À la rencontre d’Alexandre Schoegel dans la série Karaté Sans Limite. La série vidéo qui accompagne dans l'accueil des personnes en situation de handicap dans les clubs. Dans son 12ème épisode de la série Au cœur de France Judo, la fédération française met en lumière les femmes. Une journée entièrement dédiée au judo féminin dans les Landes. Portrait de Claire Bové avec à la Fédération française d'aviron. La médaillée olympique partage son parcours et les moments clés qui ont marqué sa vie d'athlète.
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00:00Bienvenue dans MaFédé, le magazine des fédérations sportives sur sport en France.
00:18Dans son douzième épisode de la série au cœur de France Judo, la fédération française
00:22met en lumière les femmes avec une journée entièrement dédiée aux judos féminins.
00:27Portrait de Claire Beauvais avec la fédération française d'Aviron, la médaillée olympique
00:32partage son parcours et les moments clés qui ont marqué sa vie d'athlète.
00:36Enfin, nous irons à la rencontre d'Alexandre Chogol dans la série Karaté Sans Limites,
00:42une série vidéo qui accompagne dans l'accueil des personnes en situation de handicap au
00:46sein des clubs.
00:47Quand je commençais des nouvelles disciplines dans les clubs, c'était des profs qui pour
00:57bien faire voulaient faire absolument un cours valide et avaient préparé tout un
01:01cours pour moi perso, ce qui faisait que toute l'année, j'étais dans un coin de la salle
01:06et je m'ennuyais.
01:07Je m'appelle Alexandre Chouégelle, je suis membre de l'équipe de France en catégorie
01:20homme en fauteuil et je pratique le karaté kata A haut niveau, je fais du sport depuis
01:25toujours et des arts martiaux depuis l'âge de 10 ans.
01:28En fait, j'ai eu mon accident à 3 ans et demi, j'ai eu une compression de la moelle
01:32épinière sur 3 vertèbres en D10, D12, ce qui fait que je suis paraplégique.
01:36Donc, ça n'implique pas de mouvement du bas du corps et moi, je n'ai pas les abdos.
01:40J'ai commencé les arts martiaux à 10 ans après avoir vu les films de Bruce Lee.
01:45Ma mère m'a dit « t'as 10 ans, t'es un homme maintenant, tu prends ton téléphone,
01:49t'appelles les salles et tu te trouves une salle, moi, je t'emmènerai.
01:51Je prends mon téléphone, j'appelle, plein de refus, non, on ne fait pas, on ne fait
01:54pas.
01:55» En fait, c'est un prof de Krav Maga qui a dit « ok, viens essayer, j'ai fait deux
01:59ans dans son club et puis après, j'ai rencontré le karaté et plus tard la compétition.
02:03Quand je commençais des nouvelles disciplines dans les clubs, c'était des profs qui pour
02:12bien faire, voulaient faire absolument un cours valide et avaient préparé tout un
02:16cours pour moi perso, ce qui faisait que toute l'année, j'étais dans un coin de la salle
02:21et je m'ennuyais.
02:22Le sport, ce qu'on recherche en premier, c'est déjà une sphère sociale.
02:25C'est un moment social où il faut qu'on soit tous dedans.
02:27Il faut chercher à faire des cours qui soient accessibles à tous.
02:29Ça ne marchera pas s'il faut donner plus d'importance à la personne en situation
02:33de handicap qu'aux autres.
02:34Ça ne marchera pas comme ça.
02:35Ça ne marchera que si le groupe est formé et que tout le monde travaille, chacun à
02:39améliorer sa technique et à comprendre mieux son corps.
02:41Il y a aussi les petites choses à faire sur soi, nettoyer les roues avant de rentrer
02:48sur le tatami, ce genre de choses, c'est super important.
02:50En vérité, ça suffit d'un chiffon microfibre, un peu d'eau, un coup sur les roues, les
02:55quatre roues, ça prend cinq minutes, un salut, c'est parti.
02:59Un dernier conseil que je pourrais donner à quelqu'un qui reçoit une personne en
03:05situation de handicap dans son club pour la première fois, c'est de ne pas faire les
03:08choses que pour les autres.
03:09C'est aussi de faire les choses pour soi.
03:11Par exemple, dans mon cas, il faut que le prof, il s'assoit sur un fauteuil.
03:16Ce que je conseillerais, c'est de prendre l'aspect de la pratique où on est le meilleur
03:19ou l'aspect qu'on préfère et d'essayer de le faire sur le fauteuil.
03:23Vous allez voir que quelque chose de très bon, en se rajoutant un handicap, tout de
03:27suite, ça va être une vraie galère et ça fait progresser tout le monde, ça fait progresser
03:31le niveau de tout le monde.
03:32Et il faut le voir aussi comme ça, qu'une personne avec une différence comme la mienne
03:39peut être un moyen de devenir plus fort, d'améliorer sa technique, de la tester dans
03:44ses limites.
03:45Sur une phase d'échauffement classique, en général, on fait courir tout le monde.
03:52En vérité, on peut courir en fauteuil.
03:54Il y a plusieurs modes.
03:55On peut courir tranquille comme ça.
03:56On peut se dire sur les petites phases comme ça, les petits segments, j'y vais doucement
04:00et puis sur les gros segments, d'un coup, boum ! Maîtrise mon dérapage, tranquille.
04:07Ce genre de choses, ça peut être intéressant.
04:09Le but sur une phase d'échauffement, ce n'est pas non plus de se cramer évidemment.
04:17Donc, il faut gérer l'effort, peut-être ne pas faire tous les exercices.
04:19Par exemple, sur un exercice de pompe ou de squat, ça, c'est très bien possible.
04:27Pareil, c'est possible de le faire en statique, milieu, en bas, en haut.
04:37Sur un exercice de fast-fit ou alors un truc où tout le monde va faire quelque chose de
04:42rapide pour monter le cardio, moi, j'aime bien celui-là, tout de suite, ça congestionne,
04:52ça fait monter le cardio.
04:53Parfois, on aime bien, pour les échauffements, faire des quillons, tout ce qui est coup sur
05:02le haut du corps.
05:08Tsuki, toutes les techniques possibles, tout le panel est infini.
05:12Pour tout ce qui est coup en bas du corps, alors là, moi, avant, ce que je faisais,
05:18c'est que je remplaçais par des tsuki ou d'autres choses.
05:21Par exemple, sur le Mae Geri, quand il faisait entraînement Mae Geri en échauffement, je
05:26faisais quand même des tsuki.
05:27Alors, au moins, ça me faisait bosser deux fois plus.
05:30C'est possible aussi de prendre une pause, ça peut être le moment de prendre une pause
05:34sur l'échauffement pour ne pas être crevé après ou alors Mae Geri.
05:43C'est peut-être l'occasion de bosser les câbles, de se représenter comment faire,
05:49comment parachever sa technique ou peut-être de travailler ses équilibres de roues en fonction
05:55du niveau.
05:56Ou si vraiment, vraiment, vous voulez faire un truc où là, tout de suite, vous allez
06:02être complètement congestionné.
06:03Prise de fauteuil au niveau du cadre, c'est possible au niveau des roues, mais moi, je
06:08préfère le cadre.
06:09Et là, saut.
06:10Alors, il vaut mieux attacher les jambes en général quand on fait les sauts, mais en
06:14vérité, on s'en fout.
06:16Voilà ce que je peux proposer sur une phase d'échauffement classique, on va dire.
06:26Tous les exercices qu'on fait à des personnes valides, tout est adaptable.
06:30On peut tout transposer d'une manière ou d'une autre.
06:33Il suffit d'un peu de bonne volonté, d'innovation, de créativité et surtout de se laisser faire,
06:39d'essayer les choses.
07:00Alors bonjour, je m'appelle Claire Beauvais, je fais de l'aviron depuis 2012, je crois,
07:20ça fait longtemps.
07:22J'ai commencé au club de Melun-les-Miroirs-Ardricourt grâce à la section sportive de mon collège
07:28où j'ai promis à ma meilleure amie de faire de l'aviron avec elle si elle faisait du triathlon
07:32avec moi.
07:33Et c'était surtout pour être dans la même classe à la base.
07:45C'était surtout le fait d'être avec mes amis.
07:48C'est vrai qu'au tout début, je m'étais dit que je ne voulais pas faire d'aviron parce
07:52que mes parents en faisaient, mon frère en faisait et ça m'avait fait très peur quand
07:56j'étais petite sur les compétitions, tout le monde criait partout, il faisait froid
08:00et ce n'était pas très agréable.
08:02Et finalement, je me suis dit bon, si c'est pour en faire avec Carla, je vais faire avec
08:06Carla.
08:07Et donc on y allait, c'était surtout pour quitter tôt les cours et on a adoré ce moment
08:12de partage, cette envie de faire de la compétition, de se dépasser les uns pour les autres, cette
08:16bonne ambiance qu'il y avait.
08:18C'était trop cool, on était ensemble, pas en cours, mais ça nous a permis d'apprendre
08:23tellement de choses.
08:25C'est une école de la vie formidable quoi !
08:36Pour moi, le meilleur souvenir que j'ai, c'est ce moment où avec ma meilleure amie,
08:41on est championne de France.
08:43Il y a eu plein de moments géniaux, il y a eu tous les stage clubs, il y a eu plein
08:47de choses, mais c'est vrai qu'on a commencé avec l'UNSS et on était assises toutes les
08:51deux sur le ponton, sur la grande digue à Bourges et on se disait, on regardait les
08:55finales et on se disait, un jour ce sera nous, un jour on sera championne de France ensemble
08:59et huit ans après, ou peut-être dix ans après, je ne sais plus, on a fait le double
09:06ensemble et on a gagné !
09:08Et ça c'était ouf, on s'est juste dit, on veut refaire la même course qu'on a fait
09:12quand on était mi-libre et faire ça ensemble.
09:15Donc pour moi, c'était juste le meilleur souvenir de club que j'ai, je pense.
09:22Qu'est-ce qui t'a le plus apporté de ta carrière ?
09:28Franchement, on va dire que c'était un peu la maison quand même, c'est mon nouveau
09:35club, mais les deux m'ont apporté énormément.
09:37Pour moi, j'ai gardé le même coach.
09:40Après, c'est vrai que j'ai eu des coéquipières différentes, j'ai eu des nouvelles amitiés,
09:46j'ai eu des infrastructures trop bien sur Mantes, que je n'avais pas forcément à Melan.
09:52Mais en même temps, pour moi, la richesse d'un club, c'est les gens qui sont dans le club.
09:56Donc chacun ses coéquipiers, mais coéquipier un jour, coéquipier toujours !
10:10Merci !
10:12Franchement, c'est ma première école de l'aviron.
10:15C'est une super école de l'aviron.
10:17J'ai appris énormément de choses.
10:19J'ai appris la volonté d'aller toujours plus loin, d'être ensemble.
10:22Toujours ce partage et ce respect qu'on a les uns pour les autres, qu'on soit minime
10:27ou qu'on soit senior, c'est pareil.
10:29Moi, Melan m'a appris à évoluer avec les plus grands que moi, à pousser et à toujours
10:36vouloir être dans le meilleur bateau.
10:42Merci de m'avoir accueillie.
10:44C'est vrai que c'est un peu pareil.
10:46On a eu des problématiques différentes avec Mantes-la-Jolie.
10:50On n'a pas eu forcément besoin de se battre pour entrer dans le meilleur bateau parce
10:53qu'on est toujours moins nombreux là-haut.
10:55Après, c'est vrai que là, c'était plutôt moi le rôle de la grande et d'apporter aux jeunes.
11:00Merci de m'avoir accueillie dans ce club à bras ouverts.
11:04Ça fait plein de copains.
11:06Franchement, c'est trop cool d'aller dans un club d'aviron parce que c'est un sport collectif.
11:11Mais en même temps, on est dépendant de ses coéquipiers.
11:16On n'est pas individuellement parlant.
11:20On est là pour les autres.
11:22On est là pour les jeunes.
11:24On est là pour les copains.
11:26On est là pour les copains.
11:29On n'est pas individuellement parlant.
11:33On peut agir pour le collectif, mais on peut aussi desservir le collectif.
11:37D'arriver dans un club, ça nous apporte la volonté.
11:41Ça nous apporte le respect de l'autre.
11:44On est ensemble.
11:46Franchement, c'est marrant.
11:48Mais en même temps, on apprend à souffrir pour les autres aussi.
11:51Parce qu'une course, c'est dur.
11:53Si on ne le fait pas pour soi, on le fait pour les autres.
11:56Et puis le plaisir de la glisse avant tout.
12:17Hop, tout de suite.
12:18On vient toucher là.
12:19On se remet au centre.
12:20Si je dis gauche, on part à gauche.
12:22On vient au centre.
12:23OK ?
12:25Droite !
12:27Gauche !
12:28Droite !
12:29Allez, Maté !
12:31Aujourd'hui se passe une journée 100% judo féminin landais.
12:35Donc sont conviées toutes nos licenciées féminines landaises.
12:38On a une soixantaine de participants aujourd'hui.
12:41Ils vont évoluer avec des âges totalement différents.
12:44Ça va s'étaler de la catégorie Benjamin II jusqu'à des seniors, voire un peu plus.
12:47Ce matin, nous allons faire une heure et demie de Tachi Waza.
12:50Le Tachi Waza, c'est le judo qui se pratique debout.
12:53Ensuite, il y aura un petit Mondo, comme l'année dernière.
12:56Des sujets un peu divers à aborder entre nous.
12:59Et ensuite, nous ferons du Newaza cet après-midi.
13:02Donc le judo qui se pratique au sol.
13:04Donc avant de démarrer cette journée, je voulais juste vous dire
13:07que cette journée, elle est là.
13:09Elle est pour nous.
13:10Donc vous, les femmes en général, on a beaucoup de choses à faire.
13:13On a plein de casquettes différentes.
13:15On a toujours des journées de dingue.
13:17Donc ce moment-là, vous allez vraiment le consacrer pour vous.
13:20Tous les problèmes, on les met loin derrière.
13:23Elle est pour vous, cette journée.
13:25Donc profitez-en.
13:26Allez, c'est parti.
13:27Genoux, col, revers.
13:30Genoux, pied, judo.
13:34Col, pied, revers.
13:37Col, tête, judo.
13:41Il va falloir emmener le partenaire en déséquilibre sur les talons.
13:45Sinon, le partenaire, il ne bougera pas.
13:47Donc le petit pas qu'on a travaillé avec la ceinture, il est important
13:51parce que vous allez provoquer le déséquilibre.
13:54Si je viens là, il ne va rien se passer.
13:56Par contre, si je pousse et que je viens derrière,
13:59vous voyez, derrière ses talons, elle est comme ça déjà.
14:02Donc le travail, il est à moitié fait.
14:04Je viens pousser.
14:06Droite, c'est ce qu'on a fait avec la ceinture.
14:08Je vais ramener mon pied.
14:10En post-Covid, on a eu une baisse de licenciés dans le département,
14:13un peu comme partout,
14:15mais qui s'est avérée un peu plus importante dans le secteur féminin.
14:18Donc on a essayé de réfléchir au sein du comité des Landes
14:21à quelques actions qu'on pourrait mettre en place
14:24pour privilégier un petit peu, redynamiser, on va dire, ce secteur féminin.
14:27On est parti d'un petit chiffre de 35 féminines qui étaient venues il y a deux ans.
14:31On était à quasiment 70 l'an dernier et quasiment pareil cette année.
14:35Donc devant l'engouement, devant la réussite de cette journée,
14:38avec notre marraine Karine Petitdio, qui est vraiment excellente dans ce domaine-là,
14:42on a décidé de perpétuer et on a même décidé d'inscrire de manière pérenne
14:46cette animation dans notre calendrier du judo landais.
14:50C'est important. La ceinture abdominale, elle est importante.
14:53Là, j'y vais, je percute.
14:56Premier pas, deuxième pas.
14:59Donc l'idée, c'est un, deux, trois. Et après, j'y vais.
15:03On décortique le judo d'une manière un peu différente,
15:06peut-être avec une touche féminine, justement.
15:09Et je pense que le message de femme à femme peut passer différemment,
15:13qu'on peut aborder des sujets un peu compliqués, tabous parfois,
15:18comme les problèmes féminins, le cycle menstruel, les fuites urinaires.
15:23Pour les règles, maintenant, aujourd'hui, il y a 30 ans en arrière, ce n'était pas le cas.
15:28Aujourd'hui, il y a plein de choses.
15:30Moi, je suis entraîneur, je ne suis pas médecin,
15:32donc je ne vais pas pouvoir vous dire si c'est bien, si ce n'est pas bien.
15:35J'ai fait des milliers de randonnées avec des garçons, machin.
15:38J'ai eu un jour un problème avec une femme.
15:41J'ai senti tout de suite qu'il y avait un malaise.
15:44Il faut en parler, ça n'est pas normal.
15:46Vous ne pouvez pas laisser ça. Ça, ce n'est pas possible.
15:49Le plus compliqué, c'est quand c'est développé depuis longtemps.
15:52On profite qu'on est un peu sur fond d'Octobre Rose
15:54pour concilier le sport et la santé,
15:57donc le judo avec un fond Cancer du sein, Octobre Rose.
16:01Le dépistage du cancer du sein, le dépistage en général,
16:04commence chez nous pour les femmes dès 25 ans.
16:07En France, une femme sur huit va développer un cancer du sein dans sa vie.
16:11Le cancer du sein, c'est un cancer grave.
16:13Il y a à peu près 12 000 décès en France
16:16et 61 900 nouveaux cas par an.
16:19Malgré votre jeune âge, vous pouvez être concerné,
16:23peut-être dans 10 ans, je ne vous le souhaite absolument pas,
16:25mais il n'y a pas qu'à partir de 50 ans où on peut en avoir.
16:28Le fait d'informer dans les filières de sport,
16:32c'est bien parce que quand on a un problème,
16:35on le détecte peut-être, mais on n'ose pas en parler.
16:38Le message de la journée, c'est soyez fiers d'être une femme,
16:42soyez fiers de faire du judo, vous méritez le respect.
16:46On peut, malgré le contexte qui veut qu'une femme
16:50n'est toujours pas encore considérée autant qu'un homme,
16:53quoi qu'on fasse et quoi qu'on dit, c'est toujours le cas.
16:55Ça a été dit ce matin notamment par Madame la Sénatrice.
16:58Tous postes confondus, que ce soit dans le sport ou ailleurs,
17:01mais là, c'est l'occasion de pouvoir pratiquer ensemble,
17:04discuter de tout ça, parce qu'on n'en discute jamais entre nous.
17:07Et donc le message, c'est soyez fiers d'être une femme.
17:35Dans ma Fédé, c'est déjà terminé.
17:37A très vite pour un nouveau numéro consacré à l'actualité des fédérations.