TPMP : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h50 sur C8.
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00:00Élection de Donald Trump, est-ce la fin du wokisme ? Oui ou non ?
00:03On attend vos réponses, bien entendu, en direct sur C8.
00:06Même Gilles dit oui, c'est énorme.
00:08Même Gilles Bernays dit oui, c'est énorme, c'est énorme.
00:12Non, non, bon ben non, forcément, Thomas Guénolé, on ne va pas dire que c'est sa fin.
00:16Donc forcément, il est obligé de mettre non, Thomas Guénolé,
00:19mais je sens qu'on va rigoler avec Fabrice Divizio, avec Thomas Guénolé.
00:22Là, je regardais Fabrice, là, il se régale.
00:26Allez, Gilles Bernays, c'est fou.
00:27– Je vais vous expliquer pourquoi je mets oui.
00:28Moi, je ne me considère pas comme woke, d'accord ?
00:30Pour moi, les wokes, c'est les bobos, c'est une gauche molle, c'est Kamala Harris.
00:34Donc aujourd'hui, c'est la fin du wokisme et maintenant, ce sera…
00:37– Attends, il y a deux jours, on a eu une discussion,
00:40vous m'avez dit Kamala Harris, c'est exceptionnel.
00:42Je me rappelle très bien, je peux vous sortir les images.
00:43– Oui, c'est exceptionnel.
00:44– C'est ça, oui, oui, c'est ce qu'on m'avait dit.
00:46– C'est exceptionnel.
00:47– Maintenant, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin de la gauche molle.
00:51– Mais non, c'est extrêmement…
00:52– C'est la gauche molle, la gauche folle.
00:53– Ah bah oui, ça, tu sais, tu vois…
00:55– Mais la gauche molle, c'est la vie, c'est la vie.
00:57– Mais ne l'écoute pas, c'est molle.
00:59– Mais c'est tout le contraire.
01:01– La gauche en France ?
01:03– Non, il a dit que la gauche woke, c'est une gauche molle.
01:05– Ah bah non, c'est pas la même voix.
01:07– La gauche woke, c'est la gauche molle.
01:09– Non, c'est l'inverse.
01:11– Arrêtez, maintenant, ce sera…
01:13– Il n'a pas dormi de la nuit des Chirions.
01:15– Maintenant, ce sera extrême droite, donc extrême gauche, c'est clair.
01:18Moi, j'ai dit le wokisme, c'est mort.
01:20Maintenant, ce sera LFI contre RN.
01:23– Mais qu'est-ce que LENCHON contre RN ?
01:25– LFI, c'est des wokies.
01:27– Mais oui, merci.
01:29– Non, mais non, c'est pas…
01:31– Il n'a rien compris, il n'a rien dit.
01:33– C'est bon, c'est bon, allez dormir un peu,
01:35vous allez vous faire du bien, vous n'avez pas dormi de la nuit, mon chéri.
01:37– Alors d'abord, tu laisses la fin du wokisme,
01:39je suis allée regarder les définitions, pour préciser.
01:41Donc, c'est un courant de pensée qui dénonce des injustices.
01:43– Non, mais c'est fini, ça, c'est pas ça.
01:45– Non, mais c'est quand même important de le dire.
01:47Il y a eu une dérive, et après, ça n'était plus le wokisme,
01:49c'est les ayatollahs du wokisme, de la bien-pensance,
01:51et on peut dire même que la métastase du wokisme,
01:53pour moi, c'est la cancel culture,
01:55ce que tu adores, toi, Gilles,
01:57c'est-à-dire qu'en fait, il faut effacer le passé.
01:59– Ah oui, ça oui.
02:01– Donc moi, je pense que c'est la fin du wokisme, évidemment.
02:03– Vous êtes complètement woke.
02:05– Mais non !
02:07– Je pense que ça a été un rat de marée, évidemment,
02:09et une tarte phénoménale pour le wokisme,
02:11une tarte phénoménale.
02:13Moi, je pense qu'en France, le wokisme,
02:15il est terminé.
02:17Mais en fait, on en parle encore dans les salons,
02:19on en parle encore sur les plateaux télé,
02:21on en parle encore dans les rédactions.
02:23Et la preuve, c'est que l'ERN, c'est le premier parti de France.
02:25Mais par une supercherie, l'ERN n'a pas gagné.
02:27Parce que sinon, l'ERN aurait gagné comme Trump.
02:29En Italie, Mélanie a gagné,
02:31et ça a été un rat de marée.
02:33Donc en fait, je pense que le wokisme est terminé depuis bien longtemps,
02:35mais en fait, il y a des corps intermédiaires qui résistent,
02:37les médias, la bien-pensance,
02:39l'IB, France Info, et tout ça.
02:41Mais moi, je pense que c'est la fin du wokisme
02:43depuis très longtemps déjà.
02:45– Il y a mon ami Olivier d'Artigolles qui nous regarde,
02:47que j'embrasse d'ailleurs, que j'adore, Olivier d'Artigolles.
02:49Gilles a raison, il est sincère, il est l'avenir de la gauche.
02:51– Non, il est gentil.
02:53– Ah non, je retire.
02:55Pas d'accord avec ce qu'il vient de dire sur LFI,
02:57quel bordel, on est mal, on est mal.
02:59Voilà, merci.
03:01– Juste pour terminer, juste quand moi j'entends parler.
03:03– Vous avez entendu Mélanie comme elle a rigolé
03:05quand j'ai dit que c'était Olivier d'Artigolles ?
03:07Sachez qu'elle a un petit crush pour lui.
03:09Voilà, merci, c'est tout, on passe à autre chose.
03:11– Apparemment, la bénaïme a faim.
03:13– Merci.
03:15– Et moi, macroniste que je suis,
03:17quand j'entends parler Sandrine Rousseau et Émeric Caron,
03:19ça me donne envie de voter pour Trump.
03:21Donc ça veut bien dire qu'il y a un problème par exemple
03:23dans cette gauche islamo-gauchiste
03:25complètement folle en fait.
03:27– Moi je pense qu'il faut quand même donner la parole
03:29à Thomas Guénonné là-dessus.
03:31– C'est le meilleur.
03:33– C'est votre porte-parole.
03:35– Qu'il puisse se marrer un peu.
03:37– Alors ça y est, écoutez, ici,
03:39arrêtez d'écrire, soyez spontanés,
03:41non mais c'est vrai, arrêtez d'écrire, allez-y.
03:43– Oui.
03:45– Non mais l'autre c'est Jean-Paul Sartre,
03:47il écrit un livre par émission.
03:49– Merci pour la comparaison, ça me fait très plaisir.
03:51– Sartre il s'est planté sur tout, c'est vrai en plus.
03:53– Non, non, il n'était pas à côté de la plaque,
03:55il était à côté de votre plaque.
03:57Nous ne reviendrons pas en arrière,
03:59c'était le slogan de Kamala Harris, vous vous souvenez ?
04:01Et c'est très emblématique, c'est que c'est la défaite
04:03de la gauche qui se contente de dire
04:05que le camp d'en face c'est mal
04:07et qu'il faut proposer elle-même un chemin intéressant.
04:09– Pas mal, c'est la gauche.
04:11– Et moi c'est ça, non pas en 80, c'est pas n'importe quoi.
04:13Harris a perdu, pas à cause du wokisme,
04:15elle a perdu parce qu'elle n'a pas répondu
04:17aux attentes des électeurs en général
04:19et des électeurs socle de la gauche en particulier.
04:23– Attendez, attendez.
04:25– J'ai attendu suffisamment de temps, s'il vous plaît.
04:27– Aujourd'hui c'est un bon jour.
04:29– Moins dix points par rapport à Biden le coup d'avant,
04:33moins dix points sur les Noirs,
04:35pourquoi ? Parce qu'elle n'a rien dit
04:37sur les problèmes spécifiques des Noirs.
04:39Moins dix points sur les Hispaniques,
04:41pourquoi ? Parce qu'elle n'a rien dit
04:43sur les problèmes spécifiques des Hispaniques.
04:45C'est énorme, elle a perdu là-dessus,
04:47sur l'électorat jeune.
04:49– Thomas Guénolé, excusez-moi.
04:51– Vous vous trompez de problème.
04:53– Ce n'est pas un débat sur les États-Unis,
04:55vous n'avez rien compris, ils ne comprennent rien.
04:57– On ne débat pas sur des causes réelles.
04:59– Vous n'avez rien compris, laissez-moi faire Fabrice s'il vous plaît.
05:01On débat sur la fin du wokisme,
05:03on parle de la France, on ne parle pas des États-Unis.
05:05– Je vous dis que ce n'est pas pour ça qu'elle a perdu.
05:07– Mais ils ne comprennent rien.
05:09Déjà vous n'y connaissez rien à la politique française.
05:11– Vous êtes avocat, moi je suis politologue,
05:13arrêtez de me dire que je n'y connais rien.
05:15– D'abord vous n'y connaissez rien à la politique française,
05:17vous n'y connaissez pas à la politique américaine.
05:19– C'est très long.
05:21– Vous n'êtes pas qualifié pour dire ça.
05:23Vous devez l'accepter et l'entendre.
05:25Vous êtes avocat, c'est bien,
05:27je suis politologue.
05:29Vous n'êtes pas qualifié pour me dire que je n'y connais rien.
05:31– Vous n'êtes pas politologue, c'est bien ça.
05:33Donc vous n'y connaissez rien, vous n'êtes pas politologue.
05:35– Excusez-moi, je suis politologue.
05:37– C'est bien ça, on est d'accord.
05:39– C'est pas la même chose.
05:41– Je réponds à cette question.
05:43Là où Thomas Gagnolet ne comprend rien, c'est que…
05:45– On n'est pas avec vous, arrêtez ça.
05:47– C'est bon quoi.
05:49Le truc c'est que, là où il ne comprend rien,
05:51bien sûr que ce qu'il dit est en partie vrai,
05:53mais c'est des banalités.
05:55Évidemment qu'elle a planté sa campagne sur plein de trucs,
05:57mais il faut mesurer qui est l'électorat de Trump,
05:59pourquoi il s'est engagé.
06:01Vous voulez quelques phrases, là par exemple,
06:03de Trump, des engagements ?
06:05Université Anti-Woke, ville de la liberté.
06:07Rien que ça, Université Anti-Woke.
06:09Regardez effectivement ce qu'avait dit De Santis avant qu'il se retire.
06:11Le juteux business du royaume enchanté touche enfin à sa fin.
06:13Il y a un nouveau shérif en ville.
06:15C'est ça l'électorat de Trump.
06:17Et c'est ça le projet de Trump.
06:19Vous savez effectivement…
06:21– Pourquoi il n'a quasiment pas gagné ?
06:23– Thomas Gagnolet, Thomas Gagnolet, stop.
06:25C'est quoi la…
06:27– Vous vous bêtisez en plus.
06:29– C'est quoi le dernier accueil des électeurs ?
06:31– Stop, stop.
06:33C'est moi qui donne la parole.
06:35Thomas Gagnolet, c'est bon, on vous a entendu.
06:37Pour moi, vous êtes hors sujet.
06:39– Je peux dire que j'ai une pensée pour les Ukrainiens ou pas ?
06:41– Oui mais on en parlera après, merci.
06:43On parle du wokisme.
06:45C'est bon, on vous a entendu.
06:47C'était pour moi, voilà, hors sujet.
06:49Si vous m'aviez donné une feuille,
06:51là j'aurais mis vu, hors sujet.
06:53Vous refaites la copie.
06:55– Je pense que Géraldine est raison
06:57et je pense que sur la fin du wokisme en France,
06:59elle se trompe.
07:01Je pense que nous, on poursuit les erreurs
07:03au-delà du raisonnable.
07:05Donc le wokisme, pour moi, c'est un échec
07:07et c'est franchement pas bien,
07:09c'est le début de plein d'errements
07:11et je pense qu'on va, hélas, le continuer longtemps
07:13parce qu'on a les ultras du wokisme en France,
07:15les plus acharnées.
07:17– Isabelle qui comprend le sujet.
07:19– Ils sont inaudibles.
07:21– Géraldine, je vais vous dire la vérité,
07:23je vous jure, Isabelle…
07:25– On les entend dans les médias,
07:27c'est pas la vraie vie en fait.
07:29Quand on les entend sur les médias,
07:31par rapport à que des questions de genre
07:33et des questions de race,
07:35en fait c'est pas ça le sujet.
07:37Le sujet, c'est ce que disait Trump
07:39et je suis Macroniste.
07:41C'est le pouvoir d'achat, c'est la souveraineté,
07:43c'est l'immigration, c'est la sécurité.
07:45C'est ça qui est important pour les gens.
07:47– Bernard Monciel.
07:49– Oui.
07:51– J'étais en train de penser
07:53qu'ils allaient pas vivre très vieux,
07:55tous ces personnes-là, les deux-là.
07:57– Qui ça ?
07:59– Les deux, de s'engueuler comme ça en permanence,
08:01ils vont pas vivre vieux.
08:03Ils sont tellement énervés.
08:05– On va juste pas vivre ensemble, c'est tout.
08:07C'est pas grave.
08:09– Vous savez qu'il faut pas répondre
08:11à tout ce que dit le plateau.
08:13Vous êtes pas animateur de l'émission.
08:15– C'est vrai.
08:17– Et je pense que vous ne le serez jamais
08:19parce que, à cause des filles,
08:21le wokisme a encore perduré.
08:23– Je suis d'accord avec vous.
08:25– C'est tout.
08:27– Vous avez dit une phrase,
08:29on vous a réveillé, désolé,
08:31mais c'est intéressant.
08:33– Je suis d'accord avec Bernard Montiel
08:35parce que Jean-Luc Mélenchon
08:37a fait 22% à la dernière présidentielle.
08:39– C'est pas le pape du wokisme en France,
08:41Jean-Luc Mélenchon,
08:43mais il capte le vote woke.
08:45Et surtout, il a été filmé très récemment
08:47et il a dit, il faut centraliser
08:49nos actions sur les jeunes,
08:51qui sont très sensibles au wokisme,
08:53et les quartiers, et le reste, on s'en fiche.
08:55Donc les ouvriers, ça ne nous intéresse pas.
08:57Pourquoi Trump remporte la victoire ?
08:59Parce qu'il a parlé sur la thématique
09:01du pouvoir d'achat et l'inflation
09:03qui, évidemment, gangrène les États-Unis.
09:05Et contrairement à ce que dit Thomas Guénolé,
09:07il a capté le vote des minorités
09:09qu'il n'avait pas avant
09:11parce que, justement, il ne leur a pas parlé
09:13en qualité de minorité,
09:15de quel citoyen américain
09:17qui a des problèmes de pouvoir d'achat.
09:19– Question, question.
09:21Est-ce que vous avez vu qu'il y avait Polska ?
09:23– Oui, je n'ai pas reconnu.
09:25– Polska, vous vouliez dire quelque chose ?
09:27– Oui, alors moi, je ne pense pas que l'élection de Trump
09:29va changer les convictions des gens, des Français.
09:31Et puis, pour vous, c'est quoi le wokisme ?
09:33Parce que, par exemple, si demain Thomas va défendre des migrants,
09:35vous allez dire qu'il est woke.
09:37Donc, pour moi, le wokisme ne devrait pas s'arrêter.
09:39– Non, pas du tout.
09:41Par contre, si je défends votre coiffeur,
09:43je suis woke.
09:45Ça vous va très bien. – Merci.
09:47– C'est pas mal. C'est quoi comme couleur ?
09:49– C'est auburne.
09:51– Vous êtes auburne, et dans un instant, on aura auburne.
09:53– Je peux répondre à la question de Polska.
09:55Qu'est-ce qu'on appelle le wokisme ?
09:57Le wokisme, c'est le fait de tout racialiser
09:59et de parler aux gens et aux futurs électeurs
10:01pour ce qu'ils sont.
10:03C'est ce que fait Jean-Luc Mélenchon
10:05en essentialisant les quartiers,
10:07en essentialisant les musulmans.
10:09Il leur parle pour ce qu'ils sont
10:11et non pour leurs aspirités de citoyens.
10:13Il est propre à chaque citoyen.
10:15Et donc, c'est ce qu'a fait Harris
10:17et c'est ce que n'a pas fait Trump.
10:19– C'est un courant qui est en France.
10:21– Il y a Géraldine Maillet qui a mis le cartouche.
10:23Thomas Guédouin, il n'a rien fait, le pauvre.
10:25Tu dis que vous n'êtes pas sur Mégane.
10:27– Non, heureusement, d'ailleurs.
10:29– Ça ne va pas bien. Franchement, il aurait été courtois avec vous.
10:31– Mais oui, mais moi aussi, je suis courtois.
10:33– Oh, Gilles Verneuze ! Comment il va, celui-ci ?
10:35– Ça va.
10:37– Ça va, Verneuze ? Comment il va, le bébé ?
10:39Bonne nuit !
10:41– Ça ne va pas, mais on fait front.
10:43Mélenchon, il a fait un super tweet.
10:45– Oui, c'est vrai, pas mal.
10:47– Exactement. Et là, il dit clairement,
10:49ce que j'ai essayé de dire tout à l'heure,
10:51mais avec moins de talent que lui,
10:53il dit qu'Amala Harris est nulle.
10:55Ce n'est pas la gauche.
10:57Quand il n'y a pas de gauche, c'est le boulevard pour Trump.
10:59C'est ce que je dis.
11:01C'est qu'il faut une gauche beaucoup plus dure en France.
11:03– Mais il n'y a pas de gauche plus dure.
11:05– Mais qui ?
11:07– Pour moi, il n'y en a qu'un à gauche.
11:09Pour moi, c'est un garçon que j'ai eu un coup de cœur pour lui.
11:11Je le dis.
11:13À gauche, il est exceptionnel.
11:15C'est le maire de Saint-Ouen, c'est Karim Bouamrane.
11:17Lui, il est exceptionnel, Karim Bouamrane.
11:19Il est scoltaïque, il est gauche républicaine.
11:21Lui, ça, c'est un vrai talent.
11:23Ça, c'est quelqu'un qui peut aller loin.
11:25Il est exceptionnel.
11:27Et partout où il est passé, il a fait un travail exceptionnel.
11:29– Ça, c'est la gauche anti-woke, justement.
11:31– Ça, c'est une gauche qu'on aime.
11:33Moi, j'adore Karim Bouamrane.
11:35Karim, c'est un monstre.
11:37C'est un mec qui est sur le terrain.
11:39Moi, je vais vous dire, une gauche comme ça,
11:41là oui, Karim Bouamrane,
11:43il devient le chef de la gauche.
11:45Là, on va pouvoir discuter.
11:47Et peut-être que je vais venir vous rejoindre.
11:49Peut-être que je viendrai avec vous.
11:51– Elle est minoritaire, la gauche de Karim Bouamrane.
11:53– Mais le problème, c'est qu'elle est minoritaire, la gauche de Karim Bouamrane.
11:55– N'importe quoi, le tweet de Mélenchon.
11:57Il colle la grille de lecture française à la grille de lecture américaine.
11:59Quand elle est arrivée aux États-Unis,
12:01elle était déjà vue comme très à gauche.
12:03Face à Trump, son vice-président
12:05était vu comme quelqu'un de très woke
12:07et de très à gauche.
12:09Jean-Luc Mélenchon, il arrive aux États-Unis,
12:11ils ont l'impression que c'est l'URSS qui revient
12:13et qui vient envahir les États-Unis.
12:15C'est ridicule.
12:17– Je vais laisser la parole pour clôturer à…
12:19– Maître.
12:21Jean-Michel, peut-être.
12:23– Moi, je crois à la fin, pas tout de suite.
12:25En tout cas, ils ont pris un gros coup quand même dans…
12:27– Sur la carafe.
12:29– Voilà, sur le carafon.
12:31Par chance, c'est les woke qui sont en train de tuer le wokeisme.
12:33Parce qu'ils sont tellement radicalisés
12:35à vouloir qu'il n'y ait plus d'accent
12:37sur les phrases, qu'il n'y ait plus de genre
12:39entre les hommes et les femmes,
12:41que les drag queens doivent venir parler aux enfants
12:43en classe, en primaire, etc.
12:45Ils ont des idées tellement radicalisées,
12:47tellement folles et dingues.
12:49Et on le voit à chaque fois qu'on fait un sondage ici.
12:51Les Français n'adhèrent pas du tout.
12:53Donc forcément, à partir du moment où les Français n'adhèrent pas,
12:55c'est forcément à la fin.
12:57C'est ce qui vient à faire un truc qui ne marche pas.
12:59– C'est terminé. – Vous parlez de Nader.
13:01J'embrasse d'ailleurs mon pote Nader qui doit me regarder.
13:03Merci. Ça m'a fait penser à un gars que je connais.
13:05Merci. – Jean-Pierre ?
13:07– Jean-Pierre Nader.
13:09Allez, on va voir. Oui, 80%.
13:11Ça serait magnifique. Franchement, ça serait bien.
13:13On espère. Je vous le dis, on espère.
13:15On espère que c'est vrai et que vous avez raison.
13:17Parce qu'on n'en peut tellement plus.
13:19C'est vraiment…
13:21Je vous dis, je me suis réjoui ce matin pour voir
13:23toute la gueule des woke.
13:25Est-ce qu'on a d'ailleurs la tête de Jean-Michel Apathy ?
13:27Regardez, la tête de Jean-Michel Apathy.
13:29Alors ça, c'est Donald Trump après un nugeon
13:31avec Bernard Montel. Non, ça c'est le wokeisme.
13:33Voilà. Non, la tête de Jean-Michel Apathy.
13:35C'est vrai que là, c'était une dure journée pour lui.
13:39À mon avis, Gilles, vous pouvez l'appeler ce soir.
13:41Allez boire des verres avec lui.
13:43On mettra sa tête dans un instant. – On n'est pas trop potes.
13:45– Quoi ? – On n'est pas trop potes.
13:47– Merci. Vous allez le devenir. Merci Fabrice Di Vido.
13:49– Juste un truc rapide. – Oui, parce que je dois y aller là.
13:51– Moi aussi.
13:53Le truc, c'est que…
13:55Ce que dit Charles-Émile Maillet, c'est juste sur un point.
13:57C'est certes une minorité.
13:59– Pas mal. – Mais une minorité active et bruyante.
14:01– Exactement. – Bien sûr.
14:03– Qui détient les clés des universités en particulier.
14:05– C'est comme, vous savez quoi ?
14:07C'est une minorité active et bruyante.
14:09C'est comme mes enfants à la maison.
14:11Non mais voilà, je les embrasse.
14:13Je les aime. Je les amène au match après.