Dans le cadre de son "Noël magique marseillais", la Ville a organisé un spectacle dans le ciel du Lacydon, samedi. 500 drones, 18 lasers et un feu d'artifice ont offert un spectacle féerique et inédit aux milliers de Marseillais massés sur les quais.
Les rafales de mistral de la veille avaient fait planer le doute sur le maintien de l’événement. Mais "la scénographie inédite, jamais vue à Marseille" promise par la Ville s’est finalement tenue hier, dans la douceur de ce premier jour de l’hiver.
Dès 20 h, plus de 500 drones, 18 lasers et un feu d’artifice ont illuminé le ciel du Vieux-Port et proposé un spectacle féerique aux milliers de Marseillais postés sur les quais, dans le jardin du Pharo ou sur les esplanades du Mucem ou de l’abbaye de Saint-Victor. Une animation qui faisait figure de grande nouveauté du "Noël magique marseillais" organisé par la municipalité.
"Une cité qui accueille toutes les solitudes"
Il est 20 h passé de quelques minutes quand les premiers drones s’élancent de la digue du Large. Les lumières des quais s’éteignent et les yeux des spectateurs, des plus petits aux plus grands, sont rivés vers le ciel limpide. Au-dessus du Mucem, les drones dessinent leurs premières figures et font naître l’émerveillement, tandis que la voix du père Noël s’élève des haut-parleurs pour dire un conte de féerique à la sauce marseillaise.
Dans un ballet de lumière, il décrit "l’étoile polaire qui ici ressemble à un soleil", fait un éloge à "la mer qui a permis la naissance de Marseille", raconte "les repas de fêtes qui ici se partagent avec des inconnus", brosse le portrait d’une "cité solidaire qui accueille toutes les solitudes".
"C’était tarpin stylé"
Les drones esquissent des étoiles, des bateaux, les 13 desserts et des cadeaux, pendant que les feux d’artifice éclairent le milieu du port et éclatent au-dessus du fort d’Entrecasteaux, paré de lumières. Chaque tableau plonge la foule dans un engouement passif, jusqu’à l’apparition d’une Bonne Mère colorée, formée par des centaines de drones. Sur la colline d’en face, Notre-Dame-de-la-Garde s’embrase alors de feux d’artifice dorés et provoque un grand "waouh" du public.
Les lasers balaient le ciel et soulignent les façades Pouillon du quai du Port. Après quinze minutes, de grandes rosaces dorées barrent le ciel et signent la fin du spectacle, qui aura rassemblé plus de 50 000 personnes selon la ville. "Un peu court", regrette une maman, tout de même "ravie qu’il y ait un spectacle pour les fêtes, pour la première fois". "C’était tarpin stylé", juge pour sa part Karim, jeune habitant de Belsunce. Quand Mansour, 6 ans et "grand fan des feux d’artifice", se contente d’un mot : "Magique !"
Les rafales de mistral de la veille avaient fait planer le doute sur le maintien de l’événement. Mais "la scénographie inédite, jamais vue à Marseille" promise par la Ville s’est finalement tenue hier, dans la douceur de ce premier jour de l’hiver.
Dès 20 h, plus de 500 drones, 18 lasers et un feu d’artifice ont illuminé le ciel du Vieux-Port et proposé un spectacle féerique aux milliers de Marseillais postés sur les quais, dans le jardin du Pharo ou sur les esplanades du Mucem ou de l’abbaye de Saint-Victor. Une animation qui faisait figure de grande nouveauté du "Noël magique marseillais" organisé par la municipalité.
"Une cité qui accueille toutes les solitudes"
Il est 20 h passé de quelques minutes quand les premiers drones s’élancent de la digue du Large. Les lumières des quais s’éteignent et les yeux des spectateurs, des plus petits aux plus grands, sont rivés vers le ciel limpide. Au-dessus du Mucem, les drones dessinent leurs premières figures et font naître l’émerveillement, tandis que la voix du père Noël s’élève des haut-parleurs pour dire un conte de féerique à la sauce marseillaise.
Dans un ballet de lumière, il décrit "l’étoile polaire qui ici ressemble à un soleil", fait un éloge à "la mer qui a permis la naissance de Marseille", raconte "les repas de fêtes qui ici se partagent avec des inconnus", brosse le portrait d’une "cité solidaire qui accueille toutes les solitudes".
"C’était tarpin stylé"
Les drones esquissent des étoiles, des bateaux, les 13 desserts et des cadeaux, pendant que les feux d’artifice éclairent le milieu du port et éclatent au-dessus du fort d’Entrecasteaux, paré de lumières. Chaque tableau plonge la foule dans un engouement passif, jusqu’à l’apparition d’une Bonne Mère colorée, formée par des centaines de drones. Sur la colline d’en face, Notre-Dame-de-la-Garde s’embrase alors de feux d’artifice dorés et provoque un grand "waouh" du public.
Les lasers balaient le ciel et soulignent les façades Pouillon du quai du Port. Après quinze minutes, de grandes rosaces dorées barrent le ciel et signent la fin du spectacle, qui aura rassemblé plus de 50 000 personnes selon la ville. "Un peu court", regrette une maman, tout de même "ravie qu’il y ait un spectacle pour les fêtes, pour la première fois". "C’était tarpin stylé", juge pour sa part Karim, jeune habitant de Belsunce. Quand Mansour, 6 ans et "grand fan des feux d’artifice", se contente d’un mot : "Magique !"
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NewsTranscription
00:00C'est la mer qui a construit Marseille, c'est de la mer que Marseille est née, alors
00:29quand l'hiver pose sa couverture sur la mer Méditerranée, c'est Noël qui arrive
00:59!
01:00Ici, tous les enfants savent qu'on se grandit toujours quand on grandit ensemble.
01:16C'est la mer qui a construit Marseille, c'est de la mer que Marseille est née, alors
01:43quand l'hiver pose sa couverture sur la mer Méditerranée, c'est Noël qui arrive.
02:09C'est la mer qui a construit Marseille, c'est de la mer que Marseille est née, alors
02:39quand l'hiver pose sa couverture sur la mer Méditerranée, c'est Noël qui arrive.
03:09C'est la mer qui a construit Marseille, c'est de la mer que Marseille est née, alors
03:16quand l'hiver pose sa couverture sur la mer Méditerranée, c'est Noël qui arrive.