
19:19nous prenons une photo ici, là, parmi là,
19:21ça ne veut pas dire que tout le temps, mon studio est au point ferme.
19:23C'est un moment qui me laisse.
19:25C'est-à-dire que quand nous pouvons le faire,
19:27nous nous trouvons dans une certaine structure,
19:29dans une certaine société,
19:31mais il n'est pas nécessairement que ça peut causer de la douleur.
19:33Souvent, quand nous pouvons causer de la douleur,
19:35moi, j'ai fait un extrait, j'ai fait un IRM,
19:37j'ai trouvé que j'avais un petit bulging,
19:39mais je n'ai pas eu de douleur.
19:41Alors, ça, c'est une volonté qui est là.
19:43C'est-à-dire qu'au fur et à mesure qu'on peut vieillir,
19:45il y a une volonté qui est là.
19:47Ce n'est pas nécessairement ça qui cause vraiment la douleur.
19:49Alors, nous avons la tendance à penser, oui, quand nous travaillons à Montréal,
19:51nous trouvons des dessins glissés, etc.
19:53Mais ce n'est pas le seul facteur qui peut causer ce problème-là.
19:57Alors, nous devons être en globalité, ça c'est le deuxième.
19:59Troisième mythe.
20:01Souvent, nous disons que quand nous pouvons commencer à faire de la douleur,
20:03là, tout le monde fait ça,
20:05et nous, on n'a pas l'adversité pour lever quelque chose.
20:09Au fait, comme on dit, le spine,
20:11c'est un truc qui cause mobilité.
20:13Le spine est vraiment fort,
20:15il est solide.
20:17Alors, nous lever, il y a une technique pour nous lever quelque chose.
20:19C'est ce qui est important.
20:21Exactement, nous avons une façon,
20:23nous avons une façon qui nous fait, pour ne pas blesser,
20:25alors, on ne peut pas dire qu'on ne peut pas lever quelque chose.
20:27Ça, souvent, il y a un mythe qui est là.
20:29L'autre mythe qui est là, c'est,
20:31quand nous faisons de la douleur,
20:33nous prenons du lait,
20:35le résultat du problème, là.
20:37Il n'est pas le résultat du problème, là, à 100%,
20:39comme vous l'expliquez dans ces histoires piquantes que nous avons là.
20:41Alors, nous existons camouflés.
20:43Ça, c'est le quatrième mythe.
20:45Cinquième, c'est, ça aussi,
20:47nous trouvons beaucoup dans la société.
20:49Alors, je vais prendre du lait, les deux,
20:51je dois craquer,
20:53pour me cadrer dans cette colonne-là.
20:55Mais malheureusement, la colonne est tellement solide,
20:57qu'il n'y a pas besoin d'avoir des affaires
20:59forcées, là.
21:01Oui, nous devons prendre un appel
21:03là du côté de Paille, M. Nourani, bonjour.
21:05Madame, bonjour.
21:07Madame, vous connaissez combien de complaints
21:09il faut faire dans cette radio-là?
21:11Pourquoi ça fait?
21:13Non, elle ne peut pas le faire, non.
21:15Non, vous pouvez causer les missions correctes, pas correctes.
21:17Alors, oui.
21:19Oui, nous continuons.
21:21Alors, ça c'est, oui, nous ne pouvons pas craquer.
21:23Oui. Alors, souvent nous pensons,
21:25oui, ah oui, mais nous voulons du lait,
21:27mais je dois aller, je dois rester là-bas.
21:29Malheureusement, on me dit qu'il y a un problème.
21:31Pas un problème, on me dit, j'ai vu le téléphone,
21:33ça ne bouge pas ici, ça bouge là-bas.
21:35C'est bien solide, structure, là.
21:37Alors, la manipulation, comment on dit,
21:39c'était un petit peu la base,
21:41mais nous trouvons avec le temps,
21:43quand nous faisons l'analyse,
21:45nous trouvons qu'il n'est pas vraiment utile.
21:47Ok.
21:49Il n'est pas aidé à autant, ça c'est un autre mythe qu'il a.
21:51Sixième, nous pensons,
21:53plus nous pouvons vivre,
21:55automatiquement nous voulons nous aider
21:57pour plus augmenter, il faut.
21:59Alors, c'est quand il y a du monde,
22:01parce qu'on trouve beaucoup de monde, grand du monde.
22:03Je peux encore par exemple,
22:05il fallait que j'aille à l'antique,
22:07un tonton de quatre-vingt-dix-huit ans,
22:09puis encore il rentre en bicyclette.
22:11Extraordinaire.
22:13Si nous nous mettons à des leçons,
22:15si nous disons qu'on ne peut plus vivre, nous les augmenter automatiquement.
22:17Non, c'est quantité. Parce que les tontons,
22:19tous les jours, ils font des activités.
22:21Tous les jours, il est en mouvement.
22:23Alors, il peut nourrir sa colonne de vérité.
22:25La mobilité est extrêmement importante
22:27pour nous nourrir sa colonne de vérité.
22:29L'autre truc qu'il nous fait souvent,
22:31comment nous gagne du l'air,
22:33nous faisons reposer. Pas qu'à bouger, restons au lit.
22:35Ça, c'est un autre problème.
22:37Parce que la colonne, pour lui gagner son nourriture,
22:39bon, j'ai une méthode simple.
22:41Il nourrit sa colonne de vérité.
22:43Alors, quand vous restez en place,
22:45vous ne pouvez pas bouger.
22:47C'est comme si vous aviez un moteur,
22:49que vous l'alliez dans la garage,
22:51et que vous disiez, oui, c'est correct.
22:53Mais non, il faut qu'il soit au lit, parce que sa colonne de vérité,
22:55c'est important dans le mouvement pour qu'il reste en bon état.
22:57Ce n'est pas qu'il allume le moteur tous les jours,
22:59pendant un an, pour que le moteur reste en bon état.
23:01Il faut le faire. Alors, il faut avoir le mouvement.
23:03Ça, c'est par rapport au septième.
23:05Le huitième,
23:07c'est, nous disons, quand nous commençons,
23:09quand nous faisons du lit, là, nous commençons à bouger,
23:11nous faisons plus du lit.
23:13Alors, là, nous finissons par mettre, ça, c'est le
23:15le cachet qui est là.
23:17Nous pensons, ça veut dire, si je veux bouger,
23:19ça veut dire que je peux blesser plus.
23:21Alors, ce n'est pas vrai. C'est juste la préemption
23:23que nous, la tête, nous mettons d'une façon,
23:25parce qu'il fait, tu dis, je veux mettre ça devant la tête.
23:27Tu comprends?
23:29Pas bouger, quand tu fais ça, c'est un gros problème, ça.
23:31Tu ne peux plus, non, non,
23:33tu ne peux pas reposer, parce qu'il fait,
23:35depuis le septième, il finit par mettre ça devant la tête.
23:37Alors, c'est vraiment sa mindset, là, parce qu'il prévient
23:39avec moi, il va dire, ah ouais, ben, je connais,
23:41je connais, tonton Tchiguerra, par exemple, je connais
23:43le Tchiguerra qui ne faisait pas bouger.
23:45Alors, ça, c'est un autre mythe.
23:47Mais, au commencement, il pouvait faire du lit,
23:49mais au fur et à mesure qu'il marchait, automatiquement,
23:51il pouvait drainer sa bonne inflammation, là,
23:53il pouvait venir beaucoup plus facile.
23:55Le neuvième, qui lui concerne beaucoup d'humains,
23:57c'est quand moi, si c'est, moi, je dois assister droite.
24:01OK? Alors, nous terminons là,
24:03pendant qu'on l'appelle.
24:05Alors, ça, ça fait du bout de droite, là,
24:07mais assister droite, c'est pas vrai.
24:09Comme on l'expliquait, là, quand on trappe sa prime,
24:11là, c'est une seule posture.
24:13Alors, il nous faut 100 postures,
24:15il nous faut 100 différentes postures.
24:17Direction Kepi, Jackson, bonjour.
24:19Allô, bonjour, bonjour docteur.
24:21Bonjour.
24:23Oui, ma question, je ne sais pas si beaucoup
24:25de monde peut éclairer par ça,
24:27et si vous-même êtes capable de nous
24:29clôturer, là, sans moyen de relief, là.
24:31Oui.
24:33OK.
24:49Oui, ça, c'est pareil,
24:51c'est une alternative à trait de symptômes.
24:53Alors, Keping, c'est quoi?
24:55C'est une zone bontouge,
24:57dont on peut se servir,
24:59c'est-à-dire, vous mettez là-haut les deux,
25:01et vous mettez sa
25:03source de sang qui est tout autour, là,
25:05c'est-à-dire les cailles, d'une façon ou d'une autre,
25:07et là, vous coupez, c'est-à-dire,
25:09c'est-à-dire que ça va
25:11éliminer toute cette
25:13inflammation qui est tout autour, ça, c'est ça.
25:15Il y a une certaine effectivité,
25:17j'ai parlé avec moi, le pain-killer,
25:19mais comme on m'a dit, le chiffre est,
25:21nous devons élever la mobilité, le mouvement.
25:23Parce que si nous ne pouvons pas
25:25nous ne pouvons pas comprendre, mais si nous ne pouvons pas
25:27commencer à bouger les deux, nous ne pouvons pas
25:29nous ne pouvons pas
25:31nous ne pouvons pas
25:33nous ne pouvons pas
25:35nous ne pouvons pas
25:37nous ne pouvons pas
25:39nous ne pouvons pas
25:41nous ne pouvons pas
25:43nous ne pouvons pas
25:45nous ne pouvons pas
25:47nous ne pouvons pas
25:49nous ne pouvons pas
25:51nous ne pouvons pas
25:53nous ne pouvons pas
25:55nous ne pouvons pas
25:57oui il y en a encore euh, trois mythes quoi?
26:00Ouais non non trois, un peu après, c'est fini là. Trois mythes, alors un autre
26:02traitement pour les personnes jeunes c'est
26:04les deux
26:16les places
26:27bon. Automatiquement, l'hypothèse a un problème. Alors, ça c'est un petit peu en global par rapport
26:33aux mythes qu'on a. Alors, nous retournons à Pip. Rachid, bonjour. Oui, attend, je baisse la radio. Oui, merci.
26:40Oui, docteur, je peux parler au docteur, si vous le voulez, concernant mon beau-frère, justement, qui a eu un problème
26:47justement avec le back pain, le colon vétérbal et puis le douleur de l'air. Mais ce que je voudrais
26:53surtout me renseigner au docteur, justement, ce qu'il a fait, justement, avec l'hôpital Rosebell,
27:02consultation, et puis là-bas, on a dit, bon, il faut mettre un point, rester là-bas. Bon, mon neveu n'a pas
27:09voulu parce qu'il ne veut pas rester. Il est retourné à la maison et surtout, il est allé voir plusieurs
27:15docteurs. Finalement, le docteur, il y a un docteur clinique d'année, docteuresse, là, on lui a donné
27:21plusieurs comprimés, mais ça n'a pas marché. Puis, il a chancé de comprimer aussi avec le temps,
27:28calmement, et puis ça retourne encore. Et là, il est allé voir, comment s'appelle, chiropracteur. Là, on a donné,
27:36justement, il faut mettre un sang, malheureusement, et puis il porte toujours une ceinture pour le rein.
27:44Et puis, malheureusement, avec le temps, 77 ans, mais ça cause plusieurs problèmes. Quand il marche,
27:50il se lève, justement, et il faut toujours qu'il y ait une personne derrière lui, sinon, il va tomber et ça ne va pas
27:56marcher. Il faut toujours se surveiller. Et puis, malgré le sang, tout à coup, il tombe, justement, sur le sol.
28:05Et là, ça, vraiment, ça ne peut pas être marché continuellement parce que quand il marche, il faut tourner un bateau
28:15ou, sûrement, à la mer. Ça fait comme ça, comme ça. Le rein, surtout, bouge à droite, bouge à gauche, il ne peut pas marcher.
28:21Mais là, le docteur a dit que maintenant, il faut faire une filtration dans le rein. Il faut mettre une injection.
28:30Ah ben, à cause, justement, il est allé dans la clinique du Nord. Là, on l'a envoyé deux fois là-bas, mais on l'a envoyé parce que
28:36la tension ne baisse pas. Ça, c'est risquant de faire une injection dans le rein. Alors, je voudrais savoir, justement,
28:43s'il y a un, on peut, surtout, euh, le soulager avec le fils, je te rappelle que, justement, j'entends, tu en as compris, oui, oui.
28:51C'est bien qu'il soit au téléphone parce qu'il résume un petit peu la situation à Maurice. Le truc, c'est, euh, comment je vais dire,
29:01le traitement qui nous peut servir ces ans de cela, nous ne l'aurons pas servi. C'est pareil, comment dire, euh, nous, du moment qu'il a évolué,
29:10il s'est porté un outil Nokia qui passait dans son smartphone, mais le traitement encore pareil. Le truc, tout ce que le, le patient peut dire,
29:18c'est une traite lésine symptomatique. Beaucoup là-dedans, dans l'Europe, n'est plus fait. Par exemple, pour du ceinture, il finit.
29:27Le truc, euh, par rapport à mes poids dans sur les pieds, longtemps tu peux faire, les pommes d'adam n'est plus fait en Europe parce qu'il a l'hydrothérapie.
29:39Le truc, c'est qu'il est un fait, il travaille ses symptômes, c'est-à-dire qu'il peut causer l'infiltration, il peut causer comprimant du nez, anti-inflammatoires, il peut
29:48il peut anesthésie auto-piquant là. Comment tu as piquant là? Comment tu as piquant là? Comment tu as bien fait, qui fait quand il peut marcher, il peut tomber parce qu'il
29:56son muscle affaibli. Le but, c'est le travail, c'est-à-dire le physiothérapeute qui l'a montré, il va en exercice parce qu'il peut prendre là, un mois, un mois et
30:05demi, il peut prendre pour qu'il soit capable de retourner son mobilité. Un peu de temps. Un peu de temps, mais c'est moi où vous avez travaillé le muscle, vous avez montré lui comment
30:13pour marcher, comment pour débuter, comment pour ça, vous avez renforcé, un mix pour le renforcer, il prend au moins pour une vieille dimension, au moins un mois, un mois et demi, il peut prendre.
30:20Alors, préférez-lui faire ça avant qu'il n'ait pas fait l'injection. Oui, parce qu'avec l'injection, il n'est pas pour résoudre le problème là, il est pour en dommage structurel, il est pour
30:27en dommage structurel. C'est ça, en Europe, le protocole, c'est-à-dire le but, c'est l'exercice, c'est-à-dire le but, c'est l'exercice, c'est-à-dire le but, c'est l'exercice, c'est-à-dire le but, c'est l'exercice, c'est-à-dire le but, c'est l'exercice, c'est-à-dire le but, c'est l'exercice, c'est-à-dire le but, c'est l'exercice, c'est-à-dire l'exercice, c'est-à-dire l'exercice, c'est-à-dire l'exercice, c'est-à-dire l'exercice, c'est-à-dire l'exercice, c'est
30:57ça, c'est-à-dire l'exercice, c'est-à-dire le but, c'est l'exercice.
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31:22nos animateurs, vos hits musiques préférés en clip et...
31:39Alors, pour la dernière partie de l'émission Horizon,
31:43quand on parle de cause, on parle de traitement.
31:46On parle de physio, bien sûr, pour différents mouvements.
31:49Mais dans cette appréhension-là, est-ce qu'on peut perdre,
31:52quand on touche cette partie-là, est-ce qu'on peut avoir du mal?
32:19Le truc, c'est souvent quand on peut marcher, etc.,
32:21on a tendance à réduire les deux beaucoup.
32:24Alors, le but, c'est de travailler beaucoup le abdominal muscle,
32:27parce que quand on contracte nos abdominaux,
32:30automatiquement, il faut relâcher les deux-là.
32:33C'est-à-dire les deux-là par rapport aux tensions.
32:35Plus on garde les deux-là, les tensions, c'est un petit peu qui accentue
32:38un petit peu plus cette douleur-là.
32:40Alors, ça, c'était une première phase.
32:42Deuxième, il faut trouver une alternative par rapport à l'âge,
32:44par rapport aux provisions.
32:46Quels sont les traitements symptomatiques qu'il nous faut donner en parallèle?
32:49Ça, c'est le deuxième.
32:51Troisième, d'après l'âge, il faut trouver un type de mouvement
32:55et d'exercice pour renforcer sa structure tout autour-là,
33:00pour qu'il sorte, pour qu'il gagne sa autonomie,
33:02pour qu'il gagne sa confiance.
33:04Souvent, le problème qu'on a avec les patients qui ont lower back pain,
33:07c'est qu'ils ont une manque de confiance dans les deux.
33:10Comment ils ont une manque de confiance?
33:12Parce qu'ils ne peuvent pas expliquer ce qui peut se passer.
33:15Quand on sait qui va gagner,
33:17c'est plus facile de savoir comment on gère ça.
33:20Parce qu'on ne sait pas.
33:22Les gens qui disent qu'ils sont capables de faire des blessures,
33:24qu'ils sont capables de faire des blessures,
33:26alors qu'ils préfèrent être en place,
33:28qu'ils préfèrent avoir une aide, qu'ils préfèrent mettre un ceinture, etc.
33:30Alors, on ne peut pas résoudre le problème.
33:32Alors, le but, le premier dans les traitements,
33:34c'est l'éducation du patient par rapport au problème qu'il va gagner.
33:37Alors, maintenant, après un traitement,
33:39est-ce qu'il est capable de revenir d'où il est là?
33:42Il est capable de revenir dépendant à quelle intensité il va faire les actions.
33:46Donc, quelles sont les précautions qu'il doit prendre?
33:48Alors, les précautions qu'il doit prendre,
33:50il doit être capable d'avoir une vie active.
33:53De toute façon, il doit être capable, par exemple,
33:55d'avoir quelque chose qu'il doit travailler un petit peu, pardon,
33:58c'est gérer le stress.
34:01Il doit être capable de structurer correctement,
34:03mais si le niveau de stress est augmenté par rapport au quotidien,
34:07automatiquement, il peut avoir l'impact de la maladie.
34:11Alors, s'il n'est pas capable de trouver une solution à un stress qu'il ne peut pas gagner,
34:15automatiquement, le problème de l'aube à l'arc-bain peut être géré.
34:19Oui. Alors, nous allons du côté de l'allée des prêtres.
34:21Allô, bonjour.
34:23Bonjour. Bonjour, Pamela.
34:25Bonjour. Bonjour.
34:26Bonjour, docteur. Bonjour.
34:28Bien, docteur, j'ai un problème.
34:31Je suis descendue de l'hôpital et j'ai fait un faux pas.
34:33Oui.
34:34Bien, j'ai eu de gros douleurs dans mes lèvres,
34:36parce que quand je suis allée à l'hôpital,
34:39j'ai fait une piqûre dans la hanche
34:42et puis, j'ai eu des douleurs dans les jambes.
34:46Jusqu'ici, j'avais encore des douleurs,
34:48mais je dois sentir tout ça pour m'aider.
34:51Je peux écouter le médecin, je demande des conseils.
34:54Oui.
34:56Oui. Alors, le premier, je ne connais pas le cas bien par rapport aux données radiologiques, etc.
35:04Mais c'est moi qui demande des conseils,
35:06C'est un peu compliqué, parce qu'il faut élargir l'inflammation.
35:11Mais il est important aussi qu'il travaille la mobilité,
35:13c'est-à-dire marcher, etc.
35:15C'est important qu'il soit capable d'aider un petit peu.
35:17Mais on peut aller dans tous les détails,
35:19parce qu'il y a des choses qui n'ont plus de structure,
35:22qui ont de la complexité.
35:24Oui, de perdre.
35:26Oui.
35:27Oui, mais j'ai déjà craqué il y a deux ans.
35:29OK.
35:31Parce qu'il y a des genoux là-dessus,
35:33quand on fait un mouvement,
35:35il y a des genoux là-dessus un petit peu.
35:37Alors, là-bas, il y a un petit peu d'alternatives,
35:39des traitements.
35:41Mais il faut définitivement aider,
35:43parce qu'il faut aider pour gérer sa inflammation
35:45qu'il a gagnée au niveau des deux,
35:47ou soit même des genoux là.
35:48Et docteur, je reste à l'étage,
35:50j'ai des difficultés, je vous le dis,
35:52quand je marche dans la classe, il y a des problèmes,
35:54mais quand je descends l'escalier, j'ai beaucoup de problèmes.
35:56Alors,
35:58oui,
36:00c'est-à-dire quand on peut monter, descendre,
36:02automatiquement, ces genoux-là, ce structure-là,
36:04à chaque fois qu'il y a un pilule là,
36:06c'est-à-dire qu'à la fin, quand on marche l'escalier,
36:08il n'est pas éveillé, il y a une montée, il y a une descente,
36:10alors quand il y a des défauts qu'il peut faire là,
36:12automatiquement, il est plus hors de magie,
36:14il peut causer plus d'inflammation.
36:16Alors, plus encore, plus beau pour vous,
36:18tous les jours, vous avez de l'inflammation.
36:20Pardon?
36:21Oui.
36:22Quand vous travaillez à 100, tentez, prenez une serviette,
36:24de toute façon, au lit, en 5 minutes, vous calmez le lit.
36:26Oh.
36:28Allez, docteur.
36:30Merci.
36:32Bonjour.
36:34Bonjour, docteur.
36:36Bonjour.
36:38Il y a un problème pour mon garçon,
36:40il travaille le computer, c'est le CS,
36:42une journée,
36:44et il a un douleur sur la colonne vétérale,
36:46les reins.
36:48J'en veux connaître.
36:50On fait une consultation,
36:52que tout le monde répond.
36:54Oui, ça augmente, nous vous donnons le numéro,
36:56alors peut-être dans un premier temps,
36:58depuis combien de temps il a eu ce douleur-là?
37:00Longtemps.
37:02Longtemps.
37:04Il fait frotter, il n'est pas comprimé,
37:06il fait...
37:08Coping, tout ça, il ne peut pas dire.
37:10Il est calé après l'hiver, il retourne.
37:12Oui.
37:14Voilà, ça c'est le cas typique qu'il nous a,
37:16c'est-à-dire, c'est la posture,
37:18par exemple, nous trouvons, c'est normal,
37:20il peut travailler long hours.
37:22Oui.
37:24Il peut travailler long hours,
37:26tous les 18h, 3h, 4h, il est dans une seule position.
37:28Il peut juste travailler.
37:30Mais le truc, c'est l'idéal,
37:32après 20 minutes,
37:34il peut se lever, il a mis sa place là,
37:36il peut faire une petite marche,
37:38au moins un petit peu,
37:40mais son problème, c'est de ne pas faire ça.
37:42Alors, il continue, il reste là,
37:44mais il peut être fatigué,
37:46par exemple, moi j'y suis en plume,
37:48il est fatigué, plus il est fatigué, plus il reste là.
37:50Il fait du cupping, il boit de la médecine,
37:52il n'est pas pour résoudre ce problème-là,
37:54parce qu'il peut juste travailler symptomatique.
37:56Et l'école, quand elle le trouve,
37:58elle peut trouver, elle peut régler ce problème-là.
38:00Ce problème-là, pour régler par rapport à un peu plus de mouvements,
38:02c'est-à-dire, un peu, il marche un peu,
38:04il étire un petit peu,
38:06et il casse un petit peu, routine, de sa travail-là.
38:08OK, Raj, oui,
38:10alors, nous arrivons presque à la fin,
38:12mais je me tiens content de vous demander,
38:14justement, vous nous dire, par exemple,
38:16pour terminer,
38:18quelle est la nouvelle approche
38:20envers ça, de l'ELA?
38:22Le nouvel approche
38:24que le World Physiotherapy,
38:26le physiothérapeute à travers le monde,
38:28avec les études,
38:30il prend le stand,
38:32c'est le self-management.
38:34Qui est-il en self-management?
38:36C'est-à-dire, pour les affaires,
38:38nous montrer, nous donner au patient-là un plan
38:40comment il peut contrôler l'ELA.
38:42C'est-à-dire, quand il peut bien bien fler,
38:44quand il pique du l'air, plus comment il gère ça du l'air. Là ça c'est un. Deuxième, nous donner
38:48confiance en les deux. C'est-à-dire que les deux, il est fort, il est solide, c'est-à-dire qu'il existe,
38:53vous le connaissez, comment il peut aller. Ça c'est le deuxième. Troisième, c'est overcome sa
38:58fierté qui se tient par rapport à ses mots. Faire un mouvement, ben, etc. pour qu'il pique plus du l'air.
39:03A l'objet de rétravailler ça, l'aspect là, montrer cette structure-là, etc. Quatrième, bien
39:09important. C'est l'importance du sommeil. Et nous tous, nous-mêmes, jeunes, aujourd'hui,
39:14surtout, la journée, beaucoup l'ordinateur, tantôt quand il rentre la
39:20case, se positionner au manger, s'il n'a pas bon, après il a l'oeil assis dans le netfix, jusqu'à trois heures du
39:24matin, ben, il dit pas qu'il a le temps de dormir. Ben, l'école-là, pour lui faire les réparations, pour lui
39:29qu'il a pas vrai, travail, il a un petit peu de situation, il a besoin d'un bon sommeil, mais si
39:34il n'a pas dormi assez, automatiquement, préparation va bouffer, et il n'aura pas fait. Là, il peut être duré.
39:40Ça, c'est un JP. Alors, alors, quand je fais des voix aussi, quand c'était ben jeune, j'étais dans la
39:45mauvaise posture. La posture, j'ai commencé à prendre n'importe quelle position, mais c'est moi, après
39:49vingt minutes, j'ai besoin de l'éveil à la place, ça. C'est ça qui me fait comprendre bien. Après vingt minutes,
39:53l'éveil, m'assez, m'assez, trente secondes, je reviens assiser. Le truc, c'est quand vous pouvez faire à
39:58trente secondes marche, là, opérer, irrigue, sabane, jointure, l'asthme, jointure, ben, rien à se
40:03manger, libérer son position. Parce qu'on regarde trop longtemps dans une seule position, là qui est le
40:07problème. Alors, c'est juste pour que vous compreniez un petit peu l'émission aujourd'hui, c'est qui est
40:10important, cinq, vingt minutes, trente minutes, l'éveil d'habitude de place. Moi, c'est un JP, je reviens assiser.
40:16Ça peut aider à garder cette mobilité, les deux, et que vous puissiez lire beaucoup plus loin. Oui, alors,
40:23vous souhaitez en cette journée mondiale de la physiothérapie? Alors, mon souhait, c'est qu'il y ait
40:28quand il y a un problème, qu'il y ait des professionnels. Parce qu'il y a une tendance, il y a des gens qui
40:35font la qualification. Alors, c'est un petit peu aussi le combat de l'Allied Health Professional Council et
40:41l'association de la physiothérapie, c'est qu'il y ait des professionnels, parce que quand il y a un
40:47problème, les professionnels, ils apprennent, ils comprennent la structure, là, ils connaissent
40:52Alors, quand c'est qu'il parle d'apprendre, là, il faut, après ça, il faut faire trial and error. Mais le trial and error n'a pas
40:59marché dans la médecine. Nous, on sait qu'on est qui peut passer pour avoir une évidence qui est là pour la
41:05recherche, c'est là qu'ils nous donnent un traitement. Ça, c'est la différence entre un professionnel et
41:09qu'un charlatan. Parce que le charlatan, il peut apprendre. C'est juste les guettés, comment on va le faire, comment on va le faire.
41:14Il y en a? Oui, il y en a plein. À Maurice, il est bien rempli avec les charlatans. Ça, c'est un petit peu malheureux à
41:19Maurice qui, il en a beaucoup plus comparé par les autres pays qui comprennent vraiment, nous, ça bouge vers les
41:26professionnels, plein d'aspects thérapeutiques, il y en a plusieurs professionnels qui l'ont, qui, qu'à part euh,
41:32mais bouge vers les professionnels, pas les gens qui comprennent le connaisseur.
41:37Longtemps, les grands gens, ils n'ont pas appris, ils n'ont pas appris le temps. Alors, ça, je peux faire avec le
41:43moyen qui tient là. Mais avec le temps, ça a évolué. La médecine 100 ans, c'est là que la médecine
41:47aujourd'hui, il n'est pas pareil. Il y a beaucoup de traitements qui, longtemps, il ne fait qu'à faire, aujourd'hui, il ne fait
41:51qu'à traiter. Alors, il nous faisait obtenir tout le temps avec la science et avec la médecine parce qu'il est là
41:59qu'il y a un professionnel qui peut donner le meilleur conseil pour connaître pour l'Oueb, parce que souvent,
42:03nous trouvons dans l'Oueb, le traitement est mal fait et le traitement, il peut durer jusqu'à ce qu'il commence à se désespérer,
42:10tous les quatre côtés, Maurice. Et est-ce qu'il y a un métier qui peut attirer une nouvelle génération?
42:17Malheureusement, je n'ai pas à l'apprendre. En général, ce qu'on peut trouver, c'est qu'on est plus attaché avec
42:23ce smartphone-là, on est plus dans un monde paresseux. Mais, tout ce qui est dans ce domaine-là, il y a le marché du travail.
42:31Parce qu'il y a Maurice, si on exagère le chiffre de physiothérapeutes en ce jour-là, il y en a environ 150,
42:39nous, il y en a 180. Mais pour une population comme Maurice, au moins, il y a besoin de 500-600 professionnels.
42:45Parce qu'il n'est pas facile pour qu'il y ait 1,3 million d'humains avec 180 physiothérapeutes.
42:50En tout cas, je vous profite de l'occasion pour cette émission et tous les physiothérapeutes de l'île, une très bonne fête à l'occasion de cette journée mondiale.
42:57Merci. Merci Pamela, merci à tous.