• il y a 2 mois

En ce 9 septembre, Pascal Praud fête son anniversaire. Les équipes d'Europe 1 lui ont réservé plusieurs surprises pour ses 60 ans.
Retrouvez "Pascal Praud et vous" sur : http://www.europe1.fr/emissions/pascal-praud-et-vous

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Transcription
00:00Et puis j'ai une dernière information Pascal, ce n'est pas un jour comme les autres aujourd'hui puisque c'est votre anniversaire.
00:06Je craignais le pire, mais vous êtes vraiment très, mais vous êtes adorables, ah Saint-Honoré en plus !
00:30Alors là, je vais vous dire, là vous allez faire plaisir à ma maman, parce que je demandais toujours à Saint-Honoré quand j'étais petit garçon et j'avais un Lego ou une voiture à crampons, une paire de chaussures à crampons et j'avais toujours à Saint-Honoré.
00:48Il y en a beaucoup qui demandent d'armes, ce n'est pas pour les mêmes raisons.
00:52Ah non mais alors ça, vous êtes adorables, cher Didier, merci, merci, oh que vous êtes gentils, vraiment vous êtes adorables.
01:02Non mais vraiment, ça me touche beaucoup et puis voilà.
01:06Pascal, il y a un auditeur qui a fait beaucoup de route, regardez, pour vous apporter ce tableau de vous, le cul de la personnalité, regardez !
01:12Ah non mais alors là, je vais te mettre sur les réseaux sociaux, il est magnifique !
01:17Montrez-le à la caméra !
01:18Je vous remercie grandement.
01:19Philippe, je vous laisse le montrer à la caméra.
01:20Mais Philippe, alors vous allez dire un mot, Philippe, quand même !
01:22Europe 1.fr pour voir ce beau tableau.
01:26Philippe, venez vous asseoir au micro, Philippe.
01:28Venez Philippe, et vous êtes peut-être photographe, sculpteur ?
01:32Non, je suis un artiste, peintre, qui est dans le gars.
01:37Et vous m'avez pris comme modèle, vous êtes un artiste.
01:39Exactement, je vous écoute beaucoup.
01:41Vous avez eu du courage !
01:44Vous verrez tout à l'heure, il y a aussi Olivier.
01:46Vous avez une surprise, Pascal, devant vous, qui va vous dire bonjour par téléphone.
01:51Bonjour par téléphone, qui est là ?
01:53C'est moi.
02:02C'est M. Sardou lui-même ?
02:04Lui-même !
02:05Mais alors, vous êtes vraiment, ils sont gentils, hein Michel, vous allez bien ?
02:09Oui, je vais très bien, il y a une mauvaise mère par contre.
02:13Il y a une mauvaise mère.
02:15Comment va ton anniversaire, mon petit voleur ?
02:18On me dit, paraît-il, que 60 ans, on monte sur le toboggan.
02:22Est-ce que c'est vrai ? Est-ce que c'est difficile ?
02:26Est-ce que je vais m'en remettre ?
02:28En ce moment, on dit beaucoup de conneries.
02:31Non, 60 ans, t'es un gamin, pour moi.
02:34Ta vie commence à 60 ans,
02:38quand on a connu mieux qu'avant.
02:41Alors, je vais vous dire, j'ai un souvenir personnel,
02:44et c'est vrai que quand on rencontre Michel Sardou,
02:46et forcément, c'est pas que le journaliste qui l'interview,
02:50c'est aussi le fan.
02:52Moi, j'étais fan de Michel quand j'étais plus jeune,
02:55et même parfois enfant,
02:56puisque je me souviens, à une fête de l'école, je devais avoir 11 ou 12 ans,
03:00on avait chanté le rire du sergent, cette année-là,
03:03qui était le succès.
03:04Donc, à chaque fois que je rencontre Michel Sardou,
03:06c'est toujours étonnant de rencontrer des gens
03:09qui vous ont fait, disons, rêver quand on était plus jeunes.
03:12Donc, ça me touche beaucoup que vous soyez là, Michel.
03:14Non, je voulais souhaiter bon anniversaire, c'est la même chose, quand même.
03:18Et puis, la dernière fois qu'on s'était eu, d'ailleurs,
03:20c'était pour l'ouverture de la saison,
03:23et tu étais en pleine réflexion,
03:25vous étiez en pleine réflexion sur une pièce de théâtre.
03:29On l'est toujours, on l'est toujours, on cherche.
03:32Je n'ai pas de nouvelles pour l'instant,
03:34parce que je crois que la saison commence,
03:36et qu'on cherche,
03:38mais on ne peut pas aboutir pour l'instant,
03:40il y a d'autres projets en route.
03:42Mais, ça sera l'année prochaine, à mon avis, tu vois.
03:46Ben, vraiment, merci beaucoup, Michel,
03:47et puis l'ami Didier Barbelie vient également dans le studio.
03:51Ça va, Michel ?
03:52Salut, Didier !
03:54Tout va bien ?
03:55Bon, ça va, ça va.
03:56Pourquoi tu dis la mer ?
03:58Tu fais du bateau en ce moment, elle est démontée ?
04:01Ben, j'allais, je voulais en faire aujourd'hui,
04:03mais elle est mauvaise.
04:05C'est pas marrant, tu vois, quand ça saute partout,
04:09t'en prends plein la gueule, c'est pas bien.
04:12D'un autre côté, chez nous, on en prend plein la gueule
04:14et on n'a pas la mer, alors, tu vois.
04:16Oui, et en plus, vous avez 50 km sur le périphérique.
04:20C'est ça !
04:21Je vois que monsieur est au courant.
04:23Et même la voie d'accès,
04:25enfin, la voie gardée, la voie protégée,
04:28les JO sont finies, mais la voie est toujours bloquée.
04:31Oui.
04:32135 euros si tu roules sur la voie.
04:35Je sais, je sais.
04:36Mon Pascal, bon anniversaire !
04:38Merci !
04:39Bon anniversaire !
04:40Merci vraiment, Michel, vraiment.
04:42Merci beaucoup.
04:43Je t'embrasse.
04:44Et vraiment, bisous à la famille.
04:45Pascal, bon anniversaire, mon Pascal.
04:47Je t'embrasse très fort.
04:48Voilà, monsieur Vendroux, que vous entendez également.
04:50Ben oui !
04:51Et dans la régie.
04:52Jacouille !
04:54Pardon ?
04:55Jacouille.
04:56Il vous a appelé Jacouille.
04:57C'est Didier Deschamps et Elisa Razou.
04:59Et Laurent Blanc qui m'appelle Jacouille la fripouille.
05:01Il vous appelle Jacouille la fripouille.
05:03Oui, il m'appelle G3, il m'appelle Jacouille la fripouille.
05:05Je suis un peu inquiet pour Didier Deschamps, que j'aime beaucoup.
05:07Ben moi aussi.
05:08Mais en fait, je ne suis pas tant inquiet pour Didier Deschamps,
05:10je suis un peu inquiet pour Mbappé que j'ai vu l'autre soir,
05:12qui n'est plus le même joueur, pour le moment.
05:14Ah ben non, mais c'est un autre joueur, c'est une autre personne, c'est tout.
05:16C'est pas la peine de tourner autour du pot.
05:23Pourquoi ?
05:24À un moment, il y a un journaliste qui lui dit
05:26vous allez jouer au Parc des Princes ce soir,
05:28contre l'Italie, etc.
05:30Le public...
05:31Non mais écoutez-moi, le public,
05:32qui m'accueille bien ou mal, je m'en fous complètement.
05:34Ne parle pas comme ça, ne parle pas comme ça.
05:36J'ai entendu.
05:37Bon, il y a un petit, effectivement, il y a quelque chose qui a changé.
05:40Il y a un truc de cassé, il y a un truc de cassé.
05:42Bon, ça peut revenir en tout cas.
05:43Mais Pascal, mais Pascal, c'est pas le sujet bon anniversaire.
05:46J'ai bien compris l'affaire.
05:47Vous avez 60 ans, on a 16 ans de différence.
05:50Vous avez 46.
05:51On aimerait bien revenir à nos 60 ans.
05:53Vous avez 44 ans.
05:56J'ai 76 ans et je vais avoir 77 ans, mon Pascal.
06:00Mais ce qui est fou, c'est qu'évidemment,
06:02c'est une banalité de le dire si vous ne les faites pas.
06:05Et souvenez-vous, lorsqu'on était enfant,
06:08les gens qui avaient 75 ans...
06:10Mais même 60 ans.
06:12Oui, alors il y a...
06:13Moi qui suis le plus âgé, là, autour de la table.
06:15Ah oui, largement.
06:17Mes grands-oncles, quand ils avaient...
06:20On me disait, il a 60 ans.
06:22Je regardais, je disais, le pauvre.
06:24C'est vrai.
06:26C'est rassurant.
06:27Non, mais ce qui est vrai, c'est que...
06:28Bon, c'est une banalité de le dire.
06:29Mais bon, ça passe assez vite.
06:30En tout cas, je remercie grandement.
06:32Vraiment, alors ça, ça me touche beaucoup.
06:34Vraiment.
06:36En plus, c'est assez ressemblant.
06:37Donc, c'est...
06:38Je ne sais pas si c'est une bonne chose,
06:40mais c'est assez ressemblant.
06:42C'est réalisé à l'aérographe.
06:44C'est quoi l'aérographe ?
06:45C'est un pistolet à air qui est relié à un compresseur
06:48et il va projeter de la peinture.
06:51Eh bien, écoutez, ça me fait très plaisir.
06:54Il est aux couleurs du studio.
06:55Exactement.
06:56Mais je vais le garder précieusement.
06:57Il est 12h13, on marque une pause, les amis ?
06:59Oui.
07:00Et puis, on continue.
07:01On peut quand même peut-être parler de l'actualité
07:02et faire une émission un peu classique.
07:04C'est possible, c'est possible.
07:05Bon, il est très beau ce bouquet.
07:06Très jolie couleur.
07:07C'est Marie-Pierre qui vous l'a apporté.
07:09Eh bien, Marie-Pierre, vraiment,
07:10je n'ai pas eu le temps de la remercier
07:11comme il se doit, Marie-Pierre.
07:13Alors, je vais vous dire également,
07:15parce que quand je suis arrivé dans cette maison,
07:16Marie-Pierre, ça lui est un des premiers contacts
07:18que j'ai eus puisqu'elle travaillait
07:20avec Donna Vidal-Revel.
07:22Oui ?
07:23Vidal-Revel, oui.
07:24Donna Vidal-Revel, oui.
07:26Et vraiment, sa gentillesse et sa bienveillance
07:30avaient été importantes pour moi.
07:33C'était le premier contact que j'avais
07:34avec cette grande maison bleue
07:36dans laquelle nous sommes si bien
07:38puisque vous êtes venus avec moi
07:40et Laurent Tessier est venu bien plus tard.
07:42Il n'était pas au départ.
07:44Après l'aventure.
07:45Je n'ai pas pris le bon train.
07:47Il n'était pas au départ.
07:48Il a attendu de voir si ça marchait.
07:50Je ne sais pas où il était.
07:51Il a attendu de voir si ça marchait.
07:53Mais je n'étais pas sûr.
07:54C'est ça la réalité.
07:55Parce que nous, nous avons franchi
07:57le Rubicon.
07:59Il s'est caché.
08:00Aléa Jacques Thaëst.
08:02Il est 12h14.
08:03Ça veut dire quoi ?
08:04Les dés sont jetés.
08:05D'accord.
08:06Aléa Jacques Thaëst.
08:07Non, on ne va pas à Jacques Thaëst.
08:10Excusez-moi, excusez-moi.
08:11Aléa Jacques Thaëst.
08:12Je me tais, je me tais, je me tais.
08:14Bon, il est 12h14.
08:15A tout de suite.

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