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Les 51 accusés du procès des viols de Mazan ont tous été reconnus coupables de faits de viols, tentative de viols ou agression sexuelle. Ils ont été condamnés à des peines allant de trois ans de prison (dont deux avec sursis) à 20 ans de réclusion criminelle.

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Transcription
00:00Et ce chiffre Mélanie, 86 médias étrangers accrédités, c'est dire l'onde de choc bien évidemment nationale, mais internationale, liée à ce procès.
00:12Oui et je peux même vous donner un autre chiffre Benjamin, on était aujourd'hui 350 journalistes présents dans le palais de justice,
00:19c'est une source interne au tribunal qui vient de nous donner ce chiffre, 350 journalistes dont évidemment une bonne partie de médias étrangers.
00:27Tout à l'heure j'entendais parler espagnols, allemands, il y avait une équipe de télévision japonaise qui était présente, des brésiliens, aussi beaucoup d'américains.
00:34Ça a été véritablement oui une onde de choc bien au-delà de l'enceinte du tribunal et pourtant personne n'avait vu venir cette vague, ce tsunami judiciaire.
00:44Quand on est arrivés nous ici le 2 septembre, le jour de l'ouverture du procès, on n'était pas si nombreux, on était peut-être une vingtaine, une trentaine de médias
00:51et je pense en tout cas de mémoires uniquement nationaux et en fait avec sa décision Gisèle Pellicot de renoncer au huis clos,
00:58elle a donné effectivement un aspect historique à ce procès et on a vu au fil des semaines les salles d'audience remplies de médias du monde entier.
01:06Vous citiez quelques-unes effectivement de grands quotidiens étrangers, j'avais tout à l'heure des téléspagnoles qui faisaient des directs dans le tribunal
01:13et effectivement Gisèle Pellicot est devenue bien malgré elle une icône, en tout cas une figure, un symbole de la lutte contre les violences faites aux femmes.
01:21– Sous-titrage Société Radio-Canada

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