« C'est toute une histoire, une main…. »
Paroles de Ludovic Freppaz
Une main, oui une main!
Avez-vous déjà songé à ce qu'est une main ?
Oh, pas grand-chose,
Tout juste une paume et cinq doigts.
Une main, c’est toute une histoire,
Quelle soit blanche ou noire…
Oui, c’est toute une histoire…
Alléluia...
Comme une fleur qui s'épanouit un matin,
C'est la petite main qui cherche
Dans le noir un sein nourrissant…
C'est celle qui grandit, qui s'impose,
Qui réclame, qui dispose.
Celle qui s'exprime dans toutes les langues
Sans en parler aucune.
C'est celle qui s'avance pour mieux pardonner.
Celle qui s'élève pour mieux frapper…
Une main, oui une main !
Oh, pas grand-chose,
Tout juste une paume et cinq doigts.
Une main, c’est toute une histoire,
Quelle soit blanche ou noire…
Oui, une main c’est toute une histoire…
Alléluia…
C'est la main qui donne
À celle qui prend,
Celle qui ordonne,
Celle qui se rend…
C'est celle qui apaise la souffrance.
Qui calme les pleurs.
C’est la main qui caresse,
Mais qui pourrait griffer?...
Une main, oui une main !
Une main, c’est toute une histoire,
Quelle soit blanche ou noire…
Oui, une main, c’est toute une histoire
Ce sont ces mains qui prient encore,
Malgré la douleur et la mort.
Et toutes ces mains levées
Qui quémandent,
Qui implorent,
Cette forêt de mains mouvantes
Comme des fleurs vivantes,
Qui s'affolent et se crispent
Et hurlent en silence
Leur joie, leur haine, leur révolte….
Une main, une main...
Agitées comme les mâts
Des bateaux dans le port.
Comme les feuilles des arbres
Sous la tourmente du vent.
Ses mains hérissées comme
Des milliers de drapeaux
Et qui hurlent à la mort
Et qui hurlent à l'amour,
Sans un bruit, sans une plainte,
Comme les épis de blé dans les champs.
Ondulant suivant la couleur du temps.
L'état d'esprit du moment….
Une main, une main...
Puis ses mains repues d'injustice.
De bonheur ou de haine.
Qui doucement s’abaissent,
et tombent lentement.
Comme frappées à mort.
Et dans l'agonie, se crispent
Et tremblent encore
pour se figer enfin,
En une ultime prière,
En un dernier soupir,
En un dernier désir.
Raide.
Inerte.
La main
Sur l'autre main.
Calme.
Reposée,
Comme la mer après la tempête….
Oui, c’est toute une histoire une main.
Une paume et cinq doigts.
Si peu de choses, enfin.
Mais que de larmes versées sur cette main.
Que de sang.
Et que d’amour…
Que d’amour… oui que d’amouuuuur … hummmmm
Paroles de Ludovic Freppaz
Une main, oui une main!
Avez-vous déjà songé à ce qu'est une main ?
Oh, pas grand-chose,
Tout juste une paume et cinq doigts.
Une main, c’est toute une histoire,
Quelle soit blanche ou noire…
Oui, c’est toute une histoire…
Alléluia...
Comme une fleur qui s'épanouit un matin,
C'est la petite main qui cherche
Dans le noir un sein nourrissant…
C'est celle qui grandit, qui s'impose,
Qui réclame, qui dispose.
Celle qui s'exprime dans toutes les langues
Sans en parler aucune.
C'est celle qui s'avance pour mieux pardonner.
Celle qui s'élève pour mieux frapper…
Une main, oui une main !
Oh, pas grand-chose,
Tout juste une paume et cinq doigts.
Une main, c’est toute une histoire,
Quelle soit blanche ou noire…
Oui, une main c’est toute une histoire…
Alléluia…
C'est la main qui donne
À celle qui prend,
Celle qui ordonne,
Celle qui se rend…
C'est celle qui apaise la souffrance.
Qui calme les pleurs.
C’est la main qui caresse,
Mais qui pourrait griffer?...
Une main, oui une main !
Une main, c’est toute une histoire,
Quelle soit blanche ou noire…
Oui, une main, c’est toute une histoire
Ce sont ces mains qui prient encore,
Malgré la douleur et la mort.
Et toutes ces mains levées
Qui quémandent,
Qui implorent,
Cette forêt de mains mouvantes
Comme des fleurs vivantes,
Qui s'affolent et se crispent
Et hurlent en silence
Leur joie, leur haine, leur révolte….
Une main, une main...
Agitées comme les mâts
Des bateaux dans le port.
Comme les feuilles des arbres
Sous la tourmente du vent.
Ses mains hérissées comme
Des milliers de drapeaux
Et qui hurlent à la mort
Et qui hurlent à l'amour,
Sans un bruit, sans une plainte,
Comme les épis de blé dans les champs.
Ondulant suivant la couleur du temps.
L'état d'esprit du moment….
Une main, une main...
Puis ses mains repues d'injustice.
De bonheur ou de haine.
Qui doucement s’abaissent,
et tombent lentement.
Comme frappées à mort.
Et dans l'agonie, se crispent
Et tremblent encore
pour se figer enfin,
En une ultime prière,
En un dernier soupir,
En un dernier désir.
Raide.
Inerte.
La main
Sur l'autre main.
Calme.
Reposée,
Comme la mer après la tempête….
Oui, c’est toute une histoire une main.
Une paume et cinq doigts.
Si peu de choses, enfin.
Mais que de larmes versées sur cette main.
Que de sang.
Et que d’amour…
Que d’amour… oui que d’amouuuuur … hummmmm
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